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mardi, 05 décembre 2017

Suède: Un site publie les crimes des migrants: 82% des violeurs en groupes sont des migrants. Le site est dénoncé à la police.

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

suède
 

Base de données géante sur les crimes des migrants - Le site est signalé à la police

Le site gangrapesweden.com a été signalé à la police pour violation de la loi sur les données personnelles (PUL) car il a publié les détails des infractions de 83'000 de personnes, tels que les jugements à l'encontre des violeurs selon la radio publique Ekot.

Le site est censé être un registre des crimes des migrants.

C'est vendredi que Nordfront et le site Gangrape Sweden ont lancé "la plus grande base de données sur les crimes des migrants".

Au total, les fiches de 83.656 individus ayant violé la loi entre 2014-2015 ont été publiées sur le site. Des informations sur les Suédois et les migrants sont incluses sur le site. Par exemple, si vous cliquez sur «Viols en groupe», tous les délinquants condamnés seront listés avec leur nom complet, les sanctions, les décisions d'expulsion, etc.

On peut également rechercher tous les prisonniers d'après leur anniversaire.

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir. Le terme "Icke-svensk" signifie "non Suédois")

site suédois

Les informations publiées montrent que parmi toutes les personnes condamnées à une peine d'emprisonnement entre 2004 et 2014, 45,1% étaient des non-Suédois. Dans la catégorie des condamnations pour une durée de 9 et 10 ans de prison, ce sont respectivement 70,0 et 68,8% de «non-Suédois».

Parmi les cas de viols en groupe, 118 des auteurs, soit 82%, sont des migrants, tandis que 26 sont suédois.

L'enquête affirme également que le coût direct des crimes des immigrés dépasse largement les 20 milliards de couronnes suédoises par an.

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Migrants. « L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

nantes
 Les interlocuteurs du Président de l'Université de Nantes ...
 

05/12/2017 – 07h10 Nantes (Breizh-info.com) –  40 chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voici les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.

Avec de surcroit, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le Tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.

Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation, et rêveries militantes …

L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le Crous seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

« L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement » peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans, on rentre en faculté, à moins d’être tous des surdoués …»

Ce dernier nous confie être dégouté : « Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons nous encore le droit de vivre et d’être aidé dans notre propre pays ? ».

Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

Le Crous versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est à dire l’immigration illégale :

Ainsi, le journal La Croixprenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement … d’un différent familial et d’une volonté d’aller à l’école.

« Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa (1), venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université. « Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école. »

Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. « Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école », confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil.»

«Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous ...», remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

Source : breizh-info.com

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est « politiquement correct »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

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Par Gianpaolo Rossi 

Nédonchel (62) : arrivée de 100 migrants dans un village de 160 habitants ?

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

 
 

Les services de l’État ont pris contact avec la municipalité pour envisager l’ouverture d’un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES) des migrants dans l’ancien EHPAD. Une visite des locaux a été organisée la semaine dernière, en présence du secrétaire général de la préfecture et du président de La Vie Active, association qui gère déjà le centre de Troisvaux. Le projet semble en bonne voie, ce qui est loin de faire l’unanimité.

Six élus d’opposition, majoritaires au sein du conseil (onze élus), ont distribué des tracts appelant à se rassembler ce samedi matin devant la mairie. Ils en ont fait de même dans plusieurs villages voisins, et ont fait circuler des pétitions, « qui ont obtenu plus de 300 signatures », expliquent-ils. Leur colère se concentre sur la méthode et sur les raisons de ce choix. « Le conseil municipal est contre. Le village aussi. On ne nous a pas laissés nous exprimer, on est pris en otage. Il y a 240 habitants à Nédonchel, et 160 si on enlève les 80 résidants du nouvel EHPAD. Envoyer 100 migrants ici, ça fait beaucoup. Surtout que pour eux, il n’y a pas de services, pas de commerces, pas de transports… » La peur de l’insécurité est ouvertement affichée. Tout comme l’incompréhension face au choix d’installer ce CAES dans des locaux voisins de l’école.

Jean-Pierre Blanckaert, en minorité dans son conseil, répond au feu des critiques. « Je comprends le message des gens. En tant qu’individu, j’ai de la compassion pour les migrants. En tant qu’élu, c’est une catastrophe pour Nédonchel. En tant que représentant de l’État, je n’ai pas le choix. » Le maire rappelle que « (s)on premier souci, c’est le calme et la sécurité du village». Sur ce site de l’ancien EHPAD, la commune souhaite créer une salle des fêtes. (…)

Grand Remplacement : un guide pour aider les réfugiés à s’installer en France

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

 

 

Édité en quatre langues, français, arabe, russe et anglais, distribué à 1 500 exemplaires aux associations immigrophiles qui favorisent la venue des « migrants » sur le sol français, il est destiné aux « réfugiés » : le Guide du réfugié sort aujourd’hui en France et est disponible sur internet, gratuitement bien entendu. Il a pour but de soutenir et aider les clandestins à obtenir l’asile politique ainsi que de favoriser leur intégration.

« Il s’agit de répondre aux réfugiés qui ne connaissent pas bien leurs droits, mais aussi aux questions récurrentes des bénévoles ou des organismes qui travaillent avec eux »,

explique l’inspiratrice du guide mis en œuvre par l’association Welcome Bordeaux, Anne Rouffi, intervenante sociale auprès des réfugiés depuis six ans.  

Dans la rubrique Les essentiels, le guide énumère aux « réfugiés » les différentes prestations, aides sociales et financières qu’il leur est possible d’obtenir. De même il les encourage à bénéficier de « la réunification familiale » qui permet à un « réfugié » de faire venir toute sa famille « en raison de leurs craintes pour leurs conjoints et enfants sans les conditions demandées aux autres étrangers pour le « regroupement familial».

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C’est aussi un guide de la désinformation en images enfantines et laides. Un exemple parmi tant d’autres : au chapitre Le couple et l’exil dans la bande dessinée qui raconterait soi-disant des histoires de migrants, une femme explique que

« ici on a la protection, le logement, les études mais aussi la famille qui se dégrade. On ne peut pas en parler à tout le monde. On est à l’étranger et au lieu d’être soudés… je vois des couples… ils s’insultent, se déchirent. En exil les hommes changent… les femmes subissent. »

En somme, le guide s’adresse surtout aux Français : pas d’idées reçues concernant les « migrants » !  Au bled les hommes sont plus sympas… ce n’est pas une affaire de culture, de mœurs, de religion que l’on ne nommera pas… juste un problème d’exil… Et puis les clandestins qui arrivent, ils ont des super-diplômes, ce sont des chances pour la France, humbles et travailleurs…

 

Et étonnamment, toutes les vignettes, excepté deux ou trois, ne représentent que des caucasiens…

Mais qui donc peur du Grand Remplacement ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info