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mardi, 05 décembre 2017

657e anniversaire de la naissance du franc

Publié par Guy Jovbelin le 05 décembre 2017

Auteur par admin4

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N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique. L’espoir de la retrouver prochainement grandit régulièrement.

Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).                                                            Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.                                                                                                                                                                         Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec le terme                    « Francorum Rex » (Roi des Francs).

Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de cette inscription.                                                                                                                                                                Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :                                                                                                        « Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…

 

Source : contre-info

lundi, 04 décembre 2017

Quand le FLN massacrait les Algériens

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2017

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Emmanuel Macron se rend en Algérie, demain 6 décembre. 

Voici le texte d'un appel de son prédécesseur, le président de la république René Coty, à la suite du massacre, perpétré le 28 mai 1957 par l'ALN (bras armé du FLN), de plusieurs centaines d'habitants de Melouza, au sud de la Kabylie.

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Ce texte appelle deux commentaires :

  • en 1957, le président Bouteflika, que va rencontrer Emmanuel Macron, était déjà membre de l'ALN qui a perpétré ce massacre et essayé de le faire endosser par l'armée française. Il n'y a pas eu de repentance, côté FLN, de ce crime de guerre comparable à celui d'Oradour sur Glane.
  • le président Coty était de bonne foi lorsqu'il écrivait : "Je donne l'assurance solennelle que la France, qui veut leur garantir la sécurité et la justice, ne les abandonnera jamais". C'est un autre président de la république, Charles de Gaulle, successeur de René Coty, qui, cinq années plus tard, abandonnera aux couteaux du FLN des dizaines de milliers de musulmans et d'européens d'Algérie.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

La Cour de Cassation autorise le voile islamique dans l’entreprise : pagaille garantie

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2017

La Cour de Cassation autorise le voile islamique dans l’entreprise : pagaille garantie !

 4 DÉCEMBRE 2017 | POLÉMIA

Par Sophie Durand, résistante contre l’islamisation de la France, pour la conservation de sa civilisation et de ses valeurs ♦ Un arrêt de la Cour de Cassation en date du 22 novembre précise les conditions dans lesquelles une salariée peut porter le voile. Certains n’y voient que du feu mais cette décision va venir troubler le calme des entreprises privées en donnant des limites à l’interdiction du port du voile : courdecassation.fr

Voici la procédure dans cette affaire : une jeune salariée, Asma Bougnaoui, a d’abord travaillé cheveux au vent. Puis elle a adopté un bandana, et enfin le voile. Un client de l’entreprise s’en est plaint. Plusieurs avertissements ont été adressés à la jeune femme, en vain. Elle a finalement été licenciée. La salariée a porté l’affaire devant les Prud’hommes, estimant être discriminée en raison de ses convictions religieuses. Elle a perdu. Puis devant la Cour d’appel, et a également perdu, les Prud’hommes et la Cour d’appel estimant qu’une entreprise pouvait demander à ses salariés un comportement discret. Asma Bougnaoui s’est alors pourvue en cassation. La Cour de cassation a d’abord demandé son avis à la Cour de justice européenne, basée à Luxembourg, qui s’est prononcée en mars dernier. La Cour de cassation a rendu son arrêt le 22 novembre 2017, sans renvoi devant une autre cour d’appel, ce qui indique que l’arrêt doit faire jurisprudence.

Globalement, la Cour de cassation a estimé que le souhait du client de ne plus voir Asma Bougnaoui voilée « ne pouvait être considéré comme une exigence professionnelle exigeante et déterminante » et qu’une telle interdiction du voile aurait dû figurer dans le règlement intérieur.

Certains s’imaginent bien naïvement que le port du voile en entreprise va pouvoir être interdit purement et simplement. Que nenni ! Il suffit de lire l’arrêt. Et les directives européennes. Et la loi El Khomri. Et le Code du travail dans lequel les dispositions européennes sont hélas intégrées. Il en ressort tant de conditions qu’on quitte ces intéressantes lectures avec le tournis, abasourdi et déstabilisé, obligé d’ingurgiter sur-le-champ un ou plusieurs cachets d’aspirine et de se mettre une poche d’eau glacée sur la tête. Jugez plutôt :

L’interdiction du voile islamique est autorisée. Oui, mais…

  • Oui, mais à condition que ce soit écrit dans le règlement intérieur.
  • À condition qu’il s’agisse de salariés en contact avec le public.
  • L’employeur en cas d’interdiction doit avant tout licenciement essayer de recaser la salariée dans un secteur sans contact avec le public.
  • L’entreprise doit contacter un inspecteur du travail pour lui faire valider cette interdiction.
  • La liberté d’opinion interdit que l’employeur interdise d’exprimer sa religion au sein de l’entreprise.
  • L’interdiction doit être celle de porter des signes des convictions religieuses mais cette seule interdiction ne suffit pas : doivent aussi être interdits les signes de convictions philosophiques et politiques.
  • Cette interdiction doit être indifférenciée, c’est-à-dire ne doit pas concerner seulement le port du voile.
  • La situation ne doit pas traduire une discrimination indirecte.
  • Qui plus est : l’interdiction ne doit pas faire subir un désavantage particulier à des personnes adhérant à une religion ou des convictions données.
  • Si un désavantage particulier doit être subi par des personnes adhérant à une religion donnée, cette interdiction devra être justifiée par un objectif légitime et les moyens appropriés et nécessaires de réaliser cet objectif.
  • La Cour de cassation estime que la volonté d’un employeur de tenir compte des souhaits d’un client de ne plus voir ses services assurés par une salariée portant le voile ne saurait être considérée comme une exigence professionnelle et déterminante.

Bref, c’est byzantin. Une entreprise n’a donc plus en réalité le droit d’interdire d’une manière générale le port du voile en entreprise. Un salarié travaillant dans un secteur sans contact avec la clientèle pourra se voir imposer par ses collègues la vue du voile, même si celui-ci représente pour lui un totalitarisme conquérant en désaccord avec ses convictions.

Au nom de la « liberté d’opinion », l’inspecteur du Travail pourra s’opposer au règlement intérieur interdisant le port du voile.

Au nom de la « liberté d’opinion », on imposera à ce salarié, qui n’a qu’un but : celui de travailler dans le calme, l’opinion dévastatrice de ceux qui nous font la guerre. Et il ne pourra pas donner son opinion.

Au nom de la « liberté d’opinion », la laïcité en entreprise sera bafouée.

Au nom de la « liberté d’opinion », partout ailleurs qu’au contact avec la clientèle, les voiles pourront proliférer.

Au nom de la « liberté d’opinion », un client qui n’en veut pas pourra se voir imposer les services d’une salariée voilée.

J’ai récemment rencontré un artisan débordé. Il a du travail par-dessus la tête et pourrait avoir toute une équipe avec lui, mais il refuse d’embaucher. Il tient à sa tranquillité. Il tient à ce que ce qu’il a déterminé soigneusement lui-même comme exigences professionnelles déterminantes au sein de son entreprise ne soit contrarié par aucun arrêt de la Cour de cassation. Ce qui lui paraîtrait à juste titre comme une intrusion intolérable dans sa manière de voir et de manager ses intérêts en même temps que ceux de ses clients.

On attend une évolution de la jurisprudence Baby Lou, qui permettait d’interdire le voile dans les entreprises privées exerçant une mission de service public.

On attend de voir les voilées investir massivement l’entreprise et le choc qui va en résulter. On connaît leur capacité de nuisance procédurière. Après cela, ce seront les kamis, la charia et les cinq prières obligatoires pour tous.

On attend aussi avec gourmandise les revendications, au sein de l’entreprise, du Ku-Klux-Klan, des royalistes légitimistes, des nudistes, des végétalistes intégraux, des indépendantistes bretons et de tout poil, des adorateurs du Soleil ou d’Ubu et autres sectes tolérables à la condition sine qua non de rester de curieuses minorités et, surtout, de respecter l’ordre public.

On comprendra que les Français soient de plus en plus allergiques au port du voile, cette agression manifeste de notre mode de vie et de nos lois.

Sophie Durand
29/11/2017

Source : Riposte Laïque
Correspondance Polémia – 30/11/20

Crédit photo : Denis Bocquet via Flickr (cc)

Débaptiser les rues et les avenues Lénine, quelle bonne idée !

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2017

PAR 

Il reste des centaines d'artères portant le nom du révolutionnaire russe, qui compte parmi les responsables politiques qui ont le plus de sang sur les mains.

La rue Lénine à Bagnolet (Seine-Saint-Denis)
Idée. Colbert a récemment été à l'honneur. Des associations militantes ont appelé à déboulonner des statues à son effigie et à débaptiser des rues à son nom. La controverse, au sujet du ministre de Louis XIV, s'est éteinte aussi vite qu'elle s'était éveillée. Le coup médiatique n'a pas fait mouche. En contre-feu et pour ranimer la flamme de cette polémique utile, il peut être proposé de débaptiser tout ce qui, dans les villes françaises, a pris le nom de Lénine. Le révolutionnaire communiste russe dispose, dans l'Hexagone et à La Réunion, de dizaines de places, squares, rues et avenues. Son camarade Staline n'a pas ce privilège, tout comme Pol PotMao Zedong ou Kim Il-sung. Or, les travaux historiques récents soutiennent que Lénine compte bien parmi les théoriciens et responsables politiques qui ont le plus de sang sur les mains. Alors, plutôt que continuer cette célébration coupable d'une personnalité que l'évocation du contexte de l'époque ne saurait absoudre, il faut trouver de nouveaux noms. C'est aux habitants et aux élus locaux de se saisir d'un tel dossier. De grandes déclarations et des pétitions nationales ne servent pas forcément. Mais des mobilisations locales peuvent avoir leur effet, cela jusqu'à en finir avec les plaques Lénine.
 
Source : lepoint

dimanche, 03 décembre 2017

Bavière: Mamdoh A., « gentil » réfugié syrien, préparait un attentat imminent

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2017

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En procédant à une arrestation à Pegnitz [Bavière], la police a peut-être empêché un attentat terroriste. La personne arrêtée serait Mamdoh A., Syrien de 18 ans, qui s’était déjà procuré des plans pour fabriquer des bombes et avait enregistré une vidéo de revendication. À Pegnitz, ce jeune homme passait jusqu’à présent pour discret.

Comme l’a annoncé en premier le Süddeutsche Zeitung sur son site Internet, c’est par hasard que les enquêteurs ont repéré le jeune homme. La police aurait perquisitionné son appartement pour une autre affaire et serait tombée sur du matériel de l’organisation terroriste État islamique. Le parquet général de Munich nous a confirmé ces informations.

L’arrestation a eu lieu dès l’été dernier. Mamdoh A., alors âgé de 18 ans, serait arrivé en Allemagne en 2015 et aurait demandé l’asile. […]

Le réfugié de guerre reconnu Mamdoh A. avait manifestement établi des relations avec des cercles extrémistes. [Lors de la perquisition], on a trouvé des éléments de preuve qui indiquent « qu’un crime grave et imminent a été empêché par la police de Haute-Franconie ». La force de ces éléments de preuve est à l’évidence si forte pour les enquêteurs qu’ils justifient la longue détention préventive.

[…]

Mamdoh A. allait à l’école à Pegnitz. Quelqu’un qui l’y a connu le décrit comme « gentil et ouvert ». Et il ajoute : « Il s’était rapidement intégré à la classe. » […]

Le jeune homme de 18 ans était pris en charge par une organisation locale d’aide aux jeunes réfugiés […] Une ou deux fois par semaine, on venait le voir dans son appartement. Il faut croire que ce Syrien a bien su dissimuler sa radicalisation dont on peut penser qu’elle allait croissant.

(Traduction Fdesouche)

Nordbayerischer Kurier