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dimanche, 14 janvier 2018

L’État islamique dans le grand Sahara revendique l’attentat qui a blessé 3 soldats français au Mali

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Posté dans AfriqueOpérationsTerrorisme

 par Laurent Lagneau Le 13-01-2018

 

Le 11 janvier, trois militaires français ont été blessés (dont un gravement) lors d’une attaque suicide contre leur convoi menée avec un véhicule bourré d’explosifs (VBIED), sur l’axe reliant Ménaka à Indélimane, près de Gao, au Mali.

La date coïncidant avec le cinquième anniversaire du lancement de l’opération Serval, l’on pouvait penser que le Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin (Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans – GSIM), une organisation qui réunit plusieurs groupes jihadistes ayant fait les frais de l’intervention française, allait revendiquer cette attaque.

Finalement, l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS) a envoué, le 12 janvier, un communiqué à l’agence de presse mauritanienne ANI pour « proclamer sa responsabilité » de l’attaque ayant visé les militaires français ainsi que de celle menée en octobre dans la région de Tongo Tongo (Niger), au cours de laquelle 4 commandos des forces spéciales américaines avaient été tués. Cette dernière n’avait jusqu’à présent pas été revendiquée.

« Les soldats du califat ont attaqué hier jeudi 11 janvier au petit matin une colonne de l’armée française avec un véhicule piégé », a ainsi affirmé l’EIGS, qui a, par la même occasion, revendiqué plusieurs autres attaques au Mali, au Burkina Faso et au Niger.

A priori, il s’agirait de la première attaque de l’EIGS contre la force Barkhane au Mali. Cette organisation est dirigée par Adnan Abou Walid Al-Sahraoui, un ancien membre du Front Polisario ayant rejoint le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).

Après le rapprochement de ce dernier avec « Les signataires par le sang » de Mokthar Belmokthar pour former le groupe « al-Mourabitoune », Al-Sahraoui fit, en mai 2015, publiquement allégeance à Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de l’État islamique (EI ou Daesh). Mais ce ralliement fut officiellement accepté 18 mois plus tard, c’est à dire en octobre 2016.

En décembre dernier, il a été rapporté que le GSIM et l’EIGS avaient noué une alliance. Ce qu’a confirmé un récent rapport des Nations unies sur la situation au Mali. « La MINUSMA [mission de l’ONU, ndlr] a reçu des informations selon lesquelles les deux groupes agissaient en parallèle et probablement en collaboration », y lit-on.

Apparemment, le GSIM se concentre sur le nord et le centre du Mali tandis que l’EIGS est surtout présent dans la région frontalière avec le Niger.

 

Source : opex360

Bolzano (Italie): les migrants se révoltent car la date de péremption de leurs yaourts est proche

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

yaourt
 
 

Les migrants et la “révolte du yaourt”. C’est au final les forces de polices qui ont du intervenir. Les migrants, en effet, étaient agités en raison de la date de péremption des yaourts, qui selon eux était déjà dépassée. Les faits se sont déroulés au centre d’accueil “ex Alimarket” de Bolzano, dans la zone sud de la ville. D’après ce que rapporte le Corriere dell’Alto Adige, plusieurs demandeurs d’asile accueillis dans la structure se sont plaints du fait qu’ont été servis à la cantine des pots de yaourts sur lesquels figurait une date de péremption trop proche. Apparemment, plusieurs yaourts auraient été périmés le jour même. […] les migrants en ont fait un problème exagérément grave provoquant une escalade de la situation. L’intervention des forces de l’ordre est devenue nécessaire, appelées par les responsables du centre afin d’éviter que la situation ne puisse dégénèrer.[…] Quelques brigades volantes sont arrivées sur place et les agents, non sans mal, ont réussi à ramener la situation au calme. […]

Secoloditalia via fdesouche

Pannes et agressions : voyagez (ou pas) le cœur léger avec la SNCF

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 13 janvier 2018.

 

Pas une seule journée ne se passe sans qu’une panne importante ne vienne perturber le trafic sur le réseau de la SNCF. Les bourdes s’enchaînent à tel point que le Gouvernement a dû faire semblant de taper du poing sur la table. Convoqué le 8 janvier dernier par le ministère des Transports, le PDG de la SNCF a réussi à sauver sa tête (pour le moment). Mais ne s’agit-il pas d’une stratégie machiavélique pour mettre fin à une entreprise publique hautement symbolique ?

La SNCF est-elle entrée dans une ère de décadence dont elle ne se relèvera pas ? Les signes s’accumulent chaque jour et si les médias commencent à s’emparer du sujet, c’est qu’il existe peut-être une raison bien particulière. Mais avant d’en arriver à un possible agenda inavouable, il est utile de rappeler que l’entreprise publique qu’est la SNCF a renoncé depuis bien longtemps à sa mission. L’usager est juste considéré comme un vache à lait qui doit payer son billet à des prix farfelus qui ne font sens qu’aux seuls algorithmes des ingénieurs de la SNCF.

Du grand n’importe quoi

Voyager est devenu horriblement cher et tant pis si les retards s’accumulent en raison de problèmes techniques plus ou moins identifiés. Les deux pannes géantes qui ont touché la gare Montparnasse en décembre ont mis de mauvaise humeur des usagers qui n’ont pas attendu les chaînes d’information en continu pour comprendre que quelque chose ne tourne pas rond à la SNCF. Tains en retard, annulations sauvages, prix délirants et service pas à la hauteur d’une entreprise qui se veut un modèle à travers le monde. Il y a peu encore, la SNCF communiquait sur ses efforts pour offrir de la nourriture agréable au palais… On ne mangera jamais bien dans un train à un prix correct alors que la SNCF cesse son manège et s’occupe de ses trains !

A l’image de la Poste qui se prend pour une banque, la SNCF parle de tout sauf de son cœur de métier. Assurément, l’Union européenne est passée par là et oblige le réseau à s’ouvrir à la concurrence. De nouvelles structures voient donc peu à peu le jour et promettent la lune à des voyageurs fatigués de subir une médiocrité d’une direction plus intéressée par les bonus en tout genre que par le bien être de ce qu’il convient désormais d’appeler : des clients.

A la tête de l’entreprise depuis dix ans, Guillaume Pépy ne peut pas nier sa responsabilité dans tous les dysfonctionnements. Mais l’homme a su s’entourer de personnes utiles qui lui permettent d’être bien vu par tous les présidents et les ministres qui comptent. Les embauches d’anciens énarques et de directeurs de cabinet à recaser sont monnaie courante. Des parachutes appréciés qui permettent d’amortir les coups lorsque la crise frappe à la porte de la direction de la SNCF. Cette dernière n’est plus qu’une cour des miracles où se retrouvent des seconds couteaux en attente de jours meilleurs ou de la retraite…

La privatisation comme solution finale

La SNCF fonce dans le mur et c’est peut-être bien l’objectif de nos élites qui ont donné leur âme au Dieu libéralisme. La stratégie initiale avait été de démontrer que l’entreprise était un poids pour les finances publiques avec une dette de plus de 45 milliards d’euros pour la seule SNCF réseaux et des privilèges d’un autre temps. Les régimes spéciaux n’ont finalement jamais été retouchés et l’entreprise continue sa chute dans les abysses. Mais une banqueroute programmée n’est pas assez marquante pour affoler les Français alors…

Les utilisateurs de la SNCF en ont marre et demandent le minimum : des trains qui fonctionnent et qui respectent les horaires. A ce stade il n’est même pas question d’une sécurité (absente). Les fraudeurs ont pris un abonnement gratuit, les vols et incivilités se multiplient dans les trains sans parler des descentes en bandes organisées qui mettent à sac des wagons entiers. Ne peut-on pas veiller à ce que tous les passagers soient munis d’un billet avant leur montée dans le train ?

Tous ces dysfonctionnements mènent à une seule solution : un changement radical qui finira par prendre la forme d’une privatisation. Le bilan catastrophique sera facile à dresser et personne ne pourra le contredire. C’est à ce moment que nos élites adorées brandiront la privatisation comme la solution idéale. Il aura fallu de la patience et pas mal de vice, mais la mission sera bientôt achevée. La SNCF ne sera plus. La France suivra peu après.

 

Source : 24heuresactu

"Les enfants qui s'en sortiront le mieux dans la vie sont ceux qui ont le moins accès aux écrans"

 Source : http://rmc.bfmtv

Pour le Docteur Anne-Lise Ducanda, membre du "collectif surexposition écrans", et invitée ce mercredi de Bourdin Direct, protéger les jeunes enfants des écrans de smartphones ou de tablettes est un "impératif de santé publique".

LE NON-LIEU TARDIF DE LA RUE COPERNIC

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

attentat,non-lieu,rue copernic,synagogueLa Justice vient donc de prononcer un non-lieu dans l'affaire de l'attentat contre la synagogue de la rue Copernic survenu en octobre 1980.

Cette affaire est emblématique du climat qui régnait alors à Paris. Sans le moindre début de preuve, s'appuyant sur une supposée revendication aux aspects pour le moins fantaisistes, toutes les polices, tous les chiens de garde du Système, journalistes, magistrats de gauche et politicards confondus, se sont rués, telles des hyènes, sur les mouvements nationalistes pour dénoncer le retour du "mal absolu"... Rappelons qu'à cette époque, l'extrême droite, toutes tendances additionnées, atteignait péniblement 1,5% lors des élections.

Des dizaines de militants ont été arrêtés, perquisitionnés, livrés à la vindicte démocratique, des mouvements ont été dissouts, des locaux saccagés, des carrières professionnelles brisées.... Plusieurs camarades ont été blessés, l'un a même été vitriolé sans que cela n'offusque les bonnes consciences de la bien-pensance institutionnalisée. Et, 37 ans après, les dernières pistes, pourtant bien éloignées des forces patriotiques, s'estompent... C'est un lamentable échec pour la Police et pour la Justice. 

Libération, dans son édition d'aujourd'hui (voir l'article ci-dessous), peut-être pour légitimer les vils mensonges médiatiques, rappelle que cet attentat faisait suite à une série d'autres qui, eux aussi, furent précipitamment attribués aux nationalistes. Rappelons à notre tour qu'aucun d'entre eux, mise à part une exception, ne fut vraiment élucidé...  L'exception ? Un fripier du Sentier qui avait incendié sa propre boutique rue d'Aboukir (après avoir peint lui-même des graffitis antisémites sur la porte), pour toucher l'assurance...

La seule vraie question que les enquêteurs et les inquisiteurs auraient dû se poser était la suivante : MAIS À QUI DONC PROFITAIT CE CRIME ?

Roland Hélie

Synthèse nationale