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jeudi, 11 janvier 2018

Allemagne: 1 étudiant musulman sur 3 est prêt à se battre et à mourir pour l’islam

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2018

 

réfugié migrant allemagne

Dans une enquête en Basse-Saxe, huit pour cent des étudiants musulmans soutiennent la propagation violente de la milice terroriste État islamique. Certains montrent même de la sympathie pour les attentats terroristes.

L'analyse a montré qu'un tiers (29,9 pour cent) des étudiants musulmans qui ont fourni des informations peuvent « aisément s'imaginer se battre pour l'Islam et risquer leur vie. »

L'affirmation selon laquelle "Les lois islamiques de la charia, qui punissent, par exemple, l'adultère ou l'homosexualité, sont beaucoup mieux que les lois allemandes "a convenu à 27,4%.

Il est frappant de constater que même la milice sunnite de l'État islamique (EI) et les attentats terroristes soient accueillis dans un ordre de grandeur conséquent.

Ainsi, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu trouvent justifié que leurs coreligionnaires du Moyen-Orient tentent de fonder un État islamique par la guerre3,8% ont même confirmé la phrase: «Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs si nécessaire avec des attaques terroristes.» Au moment où les étudiants ont été interrogés, l'Etat islamique connaissait une phase favorable.

Près d'un cinquième était d'accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; contre cela, ils doivent se défendre par la force » (19,8%). Un pourcentage quasi similaire a approuvé l'expression "Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l'islam dans le monde" (18,6%). Près d'un cinquième a également soutenu qu'on doit procéder avec toute la sévérité possible "contre les ennemis de l'Islam" (17,7%). La tendance était légèrement plus élevée chez les étudiants masculins que chez les femmes - mais les différences n'étaient pas significatives.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Conspué, le Carmen anti-féminicide de Florence tourne au fiasco

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2018

Par    

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Dans sa version de l'œuvre de Bizet, le metteur en scène Leo Muscato a décidé d'épargner la cigarettière, faisant d'elle une tueuse. Ce choix scénaristique n'a pas convaincu le public du Teatro del Maggio ni la presse transalpine.

Et le coup n'est pas parti... Un dénouement fatal à la première représentation, le 7 janvier, du Carmen mis en scène de Leo Muscato, dont toute l'Europe parle depuis une dizaine de jours. Les applaudissements, réservés aux comédiens, sont vite couverts par des sifflets et des huées. En réalité, dès l'apparition sur le plateau de l'homme qui a eu l'idée d'inverser les rôles à la fin de l'opéra de Bizet.

Un verdict compréhensible, tant les choix de Muscato avaient provoqué sinon l'indignation, du moins beaucoup de circonspection. Son spectacle devenant même l'aboutissement, dans ce qu'il a de plus cornichon, du politiquement correct. Pour son adaptation, l'Italien a choisi de bouleverser le final, en permettant à Carmen de tuer Don José. «L'idée m'a été suggérée par le directeur du théâtre qui voulait que je trouve un moyen pour ne pas faire mourir Carmen. Il estime qu'à notre époque, marquée par le fléau des violences faites aux femmes, il est inconcevable qu'on applaudisse le meurtre de l'une d'elles», avait expliqué Muscato quelques jours avant le début des représentations. L'annonce de cette modification avait suscité d'âpres débats parmi les critiques, qui considéraient , dans leur immense majorité, comme sacrilège de dénaturer une œuvre majeure de l'opéra, vieille de 143 ans.

 

Source : lefigaro

La réalité, ce n’est pas l’islamophobie, mais l’occidentophobie

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 21018 

La réalité, ce n'est pas l'islamophobie, mais l'occidentophobie

Par Chantal Delsol, membre de l’Institut, professeur des universités, écrivain ♦ TRIBUNE – Pour la philosophe (*), il est vain de chercher des causes économiques ou psychiatriques au terrorisme. La matrice idéologique des djihadistes est la haine de la civilisation occidentale. Le problème est que nous non plus ne nous aimons pas.

Le terrorisme qui nous frappe s’impose à nous comme un objet non identifié.

Nous sommes capables de mettre en place l’état d’urgence, de détenir des services secrets performants qui sans aucun doute nous évitent bien d’autres attentats. Mais nous sommes incapables de mettre le doigt sur les causes. Au début, à partir du 11 Septembre, on a commencé par prétendre que des raisons économiques poussaient ces jeunes garçons au meurtre de masse et au suicide. L’empreinte marxiste est déterminante dans les sociétés occidentales du tournant du siècle : on pense encore que le crime ne provient que du chômage et du mal-être social. Puis on s’est rendu compte qu’il n’en était rien, puisque les coupables étaient parfaitement intégrés et instruits. Aujourd’hui une nouvelle explication, non moins risible, court sur les antennes : les terroristes seraient des malades mentaux. On installe des “cellules de déradicalisation” aussi ridicules qu’inutiles, comme si on pouvait lutter contre des croyances avec les armes de la raison bureaucratique. La seconde explication a aussi peu de sens que la première. Car la véritable raison est étalée sous nos yeux, pendant que nous refusons de la voir, comme la lettre volée.

Le déni de réalité est tel qu’on voit ces jours-ci des Espagnols défiler contre le terrorisme aux cris de “non à l’islamophobie”, comme si la raison de tout cela n’était pas, évidemment, l’occidentophobie. Qu’on le croie ou non, l’aveuglement des ex-communistes vis-à-vis des crimes de Lénine/Staline a été encore dépassé par l’aveuglement de nos contemporains devant les meurtres de masse auxquels nous sommes pratiquement habitués…
On ne parle pas de l’occidentophobie. Et probablement, il est suspect d’en parler, parce que c’est une manière de mettre en cause une branche de l’islam. Pourtant, les attentats qui secouent nos villes à intervalles de plus en plus rapprochés, sont bien le fruit de l’occidentophobie. Il s’agit d’une récusation profonde de notre culture telle qu’elle se déploie dans nos sociétés, Europe et Amérique confondues. L’Américain John Updike a bien décrit cela dans son roman Terroriste: son héros, le jeune Ahmad Mulloy, ne supporte pas le spectacle de la vie quotidienne américaine : la consommation permanente et la passion des choses superflues ; les filles offertes dans un abus de nudité et de laxisme, où plus rien n’est interdit ; la vulgarité, la bagatellisation de tout, le refus de toute spiritualité.

Au fond, ce qui est mis en cause ici, c’est l’athéisme, la sécularisation générale, l’égalité des sexes, le matérialisme, la priorité du plaisir. Les terroristes sont d’abord des gens qui ne supportent pas les droits égaux pour les femmes, la laïcité, la fin du machisme patriarcal.
Un certain pourcentage de musulmans hébergés par l’Occident hait l’Occident. C’est un fait. Ils ont été accueillis ici mais se révoltent contre leur culture d’adoption. Ce sont des choses qui arrivent, et ce n’est pas la première fois dans l’histoire. Il ne s’agit pas d’un simple dégoût, sinon nos terroristes pourraient aller vivre dans des pays où le gouvernement est musulman et les femmes voilées. Il s’agit d’une haine, d’une volonté de faire disparaître une culture : une idéologie – cet islam veut le monde. Beaucoup d’Occidentaux croient naïvement que les idéologies, après l’enfer puis après le communisme, ont été supprimées. En réalité nous nous trouvons devant une nouvelle “guerre contre l’Ouest”, héritière de celle dont parlait le Hongrois Aurel Kolnai en parlant du nazisme.
Les Occidentaux ont énormément de mal à admettre que des gens commandités par l’islam (même si évidemment aucun islam n’est tout l’islam) ont désigné l’Occident comme ennemi au point d’y commettre des massacres de masse. Car les musulmans, comme anciennes minorités opprimées, ont toujours raison : tel est notre mode de pensée. Incriminer des causes économiques ou psychiatriques des attentats, est chaque fois un moyen d’en rejeter la faute indirectement sur nous.

Cet aveuglement a des raisons intéressantes, et des conséquences non négligeables. Nous sommes parfaitement capables d’expliquer pourquoi nous, Occidentaux, devons être occidentophobes : toute la culture de la déconstruction nous le répète à satiété depuis un demi-siècle. Nous sommes capables d’expliquer comment la culture occidentale, responsable des guerres de religions et des guerres mondiales, est haïssable. Mais nous sommes bien incapables de comprendre et d’expliquer pourquoi un jeune musulman d’aujourd’hui, abrité et éduqué par l’Occident, va haïr la laïcité et l’émancipation des femmes : nous n’avons pas encore accepté cette réalité, tant elle nous insupporte, parce qu’elle déprécie une minorité que nous avons opprimée, c’est-à-dire un groupe de héros.
Nous avons depuis longtemps perdu l’habitude de défendre notre culture, de plaider pour elle. Faire l’apologie de la culture occidentale, nous pensons que c’est vichyssois, voilà tout. Aussi demeurons-nous pétrifiés et impuissants, incapables de comprendre avant même de répondre. Il faudrait justifier nos propres racines, que nous passons notre temps à ridiculiser depuis cinquante ans. Nous ne savons même plus où elles sont. La tâche est pour nous effrayante. Elle nous demande un retournement complet.

On ferait bien de cesser de pleurnicher sur la soi-disant islamophobie, qui n’existe que dans la mauvaise conscience, en ce cas mauvaise conseillère. La vraie réalité, qui se compte en nombre de morts, et cela est bien réel, c’est l’occidentophobie (qu’il vaudrait mieux appeler misoccidentie, si le mot n’était dissonant) : la haine de l’Occident. Il est probable qu’à force de vouloir nous déconstruire nous-mêmes, nous avons donné des armes à ceux qui déjà ne nous aimaient pas beaucoup – quand on bat sa coulpe en permanence, on finit par apparaître comme un raté. Mais enfin le mal est fait. Il nous faut tenter de comprendre, quand nous serons parvenus à prononcer ce mot, pourquoi pullulent les occidentophobes, habités par la nostalgie d’une société religieuse, patriarcale et machiste. Il ne nous suffira pas de les traquer physiquement, car c’est une bataille de croyances – on n’embastille pas des croyances. Où sont nos croyances ? Nous pourrions, avec profit, les rattraper dans le ruisseau où nous les avions imprudemment abandonnées.

Chantal Delsol
07/09/2017

(*) Membre de l’Institut, fondatrice de l’Institut Hannah Arendt, Chantal Delsol est philosophe et historienne des idées. Elle a dernièrement publié Un personnage d’aventure. Petite philosophie de l’enfance (Éditions du Cerf).

Source : Le Figaro, 7 septembre 2017
Correspondance Polémia – 8/01/2018

Crédit photo : capture d’écran vidéo Boulevard Voltaire. DR.

mercredi, 10 janvier 2018

Par crainte des migrants, de plus en plus d’Allemands s’arment pour se défendre en cas d’agression

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Par  le 10/01/2018 

Sur son site Internet, Carolin Matthie, une Allemande de 24 ans, se décrit comme «mannequin, auteur et influenceur». Au cours des derniers mois, cependant, elle est mieux connue pour le pistolet qu’elle porte dans un étui, niché dans le bas de son dos.

Maintenant, l’étudiante de l’université de Berlin est la tête d’affiche d’un nombre croissant d’Allemands s’armant de plus en plus.

Matthie a acheté son pistolet après une agression à l’été 2016. En retournant chez elle dans un dortoir universitaire dans une zone déserte de la capitale, six hommes ont commencé à la suivre et ont crié après elle dans une langue étrangère.

Les hommes ont soudainement disparu, at-elle dit, lorsqu’une voiture d’une compagnie de sécurité est passée par hasard.

De peur de ne pas avoir la même chance une deuxième fois, Matthie a payé 50 € pour une licence d’armes à feu et 189 € pour un pistolet à air Walther P99.

« Cette arme est dissuasive, dit-elle, je n’ai pas encore eu besoin de m’en servir ».

« Maintenant, je sais ce que je peux faire en cas d’urgence, j’ai un plan si je suis attaqué et ça fait du bien ».

Élevé dans un village de campagne, Matthie dit qu’elle et ses amis parlent souvent d’un sentiment croissant d’insécurité à Berlin. Elle fait clairement le lien avec la crise des réfugiés en Allemagne il y a deux ans, quand plus d’un million de migrants sont arrivées dans le pays en quelques mois.

Bien que les chiffres se soient stabilisés depuis, les vendeurs d’armes voient une corrélation entre les pics de ventes et de nouvelles attaques contre les femmes par les demandeurs d’asile et les réfugiés.

Irish Times

 

Au niveau fédéral, il y a eu un bond impressionnant de +74% entre janvier 2016 et mai 2017 (total ~524 000 permis), motivé par le terrorisme et l'immigration : http://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/kleiner-waffenschein-mehr-als-500-000-deutsche-fuehren-schreckschusswaffen-15096962.html 

Kleiner Waffenschein: Mehr als 500.000 Deutsche führen Schreckschusswaffen

Die Zahl der Inhaber eines Kleinen Waffenscheins steigt immer weiter. Es sind schon fast doppelt so viele wie im Frühjahr 2016. Grund ist wohl steigende Verunsicherung.

 

faz.net via fdesouche

Bien des Français de France sont malheureux

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

POSTÉ LE 09 JANVIER , 2018

france,lourde fiscalité,malheureux,pauvreté

Il y a quelques jours, dans un supermarché, j’ai entendu une dame âgée disant devant un plat à 5,92 € : « C’est trop cher pour moi. » Des enseignants m’ont confié que de jeunes enfants paraissaient le matin à l’école pâles et affaiblis. Ils n’avaient pas pris de petit-déjeuner. Négligence ? Non, pauvreté. D’autres, nombreux, adultes et enfants, se nourrissent de féculents parce que ce n’est pas cher, sans parler de ceux qui « sautent un repas » parce qu’ils n’ont pas les moyens de s’en offrir deux. Comment pourrait-il en être autrement chez ceux qui, habitant en ville, ont une retraite de 600 euros par mois ?

En face de cette pauvreté que subissent dans le silence des braves gens, adultes et enfants de France, on constate le formidable gaspillage de l’argent public par les responsables qui, de pseudo-droite ou de gauche, gouvernent la France, eux, dans le plus grand confort, mettant en œuvre avec entrain la préférence étrangère.

Combien de milliards d’euros ont-ils été dilapidés en pure perte dans ce qu’on appelle la « politique de la ville », inaugurée par « Nanard » Tapie, ministre de Mitterrand. Grâce à cette politique, on a aujourd’hui 570 zones de non-droit, livrées à l’anarchie ? Combien de milliards d’euros sont-ils dilapidés dans l’octroi du droit d’asile, des soins prodigués aux 600 000 clandestins que compte la France, de l’aide à l’Afrique que Macron vient verbalement de doubler ? Plus les milliards gracieusement remis aux associations, ainsi qu’aux syndicats pour la « formation » qui forme si bien que la France entretient 6,5 millions de chômeurs, le double de la moyenne européenne, alors que les braves gens, les modestes, les silencieux, de Bourgogne, de Bretagne, du Midi, et d’ailleurs, se privent parce qu’ils n’ont pas de quoi manger à leur faim. Oui, la France en 2017 est un pays où des Français ont faim et ils ont honte de l’avouer.

Voilà ce qui se passe en France, administrée par 610 000 élus et 5,7 millions fonctionnaires, et où l’on trouve dans l’énorme administration fiscale des douzaines de directeurs aux salaires tellement exceptionnels que la Cour des comptes n’a pas pu moins faire que de les publier et de s’en étonner. Ces fonctionnaires, généralement de fervents partisans de « l’égalité sociale », ont un salaire de 16 fois le SMIC.

Ainsi la France, qui parmi tous les pays du monde impose la plus lourde fiscalité, a-t-elle aussi la gouvernance la plus hypocrite qui soit. Sa devise n’est plus : « Liberté, égalité, fraternité », mais : « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».

Le système est néanmoins solide parce que ceux qui en profitent se réservent le pouvoir politique et médiatique qui condamne tous ceux qui ne veulent penser, dire, et agir comme il faut. La presse est, en effet, comme chacun le sait, largement subventionnée par l’argent public. Les mal-pensants, et a fortiori les mal-disants, sont des blasphémateurs à exclure de la société, en les maintenant dans un état permanent d’indignité nationale. Tout ceci parce que la gouvernance française reste, à ce jour, sans le dire, fidèle au sacro-saint programme crypto-communiste du Conseil national de la résistance.

Lorsque, dans quelques décennies, notre pays sera un État en anarchie africaine et musulmane, la minorité des vrais Français aura disparu, laissant la place à la soumission pour les survivants du socialisme, de l’égalitarisme et de la misère à partager.

Est-il encore temps de mettre fin à l’œuvre destructrice de ces gens-là ?

Il serait instructif de poser la question à Emmanuel Macron qui, en guise de cadeau pour 2018, ajoutera quelques milliards d’euros supplémentaires de prélèvements obligatoires aux très nombreux milliards d’euros de prélèvements déjà acquittés par les ménages en 2017, laissant apparaître 18 milliards d’augmentation par rapport à 2016 !

On voit qu’on est loin des 60 milliards d’euros de baisse de dépenses publiques et des 20 milliards de baisse annoncée des prélèvements obligatoires.

Cerise sur le gâteau fiscal, on aura d’ici à 2022, une hausse de 172 % des taxes sur l’énergie.

Pour terminer, je dois corriger l’omission d’un mot, qui a provoqué une erreur, dans ma dernière chronique : « L’échec constant de la diplomatie occidentale depuis 20 ans. » Il est écrit dans cet article : « les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire à la modernité », il fallait lire : « Les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire et du Moyen-Âge à la modernité. » Nul n’ignore, en effet, que les origines de la civilisation occidentale se situent au Moyen-Orient, plus précisément en Mésopotamie où, 10 000 ans av. J.-C., existaient déjà des centres urbains. Les Sumériens y furent à l’origine de l’écriture et de l’architecture. Les Égyptiens y créèrent une civilisation brillante, pharaonique, hellénistique et romaine. C’est à partir du VIIe siècle que les Arabes se lancèrent au nom de Mahomet à la conquête de l’Afrique du Nord, envahissant l’Espagne, arrivant même jusqu’à Poitiers en 732 et, sur leur passage, tout fut anéanti. Aujourd’hui, ils reprennent le même combat. Tout le monde sait cela.

 

Source : les4verites