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samedi, 13 janvier 2018

La France paie des retraités algériens de 117 ans, et Macron s’en prend aux Français !

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018 

En juillet 2010, il y a déjà sept ans, Mme Ruellan Rolande, présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes, soulevait ce problème.

Elle s’étonnait, devant les députés de l’Assemblée Nationale, de l’étonnante longévité des ressortissants algériens bénéficiant d’une retraite française en Algérie.

Il s’agissait d’un dossier sulfureux et, comme bien d’autres, il fut classé sans suite.

Dans son rapport du 20 septembre 2017, la Cour des Comptes révèle que plus de 53.000 bénéficiaires inconnus perçoivent une retraite française alors qu’ils vivent dans un pays étranger et qui soit n’y ont aucun droit, soit ils sont morts !

Ce document donne l’exemple d’un faux bénéficiaire en Algérie, âgé de 117 ans (il serait donc un des doyens de l’humanité sans que nous le sachions !)

Selon ce même rapport, près de 200 millions d’euros seraient ainsi fraudés chaque année sur les 6,5 milliards de retraites versés en Algérie, au Maroc, au Portugal, en Italie, en Espagne, etc.

Comment cette fraude est-elle possible ? On peut se poser la question ?

Personnellement je perçois ma retraite française alors que je vis en Espagne et il y a une semaine je me suis trouvé devant l’obligation de réclamer un « certificat de vie » chez un notaire, signé en sa présence puis expédié à la CARSAT. Sans ce certificat ma retraite aurait été bloquée quelques mois. Cela s’est déjà produit l’an dernier ! Il me serait donc impossible de frauder.

Pourquoi ce qui est impossible en Espagne ne le serait-il pas au Maghreb ?

La réponse est évidente : Il n’y a aucun contrôle sérieux de l’identité des bénéficiaires de la retraite française dans les pays d’Afrique du Nord. Aucune coordination entre les différents services. Ils font preuve d’un laxisme déplorable ou, peut-être, reçoivent-ils des ordres de fermer les yeux, afin que ces « retraités » bidons restent en Algérie, ce qui, probablement, coûterait moins cher que de les renvoyer chez eux ?

Et les fraudeurs perçoivent toujours leurs retraites sans y avoir aucun droit.

A l’heure où le gouvernement estime que les retraités français sont « trop riches » et qu’il faut les taxer par une augmentation de la CSG de 1,7%, au-dessus de 1200 euros/mois, ne serait-il pas souhaitable, pour ne pas dire impératif, de mettre fin à ce scandale ?

Mme Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, ne devrait-elle pas prendre quelques heures pour stopper immédiatement ce vol manifeste de nos cotisations ?

Je vous promets de vous en reparler, ici-même, dans dix ans, en 2028, après le nouveau rapport de la Cour des comptes car, probablement, nous en serons au même point !

Et notre retraité algérien n’aura que 127 ans !

Manuel Gomez

(Source : Contribuables Associés)

 

Source : ripostelaique

Présentation du livre de Carl Lang, "Un chemin de résistance" à Paris

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018

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Voir la vidéo ici

Vendredi soir, Synthèse nationale organisait une réunion à Paris pour présenter le livre-entretien Un chemin de résistance que Carl Lang, Président du Parti de la France, vient de réaliser avec Jean-François Touzé, rédacteur en chef de la revue Confrontation.

Ce livre tombe à pic pour faire connaître au grand public, au moment où l'on assiste à une redistribution des cartes dans la famille nationale, son auteur, Carl Lang, qui depuis dix ans à la tête du PdF a dénoncé sans relâche les dérives des mauvais bergers qui ont conduit le FN au fond du gouffre.

Après la débâcle du printemps dernier, il est temps de proposer une nouvelle alternative aux patriotes. Cette alternative doit reposer sur les fondamentaux qui ont fait la spécificité et le succès de la Droite nationale depuis plus de trente ans. Le Parti de la France entend en être l'élément moteur. C'est ce que nous a expliqué avec conviction son Président lors de cette belle conférence qui enthousiasma les participants.

Dans Un chemin de résistance Carl Lang revient sur les motivations de son engagement aux côtés de Jean-Marie Le Pen à la fin des années 1970, il raconte aussi son ascension au sein du FN dont il fut à deux reprises Secrétaire général. Il expose ses idées par rapport aux enjeux d'aujourd'hui et sa conception moderne et réaliste du combat politique. Il ne veut pas d'un Front dédiabolisé, honteux de son passé, il incarne tout simplement la Droite nationale décomplexée présente pour l'avenir.

Pour la Droite nationale et identitaire, l'heure est venue de changer de cap. La période des illusions est révolue. Il est temps de revenir aux choses sérieuses...

Un chemin de résistance, Carl Lang, entretien avec Jean-François Touzé, Les Bouquins de Synthèse nationale, 190 pages avec un cahier photos, 20 € cliquez ici

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Source : synthesenationale

vendredi, 12 janvier 2018

Quand les dealers affichent leurs tarifs aux pieds d’un immeuble de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2018

Par  le 12/01/2018 
 

C’est un peu comme dans un magasin : le client peut comparer les tarifs des différents produits ; il peut en choisir la qualité ; il peut même bénéficier d’un rabais en fonction de la quantité achetée… C’est écrit noir sur blanc, comme dans n’importe quelle boutique.

Sauf qu’on n’est pas dans un vrai magasin mais aux pieds d’un immeuble, le Tintoret, à Bellefontaine dans le quartier du Mirail à Toulouse. Et que la marchandise vendue, ce sont des stupéfiants.

Depuis quelques jours, les habitants de cet immeuble ont donc découvert sur un mur extérieur, la « tarification » des dealers du quartier affichée au grand jour :

Les inscriptions sont bien visibles : 10 euros les 2 grammes d’herbe, 50 euros le gramme de cocaïne, 80 euros les 25 grammes de résine de cannabis.

 

80 km/h contre la France des périphéries

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2018

 

Macron et Philippe ont-ils seulement songé que la réduction de la vitesse sur les départementales frappe principalement cette France des périphéries dont ils ignorent superbement l’existence. Cette France des périphéries majoritaire mais divisée électoralement en deux populismes, ce qui a assuré le succès de l’oligarque Macron.

Qu’importe en effet à un parisien ou un habitant des grandes villes cette réduction de la vitesse alors même que, dans les bourgs, les petites villes, dont les centres se désertifient, la population pour le travail, et toute la vie sociale, doit emprunter ces mêmes routes. Il s’agit en l’occurrence d’un énième traquenard fiscal transformant les gendarmes en collecteurs d’impôts à titre supplétif pendant que racailles et migrants illégaux mineurs ou non vaquent à leurs «  occupations » au double sens du mot.

Un rapport d’étude sur la vitesse à 80 km/h sur les départementale a été fait à titre expérimental .Même le président du sénat s’est ému qu’il ne soit pas publié, a-t-il compris qu’il vit en république bananière ? Et la contradiction est flagrante avec le discours officiel sur les désert médicaux, on fait semblant de s’en plaindre mais on oublie que pour trouver un médecin ou une pharmacie il faut employer… une route départementale !

Non décidément, dans cette affaire ou la morale a bon dos, épargner des vies nous dit-on, l’hypocrisie est reine, l’alcool, le cannabis, l’absence de civisme, ceux qui roulent sans permis et sans assurance sont exactement comme Macron, ils n’ont que faire des routes départementales et la vitesse à 80 km heures ne changera rien à leur comportements déviants. Quant au contrôle technique obligatoire, il se durcit et son coût augmente en 2018, devinez qui sera pénalisé ? Ceux qui entretiennent une voiture, certes ancienne, pour se déplacer sur… les routes départementales !

La vérité tient en ceci qu’impuissant sur les grandes décisions (le déficit et la dette publique, le commerce extérieur et le chômage sans compter le problème migratoire) le pouvoir accentue la répression sur ceux qui l’acceptent et courbent l’échine. Sur les Français solvables, avec une législation sur les prétendues fausses nouvelles, par des atteintes à nos libertés et à notre patrimoine tant il est vrai qu’aujourd’hui les rigueurs de la loi ne s’appliquent qu’à ceux qui la respectent.

Il y a bien la solution Jean Yann : n’aller jamais sur les routes départementales. Ce sketch des années soixante illustre bien cet esprit frondeur des Français aujourd’hui perdu sous la pression du politiquement correct et, il faut bien le dire, l’arsenal des lois «  comportementales » qui prétendent vous juger sur vos intentions et vos «  péchés » contre la loi «  républicaine ». A cette aune l’auteur de ces lignes reconnaît qu’il est un grand, très grand pécheur. Et si d’aventure il était pris à 84 km/h au lieu de 80 il aura droit à la leçon de morale à deux sous de l’administration d’État qui lui dira qu’il est un méchant conducteur or, en 40 ans de permis, pas un seul accident, le secteur privé lui dit au contraire qu’il est un bon conducteur (50% de bonus), cherchez l’erreur !

 

Source : ndf

Invasion migratoire : la Conférence des évêques de France demande la « sanctuarisation » des mosquées

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2018

Mis à jour le 11 janvier 2018 Auteur par Pierrot

Collaboration. La Conférence des Evêques de France a appelé à faire des mosquées des lieux où l’état ne pourrait plus intervenir pour expulser les clandestins. Ces zones (dont les mosquées), seraient de facto des refuges pour toute la racaille de droit commun et les fanatiques islamistes.

Libération :

L’Eglise catholique a demandé mercredi, lors d’une conférence de presse, la «sanctuarisation des centres d’hébergement» marquant ainsi son désaccord avec la circulaire du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, diffusée aux préfets début décembre. Cette circulaire, qui permet d’identifier les sans-papiers présents dans les structures d’accueil, avait provoqué la colère des associations. «Les personnes doivent pouvoir s’y rendre en confiance», a soutenu Carlos Caetano, directeur de la Pastorale des migrants, le service de l’épiscopat dédié à ce dossier. Le prêtre a aussi inclus dans cette «sanctuarisation» les écoles, les hôpitaux et les lieux de cultes.

 

Source : contre-info