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jeudi, 23 août 2018

Agression au couteau à Périgueux : tout sourire, le porte-parole des Afghans de Dordogne réagit et explique que c’est la faute de l’alcool et que ça pourrait arriver à n’importe qui !

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2018

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L’intervention est surréaliste. L’individu se moque littéralement de nous :

mercredi, 22 août 2018

La mairie de Paris lance un appel à projet pour la création d’environ 600 places d’accueil pérenne pour des « mineurs non accompagnés »

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

Par  le 22/08/2018

 

La mairie de Paris lance un appel à projet pour la création d’environ 600 places d’accueil pérenne pour des mineurs étrangers non accompagnés.

La date limite de réception des dossiers au Département de Paris est fixée au mardi 30 octobre à 16h30 (récépissé du service faisant foi et non pas le cachet de la poste).

Les mineurs et jeunes majeurs isolés étrangers représentent environ un tiers des 5000 jeunes pris en charge au titre de l’Aide sociale à l’enfance (ASE) de Paris.

Au cours des dernières années, du fait des arrivées très importantes de mineurs non accompagnés (MNA), la collectivité parisienne a adapté et renforcé ses dispositifs d’accueil et d’hébergement pour répondre aux besoins de ces enfants en créant 8 nouveaux services via quatre appels à projets lancés en 2014 et 2015. […]

Un nombre grandissant de jeunes confrontés à des problématiques très spécifiques (déracinement, troubles psychiques, addictions, délinquance, problèmes de santé), et ce parfois dès leur plus jeune âge, nécessitent par ailleurs une prise en charge éducative que les établissements et services classiques ne proposent pas. […]

paris.fr via fdesouche

Le grand remplacement, des écrans de cinéma jusque dans les têtes !

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

Le grand remplacement, des écrans de cinéma jusque dans les têtes !

Le grand remplacement, des écrans de cinéma jusque dans les têtes !

Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe contre les peuples ♦ [Rediffusion] Nous publions à nouveau cette analyse exclusive, publiée initialement dans nos colonnes le 18 février 2018. En effet, ce texte fait partie des articles les plus lus du début d’année 2018. Un intérêt massif qui motive une nouvelle diffusion en cette période estivale pour préparer au mieux la rentrée politique. Bonne lecture et bonnes vacances.
Polémia

Depuis longtemps, les films – notamment hollywoodiens mais pas seulement – observent un code de bonne conduite politiquement correcte : les méchants ne doivent jamais être des personnes « perçues comme non blanches », comme on dit en novlangue.
Mais aujourd’hui, le pouvoir médiatique semble en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains.

Les méchants sont blancs

Depuis longtemps les films hollywoodiens nous montrent que les méchants sont des albo-européens, même si leur nationalité peut varier selon le scénario. Des méchants mafieux siciliens, des méchants albanais [1] qui organisent des réseaux de prostitution et surtout des méchants russes… Tous fachos et suppôts de Poutine !
Comme lorsqu’à la télévision, on nous présente des policiers procédant à une interpellation : le prévenu est toujours de la bonne couleur ! Car les codes hollywoodiens se sont imposés partout en Occident.
Les asiatiques ont certes eu leur heure de gloire dans le registre du mal cinématographique : du Docteur No [2] au méchant Thao qui veut voler la belle voiture de Clint Eastwood [3] puisqu’il est bien connu que les gangs hmongs sont très puissants outre-atlantique….
Il y a encore périodiquement aussi des méchants terroristes islamistes au cinéma, mais ils sont heureusement souvent mis hors d’état de nuire par de gentils policiers musulmans [4] ou noirs [5].
Mais aujourd’hui, sur nos écrans, chacun peut constater que les méchants sont pour l’essentiel des « personnes perçues comme blanches ».

Les gentils sont afro-américains

Les afro-américains, par contre, entrent rarement dans la catégorie des méchants. Ils jouent en général des rôles de policiers, de militaires, de savants [6], de prêtres (non pédophiles) ou d’informaticiens dans les productions hollywoodiennes.
S’ils commettent des hold-up c’est en général pour se venger des méchants blancs [7], car ce sont toujours de gentils bandits. Ils sont aussi Président des Etats-Unis ce qui, vous en conviendrez, est un gage de gentillesse [8].
Ce stéréotypeapparaît désormais comme la marque de fabrique des productions hollywoodiennes et déteint partout.

Le rôle des lobbies communautaires

Cette situation ne résulte pas du hasard.
Elle traduit d’abord la volonté de l’industrie médiatique de séduire aux Etats-Unis le public afro-américain et, sur un plan plus général, de s’adapter à un monde où, demain, 40% de la population mondiale, sera, d’après les prévisions de l’ONU [9], issue du continent africain. Et de s’adapter aussi à une Amérique de moins en moins WASP et de plus en plus multiculturelle.
Un phénomène qui se retrouve d’ailleurs dans la propagande publicitaire, qui met désormais systématiquement en scène des couples mixtes ou des métis voire qui vise des créneaux carrément ethniques, mot novlangue pour désigner un segment de cette clientèle « perçue comme non-blanche ».
Le stéréotype « méchant blanc/gentil noir » traduit aussi la vigilance des associations de défense communautaires qui veillentau respect de la bonne image cinématographique et télévisuelle des « minorités » et qui n’hésitent pas à engager des procès et des boycotts pour se faire entendre.

Les remakes, expressions de la nouvelle norme politiquement correcte

D’où aussi la propension du cinéma à augmenter la proportion de personnages de couleur incarnant un rôle positif dans le scénario, comme on peut le voir lorsqu’on examine des remakes.
Car les remakes correspondent le plus souvent à une réécriture politiquement correcte de l’œuvre initiale.
Ainsi par exemple le film américain de fiction apocalyptique Je suis une légende de Françis Lawrence (2007) est un remake du film Le Survivant de Boris Sagal (1971).
Mais dans ce remake, le héros est noir (incarné par l’acteur Will Smith) alors que, dans le film original, il est blanc (incarné par l’acteur Charlton Heston). Dans le remake le héros rencontre aussi une femme blanche ; dans le film initial il rencontre une métisse. Dans le remake enfin, les méchants mutants ont la peau blanchâtre alors que dans la version originale ils avaient la peau sombre !
En d’autres termes le starring du film a été systématiquement inversé.

Salauds de blancs !

Cette comparaison permet de mesurer la progression du stéréotype consistant désormais à associer aux albo-européens des caractères systématiquement négatifs. Un stéréotype que bien sûr les bonnes âmes se gardent de dénoncer.
Ainsi, par exemple, dans le film de fiction Prometheus de Ridley Scott (2012), les méchants humanoïdes albinos qui veulent détruire la terre, semblent sortis de la statuaire d’Arno Brecker ! Et dans le même film le capitaine du vaisseau spatial qui se sacrifie courageusement pour sauver la terre est… un afro-américain, comme il se doit.
Il serait fastidieux de citer les innombrables scénarios, que ce soit sur grand ou petit écran, qui reposent sur ce stéréotype de nature raciste : salauds de blancs, gentils noirs !
Mais ce racisme ne choque évidemment pas les ligues de vertu puisque, par construction, le racisme anti-blanc n’existe pas. Et qu’il véhicule une haine de soi à destination du seul public albo-européen, sommé de gober sans broncher ces stéréotypes masochistes.
Les blancs sont méchants et les gentils sont de couleur : une autre façon, finalement, d’affirmer que « l’immigration est une chance pour nous » !

Le Grand Remplacement, c’est aussi dans nos têtes

Mais cela ne suffisait pas !
Car aujourd’hui Hollywood et ses suiveurs sont en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains dans les films à prétention historique.
Par exemple dans le film King Arthur de Guy Ritchi (2016), l’acteur noir Djiman Hoansou incarne un chevalier de la Table Ronde, sir Bevedere. Dans la série télévisée Once Upon a Time, c’est Sinqua Walls, un autre acteur noir, qui joue le rôle de Lancelot. Dans le film Robin Hood Origin d’Otto Bathurst, le personnage de Petit Jean sera joué par un acteur afro-américain Jamie Fox.
Au théâtre, l’actrice afro-américaine Condola Rashad incarnera Joan Of Arc. Et dans la série de la BBC The Hollow crown, la reine Marguerite d’Anjou est jouée par l’actrice métisse Sophie Okonedo.

On entend déjà les bonnes âmes s’écrier : pourquoi une personne « perçue comme non blanche »n’aurait-elle pas le droit de jouer Lancelot ou Marguerite de Valois ? D’autant que les races humaines n’existent que dans l’esprit tordu des racistes.
Mais, curieusement, les mêmes ne supporteraient sans doute pas qu’un acteur albo-européen joue, par exemple, le personnage de Martin Luther King…Comme le footballeur Antoine Griezmann l’a appris à ses dépens, quand il s’est déguisé en basketteur afro-américain !
Car pour le Système médiatique, il ne peut y avoir de réciprocité : le Remplacement n’est autorisé que dans un seul sens. Sinon c’est du racisme, du colonialisme ou de l’appropriation culturelle.
Bref, c’est toujours mal quand c’est blanc.

Un casting ridicule ? Non un projet chaotique

A l’évidence ces castings placés sous le signe de la « diversité », comme ces scénarios où les méchants sont invariablement des albo-européens, ne sont pas neutres : ils jettent les bases d’une nouvelle guerre cognitive menée contre les Européens.
Une guerre destinée à leur faire croire qu’ils n’existent pas, sinon pour nuire au reste de l’humanité. Une guerre qui s’attaque aux représentations de leur passé donc à leur identité et à leur être. Une guerre qui s’intègre dans le projet chaotique de la Super Classe Mondiale consistant à transformer les Européens en monades, pour mieux les mettre en servitude.
Ces castings font certes sourire ceux qui ont encore un peu de culture, car il est douteux qu’on ait désormais le droit d’en rire en Europe de l’Ouest.
Mais qu’en sera-t-il demain des petits européens qui auront été essorés par la machine à « éducation inclusive », sevrés de théorie du genre et d’antiracisme obligatoires et lobotomisés à la sous-culture du portable ?
Croiront-ils que le roi Arthur était un migrant Erythréen et que Jeanne d’Arc entendait des Negro Spirituals avant d’aller bouter les Russes hors d’Ukraine ?
Si c’est le cas, la Super Classe Mondiale qui pilote les écrans aura gagné : ils ne seront plus Européens car ils auront aussi été remplacés dans leur tête.

Michel Geoffroy
22/08/2018

[1] Voir notamment Taken de Pierre Morel (2008)
[2] James Bond 007 contre Dr No de Terence Young (1962)
[3] Gran Torino (2008) de Clint Eastwood
[4] Voir par exemple l’Union Sacrée d’Alexandre Arcady (1989) où les méchants iraniens sont mis hors d’état de nuire par un policier maghrébin et un policier juif
[5] Par exemple Couvre Feu d’Edward Zwick (1998)
[6] Par exemple, dans 2012 de Roland Emmerich, le gentil physicien est incarné par l’acteur noir Chiwetel Ejiofor
[7] Voir par exemple Ocean Eleven de Steven Soderbergh( 2001)
[8] Dans 2012 de Roland Emmerich, le Président des Etats-Unis est incarné par l’acteur noir Danny Glover
[9] En 2100

Correspondance Polémia – 15/02/2018

Crédit photo : Montclair Film (CC BY 2.0) via Flickr

Échappons au « politiquement correct » !

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

POSTÉ LE 21 AOÛT , 2018

 

politiquement correct,tout va bienLe « politiquement correct », c’est penser, et surtout dire, que tout va bien – et notamment subir sans soupir le racket fiscal. Pour ma part, aujourd’hui encore, je serai politiquement incorrect, c’est-à-dire (je crois pouvoir l’écrire) intellectuellement honnête.

En premier lieu, je mentionnerai quelques pays modèles qui viennent d’être cités. Selon les statistiques mondiales et officielles récemment publiées, Singapour se place au 1er rang pour la sécurité qui y règne et pour sa propreté. Aussitôt après, on trouve le Japon et la Corée du Sud et, en Europe, un tout petit pays, le Luxembourg. La France, elle, se situe au 25e rang !

Il est vrai, hélas, que l’insécurité y est générale et la saleté sur la voie publique, évidente. Partout, on peut recevoir un mauvais coup, pas seulement autour des campements d’immigrés arabo-africains qui, à Paris, ne désemplissent pas. Chaque jour ou presque, la presse nous apprend qu’un Français a poignardé un autre Français, sans que jamais ce « Français » ne soit décrit. C’est que la nationalité française est devenue universelle, si bien que le Français poignardeur et celui qui est poignardé peuvent être, en réalité, des Maghrébins, des Congolais ou des Chinois !

Il est tout aussi vrai que, dans une rue déserte, vous pouvez être dévalisé sans recours possible, à moins d’utiliser rapidement un 6.35 soigneusement chargé dans votre poche, mais, alors, c’est vous le coupable avec des mois, voire des années, de procédure. C’est la menace judiciaire et l’obligation de faire appel à un avocat qui tentera d’expliquer que la légitime défense n’est ni un délit ni un crime.

Il convient aussi de faire attention au harcèlement sexuel et au viol par le regard (parce que, paraît-il, il y a des regards violeurs, donc soyez prudents). À la belle saison, sortez avec d’épaisses lunettes de soleil.

Plus courante est la menace fiscale. Chaque matin, le courrier peut vous apporter un « redressement fiscal », sauf s’il y a grève de la Poste. Vous passez alors des journées entières à dialoguer avec l’administration fiscale mais, en fin de compte, vous serez perdants. Vous devrez payer et peut-être avec des pénalités.

À ce propos, je dirai un mot de la « croissance ». « Elle est là, la croissance », nous racontait François Hollande. Elle court, elle court la croissance, la croissance du bois-joli, comme le furet, mais on n’arrive pas à l’attraper, d’où des recettes fiscales inférieures à celles qui étaient attendues et une seule solution : augmenter les prélèvements obligatoires. La chanson est bien connue !

Quant à la saleté sur la voie publique, on ose à peine en parler. Sur tous les trottoirs, on se heurte aux « encombrants » avec souvent vue imprenable sur la cuvette cassée des toilettes du voisin et le contenu des poubelles renversées par de pauvres gens qui fouillent les poubelles dans l’espoir de trouver quelque chose d’intéressant.

Nulle part au monde, je n’ai vu un pareil spectacle désolant. On a honte. Il ne faut donc pas s’étonner du classement de la France, pays jugé mal gouverné et mal entretenu. Dans plusieurs pays, d’Extrême-Orient notamment, j’ai constaté que celui qui laissait tomber un mégot sur la chaussée était aussitôt verbalisé par la police. Imposer une telle rigueur en France, ce serait instaurer le fascisme.

Mais l’on m’assure que la police, en fait, commence à verbaliser. Rien que d’y penser, on en meurt d’effroi !

Ce laisser-aller, cette négligence en toutes choses sont-ils dus à la gauche ? Ce n’est pas si simple. Cela est dû à la mentalité française ; la gauche au pouvoir est une conséquence et non une cause. Or nul n’ignore que la mentalité est un phénomène psychologique de masse qui est durable. On ne change pas la mentalité d’un peuple du jour au lendemain ni même de « siècle en siècle ». On en voit les effets en France depuis 229 ans. Vous voyez ce que je veux dire.

Autre constatation : les abus de la presse renforcés par les petites boîtes magiques que tout le monde a dans sa poche, des petites boîtes qui peuvent prendre des photos rétribuées et ainsi vous faire devenir « partenaires de grands événements ». Les paparazzis, eux, sont à l’affût jour et nuit avec leurs téléobjectifs surpuissants dans l’espoir de photographier le chef de l’État en pyjama, ou mieux encore en slip et en couleur, ce qui a évidemment le plus grand intérêt !

 

Source : les4verites

Madame, née il y a trois jours de Parent 1 et de Parent 2 !

Publié par Guy Jovelin le 22 oaût 2018

Floris de Bonneville

 
 

Rien ne vas plus dans notre monde asexué ! Je ne parle même pas du projet de Mme Schiappa d’obliger les jeunes enfants qui seraient violés d’avoir à le prouver – mais les députés, même ceux inféodés à Emmanuel Macron, oseront-ils la soutenir ? – je veux simplement vous rappeler, cher lecteur, que vos filles âgées de1 jour à 18 ans ne sont plus demoiselle, mais dame. Aller sur Oui, enfin non, sur le site de la SeNeCeFe, et prenez un billet pour vos filles. Elles sont devenues “Madame”. La mention “Mademoiselle” n’existe plus, en effet, depuis que M. Pépy, notoire père de famille, en a décidé ainsi. Il avait ainsi scrupuleusement suivi la lamentable circulaire signée le 21 février 2012 par François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy mettant fin aux « noms de jeune fille », « noms patronymiques », « noms d’épouse » et « noms d’époux » dans les formulaires administratifs. Et pire encore, sur les formulaires officiels, ont disparu le père et la mère au profit des ridicules parent 1 et parent 2. C’est ainsi que depuis le 21 mars de cette année, la mairie de Paris dirigée par la sinistre Hidalgo, destructrice de toutes nos valeurs et de bien d’autres choses, a imposé sur les déclarations d’Etat-Civil, ces nouvelles mentions chères aux association homoparentales.

Ah, les coquins dont les valeurs rejoignent celles de la France Insoumise ! Mais dans ce fantasmagorique plan gouvernemental tendant à vieillir prématurément nos fillettes, et à faire disparaître notre identité sexuelle, un espoir nous vient, une fois de plus, d’Italie qui décidément va devenir l’ennemi numéro 2 de notre Emmanuel Macron, celui qui n’aime pas les pestiférés que sont devenus le Hongrois Viktor Orban et l’italien Mattéo Salvini.

Celui-ci vient en effet d’annoncer ce que notre Premier ministre, qui se réclame pourtant de la droite (certes, molle, voire très molle), se refuse à changer. Désormais, les italiens redeviendront papa et maman pour réclamer leur papier d’identité.

Mattéo Salvini est allé même jusqu’à préciser : « c’est un petit signe, mais je ferai tout ce qui est possible et autorisé par notre Constitution car nous défendrons la famille nucléaire fondée sur l’union entre un homme et une femme ».

Voilà des propos fortement révolutionnaires tenus par celui que la presse de gauche accuse d’être l’homme des cavernes, un troglodyte, celui qui veut un vrai ministère de la famille, et non pas celui qui, comme le ministère français de la famille tend plutôt à soutenir les familles monoparentales que les famille nombreuses. Mattéo Salvini dont on aimerait avoir, un jour, son équivalent français est bien décidé à aider les familles à avoir plus d’enfants, et là encore, provoquant tous les « pestiférés », il n’a pas hésité à affirmer qu’« un pays où ne naissent pas des enfants est condamné à mourir »… Une évidence !

Deo gratias !

 

Source : ndf