Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 15 août 2018

Neuf djihadistes arrêtés sur une embarcation dirigée vers l’Italie

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018 

Les partisans de l’immigration zéro le disent depuis longtemps ; Matteo Salvini le répète en Italie ; Interpol l’admet également et donnait le chiffre en janvier d’environ 50 combattants de Daesh arrivés via mer en Europe : il y a un risque réel que des djihadistes puissent monter à bord des embarcations remplies de « migrants » et dirigées vers l’Italie et le Vieux Continent.

Hier, lundi 13 août, les autorités tunisiennes ont bloqué 9 terroristes islamiques qui étaient en train de monter sur un bateau de fortune en partance pour l’Italie. S’ils avaient réussi leur coup, ils auraient probablement fini par débarquer, grâce aux ONG humanitaristes, sur des côtes européennes et auraient été considérés comme des demandeurs d’asile et portés dans des centres d’accueil avant de se volatiliser quelque part en Europe.

Ces 9 djihadistes faisaient partie d’un groupe de 15 personnes embarquées sur cette embarcation destinée à rejoindre l’Italie : plus de la moitié de ces soi-disant « migrants » était donc des terroristes. Le bateau a été intercepté par les gardes-côtes et l’équipe anti-terroriste de Bizerte, au nord de la Tunisie. Les neufs individus arrêtés ont entre 21 et 39 ans. Ils ont été remis à la Police nationale tunisienne qui enquête sur les crimes terroristes.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Jadis, elle aidait les migrants

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

 

 

Il y a des phrases qui déconcertent, l’une d’elles : « Vous n’aurez pas ma haine. »
Eh bien, la mienne, vous l’avez et profond ! Vous pouvez compter sur moi. C’est mathématique et certifié.
Ici, je recopie une partie de l’excellent article de Raphaël Delahaut :
https://ripostelaique.com/les-parents-perez-orphelins-de-...

Autrefois, au temps des guerres, il existait un dérivatif à cette souffrance, une manière de contre-feu qui permettait de survivre, de ne pas s’effondrer, de rester debout.
C’était la haine 
On savait qui était l’ennemi. On pouvait le nommer et le haïr. On pouvait le combattre et le tuer, sans crainte ni remords… Le jeune homme qui, comme mon grand-père, avait vu son frère aîné mourir au champ d’honneur, s’engageait avant l’âge pour aller le venger. Et les pères, comme les mères, entretenaient cette flamme salvatrice de la haine légitime. Mais les parents d’aujourd’hui n’en ont plus le droit. Ils ne sont même plus autorisés à désigner l’ennemi, à nommer les assassins de leur fils.

Il a tout compris !
Personnellement, je ressens de la haine, et pire encore, contre les envahisseurs. J’ai commencé par vouloir aider les migrants, comme tout le monde, comme mes amies, mes cousins et cousines et toute la bonne société bien-pensante. J’ai même dû m’inscrire sur des listes d’attente. Deux ans durant, j’ai joué à la dame patronnesse, à la bienfaitrice des mineurs abandonnés, à la protectrice des nouveaux venus. Mais c’est fini. Plus jamais.

Je me rappelle exactement le jour où ma haine a germé quand, pour la première fois de toute ma vie, j’ai ressenti une irrépressible répulsion, une horreur inexprimable (sauf, bien entendu, lorsqu’une collègue, insignifiante et pas marrante du tout, m’a piqué mon copain de l‘époque et que j’ai rêvé de tortures abominables à son encontre, mais c’était il y a longtemps). Le 16 octobre 2016, lorsque Maria, étudiante en médecine qui, dans son temps libre (et dites-moi, quand une étudiante en médecine a-t-elle du temps libre ?) enseignait l’allemand en bénévole à des réfugiés, a été violée, torturée et noyée par un soi-disant mineur ! Ce jour-là, tout a basculé dans ma tête.

Maria 6 décembre 1996 – 16 octobre 2016

Car j’ai des enfants, plusieurs petits-enfants, et c’est moi qui prendrais perpète s’il leur arrivait quelque chose. Car plus jamais je ne serais heureuse. Fini. Chaque matin, en me réveillant, la réalité me reprendrait à la gorge.

Barbares, pourquoi vous avez ma haine et pourquoi vous l’aurez tant que vous n’aurez pas dégagé :

Parce que j’ai peur pour mes enfants
Parce que je n’ose plus parler librement
Parce que la plupart de mes amis me traitent de raciste
Parce que vous tuez nos enfants
Parce que vous avez systématiquement un couteau en poche
Parce que vous nous bouffez les allocs
Parce que vos femmes voilées sont une provocation et rien d’autre
Parce que vous vous comportez comme en pays conquis
Parce que je n’ose plus prendre les transports en commun
Parce que vous transformez nos villes en poubelles
Parce que vous tentez sournoisement de susciter notre compassion
Parce que votre vue, à elle seule, me fout la nausée
Parce qu’on vous qualifie de « français » alors que votre nom est Saïd, Mohammed ou Mamadou.

Pour ma part, j’éprouve un sentiment de brûlure qui me paraît à la fois très sain et parfaitement logique au vu de ce qui se passe. Ne pas avoir de haine, ne pas détester ceux qui assassinent des milliers d’innocents au nom de leur dogme minable, j’appelle ça être dans le déni, ni plus ni moins. Alors oui, il me paraît normal d’être passablement irritée lorsqu’on massacre votre mari, vos amis, vos enfants. Et non, je ne fais pas partie de ceux qui sont dans la résignation pure et dure. Je fais partie de ceux qui en ont assez que rien ne se fasse et que l’État, tout comme la plupart d’ailleurs, reste toujours passif face à ce déferlement de haine et de violence.

Autre (bout de) phrase récurrente :

JE SUIS :

T-shirts, cendriers, tasses et stylos, briquets et autres souvenirs la propagent à qui mieux mieux.

J’ai envie d’ajouter :

JE SUIS :

dégoûtée, horrifiée, terrifiée, angoissée. Mais surtout, surtout, horriblement pressée de vous voir faire demi-tour, avec bagages, moukères, rejetons et cocotte à tajine. Et n’oubliez surtout pas vos voiles et vos oripeaux burlesques. Et vos couteaux, vos machettes et saignoirs. Plus besoin. On ne veut pas de vous ici. Ça doit être gratifiant pour vous de savoir qu’autour de vous, on vous déteste. Qu’on ne demande qu’une chose, que vous décampiez. Le plus tôt possible. Que vous nous laissiez vivre comme avant. Quand nous étions à mille lieues d’imaginer ce qui nous attendait.

Barbares, je suis pour qu’on vous rembarque tous d’où vous venez. Qu’on vous envoie promener dans les sables chauds de votre terre d’amour et de paix. Qu’on vous rende à vos chameaux. Billet simple.

Et ma haine, vous l’avez, vous l’aurez, vous l’avez eue, vous l’eûtes, vous allez l’avoir, vous l’auriez, que vous l’eussiez, vous l’aviez, à tous les modes et à tous les temps de la conjugaison française et ce, pour de bon !

Anne Schubert

 

Source : lesobservateurs

Sonia Krimi (LREM) : « Les étrangers ne sont pas un paillasson pour les politiques français »

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

Par  le 14/08/2018 
 

La députée franco-tunisienne Sonia Krimi (LREM), née à Tunis, naturalisée en 2012, critique la position de la France sur l’accueil des migrants.

Des critiques sont apparues dans le camp même du président. Sur Franceinfo, la députée LREM Sonia Krimi (qui s’était déjà distinguée sur le sujet) est ainsi montée au créneau, indignée :

« Il ne s’agit pas d’un paillasson, les étrangers ne sont pas un paillasson pour les politiques français pour s’essuyer les pieds. »

« Il ne faut pas que les politiques entrent dans un jeu ‘Moi j’accueille, moi je suis plus sympa que l’autre’, car la vie des gens n’est pas un jeu« , somme la députée, qui est née en Tunisie et a été naturalisée en 2012. […]

Se qualifiant de « migrante économique », la députée n’en est pas à sa première prise de position forte : dans une question au gouvernement en décembre, elle avait interpellé Gérard Collomb sur les centres de rétention. Mobilisée sur le projet de loi asile-immigration, elle s’est abstenue, après avoir hésité jusqu’au bout à voter contre. Elle s’était déjà indignée au printemps sur le cas de l' »Aquarius ». […]

Nouvel Obs via fdesouche

Toulouse : Un an ferme en comparution immédiate pour Adel, le cambrioleur de vieilles dames

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

 

Par  le 14/08/2018
 

Lundi 6 août, à 7 heures du matin, Danielle, 78 ans, a entendu du bruit au rez-de-chaussée de sa maison, dans le quartier des Chalets. « Je pensais que c’était les tortues dans leur terrarium qui ont l’habitude de bouger des cailloux », poursuit-elle.

Cependant, en descendant, elle est tombée nez à nez avec Adel, un jeune homme de 19 ans, « certainement entré par le jardin mitoyen ou en escaladant son portail ». Dans la confusion, Adel a tenté de s’emparer du véhicule de Danielle, garé dans sa cour : « J’étais montée chercher mon téléphone pour appeler la police, mais je me suis trompée de numéro. Alors quand j’ai entendu la voiture se mettre en marche, je suis allé fermer le portail pour l’empêcher de partir avec. Il a reculé plusieurs fois dedans pour le casser », poursuit Danielle.
(…) le jeune homme s’est échappé avec deux ordinateurs portables, une tablette, des bijoux et des foulards d’une grande valeur : « J’en avais un depuis 65 ans. Je l’avais gagné après une course équestre à La Cépière. L’autre, c’est un souvenir de ma mère décédée en 1997, ils ont une grande valeur sentimentale ». Les dégâts ont rendu son véhicule inutilisable.

Dans la foulée de ce home-jacking, l’individu a récidivé quelques rues plus loin, chez une autre vieille dame. Cette dernière l’a également fait fuir. Il ne lui a rien volé. Il a été arrêté dans un squat boulevard des Minimes, le même jour.

Il a comparu détenu aux audiences des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Toulouse. La procureure de la République requiert un an de prison ferme avec maintien en détention : « Les victimes ont beaucoup de courage et de cran, les faits sont très désagréables ».
(…) Il est finalement condamné à un an ferme assorti d’un maintien en détention.

www.ladepeche.fr via fdesouche

Gironde : Recrudescence de violences contre les forces de l’ordre

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

Par  le 15/08/2018

 

Entre janvier et juillet, 98 policiers ont été agressés, un chiffre équivalent à celui comptabilisé pour toute l’année 2017.

La Gironde, terre où il fait bon vivre… Derrière la carte postale, la réalité est plus sombre : en sept mois, de janvier à juillet de cette année, 98 policiers ont été agressés dans l’exercice de leurs fonctions, contre 120 sur l’ensemble de l’année 2017. Une forte hausse qui inquiète les autorités. Crachats, bousculades, passages à tabac : la panoplie des exactions est large. « Des comportements inadmissibles, malheureusement devenus récurrents, souvent sur fond d’alcool » déplore la directrice de cabinet du préfet de Gironde, Angélique Rocher-Bedjoudjou.

(…) Les faits s’étaient cette fois déroulés sur la plage de Lacanau en plein après-midi au début de la saison estivale. Une bande d’une quinzaine de jeunes, originaires de Talence dans la banlieue bordelaise, jouent au ballon sans tenir compte des plagistes. La mère d’un enfant touché par la balle est insultée lorsqu’elle leur demande de s’écarter.

Un policier nageur sauveteur CRS intervient, le ton monte. Les insultes fusent en faisant référence à la mort d’un jeune à Nantes, mortellement touché par un CRS quelques jours plus tôt au cours d’une interpellation. Le policier tente de ramener l’un des jeunes les plus virulents au poste de police en le saisissant par un bras, quand il est atteint par un coup de poing à la tempe. Il tombe et encaisse une pluie de coups au sol sous les yeux des estivants stupéfaits.

Seule l’arrivée de ses collègues met fin au lynchage. Deux mineurs sont placés en garde à vue après ce que les autorités ont qualifié de « lâche agression ». Ils devront répondre devant la justice d’outrage et violence en réunion sur une personne dépositaire de l’autorité publique. Le CRS, partie civile, a bénéficié d’une ITT de huit jours. « On n’avait jamais vu ça sur une plage ! Sans l’intervention des collègues, cela aurait pu mal finir. Il a fallu ensuite quinze jours pour pacifier la plage et ramener le calme », raconte Xavier, un haut policier en poste en Gironde, avant d’ajouter : « Désormais, les tensions sociales prennent l’autorité pour cible, et donc la police ».

Dans le département, ces violences ne touchent pas seulement la police : deux hommes viennent d’écoper de trois et six mois de prison pour avoir battu un gendarme et un pompier qui intervenaient lors d’une violente bagarre aux urgences de la clinique de Lesparre, dans le Médoc.

(…) Le Parisien via fdesouche