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lundi, 03 septembre 2018

Interview du président de la Ligue arabe : « Pourquoi les migrants ne vont-ils pas dans les pays arabes riches ? »

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

 

 Article publié le 29.08.2018

Il y a quelques jours, j’ai vu une émission très intéressante à la télévision chinoise. Ahmed Aboul Gheit, le président de la Ligue arabe, était interviewé sur la chaîne Tian Wei. La journaliste avait demandé à M. Gheit : « Pourquoi les pays arabes n’accueillent-il pas ces migrants ? »

 

TW: Pourquoi ces migrants ne vont-ils pas chez vous ?

AAG: Parce que nous ne sommes pas une destination pour les migrants (destination country). Mais nous sommes ouverts.

TW: Alors expliquez-nous, je vous prie, pourquoi ils ne veulent pas aller dans vos pays, tous ces migrants et réfugiés ?

AAG: C’est très simple : nous ne faisons pas d’exceptions avec ces gens.

Lorsqu’ils franchissent nos frontières et demandent l’asile, la prochaine étape est qu’ils signent un document qui les oblige à respecter tous les droits et règles de nos pays, et qui précise qu’en cas de violation de cet accord, ils seront condamnés, avec une procédure accélérée, aux mêmes peines que la population locale (ce qui peut aller dans les cas graves jusqu’à la peine capitale) et seront renvoyés dans leur pays de provenance aussitôt leur peine terminée.

Nous leur faisons signer également un accord stipulant que l’aide financière qu’ils touchent pour leur intégration dans nos pays doit être intégralement remboursée dans les deux ans, faute de quoi nous saisissons tous leurs biens et ils seront expulsés définitivement de nos pays.

Si quelqu’un ne sait pas lire et écrire, il apposera au document son empreinte digitale. Il n’y a aucune excuse du genre : « je ne connaissais pas la culture locale », ce qui serait d’ailleurs peu crédible dans le cas des personnes arabes, et ce genre d’excuse n’est pas pris en compte.

Tous ces arguments que je viens vous citer sont arrivés aux oreille de chaque migrant, c’est pourquoi ils ne veulent pas demander d’asile dans les pays arabes.

TW: Ne trouvez-vous pas radicale cette façon de procéder avec eux, M. Gheit ?
L’Europe occidentale est bien plus souple avec eux !

AAG: Absolument pas ! Parce que si je devais chercher refuge et demander de l’aide un jour dans un autre pays, je trouverais un devoir absolu d’obéir à la lettre aux lois de ce pays, et que sinon je sois expulsable par n’importe quel moyen.

L’Europe de l’Ouest finira par se réveiller et regarder la situation telle qu’elle est. Il faudrait que les dirigeants de l’Europe de l’Ouest soient envoyés à Doha au Qatar ou encore en Arabie saoudite pour demander l’asile dans ces pays pour qu’ils expérimentent « sur leur propre peau » ce que je viens de dire. Là, ils se réveilleraient !

Cela fait réfléchir, non ?

Source : https://alternativhirek.blogspot.com/2018/08/miert-nem-ga...

Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch

Vigilance en France face au retour du choléra en Algérie

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

Par  le 01/09/2018

 

Le ministère de la Santé incite à la prudence les compagnies aériennes afin de limiter les risques de propagation de la maladie.

Les autorités algériennes ont admis depuis le 23 août qu’une épidémie de choléra avait lieu sur leur territoire, ce qui n’était pas arrivé depuis 1986. Le bilan communiqué fait état de deux décès, de 60 cas confirmés sur les 172 personnes hospitalisées. La contamination viendrait d’une source d’eau dans la région de Tipaza, sans que l’on sache précisément ce qui s’est passé. […]

Sans vouloir froisser son voisin, la France a pris de discrètes mesures. Le ministère des Affaires étrangères a publié sur son site un « conseil aux voyageurs » qui se rendent en Algérie. «Plusieurs cas de choléra ont été diagnostiqués dans le nord et le centre du pays. Dans tous les cas, il est impératif de porter une vigilance particulière aux règles d’hygiène et de sécurité afin de se préserver des contaminations digestives ou de contact», précise le Quai d’Orsay.

De façon plus sensible, le ministère de la Santé hausse son niveau d’alerte. La Direction générale de la santé (DGS) précise que «l’OMS ne conseille ni le dépistage systématique ni la mise en quarantaine pour les voyageurs en provenance des régions touchées par le choléra». Mais pour autant, des consignes précises sont données aux compagnies aériennes : «La DGS a informé la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), qui a diffusé une information auprès des compagnies aériennes et des aéroports ayant des liaisons directes avec l’Algérie.» Il leur est précisé que si un patient transporté était pris «de vomissements ou de selles» — mode de contagion de la bactérie — «il était de leur responsabilité de désinfecter l’avion». […]

Le Parisien via fdesouche

Prélèvement à la source : une note dresse « un bilan calamiteux » de la phase de test

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

Par  le 02/09/2018 
 

Une note technique d’une trentaine de pages de la Direction générale des finances publiques (DGFiP), que Le Parisien a pu consulter, dresse un « bilan calamiteux » de la phase de test lancée avec les employeurs, futurs collecteurs de l’impôt.

Non seulement, les bugs sont légion mais, pour certains, il n’y a « a priori pas de possibilité de s’en prémunir », peut-on lire dans ce document estampillé DGFiP. Terrible aveu. Pourtant, la période pilote était justement destinée à détecter des bugs éventuels et à les résoudre en amont, rappelle un haut fonctionnaire de Bercy. Le hic : alors qu’elle se termine, les anomalies sont toujours massives et apparaissent de façon complètement aléatoires. »

Entre août 2017 et juin 2018, les anomalies, très faibles certains mois, ont explosé les compteurs le mois suivant. Comme en février dernier où plus de 350 000 ont été enregistrées. Et «chaque anomalie peut concerner des milliers de contribuables, voire plus », note une experte qui admet ne pas savoir « mesurer l’ampleur du phénomène». […]

Le patron de la DGFiP, Bruno Parent, assénait la semaine dernière, « la machine est lancée. Elle ne peut plus, elle ne doit plus s’arrêter ». Joint samedi par notre journal, il continuait d’assurer : «Tous les voyants techniques sont au vert ». Des propos qui font bondir en interne à Bercy. «Parent est à un an de la retraite, grince un syndicaliste. Il rêve de quitter Bercy auréolé du succès de cette réforme qui est un peu son bébé.» […]

Le Parisien via www.fdesouche

Les vacances de M. Hulot

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

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 Le billet de Patrick Parment

Les folliculaires clament à la une de tous leurs médias que le président de la République est affaibli par le départ de monsieur Hulot. Voici qui a de quoi nous faire sourire pour la bonne raison qu’Emmanuel Macron n’a face à lui qu’une opposition en lambeaux. A gauche, Mélenchon a une voix de fausset, Hamon et Faure se regardent en chien de faïence dans leur cabinet téléphonique. A droite, c’est Waterloo, Valérie Pécresse et Xavier Bertrand désertent la ligne du général Wauquiez. Quant à ce fameux ministère de la Transition écologique, c’est un mistigri qu’on se refile de gouvernement en gouvernement, histoire de dire qu’on est aussi écolo. Sur le fond, il n’en est rien. Car, on bavasse longuement sur le nucléaire, tandis que les paysans continuent de déverser des tonnes de pesticides dans leurs champs, que la grande surface et la grande distribution continuent de tuer la campagne française au même titre que le petit commerce et donc la vie de nos villages.

Enfin, le souci écologique n’est pas uniquement français, il est mondial, alors qu’on est en train d’éradiquer la forêt amazonienne sur l’aire du profit, que la mer charrie des toxiques et des tonnes de plastique, qu’une pêche industrielle épuise les ressources halieutiques, que les écosystèmes disparaissent au détriment de la faune et de la flore. Tout cela est le résultat d’une politique libérale qui s’imagine que le soi-disant progrès est sans fin et que la terre est inépuisable. Un libéralisme suicidaire qui est en train de tuer la substance humaine même.

Alors, un vrai ministère de l’écologie se devrait de protéger nos paysans de sorte qu’ils vivent décemment du produit de leur labeur. Un vrai ministère de l’écologie éradiquerait grande surface et reverrait les finalités de la grande distribution. Un ministère de l’écologie devrait s’intéresser à nos sources d’énergie et investir dans les énergies renouvelables comme la géothermie, la biomasse et l’hydrogène, sans abandonner nos centrales nucléaires qui nous fournissent une énergie bon marché et peu polluante dont nos industries ont besoin et ce afin de réduire notre dépendance au pétrole et au gaz et d’illustrer cette belle formule « On n’a pas de pétrole, mais on a des idées ».

 

Source : synthesenationale

dimanche, 02 septembre 2018

Préférence nationale – Quand la gauche prétendait protéger la main d’œuvre nationale

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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En 1931, la presse syndicale de la CGT ou de la CGT-U (communiste) lance une campagne d’opinion contre « les étrangers qui volent le travail des Français » suivie par une proposition de loi de la SFIO de Roger Salengro, déposée en août 1931, « tendant à la protection de la main-d’œuvre nationale », dont le premier article prévoit d’interdire durant une période limitée l’entrée des étrangers en France. L’article 2 prévoit de fixer un seuil maximal de 10 % de travailleurs étrangers dans les entreprises. La proposition loi prévoit des amendes pour les patrons contrevenants. Cette proposition de loi socialiste ne sera pas adoptée.

Mais le 10 août 1932, une autre loi destinée à protéger la main d’œuvre nationale est votée, à l’initiative du gouvernement de Edouard Herriot (groupe Républicain radical et radical-socialiste). Cette loi Herriot est en définitive beaucoup plus immigrationniste que le projet Salengro (sauf pour le secteur public où la proportion des travailleurs étrangers ne peut dépasser 5 %).

 

 

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La présence croissante d’étrangers en France ne cesse de susciter l’inquiétude. En février 1935, les étudiants en médecine manifestent « contre l’invasion métèque  » devant les facultés de médecine. D’autres étudiants suivent et manifestent contre « l’envahissement des étrangers « . Parmi ces manifestants figure un certain François Mitterrand.

Le 14 avril 1937, sous le gouvernement de Front populaireMarx Dormoy, ministre de l’intérieur socialiste du gouvernement Blum, donne instruction aux préfets de « refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s’introduire sans passeport ou titre de voyage valable ».

La loi de protection de la main d’œuvre nationale est abrogée en 1981 par François Mitterrand, celui-là même qui manifestait en 1935 contre « l’envahissement des étrangers « , car considérée contraire aux traités européens signés par la France.

 

Source : medias-presse.info