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jeudi, 06 septembre 2018

Ces maladies médiévales et exotiques qui font leur retour en France

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Par  le 06/09/2018 

Choléra, tuberculose, gale, rougeole… Des noms d’épidémies et de pathologies qu’on ne pensait lire que dans des romans médiévaux ou des livres d’histoire font leur triste réapparition dans les cabinets médicaux. Aucun continent ne semble épargné. Maxisciences fait le point. […]

Inquiétant Retour vers le Futur de maladies anciennes

– La gale : même si le scarpote, l’acarien responsable de cette maladie qui démange, a toujours été présent dans l’environnement, on n’en avait pas entendu parler depuis longtemps. Pourtant depuis 2002 et d’après le Haut Conseil pour la Santé publique, une augmentation de 10% de cas de gale a été notée. […]

– Le scorbut : même la maladie des marins a fait son retour cette année ! Alors qu’on pensait ce terme réservé aux histoires de corsaires du XVIIIe siècle, il faut désormais s’y faire : le scorbut est de retour. […]

– La rougeole : rien que ces 9 premiers mois, cette infection virale a déjà touché 41.000 personnes (adultes et enfants) en Europe dont 2.741 en France. Des chiffres inquiétants d’autant plus que l’épidémie pourrait être contenue grâce à un vaccin efficace et très sûr.Regroupé sous l’acronyme vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole), il est d’ailleurs obligatoire en France depuis le 1er janvier 2018. Il nécessite l’injection de deux doses, la première à l’âge de 12 mois et la seconde entre 16 et 18 mois. Seulement voilà, toutes les personnes à risques ne se font pas vacciner ou ne font pas le rappel indispensable à son efficience. Face à cette épidémie record, l’OMS a lancé, la semaine dernière, une grande campagne de sensibilisation.

– La tuberculose : Considérée comme la « maladie romantique du XIXème siècle » elle fait sa réapparition dans le monde et sur notre territoire, notamment à Mayotte, en Guyane et aussi en Ile-de-France. Selon l’OMS, cette pathologie infectieuse a devancé le SIDA parmi les maladies infectieuses les plus meurtrières et se classe désormais comme la9e cause de mortalitéde notre planète. Il existe pourtant un vaccin et un traitement adaptés mais les populations les plus défavorisées et isolées n’y ont pas forcément accès.

– Le choléra : une soixantaine de cas avérés et déjà 2 décès. L’Algérie est touchée par une épidémie de choléra dont le foyer serait une source d’eau naturelle contaminée, située à Hamr Al Ain, entre Alger et Tipaza. Le pays n’avait pas connu une telle épidémie, depuis 1986. Elle est malheureusement la manifestation sanitaire de la pauvreté des campagnes et de certains quartiers défavorisés de grandes villes.

La crise est suffisamment grave pour que le ministère français des Affaires étrangères appelle ses ressortissants voyageant dans le pays à la prudence sur son site internet et rappelle des règles d’hygiène à respecter. Et d’après Le Parisien, la DGS (Direction générale de la Santé) a demandé aux compagnies aériennes effectuant des liaisons directes avec l’Algérie ainsi qu’aux aéroports concernés de procéder à une désinfection en cas de suspicion de la maladie.

Au regard des causes de la recrudescence de ces maladies qu’on pensait d’un autre temps, ne devrait-on pas aussi parler d’une plus inquiétante pandémie mondiale, celle de la pauvreté ?

L’article complet sur maxisciences.com via fdesouche

Les Français contre l’arbitraire et la spoliation

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

POSTÉ LE 05 SEPTEMBRE , 2018,

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L’actualité de cette fin d’été – en attendant que les polémiques politiciennes et les «affaires» en tout genre reprennent leurs droits à la rentrée – ne laisse pas d’être suggestive.

J’apprends par l’association «40 millions d’automobilistes» que 400 radars ont été vandalisés en juillet dernier, après l’entrée en vigueur de l’absurde limitation à 80 km/h sur route.

Naturellement, on ne peut pas encourager les déprédations – d’autant moins que c’est nous, contribuables, qui payons la note !

Mais la faute à qui ? Comme naguère les «bonnets rouges» face aux portiques d’écotaxe, les automobilistes, ulcérés d’être verbalisés et tondus, se défendent comme ils peuvent contre un État spoliateur.

Au demeurant, comme l’État, depuis des années, ne cesse de manifester qu’il ne comprend que le rapport de force et qu’il n’écoute jamais les opposants pacifiques, on voit mal comment cela pourrait avoir d’autres conséquences.

Il faut tout de même savoir que ces 400 radars vandalisés représentent une multiplication par 4 du nombre d’actes de vandalisme sur ces odieuses petites boîtes.

Comme le dit l’association, le radar est désormais ressenti par les automobilistes, non pas comme un outil au service de la sécurité, mais plutôt comme un outil au service du racket de l’État – et un outil pour rappeler l’arbitraire et la puissance de l’État.

Il devient possible que les Français se réveillent enfin de leur léthargie.

Pendant des décennies, ils ont assisté placidement au grignotage de leurs libertés.

Songeons que la révolution de 1789 a commencé, alors que l’arbitraire et la spoliation fiscale étaient infiniment moindres qu’aujourd’hui.

À l’époque, en moyenne, un contribuable payait autour de 10% de ses revenus en impôt. Aujourd’hui, c’est en moyenne par loin de 60%.

Et pour ceux qui paient l’impôt sur le revenu, il n’est pas rare de payer 80% ou plus de ses revenus en impôt.

Encore plus fort, la Cour de cassation, dans un jugement admirable, a déclaré que payer au fisc plus de 100% de ses revenus n’était pas confiscatoire !

Donc, oui, les impôts étaient infiniment moins lourds en 1788.

L’arbitraire aussi était moins pesant. Bien sûr, il y avait des privilèges que l’état de la société justifiait de moins en moins.

Mais, tous les privilèges n’étaient pas dénués de fondement. Le clergé, principale cible de la Révolution, payait ainsi sur les revenus de son patrimoine l’équivalent de notre Sécurité sociale et de notre Éducation nationale.

Et la morgue d’un Saint-Simon était tout de même moins insupportable que l’arrogance des petits marquis sortis de l’ENA, comme Alexis Kohler, ou parvenus au sommet du pouvoir par le fait du prince, comme Alexandre Benalla.

Je ne parle pas ici de l’arbitraire judiciaire. Pourtant, on ne compte plus les lois qu’il est absolument impossible de respecter (des lois sur le financement de la vie politique aux lois sur la liberté d’expression, en passant par les lois fiscales elles-mêmes). Cela se traduit par un mépris général de ces lois – et une condamnation des adversaires politiques.

Je crois que jamais, dans l’histoire de France, la spoliation fiscale et l’arbitraire n’ont été aussi forts. Jamais nos libertés n’ont été autant foulées aux pieds – et ce n’est pas fini, puisque Macron et sa clique annoncent que le pire est à venir.

Mais notre vénéré président, qui n’a pas l’air d’apprécier les vieux Gaulois, devrait aussi se méfier des Francs. Nous nous appelons ainsi du fait de notre attachement séculaire à nos libertés, il devrait peut-être le méditer !

 

Source : les4verites

Halte à la robotisation à outrance !

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 septembre 2018

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La course à la robotisation des tâches est loin d’être une fatalité. Plus que jamais attachées à la qualité de la relation client, des sociétés comme SFAM ou Akio misent sur l’humain.

Dans un contexte médiatico-politique qui clame que ce qui est nouveau est forcément mieux, la robotisation de l’économie est considérée comme une excellente nouvelle. Finies les tâches les plus ingrates, les robots sont voués à remplacer les travailleurs précaires. Ça, c’est pour le côté pile. Le côté face est beaucoup moins reluisant, notamment pour ce qui est de la destruction de centaines de milliers d’emplois. Un virage extrême que certaines entreprises comme SFAM et Akio refusent de prendre pour le plus grand bonheur de leurs salariés et… de leurs clients.

Tout est à portée de clic. Une commande à faire, un virement à effectuer, un rendez-vous à prendre. Tout se fait désormais en quelques secondes. Plus besoin d’entrer en contact avec un humain. Les serveurs informatiques s’occupent de tout et même de la relation client. Les robots sont censés pouvoir répondre à toutes les demandes, mais la pratique montre que cela n’est ni possible ni souhaitable. Alors oui, les robots permettent, dans certains cas, de faire des économies substantielles. C’est vrai, mais bien souvent au détriment de la relation client.

SFAM embauche… des humains!

Ainsi, la société SFAM spécialisée en assurance mobile et multimédia est aujourd’hui en plein essor, notamment grâce à une ressource unique : ses employés. Dans un secteur particulièrement touché par la robotisation, SFAM a fait le choix d’embaucher 1 000 personnes en CDI en 2018 pour contribuer à son développement et même l’accélérer. Si SFAM a fait le choix de grossir ses rangs, c’est notamment parce qu’elle porte une attention particulière à la qualité de sa relation client.

Et les clients en ont marre de converser par téléphone avec des serveurs vocaux qui leur rabâchent sans cesse ne pas avoir compris leurs demandes. « Les marques sont souvent engagées dans une course perpétuelle à la réduction des coûts et elles peinent à voir le service client comme un centre de profit », estime Patrick Giudicelli, président et fondateur d’Akio, éditeur de logiciels dédiés à l’expérience client. Or, « ce qu’attend le consommateur, c’est le sentiment que sa demande, quelle qu’elle soit, sera prise en considération ». Une réalité que SFAM a semble-t-il bien comprise.

Le secteur de la banque-assurance est pourtant parmi les premiers frappés par les pertes d’emplois dues à la robotisation. Selon une étude de l’Institut Sapiens, rien que dans le secteur bancaire, 135 000 emplois (sur 356 000 en 1986) ont été supprimés en à peine 30 ans. Le phénomène n’est pas anodin et appelle à une large réflexion et une approche différente du travail.

De nombreuses pertes d’emplois à venir

Les robots sont destinés à occuper les travaux les plus pénibles et dangereux. C’est souvent vrai, mais que faire des milliers de salariés mis sur la paille par des machines qui peuvent travailler jour et nuit ?  La question se pose dans tous les pays du monde et est l’objet d’études et de prospectives plus ou moins avisées.

L’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, Andy Haldane, a récemment tiré la sonnette d’alarme : « ce que nous pouvons, je pense, affirmer avec certitude, cependant, est que l’ampleur des pertes d’emplois est susceptible d’être au moins aussi importante que celle des trois premières révolutions industrielles ». Autrement dit, les 6,5 millions de chômeurs (catégories A, B et C) en France vont être rejoints par des centaines de milliers d’autres au bas mot.

Ce qui est détruit d’un côté est créé de l’autre, clament les tenants d’une robotisation à outrance. Cela n’est pas vrai au début et il faudra des décennies pour amortir le choc qui se prépare. La France a-t-elle les moyens économiques et moraux de laisser végéter des millions de sans-emploi sans aucune perspective d’avenir à moyen terme ? Non ! Un autre futur est possible et s’écrit dès aujourd’hui.

 

Source : 24heuresactu

Com’ : Macron procède à son vrai remaniement

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 septembre 2018 

C’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour l’exécutif. Après les scandales en série et la symphonie des couacs inspirées de son mentor Hollande, Macron veut tourner la page et écrire un chapitre brillant de son quinquennat. Pour cela, il a saupoudré la France de poudre de perlimpinpin en mettant de Rugy au ministère de la Transition écologique et en sortant Flessel avant qu’un énième scandale n’éclabousse cette bande de bras cassés. Mais le plus important se passe ailleurs. Il s’agit de revoir la cellule de communication du président. Un haut lieu de la Macronie puisque la com’ en est la quintessence même !  

C’est la crise à l’Elysée ! L’été a laissé la Macronie chancelante, incapable de balayer devant sa porte et d’assumer les échecs politiques et les scandales qui mettent pour certains d’entre eux la démocratie en danger. Les professionnels de l’entourloupe ont montré qu’ils étaient des amateurs dans le domaine de la communication. Un art qu’ils étaient censés maîtriser à en croire les médias qui s’étaient tous agenouillés devant le pouvoir en devenir. Les choses ont changé (un peu) et on commence à voir apparaître des titres moqueurs et des interventions un poil critiques vis-à-vis de Macron. Nos chers journalistes tirent dans le sens du vent et il est peu de dire qu’il est mauvais pour la Macronie.

Changement d’illusionniste en vue

Le président Macron est dans une telle impasse qu’il réussit l’exploit d’être encore plus impopulaire que Hollande après à peine plus d’un an en poste. Le chef de l’Etat est crédité de 31 % d’opinions favorables. C’est une chute de 10 points par rapport au début du mois de juillet. Un beau gadin mérité à la lumière des révélations qui illustrent la manière dont le pouvoir est exercé. Même Hollande faisait mieux en son temps avec 32 % d’opinions favorables. La trajectoire de son traitre de successeur est identique et on peut même se prendre à espérer une fin de quinquennat anticipée. Pour cela il faudra une bonne dose de politiques néfastes pour les Français et des scandales si gros qu’on a peine à les imaginer.

Mais qui aurait pu inventer un couple diabolique comme Benalla-Macron ? Cela relevait d’un film entre science fiction et épouvante. Ils l’ont fait et vu l’ADN de ceux qui nous gouvernent, des histoires au moins aussi sales ne manqueront pas de sortir. A moins que… A moins que la communication de l’Elysée se reprenne et ne boucle une bonne fois pour toutes toute expression un peu contestataire ou curieuse. L’équipe en place a fait preuve de sa grande incompétence, alors le vrai remaniement à lieu en ce moment même au saint des saints.

Cible numéro un : Bruno Roger-Petit. L’ancien journaliste qui faisait tellement la promotion de Macron pendant la campagne qu’il en dégoutait ses collègues a obtenu le porte-parolat de l’Elysée pour services rendus. Un porte-parole discret qui aurait bien fait de le rester, car il a bien handicapé son équipe en racontant n’importe quoi dès que l’affaire Benalla a éclaté. Mais en Macronie, la différence entre le n’importe quoi et le storytelling est très mince et Roger-Le-Petit communicant s’est pris les pieds dans le tapis rouge de l’Elysée. Ses anciens confrères attendent son éviction imminente surtout que le Monsieur discours de Macron va chapeauter l’équipe de com’ de l’Elysée. Une équipe où l’on retrouve l’unique hashtag « La meuf est dead ».

Ce n’est pas avec un tel remaniement que les choses vont mieux aller en Macronie. C’est bien dommage pour elle, car la Macronie ce n’est que du cynisme recouvert de com’. Il serait bon de revoir un peu la qualité des architectes du vide, car au rythme où descend Macron, il ne sera plus bon qu’à jouer au bouffon se prenant des tomates dans une tournée l’amenant de Paris à Chemnitz sans oublier Rome et Budapest. Un joli tour d’Europe, certes, mais qui n’était pas prévu dans les plans initiaux.

 

Source : 24heuresactu

Emmanuel Macron reçoit les francs-maçons à l’Élysée

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

 Ce soir :

Unknown-12"« C’est la première fois que le président les invite tous ensemble à l’Élysée depuis son entrée en fonction », a affirmé le GODF. Interrogé, l’Élysée n’avait pas fait de commentaire sur cette rencontre.

Selon un invité, sont conviés, outre le GODF, la Grande loge de France, la Fédération française du droit humain, la Grande loge féminine de France, la Grande loge nationale de France, la Grande loge mixte de France, la Grande loge de l’Alliance maçonnique française ou encore la Grande loge traditionnelle et symbolique Opéra.

Le thème de « la laïcité, alors que le président a promis un grand discours sur ce sujet, très attendu » sera au menu de cette rencontre, tous comme les questions de « bioéthique, l’Europe et le développement durable », selon cette source."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige