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mardi, 04 septembre 2018

Eglise et homosexualité : le malaise des médias du Système

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018 

Eglise et homosexualité : le malaise des médias du Système

Eglise et homosexualité : le malaise des médias du Système

Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ La super classe mondiale a lancé une offensive générale contre le catholicisme en Occcident. Les médias du Système relayent donc servilement cette offensive, alors qu’ils seraient évidemment beaucoup plus prudents s’il s’agissait d’une autre religion. Mais la tournure prise par les polémiques qui traversent l’Eglise, les met désormais en porte à faux.

 L’offensive anti-catholique du Système

Le Système a lancé une offensive générale contre l’Eglise catholique en Occident d’abord parce que le cœur de la super classe mondiale, l’oligarchie économique et financière transnationale, n’adhère pas au catholicisme. On vient d’ailleurs de voir Emmanuel Macron, l’homme de la Davocratie, préférer publiquement les luthériens danois aux gaulois rétifs : ce n’est pas qu’un simple trait d’humour comme il a tenté de le faire croire.

L’offensive contre le catholicisme s’inscrit en effet dans l’attaque que l’oligarchie conduit contre l’identité européenne en général et française en particulier : car le catholicisme c’est justement le christianisme façonné par les Européens.

En s’attaquant à l’Eglise, le système poursuit donc sa politique d’épuration culturelle en Europe, avec notamment le relai actif en France des milieux dits « laïcs » qui ont été réveillés de leur torpeur pour la circonstance.

Le patronat ne voit pas non plus d’un mauvais œil la déconstruction des fêtes chrétiennes, qui constitue une autre façon de remettre en cause la protection des salariés.

Enfin, le Système s’attaque aussi à l’Eglise catholique car il la perçoit à juste titre comme faisant obstacle aux « réformes sociétales » qu’il veut entreprendre pour déconstruire l’institution familiale. L’ampleur de la réaction populaire de la Manif Pour tous en France est restée dans toutes les mémoires oligarchiques !

La surmédiatisation de la dénonciation de la pédophilie

La dénonciation de la pédophilie dans l’Eglise a donc été surmédiatisée, pour l’affaiblir, cette médiatisation ne visant avant tout que les ministres du culte catholique.

Cette orchestration n’est d’ailleurs pas sans rappeler la dénonciation de la corruption des mœurs ecclésiastiques à la veille de la Réforme. Car l’attaque contre l’Eglise catholique ouvre aussi la voie à la progression de l’évangélisme, variante du puritanisme, en Europe et en Afrique, une progression qui convient très bien à l’oligarchie.

Sans évoquer bien sûr aussi la progression de l’Islam en Europe, qui est objectivement encouragée par la Davocratie immigrationniste.

Un changement de cible qui perturbe les médias

Malheureusement pour les médias, la controverse qui frappe l’Eglise porte désormais sur la question de l’homosexualité et plus précisément sur la complaisance supposée du Vatican à son égard.

A noter que cette nouvelle vague de dénonciation vient d’Amérique ce qui n’est peut-être pas un hasard non plus. Aux Etats-Unis, les catholiques ne représentent que le ¼ de la population [1] et ont toujours été suspectés de déviance par rapport au modèle américain qui repose avant tout sur le protestantisme puritain. La polémique et les accusations sont notamment portées par Mgr Carlo Maria Vigano, ancien nonce apostolique aux États-Unis et par le procureur de Pennsylvanie Josh Shapiro [2].

Cette nouvelle polémique constitue un virage très difficile à négocier pour les médias du Système.

En effet, ils présentaient avant tout l’Eglise et les catholiques comme des homophobes forcenés au motif qu’ils dénonçaient les réformes sociétales. Et voilà que des prélats dénonceraient l’existence d’un lobby homosexuel au sein de l’Eglise ?

En outre le Système n’a cessé de banaliser et de normaliser l’homosexualité : et il faudrait la dénoncer dans l’Eglise ? Ou l’associer à la pédophilie ?

Enfin la polémique touche également le Pape François qui passait justement pour un Pape « progressiste », puisqu’il prenait position pour l’accueil des migrants, donc pour la politique du Système. C’est pourquoi les médias mainstream aimaient le citer si souvent…

Un emballement médiatique pour masquer le malaise du Système

Pour essayer de masquer ces contradictions, les médias ont pour le moment choisi de s’en tenir à leur ligne initiale, en surfant sur une expression employée par le Pape François dans l’avion qui le ramenait d’Irlande le 26 aout dernier.

L’emballement médiatique porte en effet sur le fait que le Saint Père aurait indiqué qu’il faudrait avoir recours à la psychiatrie si un enfant avait des tendances homosexuelles. Psychiatrie, le « mot polémique » comme écrit Le Monde.

Ce qui a permis de déclencher un beau tollé médiatique, orchestré par les lobbies LGBT et relayé par Mme Schiappa, toujours en mal de publicité. Le Pape est donc homophobe puisqu’il considère l’homosexualité comme une maladie ! C’est odieux ! C’est incompréhensible et indéfendable tonne Mme Schiappa !

Un emballement en porte-à-faux

En réalité, cet emballement est, comme souvent, complètement artificiel.

Il est d’abord manifeste que le Pape François adopte vis à vis de l’homosexualité en général une attitude plus tolérante que la doctrine classique de l’Eglise. D’où d’ailleurs des tensions au sein de l’Eglise avec les tenants d’une approche plus traditionnelle de la foi et dont certains se trouvent justement aux Etats-Unis.
On ne peut donc le présenter sérieusement comme homophobe.

D’autant que l’examen des propos réellement tenus le 26 août par le Saint Père en réponse à la question « que pourrait dire un père catholique à son fils lorsqu’il apprend que celui-ci est homosexuel », montre que le recours à la psychiatrie ne tient qu’une part tout à fait marginale dans ses propos, qui prônent au contraire l’ouverture  et la compréhension vis-à-vis de l’homosexuel dans sa famille. C’est d’ailleurs ce que reconnaît avec honnêteté Le Monde du 27 août [3].

Enfin, comment présenter le Pape comme homophobe au moment même où certains mettent en cause publiquement la complaisance prétendue du Vatican vis-à-vis des prêtres homosexuels ?

La suite au prochain bobard

En France, le buzz médiatique fait autour des propos du Pape a bien sûr servi aussi à détourner opportunément l’attention sur le fait que les mauvais résultats s’accumulent pour la présidence Macron en cette fin de l’été (aucune avancée au plan international, mauvais sondages, croissance atone – la plus mauvaise au sein de la zone euro [4] – affaire Benalla et maintenant démission du ministre Hulot).

Mais la polémique ouverte sur l’homosexualité dans l’Eglise n’en est manifestement qu’à ses débuts, d’autant que le Pape n’a pas encore répondu aux affirmations de Mgr Carlo Maria Vigano.

Il sera donc intéressant de voir, dans les prochaines semaines, par quels bobards le système médiatique va essayer de continuer à diaboliser l’Eglise et son Pape tout en défendant la normalité de l’homosexualité !

Michel Geoffroy
04/09/2018

[1] 22% de catholiques contre 46% de protestants repartis en différentes « églises »
[2] « Le Vatican était au courant des abus et était impliqué dans leur dissimulation » déclare J.Shapiro
[3] Article de Cécile Chambraud
[4] 0,4% en France contre 0,8 au 1er semestre 2018 dans la zone euro

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : ECQD [CC BY 2.0], via FlickR

 
 

 

Macron en chute libre…

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

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Plus impopulaire que son prédécesseur Hollande à la même époque, Emmanuel Macron, celui qui veut faire de la France une start-up cosmopolite, est en chute libre dans les sondages.

Le désamour avec les Français est là et bel et bien là !

D’après un sondage publié aujourd’hui par Paris-Match « seuls 31% des Français sont satisfaits de l’action du président de la République. En recul de dix points dans notre tableau de bord politique Ifop-Fiducial, Emmanuel Macron paie à la fois un été calamiteux et une rentrée horribilis. »

Affaire Benella, démission de la Hulotte, mauvais coup de com avec la suppositionDany le Rouge’ comme ministre, pataquès sur le prélèvement à la source, plombent la popularité de Macron auprès des Français :

 » Les Français semblent déçus par sa capacité à renouveler la fonction présidentielle (47%, -5), sa vision de l’avenir (35%, -10) et sa politique économique (32%, -6). Preuve que la déception des Français se concentre d’abord sur la personnalité du chef de l’Etat qu’ils ont élus l’an passé : le Premier ministre Edouard Philippe ne perd que 3 points (35%). »

Paris-Match ne l’évoque pas mais la politique pro-migrants de Macron doit être pour quelque chose dans cette dévaluation du banquier de chez Rothschild entré au Palais de l’Élysée !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Assurance chômage : attention, la réforme arrive !

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 03 septembre 2018

 

Parmi les coups fumants dans la besace du Gouvernement, la réforme de l’assurance chômage risque de faire beaucoup de bruit. Le libéralisme macronien n’aime guère les chômeurs et encore moins que l’argent public soit utilisé pour les aider. Il y a tant de choses à faire, construire des écoles, des routes et même des piscines… Bref, Pôle-Emploi et l’assurance chômage vont devoir se réformer et à la fin ce sont les chômeurs qui en subiront les conséquences.  

La France a un problème avec l’emploi ou le chômage, c’est selon. Les statistiques officielles font état de plus de 6,5 millions de chômeurs et quand le Français moyen n’est pas au chômage, il est au SMIC ou juste au-dessus. Muriel Pénicaud, la ministre du Travail au passif bien lourd croit faire une découverte en assurant que la France « part de très loin » avec « 20 ans de chômage de masse ». Il est vrai que notre pays part de loin et cela fait même plus que 20 ans, car le chômage a explosé dès le milieu des années 1970. A cette époque, la France était présidée par un autre libéral qui prétendait n’être ni de gauche, ni de droite. Valéry Giscard d’Estaing est un des pères spirituels d’Emmanuel Macron. Ce dernier a un code génétique des plus terrifiants. Un malheureux mélange de Hollande, Attali et Giscard d’Estaing.

Bouillon libéral et indigeste

Avec un tel cocktail, il n’est pas étonnant que le président Macron soit aussi dépassé par les événements. Le maître des horloges a perdu l’heure et il ne sait plus à quel saint se vouer. Alors en cas de crise, le remède est toujours le même : taper sur les Français. En s’en prenant bientôt à l’assurance chômage, il est certain de toucher un maximum de monde. 6,5 millions de personnes au minimum ! La baisse du chômage est animique : -0,1 % au deuxième trimestre 2018. Oui, mais voilà, on vient de loin comme le répète Pénicaud. Pourtant en venant de si loin, les bonnes recettes devraient avoir des effets détonants ! Pas là apparemment. La France végète à 9,1 % de taux de chômage alors que les méchants brexiteurs n’en sont qu’à environ 4 %.

La moyenne européenne est de 7,1 % et montre que le macronisme est bon, mais seulement pour Macron et sa petite cour. Des affidés qui vont taper l’assurance chômage en introduisant la dégressivité des allocations. Rien d’officiel encore, mais ça discute entre le Gouvernement et le MEDEF afin de savoir quand et comment faire avaler la pilule aux Français. L’idée première est de dire que les allocations sont beaucoup trop élevées pour une minorité. Une ultra minorité même qui est particulièrement suivie par les conseillers Pôle-Emploi pour qu’ils retrouvent rapidement du boulot. Le pauvre chômeur qui était au SMIC est embêtant pour les statistiques, mais celui qui touche 5 000 euros ou plus par mois de l’assurance chômage embête les statistiques et le budget de l’Etat. Alors, on met en avant ces oiseaux rares pour introduire une dégressivité qui touchera tous les chômeurs en fin de compte.

Les systèmes que l’on souhaite pervertir font toujours l’objet de réforme soi-disant utile pour leur survie. Une fois la mesure introduite, elle se généralise et pervertit le système. Le mode d’action est désormais connu. Reste à faire accepter la chose sans trop de secousses. Alors on lance une campagne sur de fausses annonces sur Pôle-Emploi pour faire un grand bouillon autour de l’assurance chômage avec pour résultat assuré un dégoût des Français. C’est la CGT qui se prête cette fois à ce petit jeu. Selon la centrale syndicale, une annonce sur deux ne respecte pas les règles de Pôle-Emploi et sont carrément des fraudes pour certaines d’entre elles. Pôle-Emploi répond que seuls 10 % des annonces posent problème, car elles ne sont plus vérifiées avant publication. La faute à pas de temps… Quand on sait comment les entretiens se passent chez Pôle-Emploi, on se doute que les conseillers manquent de temps et parfois de compétences…

Pôle-Emploi va sentir les rafales souffler et après la tempête, une belle réforme toute en dégressivité viendra couronner le retour au temps calme. Les chômeurs pourront continuer à chômer, mais avec toujours moins d’argent en poche et avec toujours aussi peu de chance de trouver un emploi. La France macronienne affiche ses terribles lois. Gare à ceux qui ne s’y plieront pas !

 

Source : 24heuresactu

Macron… de l'arnaque à l’inaptitude… Le PDF, seule alternative.

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

 
 
 
 
 

 

 
   
 
 
 

Macron…

 
de l'arnaque à l’inaptitude…
Le PDF, seule alternative.
 
Croissance en berne, inflation en hausse, reprise des mouvements sociaux, menace de bugs multiples sur la mise en œuvre de l’impôt à la source, cacophonie gouvernementale, couacs en série, démission de Nicolas Hulot, investigations judiciaires à l’encontre du Secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler et de l’encore, au moment où nous écrivons, ministre de la Culture, Françoise Nyssen, suite de l'affaire Benalla, montée de l’insécurité et des actes de barbarie, crise européenne sur fond de submersion migratoire… Rien ne va plus pour Emmanuel Macron qui en un an, aura épuisé toutes les ressources des Institutions de la Ve République pour tenter de donner corps à une Présidence acquise par une arnaque électorale.
On ne s’improvise pas Président de la République. Macron qui se voulait Jupiter n’était en vérité que Dolos, esprit mineur de l'illusion et de la duperie.
Le macronisme, nous l'avons dit est bien une escroquerie. C'est aussi une inaptitude.
  • Inaptitude au pouvoir comme le montre son incapacité à prendre à bras-le-corps les grands problèmes du Pays.
  • Inaptitude à l'autorité comme le montre son impuissance face aux désordres répétés de sa majorité.
  • Inaptitude à incarner la fonction présidentielle comme le montrent ses dérapages verbaux (« Ceux qui ne sont rien », « Lèpre populiste », « Ces fainéants », « Les illettrés ») et son inclinaison vers l'abaissement national (l’Élysée transformée en boîte de nuit techno-racaille).
  • Inaptitude à comprendre les Français et à aimer la France comme en témoigne sa sortie méprisante envers les « Gaulois réfractaires ».
  • Inaptitude surtout à entrevoir la réalité douloureuse de la France et à prendre les solutions qui s'imposeraient pour l'en extraire.
Il est vrai qu'à l’inaptitude s'ajoute pour lui comme pour tous ses prédécesseurs l’appartenance fondatrice et inaliénable au Système et la reconnaissance due à ceux qui l'ont fait élire, puissances d’argent et de l'ordre mondial.
Face aux menaces extrêmes qui pèsent sur notre pays et sur notre civilisation, l'impuissance et l'inaptitude d'un Président sont des éléments constitutifs de crimes contre la Nation et contre l’État.
Aucune force politique n'est pourtant aujourd'hui en capacité de s'opposer au processus de décomposition organique qui est à l'œuvre.
Cette force nouvelle, puissante et radicale, il nous appartient de la déclencher.
Le Parti de la France est encore électoralement faible ? C'est vrai. Il ne dispose que de structures modestes ? C'est vrai. Ses moyens sont limités ? C'est vrai. Les médias ne le « calculent » pas ? C'est vrai.
Mais nous sommes quelques-uns à nous souvenir que, un an avant son émergence, le Front National ne dépassait guère les 1 % lors des scrutins auxquels il participait, que moins de cinq cents adhérents étaient à jour de cotisation et que son accès aux médias était quasiment nul.
Mais le Front avait sa foi militante. Sa ligne droite et juste. Son chef, Jean-Marie Le Pen.
Nous avons, intacte, notre foi politique. Intacte la détermination de nos militants. Intactes la lucidité et la clarté d'analyse qui a toujours été la marque sigillaire de la Droite nationale. Intacte notre volonté française et européenne.
Et nous avons Carl Lang.
Ce qui fut sera… Mais cette fois pour l’emporter.
 
 
 
   

 

« Puisque Macron, avec sa morgue coutumière, affiche son mépris pour le peuple français,il nous rendrait service en retournant dans sa banque d'affaires. Ainsi, il pourrait se tenir loin des Gaulois réfractaires ». (30/08/2018).
 
   

« Au nom du mythe de l'instauration d'une république universelle et citoyenne la classe politique organise méthodiquement depuis des décennies la destruction de la communauté nationale, de la nation et du peuple. Ils veulent une population de citoyens à la place du peuple français ». (28/08/2018).
 
 

 

par Jean-François  Touzé  
membre du bureau politique du PdF

lundi, 03 septembre 2018

APPEL DE CARL LANG AUX MILITANTS, ÉLUS ET SYMPATHISANTS DE DROITE NATIONALE ET DE L’EX FRONT NATIONAL.

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, Marine Le Pen vient aujourd’hui de liquider le Front national. 
La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. 


 Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.
Le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission. 
Si l’on ajoute à tout cela les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, la gestion calamiteuse et caractérielle de ses ressources humaines, la montagne de dettes du Front national et les renvois multiples devant le tribunal correctionnel, on constate qu’elle a non seulement transformé l’extraordinaire boulevard électoral qui s’offrait à elle en 2017 en chemin de traverse, mais surtout qu’elle a réussi là où toute la classe politico médiatique avait échoué depuis 40 ans : enterrer le Front national. Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse. 
Dans cette situation, et quelles que soient les désillusions et les déceptions compréhensibles de nombreux militants de l’ancien FN, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la réserve ou aux renoncements. Il est au nécessaire engagement. 
J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue ! 



Communiqué de presse de Carl Lang  
Président du Parti de la France