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En Thaïlande, la police multiplie les raids contre les immigrés illégaux dans les bars et lieux publics, dans le but affiché de faire le tri parmi les « personnes à la peau foncée », suscitant les critiques des ONG et des craintes pour les demandeurs d’asile
« Notre travail, c’est de séparer parmi les personnes à la peau foncée les bons de ceux qui ont de fortes chances de commettre des délits », a récemment indiqué dans un entretien à l’AFP le nouveau chef de l’immigration, Surachate Hakparn, pour expliquer l’opération « X-Ray Outlaw Foreigner » (« Radiographie des étrangers illégaux ») lancée depuis quelques semaines.
« On se doit d’expulser les méchants afin de préserver la stabilité du pays », argumente-t-il. Il fait allusion, entre autres, aux escroqueries d’Ougandais ou de Nigérians qui séduisent en ligne des hommes et femmes thaïlandais avant de vider leur compte en banque (…).
Selon le chef de l’immigration se trouvent en Thaïlande plus de 6.000 personnes en situation irrégulière.
« Les cibles suspectes sont les personnes à la peau foncée », lance un officier aux 75 policiers mobilisés pour un raid, auquel l’AFP a été autorisée à assister à Bangkok. « D’abord on les fouille, ensuite on cherche leurs passeports ».
(…)
Des dizaines de millions de touristes se rendent chaque année au royaume du sourire (…). Mais on trouve aussi des immigrés venus de divers pays d’Afrique, du Pakistan ou d’Afghanistan, dans l’espoir de pouvoir transiter vers l’Occident depuis la Thaïlande, une fois obtenu le précieux statut de demandeur d’asile auprès du Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) de l’ONU. (…)
La préfecture du Pas-de-Calais a confirmé les faits : « Une femme de 38 ans a été agressée sexuellement par plusieurs migrants » samedi soir avenue Toumaniantz (dans le quartier du beau marais) à Calais. La victime est hospitalisée.
Les faits se sont produits samedi soir vers 23h45. « 4 ou 5 migrants » suivaient leur proie. Une dame promenant son chien avenue Toumaniantz a remarqué la scène. Elle est rentrée chez elle et est revenue avec son mari, mais trop tard. Le couple a découvert la malheureuse victime de 38 ans au sol, sous le choc.
Violée, cette calaisienne de 38 ans a été transportée à l’hôpital de Calais.
« Une enquête est en cours pour identifier les auteurs, des prélèvements ADN sur ses vêtements souillés vont être réalisés ».
Et si la politique actuelle ne se résumait qu’à des histoires de fesses ? Les démêlés de Mélenchon qui nourrissent la chronique peuvent mener à une réflexion plus large et aux conclusions peu flatteuses sur ceux qui nous gouvernent ou prétendent le faire. Les histoires personnelles – souvent en dehors de la morale et de l’éthique – ont parfois des répercussions très politiques qui vont au-delà de l’échange de plaisirs entre deux êtres consentants.
Sommé par la police d’ouvrir la porte de son domicile à sept heures du matin, Mélenchon a ménagé (bien malgré lui) une surprise de taille aux enquêteurs. Il ne s’agit pas de son anatomie, mais plutôt de la personne présente chez lui à une heure aussi matinale. Sophia Chikirou, celle dont les agissements posent tant de questions, était déjà en compagnie du chef des Insoumis. Une présence qui fait tiquer puisque ce sont les factures de cette dernière qui sont dans l’œil du cyclone. Souvent bien informé dans les affaires de police, Mediapart (qui garde ou non l’information pour lui) n’a pas hésité à évoquer les « relations extra-professionnelles » qu’entretiendraient Mélenchon et Chikirou.
Dis-moi avec qui tu couches, je t’expliquerai ton comportement
Une hypothèse plausible au regard de la scène vécue par les enquêteurs et qui expliquerait la fureur d’un Mélenchon qui voit son petit système voler en éclats. Attention, les deux tourtereaux potentiels n’ont rien commis d’illégal jusqu’à ce que la justice s’exprime, mais cette combinaison expliquerait l’aveuglement du candidat à la présidentielle face à des factures étonnement salées. Laissons à la justice le soin de faire toute la lumière sur cette affaire et concentrons nous sur des précédents peu reluisants qui illustrent une chute morale de notre personnel politique.
Grand ami de Mélenchon avec qui il se partageait les voix au sein des Congrès socialistes, François Hollande restera peut-être dans l’Histoire pour son goût trop prononcé pour les croissants et son scooter. Alors qu’il devait présider la France, le président s’échappait de l’Elysée pour y vivre son idylle avec Julie Gayet quand bien même il était en couple avec Valérie Trierweiler. Un homme incapable de s’attacher vraiment à quiconque. Le ventripotent chef de l’Etat est passé de maîtresse en maîtresse au gré de ses envies, mais aussi de son agenda politique. En couple avec Ségolène Royal, les deux se sont faits la courte-échelle le plus loin possible avant qu’Hollande ne décide d’avoir une journaliste dite politique dans sa manche en la personne de Trierweiler. Une fois à l’Elysée, finies les relations utiles, place à la jouissance sous toutes ses formes. Ce sera donc une actrice.
Une actrice pour l’un, une « chanteuse » pour l’autre. Sarkozy a montré la voie d’une présidence grotesque qui s’affiche sur papier glacé et qui donne plus de matière à la presse people qu’aux journaux qui font encore de l’information. Les affaires de cœur de Sarkozy n’ont peut-être pas eu d’incidence sur son « œuvre » élyséenne, mais elles ont sacrément esquinté la fonction présidentielle. Mais tout cela relève de l’ancien monde, car avec les Macron les derniers verrous ont sauté.
La pipolisation de la présidence a atteint des sommets et a fait toucher le fond à la France. Les difficultés du couple Macron rapportées par la presse et les rumeurs sur l’homosexualité de Jupiter ont eu des effets directs et concrets sur la République française. Des individus comme Benalla et Crase ont semé la terreur sous les ors de l’Elysée et dans nos rues en toute impunité. Pourquoi ? Quel secret devait être si jalousement gardé pour que des gens aussi peu recommandables puissent faire tout ce qui leur passait par la tête ?
Les Français avaient poussé un ouf de soulagement quand l’hypothèse Strauss-Kahn avait finalement été écartée depuis la chambre du Sofitel New-Yorkais, mais la chute n’a jamais cessé. Elle a juste pris une autre tournure. L’Elysée est devenu un château accessible aux seuls danseurs transgenres qui se tortillent pour le plus grand plaisir de Macron le jeune et de Macron la retraitée de l’Education nationale. Il y a comme un problème. Un problème ? Il suffit de regarder ailleurs comme on dit chez les députés LREM.
Entretien avec Jean-Claude Rolinat, auteur de La Bombe africaine et ses fragmentations, préfacé par Alain Sanders (éditions Dualpha), publié sur le site de la réinformation européenne EuroLibertés (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
L’Afrique, une bombe ? Vraiment ?
Nous sommes face à une menace mortelle qui n’a jamais eu d’équivalent ; rien à voir avec les « grandes invasions » post-Empire romain de nos manuels scolaires ! C’est une épée de Damoclès qui plane sur nos têtes. Les premiers coups sont ces vagues d’immigrants qui, sans cesse, labourent les plages d’Europe, du détroit de Gibraltar aux archipels grecs. Des docteurs Folamour trahissent leurs concitoyens en facilitant un phénomène « d’invasion/immigration ». Même des ecclésiastiques travestissent et dévoient le message de l’Église, complices en cela du milliardaire George Soros qui est dans tous les mauvais coups portés contre la civilisation européenne. Des ONG type « SOS Méditerranée » veulent absolument nous culpabiliser. Serions-nous donc des « sans cœur », nous qui sommes conscients des conséquences de tout cela ? Et ça marche auprès de certains. Il n’est que de voir ces retraités, par ailleurs bien ponctionnés par Macron, s’affairer autour de marmites type soupe populaire, afin de nourrir les « migrants », pour qui ils ont benoîtement les yeux de Chimène !
Soyez plus précis : cette bombe, c’est quoi ?
Cette bombe n’est ni sexuelle, ni atomique, ni numérique, elle est DÉMOGRAPHIQUE ! L’Afrique est une usine humaine incroyablement prolifique. Jugez-en : en 1900, 100 millions d’habitants, l’homme blanc arrive avec ses médecins coloniaux. Petit à petit, ils vont éradiquer les grandes endémies, en 1990, le continent compte 640 millions de personnes, six fois plus en 90 ans ; il y a trois ans, en 2015, c’était déjà 1 milliard d’êtres humains, presque le double en 25 ans ! Nous sommes partis pour, excusez du peu ! 4 milliards 400 millions en 2100 ! C’est proprement invivable. Et pour eux ! Et pour nous ! Le Nigéria, par exemple, ce colosse aux pieds d’argile de l’Afrique de l’ouest, au bord de l’éclatement entre musulmans au Nord et chrétiens et animistes au Sud, aura 400 millions d’âmes à la fin du siècle, contre 190/200 de nos jours !
Les ressources alimentaires vont être un problème, sinon LE problème ?
L’écologiste René Dumont avait tiré la sonnette d’alarmes dans les années 1960, l’année de presque toutes les indépendances, et celle de la tragicomédie congolaise, dans un ouvrage intitulé L’Afrique noire est mal partie. Il est toujours d’actualité. Ses théories ont été renforcées par un autre livre paru chez Plon en 1976. Il disait, en gros, qu’une forte croissance démographique annulerait les progrès en agriculture et que la déforestation serait une catastrophe. Et comme si ces catastrophes parfois incontrôlables ne suffisaient pas, les gouvernements noirs, par idéologie, par vengeance et par « racialisme » pour ne pas dire plus – la haine du « Blanc » peut-être ? –, engendrent eux-mêmes des catastrophes économiques comme au Zimbabwe, l’ex-Rhodésie. Il faut se rappeler que la Rhodésie nourrissait non seulement son peuple, mais qu’elle exportait viande, tabac, maïs au lieu de les importer ! L’Afrique du Sud voisine du Président Cyril Ramaphosa, sous l’influence du raciste Julius Malema de son parti Economic freedom fighters (EFF), veut exproprier sans indemnité les quelque 40 000 fermiers afrikaners qui s’accrochent à leur terre ! C’est Ubu roi ! Ils vont faire « crever » ce pays déjà en complète récession. Rappelons qu’à l’arrivée de leurs descendants, il n’y avait pas un seul Noir dans cette partie du sous-continent, seulement quelques tribus d’aborigènes Hottentots, et des bushmen, comme ceux qui jouent dans le film comique, Les Dieux sont tombés sur la tête.
Pouvez-vous nous donner quelques exemples chiffrés de la catastrophe démographique que vous prédisez ?
S’il fallait ne retenir que quelques chiffres, ce sont ceux des indices synthétiques de fécondité du Niger par exemple, 7 enfants par femme, que même un Macron stigmatisait lors de son discours de Ouagadougou en novembre 2017 ; 6,06 au Mali, où nos soldats font le boulot que ne veulent pas faire ces jeunes qui fuient leur pays et qui inondent la France de leur masse migratoire ; 5,86 au Burkina Faso ; 5,31 de moyenne en Afrique du Sud alors que les femmes blanches qui sont restées dans leur pays, menacées de mort et de viols, n’en étaient qu’à 1,4 il y a dix ans, moins sans doute encore aujourd’hui, mais comme on les comprend : qui voudrait enfanter dans le beau pays « Arc-en-ciel » de feu Nelson Mandela, qui fut le plus développé, et de loin, de tous les pays du continent ?
Plus précisément, qu’elle est la situation en France ?
En France, ne nous faisons pas d’illusions : un tiers des naissances, grosso modo, sont le fait d’immigrés récents ou d’immigrés de deuxième ou troisième génération, dont beaucoup sont « francisés », tout au moins sur le papier. Nous n’avons qu’à observer les chiffres de la drépanocytose – une maladie du sang qui ne touche que les Africains, les Antillais ou les méditerranéens du Sud pour, par décantation –, avoir forcément une petite idée du panorama démographique français…
La Bombe africaine et ses fragmentations, de Jean-Claude Rolinat, préface d’Alain Sanders, éditions Dualpha, collection « Vérités Pour L’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 570 pages, 37 euros cliquez ici.
L'intervention de Jean-Claude Rolinat à la 12e Journée de Synthèse nationale (Rungis, 14 octobre 2018 cliquez ici)
Face à la désintégration nationale, au communautarisme qui vire au tribalisme et la destruction de nos valeurs de civilisation, le président du Parti de la France n’a pas hésité à qualifier d’acte de survie le combat politique à mener pour les élections.
Lors de son intervention applaudie à la 12e Journée de Synthèse nationale, Carl Lang a dressé la liste des actions anti-France menées depuis des décennies par les gouvernements successifs et la trahison des élites, plus que jamais d’actualité. Il a aussi déploré la contestation et l’opposition passives de milliers de militants et de sympathisants qui ont été déçus ou trahis par les partis traditionnels de droite.
De fait, il n’a pas épargné la stratégie désastreuse du feu Front national à la présidentielle et l’impact sur ses militants. Il a même ironisé sur le fait que ledit nouveau Rassemblement national voyait plutôt une hémorragie de ses membres. Le Parti de la France leur tend tout naturellement la main et leur prouve qu’il n’a jamais renié les fondamentaux qui avaient permis l’essor du FN historique.
« Combien faudra-t-il encore d’attentats terroristes pour comprendre que la France est colonisée ? Nous sommes le dos au mur, nous ne devons pas perdre ce combat. Nous sommes en état de légitime défense historique. Il faut sauver la France d’abord. Ensuite une autre Europe, historique, culturelle, spirituelle est à construire. Une Europe des nations, des patries dans le respect de nos valeurs, de notre identité, conforme aux aspirations des peuples… Il s’agit d’un enjeu de civilisation. »
La trahison des élites revient dans le discours de Carl Lang qui dénonce le projet avancé, déjà réalité dans nos territoires à reconquérir, de « vivre-ensemble dans la charia (loi coranique) » dans une « république islamique » conforme à l’idéologie mondialiste dont le peuple est matraqué quotidiennement.
Si le Parti de la France n’est, pour l’instant, pas visible dans le panorama politique, les médias aux ordres faisant silence sur son agenda et ses actions, il représente pourtant la force du sursaut national https://www.parti-de-la-france.fr.
Depuis sa création en 2009, il ne cesse de s’étoffer en sympathisants, adhérents, militants et cadres. Appelant à rejoindre ses rangs, Carl Lang met en garde : « Ne pas voter, c’est laisser les autres s’exprimer. Le système est ainsi, il repose sur les élections. Faire connaître nos idées, notre programme, nos candidats, c’est se préparer…»