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lundi, 15 octobre 2018

Suède : un migrant célèbre sa naturalisation en violant une femme et lui dit : « Maintenant je peux faire ce que je veux »

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Un migrant de 29 ans a été condamné à la prison pour avoir violé une femme dans un bain public sur l’île d’Ingarö, près de Stockholm, rapporte Fria Tider.

La femme ne savait pas bien nager : il l’a poussée à l’eau à partir d’un quai de baignade en béton, et a commis le viol dans l’eau.

Quand elle a tenté d’appeler à l’aide, il lui a tiré les cheveux pour lui mettre la tête sous l’eau, à plusieurs reprises. Il a également mordu la femme, qui pleurait et le suppliait d’arrêter, terrorisée par le risque de se noyer.

Ensuite, il lui a dit de n’en parler à personne, précisant qu’il pouvait lui faire ce qu’il voulait maintenant qu’il était devenu citoyen suédois.

Au tribunal, il a affirmé que les rapports sexuels avaient été consentis – ce qui n’a pas convaincu.

Il a aussi admis que ce qu’il avait fait était mal (haram), ajoutant qu’il avait conseillé à la femme d’aller voir un imam, car une bonne musulmane doit rester vierge jusqu’au mariage. Au lever du soleil, il a demandé pardon à Allah.

L’homme a été condamné à trois ans d’emprisonnement et 12’000 € de dommages et intérêts.

Il ne peut pas être expulsé, en vertu de la législation actuelle, car il a été naturalisé.

Source : Voice of Europe

Traduction libre Cenator pour LesObservateurs.ch

En Seine-Saint-Denis, l’Islam régit jusqu’à qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Par  le 15/10/2018

En Seine-Saint-Denis, l’Islam régit jusqu’à qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire

 

Pierre Sautarel@FrDesouche
 
 En Seine-Saint-Denis, l'Islam régit jusqu'à qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire

Toulouse (31) : « figure du salafisme local », le directeur d’une école privée musulmane placé en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Par  le 14/10/2018

 

Le fondateur du groupe scolaire Al-Badr à Toulouse (Haute-Garonne) a été placé sous contrôle judiciaire en attendant une audience correctionnelle convoquée en janvier prochain. Imam salafiste, hostile à la violence, Abdelfattah Rahhaoui, il avait été interdit d’enseigner « pour enseignement non conforme » en 2016.

C’est un nouvel épisode de l’affrontement qui dure depuis 2013 entre l’école religieuse du quartier Bellefontaine, à Toulouse, d’une part, le parquet et l’Éducation nationale d’autre part. Le fondateur du groupe scolaire a été placé en garde à vue jeudi matin. Il a été déféré devant le parquet de Toulouse après 36 heures de retenue. Il a été placé sous contrôle judiciaire en attendant une audience correctionnelle convoquée en janvier prochain. L’information a été confirmée au Point par le parquet de Toulouse et par maître Samim Bolaky, l’avocat du mis en cause.

La justice lui reproche de ne pas s’être soumis à une interdiction d’enseigner prononcée par jugement en 2016. Il est également poursuivi pour travail dissimulé. Le jugement de 2016 est frappé d’appel, mais une QPC [question prioritaire de constitutionnalité] plaidée devant le Conseil constitutionnel a ralenti la procédure. L’appel doit finalement être jugé en novembre. […]

Abdelfattah Rahhaoui est une figure du salafisme local. En 2012, il avait participé à l’enterrement du terroriste Mohammed Merah tout en se démarquant publiquement et fermement de ses meurtres. Les services de renseignements locaux le considèrent comme un prosélyte du salafisme. Il n’a jamais fait l’objet de poursuites liées au terrorisme. […]

news.yahoo  via fdesouche

Des ex-guérilleros communistes des FARC bientôt dans la forêt des Landes

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Par  le 15/10/2018 

Vous vous dites que c’est une information délirante mais c’est bien un vrai projet. Le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, une grande région du sud-ouest de la France, envisage à terme d’accueillir d’anciens guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie – plus connues sous le sigle des FARC – afin de les former au métier d’éco-guide. Ils feraient notamment leur apprentissage sur le terrain dans la belle forêt des Landes.

Le surprenant dossier a été mis sur la table lors d’une récente réunion de la commission permanente du Conseil régional, indique la presse locale. Les initiateurs, les élus socialistes, expliquent qu’il s’agit de « répondre à la problématique de la réinsertion des anciens combattants des FARC ». La plus ancienne guérilla colombienne, d’inspiration marxiste, a effectivement déposé les armes après plus de cinquante ans d’un conflit armé qui a fait 260 000 morts et provoqué le déplacement de plusieurs millions d’habitants; un accord de paix avec le gouvernement colombien a été signé le 26 septembre 2016.

Aider la région du Narino en matière de biodiversité

Le Parc naturel régional des Landes de Gascogne deviendrait ainsi l’espace de reconversion choisi. Lors de la tenue de la commission, il s’est d’ailleurs vu attribuer une subvention de 30 000 euros. Les formations d’éco-guides, précise le projet, « permettront d’apporter des solutions aux problématiques de déforestation et de détérioration de la biodiversité » qui sont très importantes dans la région qu’a décidé d’aider le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, le département du Narino, situé dans le sud-ouest de la Colombie. (…)

Euronews via fdesouche

dimanche, 14 octobre 2018

Le Parlement européen retirera une affiche « islamophobe » et présente ses excuses

Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2018

 

À huit mois des élections, le Parlement européen a lancé une opération de communication pour encourager le citoyen à voter. Classique. Sauf que le dispositif comporte une affiche monumentale qui véhicule selon certains un message islamophobe. Le président de l’hémicycle, Antonio Tajani, a transmis les excuses de ses services « pour toute offense causée » et a précisé que les affiches seraient retirées à Bruxelles et Strasbourg « aussi vite que possible ».

Exposée avec d’autres images au cœur de l’esplanade Simone Veil, porte d’entrée du Parlement européen à Bruxelles, la photo d’un petit groupe de musulmans a été choisie pour illustrer la thématique migratoire. L’image montre des personnes (une famille?) assises au ras du sol, prises à distance et de profil.

L’absence de contact visuel entre les sujets et l’objectif renforce l’effet de distance, et l’utilisation d’un mur pour cadrer l’image ajoute au tableau un effet scrutateur. Un slogan en anglais accompagne la photo: « Parce que nous devons travailler ensemble pour gérer la migration. » L’eurodéputé conservateur britannique Sajjad Karim a dénoncé la semaine dernière cette affiche comme islamophobe. C’est aussi le point de vue du Réseau européen contre le racisme, pour qui le message de l’affiche assimilerait la gestion de la migration à la limitation de l’entrée des musulmans en Europe.

Le Parlement s’est défendu de vouloir véhiculer toute idée de ce type. […]

L’Echo via fdesouche