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samedi, 27 octobre 2018

Le « journaliste » Elkabbach ment grossièrement sur Faurisson, Marine Le Pen acquiesce (et attaque Gollnisch ailleurs)

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2018

Auteur : admin4

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Le pseudo journaliste – mais vrai militant et inquisiteur communautaire – Jean-Pierre Elkabbach recevait ces jours-ci Marine Le Pen et évoqua à un moment le professeur Faurison, récemment décédé après une vie de persécution. Mais sa mort n’arrête pas les calomniateurs.

Comment Elkabbach présente-t-il celui qui a enquêté toute sa vie sur la « possibilité technique des chambres à gaz homicides » ?

D’après lui, jusqu’à la fin de sa vie, le professeur « a nié l’existence des camps, pour lui Auschwitz n’a jamais existé » !

Un énorme bobard, évidemment volontaire de la part de ce journaliste expérimenté, qui essaye là de faire croire au grand public ignorant que Faurisson est un fou furieux qui nie l’existence des camps de concentration, ce qu’évidemment personne ne fait.

Marine Le Pen, évidemment au garde-à-vous devant le tribunal médiatique, ne bronche pas, et, espérant que le révisionnisme historique ne soit plus de mise en France, rejette cet encombrant bébé sur « les pays arabes ».

Tout le monde est content.


Par ailleurs, l’eurodéputé Bruno Gollnisch avait, à l’annonce de la mort de Robert Faurisson, déclaré simplement et honnêtement : « il paraît que ses positions sont abominables, affreuses, qu’elles ne reposent sur rien. Il devrait être facile de le prouver »,jugeant l’homme « persécuté ».

Une prise de position qui a irrité Marine Le Pen. « C’est par ce genre de déclarations que Bruno Gollnisch s’est marginalisé au sein du RN. Nous n’avons au mouvement aucune proximité ni aucune complaisance à l’égard de monsieur Faurisson, qui a fait du révisionnisme l’alpha et l’omega de son existence » a-t-elle indiqué.

On se permettra d’avoir d’autres idées concernant l’éviction de Bruno Gollnisch à la tête du Front national (Marine Le Pen parle de « RN » faisant un anachronisme).

 

Source : contre-info

vendredi, 26 octobre 2018

Chronique des cinglés

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

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Chronique des cinglés

La cour d’appel de Montpellier devait rendre mercredi 24 octobre un arrêt sur un cas bien particulier. Mais elle a reporté sa décision au 14 novembre.

Premier délire, en 2011 : Bernard, époux de Marie et père de ses deux enfants, décide de devenir une femme, sans subir d’opération chirurgicale. Une transition acceptée aussi bien sur le plan familial que juridique. Le tribunal de Montpellier reconnaît « de façon irréversible son appartenance au sexe féminin, sans qu’aucune opération de réassignation sexuelle n’ait été ni exigée ni pratiquée. ».

Mais le délire se poursuit en 2014 : Marie donne naissance à leur troisième enfant, conçu avec Bernard devenu donc entre-temps Claire. Les deux parents veulent alors être reconnus comme mères de l’enfant. Et oui, refusant d’adopter son propre enfant, et ne pouvant pas être qualifié de père puisque le tribunal l’avait reconnu comme femme, Bernard-Claire décide de saisir le tribunal de grande instance de Montpellier. Le 22 juillet 2016, celui-ci refuse cette solution jugeant que « par l’acte de procréation masculine qu’elle revendique », Claire « a fait le choix de revenir de façon unilatérale sur le fait qu’elle est désormais reconnue comme une personne de sexe féminin, et doit en assumer les conséquences ». Les parents ont donc fait appel.

En droit, la filiation paternelle et maternelle ne s’établit pas de la même manière. La maternité est établie biologiquement : la mère est la femme qui porte l’enfant et qui le met au monde. La maternité se prouve donc “par la gestation et par l’accouchement”. Quant à la paternité, le mari de la mère qui accouche est présumé être le père de l’enfant. En cas d’union libre ou de Pacs, le lien paternel est établi par la reconnaissance de paternité, une démarche effectuée par le père, avant ou après la naissance.

Pierre Paliès, l’avocat de l’enfant (!), saisi par l’Union Départementale des Associations Familiales, estime que Bernard-Claire doit être reconnu comme le père de l’enfant.

«Nous sommes face à ceux femmes qui demandent à être les mères biologiques de cet enfant. Il est incontestable que ce couple est composé de deux femmes, et il n’est pas question de revenir là-dessus. Mais nous avons un deuxième constat : cet enfant est né des ovocytes de l’un des parents, et des spermatozoïdes de l’autre. Nous disons donc que Claire est le père de l’enfant. ça peut paraître choquant, mais c’est la seule position logique juridiquement. Cette paternité n’est pas contestable biologiquement. Ce qui est original, c’est que ce soit juridiquement une femme qui soit l’origine masculine de l’enfant.»

 

Source : lesalonbeige

Le CEDH défend l’islam

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

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Le CEDH défend l’islam

Il est désormais interdit de critiquer cette religion de paix, d’amour et de déséquilibrés :

La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a fait savoir hier que l’islam est une religion spécialement protégée en Europe, au point qu’il est normal d’être condamné par la justice si on dit la vérité.

Une conférencière autrichienne avait été condamnée à une amende de 480€ en 2011 pour « dénigrement de doctrines religieuses », parce qu’elle avait rappelé lors de deux séminaires du FPÖ que Mahomet avait épousé une fille de six ans et que ce n’était pas autre chose que de la pédophilie.

Ayant épuisé les recours en Autriche, cette femme s’était adressée à la CEDH. Laquelle vient donc de valider le jugement autrichien, qui, selon l’instance censée garantir les droits de l’homme, visait à préserver la paix religieuse et par conséquent ne viole pas la liberté d’expression… Un raisonnement qui permet donc de condamner toute critique de l’islam.

 

Source : lesalonbeige

Le Canada célèbre le “Mois de l’histoire et de l’héritage islamiques”

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

Par  le 25/10/2018

 

Article du site musulman oumma sur la célébration au Canada du “Mois de l’histoire et de l’héritage islamiques”.

Dans un Canada qui s’est paré de ses plus belles couleurs automnales, le mois d’octobre flamboyant, comme chaque année à la même période, est placé sous le signe de l’hommage rendu à la communauté musulmane pour ses précieuses contributions, sa pierre apportée à la consolidation du vivre-ensemble , sous la bannière lumineuse du « Mois de l’histoire et de l’héritage islamiques ». […]

En sa qualité d’historien, il est revenu à Hessam Monir, lors du discours inaugural, l’insigne honneur de retracer la genèse de l’islam sur le sol canadien il y a 150 ans de cela, soit dès la fondation du pays en 1867. Chiffres à l’appui, ce dernier a mis en lumière l’augmentation notable de la communauté musulmane depuis 1931, passant de 645 personnes à 33 000 en 1971, jusqu’à représenter de nos jours 3,2% de la population globale, comptant en son sein plus d’un million d’individus.

Il a également insisté sur les bonnes relations que les immigrés de confession musulmane ont toujours entretenues avec les autochtones, tout en se félicitant qu’une mosquée ait récemment ouvert ses portes à Whiteworse, la capitale du territoire de Yukon, et que des phares de l’islam aient pu émerger dans toutes les provinces du pays, certains rayonnant même à plusieurs kilomètres à la ronde. […]

De son côté, Pablo Rodriguez, le ministre de l’Héritage culturel, a tenu à exprimer à la communauté musulmane, au nom de la nation, ses remerciements et sa gratitude pour l’ensemble des services qu’elle a rendus au Canada.

« Les musulmans ont enrichi notre société et nous ont aidés dans de nombreux domaines.J’invite tous les Canadiens à participer aux programmes de ce mois, pour être informés sur ces services. La civilisation islamique n’appartient pas exclusivement aux musulmans mais à tous les Canadiens !», a-t-il clamé avec un lyrisme qui a profondément touché les musulmans et sied à ce mois d’octobre qui leur est dédié, enchanteur à plus d’un titre.

oumma via fdesouche

Deux migrants violent une jeune fille de 16 ans et s’endorment à leur procès : « On doit tenir compte de l’aspect culturel » selon le médecin légiste

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

Par  le 24/10/2018

 

Höhenkirchen-Siegertsbrunn – C’est un crime qui avait fait la une dans tout le pays en automne 2017 : deux réfugiés auraient violé ensemble une adolescente de 16 ans dans les environs de la gare à Höhenkirchen-Siegertsbrunn. Les deux violeurs présumés Walid P. et Farid A. (noms modifiés), qui doivent répondre de leurs actes devant le tribunal de Münich, risquent plusieurs années d’emprisonnement. Les deux jeunes hommes risquent donc gros.

Pourtant, à la reprise du procès jeudi, les accusés s’assoupissent plusieurs fois devant le tribunal. Le juge Stephan Kirchinger finit par perdre patience : « Si vous voulez dormir, nous devrons interrompre la séance » déclare-t-il avec colère à l’adresse de Walid P.

Après cet éclat, les deux accusés suivent enfin attentivement les déclarations de l’expert médical. Celui-ci explique d’abord que tant les deux réfugiés afghans que leur victime étaient en état d’ébriété. Farid A. (18 ans) aurait même eu au moment des faits un taux d’alcoolémie de 1.86 pourmille. Alors que l’expert considère Walid P. clairement pleinement responsable de ses actes, il voit Farid A. « à la limite d’un contrôle diminué ».

Le spécialiste en médecine légale n’évoque cependant pas que cette intoxication. Il faudrait « également tenir compte du fait qu’il vient d’une culture différente », déclare le médecin au sujet de Farid A. « Le taux d’alcoolémie élevé de Monsieur A. a induit une désinhibition qui l’a fait dépasser sa capacité de jugement. » La pondération est « complètement différente quand on grandit dans cette culture et pas dans une culture occidentale ».

Au sujet de l’Afghanistan, le médecin déclare : « Là-bas, une femme ne vaut rien et l’homme passe avant tout. » La socialisation a une influence sur la manière de se contrôler. Selon l’expert, il est cependant également clair que A. avait connaissance du droit local. Le juge précise rapidement que pour lui, seule la consommation d’alocool joue un rôle dans l’évaluation d’une éventuelle baisse de la capacité de discernement. Il dit au médecin ne pas très bien comprendre en quoi le manque de socialisation influence la capacité de discernement. Le processus continue.

Merkur.de via fdesouche