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samedi, 20 octobre 2018

Exemple de gestion prolétarienne, Sophia Chikirou facturait 10.000 euros par mois sa « direction de la communication » de Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Chargée de la communication de Jean-Luc Mélenchon durant la campagne présidentielle, Sophia Chikirou va être entendue par la police. En cause, les factures de Mediascop, la société de communication de Sophia Chikirou, dont les prestations s’élèvent à près d’1,2 million d’euros, soit 11% du budget total de la campagne de Jean-Luc Mélenchon.

Or, ces factures ont été remboursées par l’Etat. Mais les enquêteurs soupçonnent des surfacturations. Mediascop employait alors une dizaine des membres de l’équipe du candidat Mélenchon et aurait facturé très cher certaines prestations.

En tant que digne représentante du prolétariat chargée de la « direction de la communication », Sophia Chikirou a facturé ses prestations pour les huit mois de campagne présidentielle à 80.000 euros hors taxes, soit la modique somme de 10.000 euros par mois.

Véritable forçat du travail, Sophia Chikirou a également pris en main la « rédaction des scenario » des clips de campagne diffusés sur France Télévisions. Et comme tout travail mérite salaire, ce travail rédactionnel harassant a été facturé par Mediascop la bagatelle de 6.000 euros.

De toute évidence, les marxistes de Mediascop avaient adopté les tarifs capitalistes. Pratiquant la facturation « à la tâche »,  Mediascop réclamait 200 euros la minute pour le « sous-titrage de vidéos publiées sur le compte Facebook du candidat » alors que les tarifs pratiqués par les sociétés spécialisées sont généralement de 15 euros la minute pour 30 minutes de travail.

Fidèle à la devise “Fais ce que je dis, pas ce que je fais”, et malgré d’impressionnants bénéfices, la mélenchoniste Sophia Chikirou se révèle être une patronne ultra-libérale : les employés de Mediascop les plus privilégiés étaient payés 1.500 euros par mois en CDD, les autres se contentaient d’honoraires au titre d’auto-entrepreneurs.

 

Source : medias-presse.info

 

Rouen : une racaille prend en otage et frappe le bébé d’une femme pour l’emmener et la violer

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018

Auteur : admin4
contre-info

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Horrible affaire, hélas appelée à se répéter dans la « France d’après ».

Lundi 15 octobre, vers 22 heures, dans la zone de sécurité prioritaire des Hauts-de-Rouen :

« une patrouille de police se rend à proximité d’un sous-bois afin de secourir une femme. Cette dernière, en état de choc, a alerté la police en déclarant avoir été victime d’un viol en présence de son enfant, âgé de 2 ans. Prise en charge par des policiers de la brigade anticriminalité (BAC), la victime est conduite à l’hôpital pour y recevoir les premiers soins. Malgré le traumatisme, elle parvient à relater les circonstances de son agression.

La jeune femme explique avoir été surprise par un inconnu alors qu’elle venait de stationner sa voiture devant son domicile. Un homme a surgi et l’a empoignée et poussée à l’intérieur de son véhicule. L’agresseur monte à l’arrière et s’installe juste à côté de l’enfant de la victime, installé dans un siège auto. Très vite, l’inconnu menace de s’en prendre à son bambin si elle n’accède pas à ses demandes. Dans un premier temps, il exige de se faire conduire «  au quartier  », distant de deux kilomètres. Pour se faire obéir, il porte des coups à la fillette. La mère de famille obtempère et prend la direction indiquée.

La victime indique encore avoir entendu son agresseur passer un appel téléphonique au cours duquel il a indiqué «  amener un cadeau  » à son interlocuteur. Comprenant alors la situation, la conductrice cherche à gagner du temps, mais l’inconnu l’oblige à stopper son véhicule à proximité d’un sous-bois. La victime a ensuite été frappée par son agresseur puis violée. L’inconnu a fini par prendre la fuite. […] »

Grâce à un portrait-robot, l’individu aurait été interpellé dans la rue hier (en possession d’un peu de drogue). (Source)

Un dispositif anti-pipi contre ceux qui urinent dans la rue à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018

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Pour lutter contre les nuisances odorantes, des dispositifs anti-urine sont placés à certains endroits stratégiques du centre-ville par les agents municipaux.

Qui ne s'est jamais pincé le nez en passant dans certaines rues du centre-ville ? Les odeurs d'urine constituent un véritable problème dans la Ville rose, en particulier à proximité des lieux festifs comme les boîtes de nuit. Pour y remédier, la mairie de Toulouse a souhaité accentuer la répression : la police municipale peut dresser une amende forfaitaire de 68 € contre les personnes indélicates, tandis qu'une brigade contre les incivilités a été créée au printemps (voir encadré).

Elle a également mis en place un dispositif original : les plaques de tôle. Ce dispositif expérimenté depuis trois ans dans trois lieux de la Ville rose : les Carmes, la Daurade, la rue des Trois journées et rue du Taur a montré son efficacité selon Emilion Esnault, vice-président en charge de la propreté. Les plaques sont placées de façon ponctuelle à certains endroits problématiques et ne coûtent pas grand-chose puisqu'elles sont fabriquées par les agents municipaux. Un «point noir» rue des Filatiers en a été doté dernièrement. «Ce dispositif a un effet dissuasif, sur le principe de l'arroseur/arrosé. On le déploie surtout dans les «points noirs». Dans certains endroits, les produits que les agents mettent ne suffisent pas à masquer les odeurs, dans d'autres, l'urine entre dans les parties privatives, notamment les garages», souligne le vice-président.

Si le dispositif anti-urine a effectivement un effet repoussoir, cela ne résout pas le problème de fond. «Ça repousse le problème ailleurs, nous allons continuer à déployer ce dispositif, mais il est hors de question de couvrir tous les murs de Toulouse. C'est simplement un outil validé, qui marche pour dissiper les endroits problématiques.»

«Ma rue est un véritable urinoir»

Un dispositif anti-urine, Philippe, gérant d'un commerce de gaufres rue du Taur, aimerait en avoir un dans sa rue. «Là où je vis, rue de l'Esquile, c'est un véritable urinoir, il y a un bar à côté de chez moi, je suis donc obligé de jeter des seaux d'eau de javel tous les matins, mais ça ne suffit pas ! Je pense qu'il faudrait plus de toilettes publiques, les gens qui passent devant mon commerce demandent très souvent à aller aux toilettes. Et il y a également la pisse de chien à prendre en compte», soupire-t-il. Benoît et ses collègues ouvriers, attablés autour d'une bière, à quelques mètres de là, approuvent : «C'est vrai que dans certains endroits du centre-ville, surtout le soir, on patauge dans l'urine. Il faudrait placer des toilettes publiques vers les boîtes de nuit, ça éviterait ce genre de problème !» Pour Jean-Guillaume, barman rue du Taur, la mairie devrait surtout privilégier la prévention via des campagnes de communication. «Ce dispositif n'est pas une façon de résoudre le problème. Les gens iront juste faire pipi un peu plus loin !»

Une amende pouvant atteindre 450 euros

En avril dernier, le maire et président de la Métropole, Jean-Luc Moudenc, et Emilion Esnault, vice-président en charge de la propreté, ont officialisé la création d'une «brigade contre les incivilités». 25 agents en civil sont désormais habilités à sanctionner les infractions quotidiennes.

Uriner sur la voie publique en fait partie, mais cela concerne également le fait de jeter un mégot, une canette par terre ou ne pas ramasser les déjections de son chien par exemple. Pour toutes les incivilités mentionnées, la police municipale peut dresser une amende forfaitaire de 68 €. Les agents de la brigade contre les incivilités établissent, eux, un procès-verbal qu'ils adressent ensuite à l'Officier du ministère public. C'est au terme de cette procédure judiciaire que le montant de l'amende est établi. Pour une miction, une déjection canine, un jet de mégot ou de déchets, le montant de la contravention peut atteindre jusqu'à 450 €. Emilion Esnault indique que de nombreux procès-verbaux ont déjà été dressés depuis le printemps : «Plus de 1500 à la fin du mois de septembre, soit le double par rapport à l'an dernier». Une grande part d'entre eux concerne le fait d'uriner sur la voie publique. Rappelons que le nettoyage des rues coûte 45 M€ par an à la Métropole.


Le chiffre : 1 500

procès-verbaux > dressés à la fin du mois de septembre. par la brigade contre les incivilités mise en place en avril pour lutter contre les infractions quotidiennes, et notamment le fait d'uriner sur la voie publique.

Continuité de la préférence homosexuelle à la culture

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018 

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Continuité de la préférence homosexuelle à la culture

 De Bernard Antony :

Le nouveau ministre de la culture, Franck Riester, a toujours affirmé son orientation homosexuelle. Comme ce fut d’ailleurs, depuis longtemps, le cas de tous ses prédécesseurs masculins à ce poste. Aussi sa déclaration sur sa propre désignation par Emmanuel Macron suscite-t-elle une certaine ironie chez certains « pince sans rire » car évidemment susceptible d’une double compréhension : « choisir un Constructif, c’est un geste fort ! ».

Cela ne rappelle-t-il pas en effet certains propos de Frédéric Mitterrand, le ministre de la culture de Nicolas Sarkozy qui se défendait fermement de toute accusation d’affection pédophile en Thaïlande en rappelant bien plutôt son goût pour un boxeur bien construit ?

Cela dit, certains posent de plus en plus la question de la réalité d’une discrimination apparemment anti-hétérosexuelle fréquente dans les milieux de la culture, des medias et de la communication politique. Il est tout de même vrai que Riester doit encore assumer la tare d’être un de ces mâles blancs dont Anne Lauvergeon ne voulait plus du recrutement « à compétences égales », ce qui lui valut les poursuites de l’AGRIF.

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 19 octobre 2018

Saint-Pol-sur-Mer/Dunkerque (59) : des migrants ont pris possession de la piscine, les familles ont peur

Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2018

Par  le 18/10/2018 

Loin de moi l’idée d’être contre les migrants. Ils ont suffisamment de problèmes. Ce que je ne peux pas laisser passer, par contre, c’est qu’ils aient des gestes déplacés devant des enfants. »

Jocelyne Catoen décrit alors la scène à laquelle elle a assisté avec sa petite-fille de 6 ans. « Ils glissaient leur main sous leur slip de bain et se frottaient (le sexe, ndlr). Ils se lavaient peut-être, mais ça ne se fait pas quand on est entouré de femmes et d’enfants. Il s’agit de douches mixtes à la piscine Guynemer. »

(…) Jocelyne s’inquiète. « Ils sont de plus en plus nombreux. Il y a deux semaines, ils étaient une dizaine à l’heure du cours de natation de ma petite-fille. On avait pu se doucher. Sur la dizaine de douches de la piscine, trois restaient libres. »

Mais la situation a empiré la semaine suivante. « Je n’ai rien contre le fait qu’ils viennent à la piscine, mais, cette fois-ci, ils devaient bien être une cinquantaine. Toutes les douches étaient réquisitionnées et, dans les bassins, ils restaient groupés, sans bouger ni nager. Et leurs regards étaient loin d’être amicaux. Les enfants n’osaient pas s’en approcher. »

Les larmes de sa petite-fille l’ont poussée à agir. « Elle qui aime profiter de la piscine après sa leçon de natation ne voulait plus rester. Avec deux ou trois mamans, on a dû créer un passage entre les migrants, pour permettre aux petits d’avoir accès aux vestiaires. Ils étaient effrayés. »

(…)