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jeudi, 08 novembre 2018

Macron usurpe les commémorations du centenaire de la Grande Guerre pour lancer ses projets de gouvernance mondiale

Publié par Guy Jovelin le 08 novembre2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Emmanuel Macron était doué pour la comédie si l’on en croit les témoignages de ses condisciples lorsque Brigitte était son enseignante et qu’ils travaillaient ensemble à un projet théâtral.

C’est sans doute ce qui explique l’air solennel qu’il peut prendre durant ses visites sur les lieux les plus marquants des combats de la Première Guerre mondiale en France, comme aux Eparges, commune de la Meuse qu’il a visitée avec son maire, le Colonel Xavier Pierson, ancien directeur du Mémorial de Verdun.

Mais le même Emmanuel Macron a choisi la date ô combien symbolique du 11 novembre 2018 pour ouvrir à Paris un Forum dont l’objectif est la mise en place de la gouvernance mondiale !

Sous le nom passe-partout de Forum de Paris sur la paix, c’est bel et bien le Nouvel Ordre Mondial qui se dessine.

Et pour qu’on ne vienne pas dire que nous exagérons, concentrons-nous simplement sur ce que chacun peut lire sur le site web officiel de ce Forum.

« Le premier Forum de Paris auquel nous vous inviterons le 11 novembre prochain sera aussi l’occasion de réfléchir à l’organisation du monde en marge des commémorations de la fin de la Grande Guerre pour bien souligner quelle est notre responsabilité collective à nous qui devrions savoir mieux que tous nos prédécesseurs ce qui a conduit l’humanité au malheur dans le passé et ce qui pourrait causer sa perte à l’avenir. »

Emmanuel Macron, le 4 janvier 2018

Autre extrait :

Le Forum de Paris sur la Paix est une organisation indépendante dont l’initiative a été lancée par le président Macron au cours de l’été 2017. La première édition du Forum de Paris sur la Paix se tiendra du 11 au 13 novembre 2018 à La Grande halle de La Villette à Paris. Elle sera inaugurée par les chefs d’État et de gouvernement des pays invités par le président de la République française à la suite des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale.

Présentation des lieux :

L’espace des débats : des idées et initiatives y seront discutées et développées dans des formats de discussion innovants pour aboutir à des conclusions opérationnelles.

L’espace des solutions : des projets de gouvernance mondiale y seront présentés par des organisations et des individus qui ont été retenus à la suite d’un appel à candidatures.

L’espace de l’innovation : un hackathon portant sur la transparence des données financières y sera mené en collaboration avec des challengers et des mentors.

Et lorsque le lecteur clique sur projets de gouvernance mondiale, il peut lire :

Le Forum de Paris sur la Paix est la plateforme annuelle des projets de gouvernance mondiale. Conçue comme une réponse aux tensions croissantes dans le monde contemporain, il est fondé sur la conviction qu’une paix durable ne peut être atteinte que par une coopération transnationale. Le Forum de Paris sur la Paix vise ainsi à être le lieu de toutes les solutions de coopération dans les domaines de la paix et de la sécurité, de l’environnement, du développement, des nouvelles technologies et de l’économie inclusive. Chaque année, il convoquera jusqu’à 20 000 personnes issues de la politique, de l’économie, des universités, des médias et de la société civile pour discuter et faire progresser les projets de gouvernance dans ces domaines.

Le Comité de sélection du Forum de Paris sur la Paix a reçu près de 900 candidatures issues de 116 pays. Parmi celles-ci, 119 projets ont été sélectionnés pour être présentés dans le cadre de la première édition du Forum de Paris sur la Paix qui se déroulera du 11 au 13 novembre 2018 à La Grande Halle de La Villette à Paris.

Pour les porteurs de projet sélectionnés c’est l’occasion unique de rencontrer des acteurs de la gouvernance mondiale, de faire connaître et de discuter de leurs idées avec des experts ou des décideurs et de faire avancer leurs initiatives.

Le Comité de sélection a étudié toutes les candidatures et a fait son choix au regard de la qualité des projets ainsi que d’une représentation géographique équilibrée. Les porteurs de projet sélectionnés représentent les acteurs clés de la gouvernance mondiale, notamment les organisations internationales ainsi que la société civile et, plus particulièrement, les ONG, les fondations, les think tanks, les universités et les entreprises.

C’est Jacques Attali qui doit être fier de son Macron.

 

Source : medias-presse.info

Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2018

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Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration

Katalin Novák, secrétaire d’Etat à la Famille au sein du « ministère des capacités humaines », a dévoiléle nouveau questionnaire de Consultation Nationale qui va être envoyé aux foyers hongrois. Le titre : « Défense de la famille ». Chaque question est précédée d’un bref argumentaire donnant la position du gouvernement.

La première des dix questions a immédiatement suscité la colère de Bruxelles :

« Etes-vous d’accord qu’on ne doit pas remédier au déclin de la population par l’immigration, mais par un soutien accru aux familles ? »

L’argumentaire souligne que « les bureaucrates de Bruxelles » veulent résoudre le problème du déclin démographique par l’immigration, un « mécanisme permanent d’installation » et une « Agence européenne d’immigration ».

Parmi les autres questions :

  • la maternité doit-elle être reconnue comme un emploi à plein temps pour les femmes élevant au moins quatre enfants,
  • le droit de l’enfant à un père et à une mère doit-il être inscrit dans la Constitution,
  • les jeunes qui fondent une famille, et les membres de la famille qui s’occupent de leur enfant malade, doivent-ils être davantage soutenus,
  • la protection du développement intellectuel et physique des enfants est-elle une valeur que l’État doit défendre.

L’argumentaire de la dixième question dénonce les coupes du soutien aux familles par la coalition socialiste-libérale de 2002 et la question demande s’il faut garantir une « protection des deux tiers », à savoir inscrire dans la Constitution le soutien aux familles.

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 07 novembre 2018

Taxes sur le carburant : Darmanin contredit Macron et révèle que c’est pour financer l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

Auteur : admin4
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Gérald Moussa Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, répondait sur LCI à une question sur le prix des carburants et la colère qu’il suscite légitimement.

Alors que Macron explique partout les taxes sur le carburant – et leur hausse à venir, alors que les prix sont déjà extrêmement élevés – sert à financer « la transition écologique » (« C’est de l’écologie, il faut le faire »), son ministre Darmanin donne une toute autre version et crache le morceau :

darmanin.jpg

Autrement dit, ces taxes servent à rééquilibrer un peu le budget de l’Etat plombé par l’immigration massive (entre autres : allocations, CMU, RSA, etc.)

 

Source : contre-info

Fusion des régions. Le budget de la région Occitanie a augmenté d’un milliard d’euros

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

Carole Delga

 
  4 novembre 2018

04/11/2018 – 18h05 Toulouse (Lengadoc-info.com) – Les budgets de fonctionnement des nouvelles régions ont explosé et l’Occitanie se retrouve aujourd’hui à la tête du classement des régions les plus coûteuses. Comment en est-on arrivé là alors même que l’objectif affiché de cette fusion des régions voulue par François Hollande était de réaliser des économies ?

Coût d’une séance plénière du conseil régional d’Occitanie : 137 170 € par jour

En fusionnant les anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon sans diminuer le nombre d’élus, la nouvelle région Occitanie s’est alors retrouvée avec un nombre d’élus si important (158) que ni l’hôtel de région à Toulouse ni celui à Montpellier n’ont la capacité d’accueillir les séances plénières du nouveau conseil régional.

Résultat des courses, ces séances ont donc lieu généralement au Parc des Expositions de Montpellier. Or cette délocalisation a un prix, et pas des moindres puisque, désormais, le coût d’une seule journée de séance plénière s’élève à 137 170 € !

Selon la présidente de la région, Carole Delga (PS), le coût des séances plénières s’élèverait à 400 000 € par an. Il faut dire qu’à chaque fois il faut tout déplacer : les élus, les dossiers, la climatisation, les moquettes, etc…

Des trajets qui ont explosé

Qui dit fusion de régions dit des régions plus grandes et donc des déplacements plus longs. Entre 2015 et 2016, le nombre de kilomètres effectués par les agents de la région Occitanie aurait augmenté de 78 % !

Même constat du côté des élus, qui pour certains doivent faire huit heures de route par jour pour seulement trois heures de réunion. Les frais de déplacement des élus s’élèverait à 646 000 euros en 2017.

Harmonisation des primes par le haut

Avant la fusion, les agents des régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ne possédaient pas le même système de prime. Il a donc fallu harmoniser ces primes avec la fusion, et les harmoniser, bien entendu, par le haut.

Résultat des courses, la région Occitanie a déboursé près de 5,5 millions d’euros par an.

Photos : Lengadoc Info

 

Source : lengadoc-info.com

Macron, cible des Français (et de l’ultra-droite)

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

Rédigé par notre équipe le 07 novembre 2018

L’air de rien, la semaine qui a débuté est très politique. Macron saisit les micros qui lui sont tendus, déroule ses discours (peut-être écrits par son tout nouveau « conseiller mémoire ») et en revient toujours au même message. Seul espoir pour une France qui se cherche, le président est si brillant qu’il exciterait une ultra-droite prête à des actions violentes contre sa personne. L’information a été donnée hier et arrive à point pour nourrir le discours sur les heures les plus sombres de notre histoire…

En politique, il faut se créer de faux ennemis pour les battre (facilement) et s’imposer comme la seule solution. Macron est un spécialiste en la matière et depuis plusieurs semaines déjà, l’ennemi est celui qui ne veut pas de l’Union européenne. Autrement dit, il s’agit d’un nazi version 2018 qui est même prêt à s’en prendre aux plus éminents personnages de l’Etat. La preuve, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a arrêté, hier, six personnes soupçonnées de vouloir s’en prendre physiquement à notre bien maigrichon président.

Les nazis sont partout…

La semaine de congés payés (l’hôtel a été réglé par les Macron selon la comm’ de l’Elysée) n’aura pas suffi à remplumer le jeunot. Sur les images officielles, la mine présidentielle n’est pas bien belle malgré les milliers d’euros dépensés en maquillage… Bref, notre président est déjà sur la pente descendante et de méchants individus liés à l’ultra-droite voudraient carrément sa peau. Cinq hommes et une femme âgés de 22 à 62 ans ont été placés en garde à vue. Cette bande disséminée dans plusieurs départements allait-elle supprimer le chef de l’Etat si la DGSI ne les avait pas héroïquement arrêtés ? En fait, personne ne le sait à commencer par la DGSI…

Il s’agit en fait d’une enquête préventive en vue du long passage de Macron dans l’Est de la France. On apprend juste qu’un projet d’action violente était discuté, mais rien de précis à se mettre sous la dent. C’est un peu court pour parler d’ores et déjà d’ « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Des centaines de djihadistes revenus d’Irak et de Syrie n’ont pas eu le droit à ce même traitement. Mais entre islamistes et ultra-droite, la Macronie fait son choix pour mieux narrer les heures les plus sombres de l’Histoire de France…

La DGSI se lance donc dans les arrestations préventives et ceux qui osent porter un gilet jaune se voient, comme à Reims, éconduits par le cordon de sécurité jupitérien. Macron ne doit pas souffrir d’être hué et, pire encore, être questionné par des gueux de Français. Ces derniers ont déjà trop mal traité le favori de Macron – Alexandre Benalla – alors il ne le sera plus permis de l’ouvrir. Oui, oui, le président a cru bon prendre la défense de son ancien garde du corps au cours du pathétique entretien « mené » par Nikos Aliagas.

Espérons retrouver l’animateur d’Europe 1 entre deux chansons de la Star Academy pour qu’il puisse expliquer au peuple qui sont les six individus interpellés et pourquoi le début de commencement d’un projet d’action violente contre Macron est pris plus au sérieux que les préparations d’attentats islamistes contre la France. Une bonne petite piqûre de rappel s’impose !

 

Source : 24heuresactu