Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 22 août 2018

Madame, née il y a trois jours de Parent 1 et de Parent 2 !

Publié par Guy Jovelin le 22 oaût 2018

Floris de Bonneville

 
 

Rien ne vas plus dans notre monde asexué ! Je ne parle même pas du projet de Mme Schiappa d’obliger les jeunes enfants qui seraient violés d’avoir à le prouver – mais les députés, même ceux inféodés à Emmanuel Macron, oseront-ils la soutenir ? – je veux simplement vous rappeler, cher lecteur, que vos filles âgées de1 jour à 18 ans ne sont plus demoiselle, mais dame. Aller sur Oui, enfin non, sur le site de la SeNeCeFe, et prenez un billet pour vos filles. Elles sont devenues “Madame”. La mention “Mademoiselle” n’existe plus, en effet, depuis que M. Pépy, notoire père de famille, en a décidé ainsi. Il avait ainsi scrupuleusement suivi la lamentable circulaire signée le 21 février 2012 par François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy mettant fin aux « noms de jeune fille », « noms patronymiques », « noms d’épouse » et « noms d’époux » dans les formulaires administratifs. Et pire encore, sur les formulaires officiels, ont disparu le père et la mère au profit des ridicules parent 1 et parent 2. C’est ainsi que depuis le 21 mars de cette année, la mairie de Paris dirigée par la sinistre Hidalgo, destructrice de toutes nos valeurs et de bien d’autres choses, a imposé sur les déclarations d’Etat-Civil, ces nouvelles mentions chères aux association homoparentales.

Ah, les coquins dont les valeurs rejoignent celles de la France Insoumise ! Mais dans ce fantasmagorique plan gouvernemental tendant à vieillir prématurément nos fillettes, et à faire disparaître notre identité sexuelle, un espoir nous vient, une fois de plus, d’Italie qui décidément va devenir l’ennemi numéro 2 de notre Emmanuel Macron, celui qui n’aime pas les pestiférés que sont devenus le Hongrois Viktor Orban et l’italien Mattéo Salvini.

Celui-ci vient en effet d’annoncer ce que notre Premier ministre, qui se réclame pourtant de la droite (certes, molle, voire très molle), se refuse à changer. Désormais, les italiens redeviendront papa et maman pour réclamer leur papier d’identité.

Mattéo Salvini est allé même jusqu’à préciser : « c’est un petit signe, mais je ferai tout ce qui est possible et autorisé par notre Constitution car nous défendrons la famille nucléaire fondée sur l’union entre un homme et une femme ».

Voilà des propos fortement révolutionnaires tenus par celui que la presse de gauche accuse d’être l’homme des cavernes, un troglodyte, celui qui veut un vrai ministère de la famille, et non pas celui qui, comme le ministère français de la famille tend plutôt à soutenir les familles monoparentales que les famille nombreuses. Mattéo Salvini dont on aimerait avoir, un jour, son équivalent français est bien décidé à aider les familles à avoir plus d’enfants, et là encore, provoquant tous les « pestiférés », il n’a pas hésité à affirmer qu’« un pays où ne naissent pas des enfants est condamné à mourir »… Une évidence !

Deo gratias !

 

Source : ndf

La France, 2e destination mondiale pour les immigrés

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

Ecrit par Hristo Xiep

destination mondiale,france,immigrésQuand on dresse la liste de chaque pays qui est le lieu d’immigration privilégiée d’autre pays, on voit que la France est en 2e position, a égalité avec la Russie mais loin derrière les Etats-Unis et devant l’Allemagne. A noter que le Japon n’est en tête dans aucun pays du monde, ce qui est logique puisque ce pays ferme ses frontières.

Etats-Unis (30) : Allemagne, Arabie Saoudite, Bahamas, Bélize, Brésil, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Equateur, Ethiopie, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Iran, Israël, Jamaïque, Japon, Liban, Mexique, Nigeria, Pérou, Philippines, Salvador, Suède, Thaïlande, Trinité & Tobago, Venezuela, Vietnam.

France (13) : Algérie, Andorre, Belgique, Cameroun, Congo, Djibouti, Espagne, Gabon, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal et Tunisie.

Russie (13) : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Moldavie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Ukraine.

Allemagne (10) : Autriche, Croatie, Grèce, Hongrie, Italie, Macédoine du Nord, Pologne, Serbie, Tchéquie et Turquie.

Afrique du Sud (7) : Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe.

Arabie Saoudite (7) : Chypre, Egypte, Jordanie, Koweït, Pakistan, Syrie et Yémen.

Royaume-Uni (5) : Afrique du Sud, Australie, Irlande, Kenya, Lettonie

Argentine (4) : Bolivie, Chili, Paraguay et Uruguay.

Australie (4) : Fidji, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Royaume-Uni

Portugal (4) : Angola, Cap Vert, Guinée Bissau et Sao Tome & Principe.

Côte d’Ivoire (3) : Burina Faso, Guinée et Mali.

Emirats Arabes Unis (3) : Inde, Oman et Qatar.

Espagne (3) : Argentine, France et Gambie.

Inde (3) : Bangladesh, Népal et Sri Lanka.

Italie (3) : Roumanie, San Marin et Suisse.

Nigeria (3) : Bénin, Ghana et Niger.

Suède (3) : Danemark, Finlande et Norvège.

Thaïlande (3) : Cambodge, Laos et Myanmar.

Croatie (2) : Bosnie-Herzégovine et Slovénie

Congo (2) : République Démocratique du Congo et Rwanda

Danemark (2) : Groenland, Islande.

Guinée (2) : Liberia et Sierra Leone.

Kenya (2) : Ouganda et Somalie.

Serbie (2) : Kossovo et Monténégro.

Tchad (2) : Centrafrique, Soudan du Sud.

Algérie : Sahara Occidental.

Bangladesh : Libye.

Belgique : Pays-Bas.

Burkina Faso : Côte d’Ivoire.

Corée du Sud : Mongolie.

Gabon : Guinée Equatoriale.

Ghana : Togo.

Grèce : Albanie.

Hong-Kong : Chine.

Jordanie : Palestine.

Kazakhstan : Corée du Nord.

Koweït : Emirats Arabes Unis.

Malaisie : Indonésie.

Mexique : Etats-Unis.

Népal : Bhoutan.

Pays-Bas : Surinam.

Pakistan : Afghanistan.

Rwanda : Tanzanie.

Sénégal : Mauritanie.

Singapour : Malaisie.

Soudan : Erythrée.

Soudan du Sud : Soudan.

Syrie : Irak.

Tchéquie : Slovaquie.

Turquie : Bulgarie.

Ukraine : Russie.

Venezuela : Colombie.

Zimbabwe : Malawi.

Pays inconnus : Burundi, Luxembourg, Taïwan, Timor oriental.

A noter qu’il existe quelques « paires » de pays (première place mutuelle) pour les immigrés) : France-Espagne, Etats-Unis-Mexique, Russie-Ukraine, Royaume-Uni-Australie).

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Erdogan voudrait reconquérir la Bosnie

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

Ecrit par Léo Kersauzie

bosnie,erdogan,musulmane,turc

Le leader turc Erdogan développe une politique expansionniste en Bosnie-Herzégovine dont le président Izetbegovic est considéré comme un proche du chef de l’Etat turc. La propagande turque en Bosnie mise sur la nostalgie de l’empire ottoman.

Ce territoire des Balkans fut sous domination ottomane pendant cinq siècles avant de passer sous l’Empire austro-hongrois pendant trente ans.

Après la Première Guerre mondiale, il y eut brièvement le royaume de Yougoslavie, puis la Bosnie fut sous domination communiste jusqu’en 1992, avant la guerre des Balkans.

Aujourd’hui, la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine, majoritairement musulmane mais comprenant également une population catholique croate, ne doit pas être confondue avec la République serbe de Bosnie, peuplée d’orthodoxes.

Mais Erdogan revendique un droit historique sur tous les Balkans et veut islamiser toute la Bosnie au nom de l’umma, la grande communauté islamique, qui va au-delà des nations. Ce nouvel empire ottoman se trouverait ainsi aux portes de l’Europe chrétienne.

Pour atteindre ses objectifs, Erdogan développe en Bosnie-Herzégovine les mêmes réseaux politiques qu’en Turquie, avec le SDA, formation proche de l’AKP, et les centres culturels turcs qui se multiplient dans les campagnes bosniaques. Rien n’est laissé au hasard dans cette entreprise de conquête : l’agence turque de coopération Tika fournit du mobilier aux écoles, l’Etat turc a financé en vingt ans la restauration de 800 monuments ottomans, dont les ponts de Mostar, de Visegrad et de Konjic, la grande mosquée de la vieille ville de Sarajevo ainsi que celle de Banja Luka, et le FK Sarajevo, l’équipe de football de la capitale, est sponsorisé par Turkish Airlines.

Par ailleurs, la télévision turque a produit une toute nouvelle série sur la vie d’Alija Izetbegovic, président bosniaque durant la guerre de 1992-1995, décrit comme l’héroïque allié de la Turquie. Recep Tayyip Erdogan et Bakir Izetbegovic, actuel président de la Bosnie-Herzégovine, ont assisté ensemble à la première projection de ce feuilleton qui sera diffusé à la télévision bosniaque en septembre, à la veille des élections générales.

 

Source : medias-presse.info

Asia Argento, me too I’m a freak ?

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

Rédigé par notre équipe le 21 août 2018. 

 

Le mouvement « #metoo » a renversé bien des cadors dans l’industrie du cinéma. Harvey Weinstein a été le premier à faire une chute libre qui a ruiné sa monstrueuse carrière. Le genre humain s’en porte un peu mieux, mais pour un Weinstein ou un Spacey écarté, combien de harceleurs et de violeurs courent encore les plateaux de tournage et les rues ? Paradoxe de la monstruosité, parmi les victimes, certaines se transformeraient en bourreau à l’image de l’actrice Asia Argento.

Le monde est bien plus sale qu’il n’y paraît. Un monde où la victime d’avant hier peut se changer en bourreau d’hier et en actuelle tête d’affiche du mouvement « #metoo ». Asia Argento est accusée par le New York Times d’avoir payé le silence d’un jeune homme afin que personne ne sache jamais que derrière une victime supposée d’Harvey Weistein se cachait aussi une femme dangereuse qui n’a pas hésité à harcelée une jeune victime qui avait toute confiance en elle. Après avoir été la principale égérie de « #metoo », Asia Argento assumera-t-elle d’être la porte-parole de « #metooI’m a freak » ?

Le silence est d’or… et se monnaie en dollars

La réponse est déjà connue car, l’actrice à la filmographie pas très impressionnante a été l’une des premières à accuser le bibendum Weinstein de viol. Une démarche saluée par tous alors que dans l’ombre, au même moment, ses avocats s’activaient pour s’assurer qu’un autre événement peu reluisant ne fasse surface. Cette chère Asia, n’avait en effet rien de trouver mieux à faire que d’abuser sexuellement un jeune homme de 17 ans après s’être assurée d’être seule avec lui dans une chambre d’hôtel. L’actrice pensait qu’en donnant un peu d’alcool à sa victime, la chose passerait naturellement, mais un abus est un abus et est traumatisant.

Elle aurait dû le savoir, elle qui affirme avoir vu sa vie détruite par Weinstein. Apparemment, elle n’a pas retenu sa propre leçon puisqu’elle a fait subir à autrui ce qu’elle dénonçait publiquement dès qu’un micro ou un journaliste s’approchait d’elle. Les révélations du New York Times mettent à mal celle qui pensait peut-être obtenir un jour le Prix Nobel de la Paix. Elles mettent aussi à mal la parole de toutes les victimes qui contrairement à Argento, ne se transforment pas en harceleurs.

Cette malencontreuse histoire montre à quel point notre système médiatico-émotionnel a tendance à mettre en avant des individus qui n’auraient aucune chance de truster les colonnes des journaux dans une société saine. Désormais, il suffit de se présenter comme victime pour dire au monde et aux autres comment vivre et se comporter. On paye 380 000 dollars pour acheter le silence de sa victime et on crie sa rage d’avoir été violée. Asia Argento est à l’image de nos sociétés. Perdue, schizophrène et en pleine décadence.

En effet, que penser d’une femme qui abuse d’un mineur et qui publie ensuite sur les réseaux sociaux qu’elle a passé « la plus belle journée de sa vie » ? Tout cela est immensément malsain. Les gens vont finir par croire que le cinéma n’est qu’une compilation de tarés qui se font du mal les uns les autres et disent au reste du monde comment se comporter. C’est plus que malvenu, mais cela correspond si bien à nos sociétés actuelles.

 

Source : 24heuresactu

La réalité du Brexit : les salaires augmentent pour les Britanniques

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

brexit,britanniques,réalité,salaires

Intox de juin 2016 de l'un de nos médias :

"Si les partisans du Brexit ont fait de la conservation des emplois pour les Britanniques l'un des fers de lance de leur campagne, il est toutefois probable que la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne s'accompagne de la délocalisation de nombreux postes."

La réalité de août 2018 : les salaires augmentent pour les Britanniques.

"Les flux de travailleurs européens vers le Royaume-Uni ont fortement diminué depuis le vote du Brexit en juin 2016. Cette immigration a atteint en 2017 son taux le plus faible depuis 2013, selon l'Institut agréé du personnel et du développement (Chartered Institute of Personnel and Development, CIPD en anglais), cité par l'agence Press Association. [...] Pris de court par la conjoncture actuelle du Royaume-Uni, les employeurs mettent en place des alternatives pour relancer l'emploi. La moitié des entreprises concernées ont choisi d'augmenter les salaires et d'améliorer les avantages sociaux des employés."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige