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mercredi, 20 février 2019

Emmanuel Macron se rend au dîner du CRIF

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2019

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Ce mercredi soir, le CRIF organise son dîner annuel et se vante de la présence du président de la république Emmanuel Macron.

Et pour l’occasion, la télévision israélienne i24news est de la partie et assure le reportage en direct.


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CRIF
 
@Le_CRIF

 - Intervention de @FrancisKalifat, Président du Crif, sur @i24NEWS_FR.
Suivez le 34ème Dîner du Crif en direct sur i24news

 
 

Source : medias-presse.info

Marine Le Pen s’incline pour les victimes de l’antisémitisme et est invitée par la télévision israélienne

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2019

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Faute de pouvoir se rendre à Yad Vashem, Marine Le Pen, indésirable aux marches contre l’antisémitisme chapeautées par les organisations communautaires de type CRIF, a tenu à déposer des fleurs devant une plaque commémorative en mémoire d’Ilan Halimi.

Sur Twitter, la présidente du Rassemblement National écrit :

“Nous rendons ce soir hommage aux victimes de l’antisémitisme, et exprimons à cette occasion notre solidarité avec tous nos compatriotes juifs qui ne veulent plus vivre dans la crainte.”

Nous cherchons en vain une cérémonie équivalente organisée par Marine Le Pen à la suite de profanations antichrétiennes… 

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Marine Le Pen
 
@MLP_officiel

Nous rendons ce soir hommage aux victimes de l’antisémitisme, et exprimons à cette occasion notre solidarité avec tous nos compatriotes juifs qui ne veulent plus vivre dans la crainte. MLP

Seuls les plus mal intentionnés rapprocheront cette information avec le passage de Marine Le Pen, le même 19 février, sur la télévision israélienne I24.

 

Source : medias-presse.info

 

Sète (34): un tag menaçant sur l’école catholique Saint-Vincent

Publié par Guy Jovelin le 19 février 2019

 

[…]

« La seule église qui illumine est celle qui brûle« . Voilà l’explicite message tagué dans la nuit du lundi 18 à ce mardi 19 février sur le portail de l’école catholique Saint-Vincent située sur Raymond-Lefebvre, à Sète.

[…]

Midi Libre via fdesouche

Par  le 19/02/2019

Affaire Finkielkraut : Macron en pleine communication politique

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2019

Auteur : Pierrot


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Plus de 72 heures de logorrhée médiatico-politique pour une simple agression verbale en marge d’une manifestation… Beaucoup plus que les 206 viols chaque jour dans l’Hexagone, Beaucoup plus que pour le meurtre de n’importe quel Français, beaucoup que pour l’attentat de Chekatt au marché de Noël de Strasbourg en décembre dernier. La machine médiatique s’est littéralement enflammée pour quelques insultes à l’encontre d’un personnage publique souvent vertement critiqué sur ses propres canaux. De Le Pen à Mélenchon, toute la classe politique s’est bêtement précipitée aux micros des journalistes pour faire un commentaire sans intérêt et accuser l’adversaire idéologique.

La droite « réac » en profite pour tirer à boulets rouges sur les musulmans et la mouvance gauchiste, sans même rappeler que l’agression n’est rien à la lumière de ce que vive quotidiennement des milliers de Français, et qu’en une seule semaine, pas moins de 4 églises ont été profanées…

En attendant, les communicants du gouvernement associent pendant près de 4 jours consécutifs les Gilets jaune à la haine des juifs, et Macron visite dans la même journée, un cimetière juif profané (Quatzenheim) et le mémorial de la Shoah. Il conclut en promettant de nouvelles lois pour combattre la « bête immonde ». L’Elysée réalise ainsi le Grand Chelem de la récupération et de la propagande politique. 

Cerise sur le gâteau, les associations juives réclament de nouvelles mesures liberticides, légitiment leur existence auprès de leur communauté chauffée à blanc et justifient leurs subventions pour l’année prochaine…  

Trouvé sur Le Monde : Emmanuel Macron s’est engagé mardi 19 février à agir, légiférer et « punir », à son arrivée au cimetière de Quatzenheim (Bas-Rhin), où plus de quatre-vingts tombes juives ont été profanées, couvertes de croix gammées. « Ceux qui ont fait ça ne sont pas dignes de la République et elle les punira », a déclaré le chef de l’Etat, qui se rendra ensuite au Mémorial de la Shoah à Paris et s’exprimera mercredi devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). « On prendra des actes, on prendra des lois et on punira », a-t-il ajouté, s’entretenant avec des habitants, consternés. Accompagné du grand rabbin de France, Haïm Korsia, et portant la kippa, il s’est ensuite recueilli devant plusieurs tombes, posant une pierre sur l’une d’elles, « pour que le souvenir ne s’estompe pas ». Il a dit sa « honte » et sa « détermination » à lutter contre l’antisémitisme. « Ce n’est pas aux juifs de France de se défendre, c’est à la République », a-t-il ajouté. Cette lutte contre l’antisémitisme ne passera cependant pas par une loi punissant l’antisionisme (l’opposition à l’Etat d’Israël), demandée par certains députés de sa majorité et à laquelle le chef de l’Etat s’est dit opposé.


Source : contre-info

lundi, 18 février 2019

«Nous n’avons en aucune façon gagné la guerre» en Syrie, selon un colonel de l’armée française

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2019

armée française,champ de foire,syrie

Article publié le 17.02.2019

«Nous n’avons en aucune façon gagné la guerre.» C'est par ces mots cinglants que le colonel François-Régis Legrier a conclu un article publié dans la rubrique «opinion» de la Revue Défense Nationale de février au sujet des ultimes combats contre l’organisation Etat islamique en Syrie. Des paroles qui visiblement passent mal dans la hiérarchie militaire, et irritent jusqu'au cabinet de la ministre des armées, Florence Parly.

Cet officier supérieur français, chef de corps du 68e régiment d’artillerie d’Afrique, a été récemment engagé durant six mois au service de la coalition internationale contre Daesh dirigée par les Etats-Unis. Il vient en outre de finir sa mission de commandant de la Task Force Wagram, le bataillon qui actionne depuis l’Irak les canons Caesar contre les derniers bastions de l’EI. Alors qu'il n'avait pas fini son mandat, il a rédigé son article «La bataille d’Hajin : victoire tactique, défaite stratégique ?»

Selon Le Monde, la hiérarchie militaire, ulcérée par la publication de cet article, reproche au colonel de ne pas lui avoir soumis son projet et de s’être exprimé sans attendre son retour en France et avant même de rédiger le traditionnel «compte rendu de fin de mission», confidentiel. Le colonel Legrier devrait être sanctionné, apprend-on vendredi 15 février auprès de l’état-major.

Nous avons donné à la population une détestable image de ce que peut être une libération à l’occidentale

Le rédacteur en chef de la Revue Défense Nationale, le général Jérôme Pellistrandi, a retiré le texte polémique du site internet de la publication, reconnaissant «avoir manqué de discernement».

Dans son texte, le colonel dénonce le coût exorbitant et les nombreuses destructions qu'a entraînées, entre septembre 2018 et janvier 2019, la bataille de Hajin, petite cité située aux confins de l’Irak et de la Syrie, notamment d’hôpitaux, de routes, de ponts, de mosquées ou d’habitations, une approche que les Américains assument «sans complexe», selon lui. «Nous avons donné à la population une détestable image de ce que peut être une libération à l’occidentale, laissant derrière nous les germes d’une résurgence prochaine d’un nouvel adversaire», prévient ce haut gradé de l'armée française.

Le militaire estime également que «les Occidentaux, en refusant d’engager des troupes au sol, ont limité les risques et notamment celui d’avoir à s’expliquer devant l’opinion». Mais, ajoute-t-il, ce refus interroge : «Pourquoi entretenir une armée que l’on n’ose pas engager ?»

Selon lui, le fait d’avoir utilisé des «proxys», les Forces démocratiques syriennes (FDS) auxquelles les Etats-Unis ont sous-traité le combat, a conduit la coalition à renoncer à sa liberté d’action et à perdre la maîtrise du tempo stratégique. «Prise en étau entre la décision de Donald Trump de se retirer du Nord-Est syrien et le bon vouloir des FDS, elle [la coalition] n’a pas trouvé de meilleure solution que d’intensifier les bombardements pour en finir au plus vite.»

En conclusion, il explique que la performance technologique des armes occidentales ne suffit pas à gagner : «Une bataille ne se résume pas à détruire des cibles comme au champ de foire.»

 

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs