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mercredi, 07 février 2018

Scandale : la photo de sa fille handicapée utilisée pour promouvoir l'avortement

Publié par Guy Jovelin le 07 février 2018

DOr22wMU8AAb7vUNatalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett. Extrêmement rare, le syndrome de Rett est une maladie génétique qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères.

Natalie Weaver tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l'avortement. Sur Twitter, elle réagit :

"Cette fois, c'est trop. Cette personne n'a pas le droit d'utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d'aussi horrible".

Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l'ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l'origine du post.

Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l'insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d'être traités comme tous les enfants. Natalie partage d'ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.

 Posté le 6 février 2018 à 20h21 par Michel Janva 

Source : lesalonbeige

+46 % en un an : le nombre de travailleurs détachés explose !

Publié par Guy Jovelin le 07 févrizer 2018

Mis à jour le 6 février 2018 Auteur par Pierrot

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Rien ne semble pouvoir freiner l’afflux de travailleurs détachés en France. Selon le Bilan intermédiaire du plan national de lutte contre le travail illégal, que Le Monde a pu consulter, leur nombre a augmenté de 46 % l’an dernier pour atteindre 516.000, hors transport routier. Observée sur dix ans, la hausse est encore plus spectaculaire : en 2007, on en dénombrait tout juste 96.000.

Charges sociales au rabais

Le travail détaché est une directive européenne qui permet à une entreprise d’envoyer ses salariés travailler dans un autre pays d’Europe. Tant qu’ils sont « détachés », ces salariés bénéficient des conditions de travail locales : temps de travail, salaire minimal, conditions de sécurité, etc. En revanche, leur employeur paye les charges sociales et patronales du pays d’origine. Le problème, c’est que ce mécanisme a créé une forme de « dumping social » : des milliers de salariés venus de pays où le coût du travail est faible travaillent en France, en Allemagne ou en Belgique, où il est beaucoup plus élevé.

C’est ainsi que les trois premiers contingents de travailleurs détachés en France sont les Portugais (un peu plus de 74.000), suivis des Polonais (61.000) et des Roumains (44.000). Paradoxe, le rapport dénombre également 37.000 travailleurs détachés originaires de… France. Pour diminuer leurs frais, de nombreuses sociétés d’intérim s’installent en effet à l’étranger, au Luxembourg notamment, d’où elles fournissent de la main d’œuvre tricolore à des entreprises françaises, plombant au passage les comptes de la sécurité sociale.

De moins en moins de contrôles

Face à cela, l’inspection du travail peine à exercer ses missions de contrôle. L’an dernier, ses enquêteurs ont effectué un peu moins d’un millier de contrôles, contre 1330 en 2016. Et si les amendes en cas d’abus se multiplient, les montants restent dérisoires, et certainement pas de nature à faire changer les comportements : un peu moins de 6 millions d’euros ont été recouvrés l’an dernier.

Source :  VA via contre-info

Chine : des chrétiens envoyés en camp de rééducation

Publié par Guy Jovelin le 07 février 2018

 Lu dans Christianophobie Hebdo :

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Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mardi, 06 février 2018

Fusillade et meurtre en Italie. Selon que vous serez noir ou blanc…

Publié par Guy Jovelin le 06 février 2018

Mis à jour le 6 février 2018 Auteur par admin4

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« Il est plus grave de blesser à l'arme à feu 4 migrants que d’assassiner et de démembrer une jeune femmeC’est en tout cas ce que laisse penser le traitement médiatique de ces deux événements dramatiques qui ont eu lieu à quelques jours d’intervalle dans la même ville italienne. Déferlement et logorrhée dans le premier cas, silence presque absolu dans le second.

S’il fallait encore une – énième et définitive – preuve que toutes les victimes ne sont pas égales, le double épisode de Macareta serait très certainement celle-ci. Car c’est en effet un cas d’école de l’instrumentalisation journalistique, de la partialité et du parti-pris idéologique des médias dominants.

Un « migrant » nigérian tue et dépèce une jeune fille italienne, blanche:  ce crime d’une rare abjection n’est traité que comme un banal fait-divers, regrettable certes, mais sans grande importance ni signification. Il s’agit d’un acte isolé qu’il ne faut bien évidemment en aucun cas mettre en lien ou en rapport avec une quelconque problématique migratoire, ni avec la moindre question ethno-culturelle. Ce serait un inacceptable « amalgame ».

Un « jeune homme d’extrême droite » blanc tire et blesse plusieurs immigrés extra-européens : c’est un geste abjecte et abominable que l’ensemble du monde doit condamner et pleurer  dans l’instant, il est le révélateur des pulsions racistes latentes au sein de la population italienne de souche, tendances odieusement entretenues par des partis populistes xénophobes qui sont finalement les responsables indirects de la tragédie. D’ailleurs toute personne « d’extrême droite » ou même simplement « anti-immigration » est, au fond, potentiellement un tueur.

De l’amalgame interdit à l’amalgame obligatoire, la mécanique journalistique est bien rodée. D’autant plus quand approchent des échéances électorales… »

Source : A Moy que Chault via contre-info

Réfugiés : la France à la rencontre des demandeurs d’asile en Afrique

Publié par Guy Jovelin le 06 février 2018

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Pour tenter d'éviter les traversées qui font chaque jour de nouveaux morts en Méditerranée, l'Office français de Protection des Réfugiés et Apatrides (Ofpra), chargé d'accorder le droit d'asile, se déplace désormais directement au Niger, en Afrique, pays de passage avant la longue remontée vers l'Europe. Comment s'organise leur travail sur place ? Reportage.

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