Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 04 février 2018

Que gagne vraiment un député ?

Publié par Guy Jovelin le 04 février 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

Que gagne un député français ? Sur M6, l’émission Capital a donné quelques indications intéressantes.

. 7.209 euros d’indemnité mensuelle

. 5.372 euros mensuels de frais de mandat

. 12.000 euros annuels pour les timbres et les recommandés

. 4.200 euros annuels pour les abonnements téléphoniques et numériques

. un forfait de 15.000 euros pour s’équiper en matériel informatique

. 2.800 euros de frais de taxis

. la gratuité sur les trains

. douze voyages en avion

Pour comptabiliser ce que nous coûte une assemblée de parlementeurs, ajoutons que chaque député dispose d’un budget mensuel de 9.618 euros pour payer ses collaborateurs.

Et pour ce prix-là, quand ils daignent se déplacer, certains jouent sur leur tablette, d’autres consultent les soldes en ligne, et les épuisés… roupillent.

député,indemnités,roupillent 

 

 

Source : medias-presse.info

samedi, 03 février 2018

Cinéma : Guy Bedos n’aura pas du mal à se mettre « dans la peau d’un Algérien »

Publié par Guy Jovelin le 03 féfrier 2018

Par  le 02/02/2018

 

Guy Bedos, l’acteur et humoriste né à Alger, jouera bientôt le rôle d’un Algérien dans le film « Une lettre pour Ambre » qui raconte l’histoire de la guerre de libération nationale en prônant la réconciliation des mémoires entre l’Algérie et la France. En visite à Alger, il s’est confié au quotidien El Watan.

Emmanuel Macron me déçoit par sa politique migratoire car la France se doit d’être plus accueillante et tolérante avec les migrants, ces pauvres gens qui fuient la guerre et la misère.

Vous avez passé récemment quelques jours à Alger. Comment étiez-vous accueilli par votre public algérois et les Algériens d’une manière générale ?

Comme à chacune de mes visites en Algérie, tout le monde me disait : «Bonjour mon frère, bienvenue chez vous» ! Dans la rue, les gens m’arrêtent pour prendre des photos ou juste pour m’embrasser. J’aime l’Algérie et le peuple algérien. Ils me le rendent bien. Je l’ai tout le temps dit : l’Algérie, c’est mon pays. A la veille de l’élection présidentielle française de 2017, j’ai dit que «si le Front national passe, je me réfugie en Algérie». Je vous assure que je ne plaisantais pas. […]

Je me suis baladé en ville et j’ai pris part, à ma manière, aux festivités. Toute la rue Didouche Mourad était en fête. On a discuté, mangé, chanté et dansé avec la population. J’ai découvert davantage de choses sur le patrimoine culturel et historique de mon pays de cœur. Je trouve ça bien que l’Algérie avance, s’ouvre et se réconcilie avec son histoire plurielle. […]

Vous allez être très prochainement à l’affiche d’un film sur la guerre d’Algérie dans lequel vous allez interpréter le rôle d’un Algérien. Que pouvez-vous nous dire sur ce projet ?

Je suis très heureux de pouvoir enfin être un Algérien à part entière, le temps de ce film, et j’en suis fier. Mais je tiens quand même à m’excuser auprès des acteurs algériens, très talentueux, et regrette de prendre ainsi la place de l’un d’entre eux qui pourrait jouer aussi bien ce rôle. Ceci dit, je n’aurais pas du mal à me mettre dans la peau d’un Algérien car j’ai toujours gardé au fond de moi une part importante de mon algérianité. 
[…]

El Watan via fdesouche

Versailles s’offre aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 03 février 2018

contre-info.com/author/pierrot

migrants,patrimoine français,versailles

Un privilège accordé à des étrangers illégaux, et refusé aux Français « moyens » qui peinent a boucler les fins de mois. En espérant qu’ils n’aient rien dégradé…

Le musée accueillait ce jeudi des touristes pas comme les autres : cinquante-six migrants du centre d’hébergement d’urgence de Saint-Ouen-l’Aumône sont venus découvrir l’un des monuments phares du patrimoine français. Ces rescapés de la vie viennent Afghanistan et du Soudan majoritairement, mais aussi du Tibet. Après des mois, voire des années d’errance et de voyages, le destin les a déposés là, leur offrant une pause étonnante. « Le but c’est de les sortir du quotidien et de tout ce qu’ils ont vécu », explique Patrick Paszkiewiez, secrétaire général du Secours populaire 95.

migrants,patrimoine français,versailles

Dès l’entrée imposante, un Tibétain fixe la statue trônant devant le château. « De quel roi s’agit-il ? Celui qui habitait ici ? » s’interroge-t-il, utilisant tous les rudiments de langues qu’il connaît pour se faire entendre. Car il ne s’agit visiblement pas seulement pour eux d’une simple balade d’agrément. Ces migrants, âgés en moyenne de 25 ans, veulent comprendre l’histoire de France. Ayoub repère les statues et les peintures évoquant des divinités romaines ou grecques, alors qu’il déambule dans le salon d’Hercule, puis dans le salon de Vénus. Autrefois, il a étudié l’art. « J’aime beaucoup lire », confie ce jeune homme d’origine soudanaise. En contemplant toutes les dorures de la célèbre galerie des glaces, il s’interroge. « Nous avons la même chose en Afrique, des chefs qui ont beaucoup d’or et aiment le montrer, mais ne partagent pas. Ils ne sont même pas vraiment éduqués mais sont juste nés rois, cela n’a pas de sens. »

Source

vendredi, 02 février 2018

« Les conflits religieux augmentent dans l’entreprise, presque toutes les questions concernent les musulmans »

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2018

Par  le 02/02/2018

Confrontées à des revendications ou des comportements dictés par la religion, les entreprises tentent de résoudre les problèmes avec discrétion. Elles savent que le moindre faux-pas risque d’être récupéré.

C’était «un collaborateur très bien noté», «sérieux» et «performant». Un matin de 2015, il ne s’est pas présenté sur le chantier où on l’attendait. «On a découvert qu’il venait d’être interpellé, raconte le DRH de cette entreprise de travaux publics. En prison pour djihadisme, à la suite d’un voyage en Syrie.» Dans cette société de BTP, qui possède plusieurs filiales régionales, l’affaire a créé un choc: «On n’avait rien vu venir! s’effare encore la direction.

On a essayé de savoir s’il avait eu le temps de semer de mauvaises graines… Aujourd’hui, avec l’aide des syndicats, on surveille de près certains de nos salariés très pratiquants. Et parfois, on nous rapporte des propos incroyables!» Des propos, mais aussi des comportements «incroyables» que l’on retrouve surtout dans de grandes entreprises de main-d’œuvre, mais qui commencent à toucher tous les secteurs. Même si bien peu de managers osent en parler publiquement. «Faut-il étouffer ces faits religieux? Réprimander? Interdire? S’accommoder?, s’interroge l’un d’eux. En fait, nous sommes bien désemparés…»

Dans l’entreprise de BTP, on a bien sûr immédiatement pensé à licencier le salarié djihadiste. Mais le directeur régional a supplié: «Dans cette ville moyenne, tout le monde savait où ses enfants allaient à l’école, explique le directeur des ressources humaines. Il faut rappeler que deux mois auparavant, en Isère, un patron avait été décapité par un terroriste… Or la famille de notre salarié faisait pression, réclamait des avances sur salaire pour soutenir l’épouse sans travail. Notre patron local a organisé une collecte, mais personne n’a participé!» Finalement, la société a concédé «un petit don». Mais aujourd’hui, elle tremble: «Un jour, dans quelques années, on risque de voir réapparaître ce salarié, puisque son contrat n’est que suspendu durant sa peine de prison, s’inquiète le DRH. Que va-t-on faire?

Autre cas de conscience: l’affaire de cet agent de sécurité, qui a vu son port d’arme retiré pour des raisons de radicalisation. «Ce n’était pas un motif suffisant pour le licencier, affirme Me Éric Manca. Il ne fallait pas évoquer la radicalisation, mais simplement le contrat désormais privé d’objet.» L’homme a contesté son licenciement devant les prud’hommes. «C’est le procès de la religion!, a-t-il lancé. Si on ne me réintègre pas, plus rien ne m’empêche de répondre aux appels des Frères musulmans…» Un raisonnement qui a permis à l’avocat de la société de prouver qu’il représentait «un danger imminent». Mais l’agent a fait appel, tandis que l’un de ses collègues, dans le même cas, demande des dizaines de milliers d’euros de dommages et intérêts.

Les «faits religieux» que rencontrent les entreprises ne sont pas tous aussi graves, mais ils ne se règlent pas pour autant à coup de formations à la laïcité et de nomination de «référents diversité». À Bordeaux, Me Sébastien Millet observe que «l’immense majorité des cas sont traités par la voie de la concertation». Le voile, «c’est le cas le plus problématique, pointe un associé dans un grand cabinet de conseil. Il a une portée symbolique très forte, et il y a très peu de moyens légaux pour le proscrire. On constate que pas mal d’entreprises finissent par lâcher sur le voile. Mais elles ne veulent pas faire de com sur le sujet, car elles ne veulent surtout pas être identifiées comme “voile-compatible”, et voir un afflux de candidatures voilées… ou un boycott de clients!».

Dans ce grand groupe de distribution alimentaire, on avoue avoir préféré «exfiltrer discrètement, avec une petite compensation financière» un manutentionnaire qui, soudain, ne voulait plus toucher de l’alcool ou du porc. Dans cette usine, c’est un jeune homme qui, de lui-même, à la fin de sa période d’essai, a décidé de «partir, car il n’y a pas assez de musulmans ici»… À Montpellier, cette entreprise de BTP rencontre de plus en plus de revendications: «Des salles de prière sur les chantiers, des vestiaires pour les différentes communautés, les Maliens, les Portugais… en plus de ceux pour les femmes, détaille un responsable. On a un jeune Maghrébin qui nous traîne devant les tribunaux pour discrimination raciale.» «Dis-moi, l’Arabe!», lui aurait lancé son supérieur; «Dis-moi, le Portos!», lui aurait-il répondu. «Du langage de chantier…», soupire la société. Le jeune homme est en tout cas en arrêt-maladie, pour dépression, depuis trois ans.

«Le taux de conflits entre salariés et managers augmente régulièrement, estime Me Manca. Et aujourd’hui, presque toutes les questions concernent la religion musulmane. Dans notre cabinet, il faut remonter à au moins dix ans pour retrouver un cas concernant les catholiques: en l’occurrence, la gérante d’une boutique qui imposait le bénédicité à ses collègues. La difficulté, c’est que l’on est assis sur des années de tolérance. Il y a un moment, quand on veut revenir sur un usage, ça crée encore plus de problèmes! Et depuis que les réseaux sociaux existent, le moindre faux pas, et le salarié peut s’ériger en martyr… Il est évident qu’il y a des personnes qui sont téléguidées par des associations qui veulent voir jusqu’où on peut aller.» Toujours promptes à dégainer l’accusation d’«islamophobie».

Même constat chez Me Marie Courpied-Baratelli: «J’ai eu trois contentieux l’an dernier», dénombre-t-elle. Un commercial, qui ne voulait plus serrer la main des femmes, qui refusait de s’asseoir sur un siège où une femme l’avait précédé, objectant que c’était «sale». Un éboueur qui, ayant trouvé une mitraillette – un jouet, selon lui – a poursuivi deux secrétaires dans les couloirs en criant «Allah Akbar!», pour «rigoler». Et un autre qui, lors de l’Aïd, est arrivé avec son mouton, parce que c’était plus pratique de «l’égorger dans l’entreprise, avec les jets d’eau». Dans ces trois cas, l’entreprise avait préféré trouver un autre motif de licenciement plutôt que risquer de se faire taxer d’islamophobie. […]

 

Le Figaro via fdesouche

 

 

Déjeuner patriotique du 27 janvier dans le département de l'Aude (11) avec Carl lang

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2018

Après un problème technique et quelques retouches, voici quelques photos de la visite du Président Carl Lang le 27 janvier 2018 en Occitanie (Languedoc-Roussillon)

20180127_161958 (2).jpg

20180127_155408.jpg

20180127_155435.png

20180127_140948.jpg

20180127_120711.png