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mardi, 25 juillet 2017

Autriche : une piscine a installé des pancartes incitant les migrants à ne pas agresser les nageuses

Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2017

 
 

Autriche – Une piscine a affiché des pancartes à l’attention des migrants leur disant ne pas entrer dans le vestiaire des femmes et qu’il était interdit de peloter les femmes.

Les panneaux ont été affichés dans une piscine à Perchtoldsdorf, une ville en Basse-Autriche, à une courte distance de la capitale Vienne.

Dans le but de prévenir les agressions sexuelles commises par les migrants pendant la saison estivale, la direction de la piscine a décidé de placer ces signaux.

Une affiche montre un homme entrant dans le dressing-room des femmes avec le mot « STOP! » tandis qu’une autre montre une jeune adolescente en bikini avec trois mains qui semblent vouloir l’agripper.

Le député autrichien Christian Hoebart, du parti de la liberté (FPÖ), qui s’oppose à l’immigration, a déclaré que la mise en place de ces affiches ne devraient pas être nécessaires dans une «société civilisée».

Source : fdesouche via DailyStar

mercredi, 12 juillet 2017

L’Italie ferme ses portes du Sud … et ouvre celles d’Hannibal

 

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Alors que nous pensions qu’enfin le gouvernement italien avait compris que le sauvetage industriel des bateaux de migrants était mortel pour l’Europe… il nous faut déchanter, il s’agissait d’un faux espoir.

En effet, il n’en est rien, l’invasion de l’Europe par les migrants arrivant en Italie va continuer. La nouvelle folie consiste juste à acheminer les bateaux de sauvetage des migrants vers les ports du Nord, de préférence vers Trieste, ainsi l’invasion migratoire n’aura plus à traverser toute l’Italie. Les envahisseurs africains seront plus proches de leurs destinations finales, c’est à-dire la Suisse, l’Allemagne, la Belgique... Renzi demande également à l’Espagne et à la France d’ouvrir leurs ports.

C’est une nouvelle qui devrait secouer les Européens, mais les autochtones sont dans un tel état de torpeur qu’ils ne réagiraient même pas si l’Etat islamique débarquait, tous drapeaux déployés. La Ligue du Nord, l’Autriche, la Slovénie sont très, très énervées par ce projet, vu la proximité de leurs frontières et ce que cela  signifie du point de vue sécuritaire, sanitaire, etc.

L’Autriche qui n’a accepté qu’une cinquantaine de migrants depuis 2 ans, elle a envoyé 750 soldats et des blindés aux frontières concernées. Nous devinons ce qui pend au nez de la Suisse, avec Simonetta aux commandes...
Les journalistes n’arrêtent pas de dire à la population que les demandes d’asile n’ont jamais été aussi basses depuis des années ! Qui peut croire à ces balivernes ? 
Est-ce que les migrants ne s’enregistrent même plus dans les centres ad hoc ? 
De toute manière, ils détruisent leurs papiers d’identité avant de s’enregistrer. Non enregistrés, ils sont juste doublement illégaux.

À l’heure actuelle, la seule question importante qui peut encore se poser est la suivante : est-ce que la civilisation européenne est capable de s’organiser pour stopper cette invasion puis la repousser ?
 Si la réponse est négative, nous, les Européens, allons tous couler à plus ou moins brève échéance.

Cenator

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Face à l'afflux de migrants, l'Italie menace de fermer ses ports  

Par Jean-Jacques Mevel, publié le 02/07/2017

Rome réclame l'aide urgente de ses voisins européens et les appelle à ouvrir leurs ports aux bateaux secourant les migrants. Les ministres de l'Intérieur français, allemand et italien se sont réunis dimanche soir à Paris pour discuter d'une «approche coordonnée».

L'Italie a vu déferler une vague de 10.000 migrants africains en 48 heures la semaine dernière et elle en a assez d'attendre un partage du fardeau. La France, l'Espagne et aussi l'Allemagne vont devoir calmer sa colère après un vrai coup de semonce: Rome pourrait interdire les côtes italiennes à une partie des irréguliers, obligeant les voisins méditerranéens à les accueillir directement pour la première fois.

La menace, formulée en coulisse mais pas confirmée par le gouvernement Gentiloni, suffit à déclencher un branle-bas diplomatique. Il débute dimanche à Paris, avec un rendez-vous d'urgence des trois ministres de l'Intérieur français, allemand et italien. Jeudi, les mêmes tenteront une fois encore de trouver avec leurs 25  collègues de l'UE une issue au dilemme qui hante la crise migratoire: comment aider les pays de première ligne, comme l'Italie et la Grèce, sans les soulager d'au moins une partie des irréguliers ? La discussion se prolongera sans doute au sommet du G20, vendredi à Hambourg.

Les Africains débarqués au sud de l'Italie sont avant tout des migrants «économiques». Ils sont voués à l'expulsion à terme, à la différence des bénéficiaires du droit d'asile comme les réfugiés de guerre syriens. Mais ni Marseille ni Barcelone ne seraient enthousiastes à les recevoir même provisoirement, comme le font aujourd'hui les ports de Sicile et de Calabre. D'autant que les chiffres explosent: l'Italie en a déjà accueilli plus de 80.000 cette année, un tiers de plus qu'au premier semestre 2016.

Marseille sollicitée?

La majorité des nouveaux arrivants sont recueillis en mer, non loin des côtes libyennes, par les bâtiments militaires et civils de deux opérations de sauvetage de l'UE, «Sophia» et «Triton». Le mandat est clair et Rome ne le conteste pas: ces migrants continueront d'être débarqués sur le sol italien. Le cas des bateaux affrétés par les ONG françaises, espagnoles ou allemandes est plus ambigu. De plus en plus nombreux, ils peuvent recueillir jusqu'à la moitié des irréguliers. Ils sont aussi plus difficiles à contrôler. La diplomatie italienne soutient que le pays de pavillon devrait être le pays de débarquement des migrants. Comprendre: la France, l'Espagne voire la République fédérale…

«On ne peut pas prendre toute la misère du monde, mais chacun doit prendre sa part. C'est bien de cela qu'il s'agit»

Emmanuel Macron, la semaine dernière à Berlin

Le sujet sera discuté cette semaine par Paolo Gentiloni et Jean-Claude Juncker, le patron de la Commission. À ses yeux, l'Italie et la Grèce «ne peuvent plus être laissées seules en première ligne». Bruxelles légitime l'inquiétude de l'Italie, mobilise de nouveaux financements et se prépare, le cas échéant, à modifier les règles de débarquement pour les ONG. La France et l'Espagne font la moue. Le président Macron, pourtant, fait une ouverture: «On ne peut pas prendre toute la misère du monde, mais chacun doit prendre sa part. C'est bien de cela qu'il s'agit», disait-il la semaine dernière à Berlin, empruntant une formule chère à Michel Rocard.

Pression politique

En cas d'échec, il y a peu de risques que l'Italie interdise finalement l'entrée des pavillons étrangers dans ses ports, veut croire Bruxelles. Rome force l'admiration pour la tâche accomplie depuis trois ans, avec l'accueil de 500.000  migrants et réfugiés. Un geste de mauvaise humeur pourrait tout gâcher, déchirer profondément l'UE et infliger un spectacle encore plus désolant en Méditerranée.

Dans la Botte pourtant, la pression politique n'est pas près de se relâcher, avec en vue des élections générales au plus tard au printemps 2018. Le Parti démocratique de Matteo Renzi, au pouvoir, se sent chaque jour plus vulnérable sur le dossier brûlant de l'immigration. Silvio Berlusconi et l'inclassable Beppe Grillo multiplient les attaques. Alors que les offensives électorales du populisme et de l'extrême droite viennent de se briser en Autriche, aux Pays-Bas et en France, l'Italie craint au contraire d'être deux fois perdante. Elle attend un geste politique de ses voisins. «Macron, au secours! Les populistes reviennent…», titrait il y a quelques jours La Stampa, le grand quotidien du Nord.

Source : lesobservateurs via  Le Figaro

mardi, 04 juillet 2017

Migrants: l'Autriche prête à déployer l'armée

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2017

 

L'Autriche compte "très bientôt" rétablir les contrôles et déployer des soldats à sa frontière avec l'Italie si l'afflux de migrants ne ralentit pas, a annoncé le ministre autrichien de la Défense à un quotidien viennois lundi.

"Je m'attends à ce que les contrôles aux frontières et une mission d'assistance (de l'armée) soient très bientôt requis", a déclaré Hans Peter Doskozil au site internet du journal Krone. Ces mesures s'avèreront "indispensables si l'afflux (de migrants) vers l'Italie ne ralentit pas", a-t-il ajouté.

Selon le quotidien, 750 soldats "sont disponibles" et quatre véhicules blindés sont prêts à être envoyés dans la région frontalière ce week-end.

L'Autriche a rétabli les contrôles à sa frontière avec la Hongrie en 2015 et s'est dit prête à ériger des barrières à sa frontière avec l'Italie.

Plus tôt lundi, le Haut-commissariat aux réfugiés de l'ONU (HCR) a annoncé que 83.650 personnes étaient arrivées en Italie par la mer depuis le début de l'année, soit une hausse de presque 20% par rapport à la même période l'année dernière. La plupart sont parties des côtes libyennes, sur de frêles embarcations. Plus de 2.000 ont péri durant leur périple.

"Il n'est pas réaliste de penser que l'Italie ait la responsabilité de s'occuper du débarquement de tout le monde", a déclaré à la presse l'envoyé spécial du HCR pour la Méditerranée centrale, Vincent Cochetel.

 
 

samedi, 01 juillet 2017

Les migrants veulent de l’argent et non de la nourriture

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2017

Trois heures ! Leur protestation pour obtenir de l’argent et non de la nourriture aura duré trois heures dans les bureaux de la coopérative italienne Koinè qui les accueille dans la ville d’Arezzo. Ce n‘est ni la première ni la dernière !

Les clandestins avaient déjà protesté contre les conditions d’accueil sous les fenêtres de la préfecture le 19 juin dernier. Ce jour-là ils manifestaient leur mécontentement concernant l’heure du dîner, qui leur était servi avant le coucher du soleil, en violation des règles du ramadan !

Mercredi dernier c’était pour recevoir de l’argent à la place de l’alimentation qui leur est offerte gratuitement, ne l’oublions pas.

« Les réfugiés ont insisté, explique la coopérative Koiné sur son site internet,avec leur idée de pouvoir recevoir de l’argent à la place de la nourriture. Face au refus des dirigeants de la coopérative, ils ont annoncé qu’ils ne quitteraient pas les bureaux jusqu’à ce que le préfet ne modifie pas ses dispositions. La préfecture a été informée de cette demande et de la discussion qui avait lieu et, bien entendu, elle n’a pas obtempéré à cette revendication. »

Ce sont les carabiniers et les policiers municipaux qui ont fini par intervenir.

D’argent les clandestins n’en ont pas eu. Jusqu’à la prochaine revendication…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 30 juin 2017

6,6 millions de migrants attendent de passer en Europe (Vidéo)

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2017

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Vidéo de Beatrix von Storch, vice-présidente de l’Alternative für Deutschland (AfD).

Traduction anglaise ici

http://gatesofvienna.net/2017/06/beatrix-von-storch-this-...

D’après les autorités de sécurité allemandes, il y a 6,6 millions de migrants en Afrique du Nord, Jordanie et Turquie qui attendent de continuer leur route vers l’Europe. Depuis fin janvier, leur nombre a augmenté de 7400 par jour.

En septembre 2015, A. Merkel a capitulé devant 15'000 migrants parce que, pendant quelques jours, il y a eu des photos difficiles à faire passer. Elle a actionné un aimant, que jusqu’aujourd’hui elle a toujours refusé de désactiver. Par son acte inconstitutionnel et insensé d’ouverture des frontières, elle a demandé au monde entier de venir chez nous.

6,6 millions ont entendu cet appel, et ce n’est qu’un début.

Je n’arrive pas à comprendre comment un continent entier peut se jeter dans l’abîme les yeux ouverts, comment une grande partie de la société applaudit à cela, comment beaucoup trop continuent à se taire. Comment les politiciens et la presse accusent de haine ceux qui tirent la sonnette d’alarme. Comment les Eglises participent à ce crime moral. Oui, crime, contre notre pays, notre culture, et aussi contre ces gens qui sont incités par de fausses promesses à traverser les mers.

Ce n’est pas de l’humanité que de pousser tant de monde à entreprendre un voyage dangereux en leur promettant le paradis. D’ailleurs, nous ne ponvons pas sauver le monde entier. Cette politique n’est pas « humaine », elle est mégalomane.

Les élites politiques allemandes et européennes ont perdu la raison. Un monde sans frontières, c’est une folie sans limites. La paix et la sécurité en Europe vont s’effondrer si nous ne faisons pas demi-tour rapidement.

Traduction (abrégée) : Cenator

 

Source : lesobservateurs