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vendredi, 14 novembre 2014

Témoignage : vol et agression sexuelle en réunion par des migrants à Calais…

Publié par Guy Jovelin

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Alice* était « la première à les défendre, à dire que leur vie n’est pas facile ». « Les », ce sont les migrants de Calais.

« Je les vois encore… Je crois que je suis encore sous le choc, je n’ai pas encore réalisé que j’ai eu de la chance. On se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres… » raconte cette jeune fille de 20 ans, qui a déposé plainte pour vol et agression sexuelle en réunion lundi matin.

Elle vient de rater le train qu’elle prend pour rejoindre l’Université, décide d’attendre le prochain en allant fumer une cigarette. « Il y avait des migrants en retrait, sur un carré d’herbe. Je ne faisais pas attention à eux. Ensuite, j’ai senti qu’on m’attrapait le bras, ils m’ont collée contre le mur. L’un a fouillé mon sac, il l’a vidé à terre. Un autre m’a attrapée à la gorge pour que je ne bouge pas et m’a touché le haut du corps. »

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jeudi, 13 novembre 2014

« Louis Aliot dans l’émission « mots croisés » du 3 novembre dernier : le problème calaisien des migrants, débat sur l’ A.M.E. ( Aide Médicale d’Etat) »

 

Franck.jpegL’émission « mots croisés » du 3 novembre 2014 a dévoilé l’impuissance des personnalités politiques présentes sur le plateau (EELV-PS-UMP-FN)

D’un côté deux doux utopistes, qui par humanisme accueilleraient toute la misère du monde par une forme de fatalisme.

De l’autre un sarkosyste affirmant une pseudo fermeté, mais sans solutions réellement efficaces pour résoudre le problème d’une immigration galopante.

Puis un vice-président du FN disposant d’arguments bien appris, mais qui omet de défendre la suppression d’ l’A.M.E., de manière plus convaincante et avec plus de conviction.

Pour nous le message est clair, réservons nos fonds financiers aux filles et fils de France les plus humbles, donc pour les Français de souche.

Nous n’avons pas les moyens d’assumer toute la misère du monde !

M. Aliot est resté muet et aurait dû affirmer haut et fort « la France aux Français et la santé pour nos nationaux !»

Sur le problème calaisien, là encore les politiques du système ont des vues courtes : expulsions, prise en charge par l’Etat français (donc par le contribuable) du sort des migrants… Alors que des millions de nos concitoyens sont exclus et pauvres. A réfléchir !

Pour le FN il ne suffit pas d’avoir fait un déplacement médiatique de sa présidente pour se donner bonne conscience.

Car le 7 septembre 2014, le FN était bien absent à Calais, quand nous appelions les calaisiennes et les calaisiens à une manifestation de résistance face aux agressions des migrants dans cette ville.

La politique n’est pas un spectacle médiatique car le peuple français en a trop souffert.

Elle ne se fait pas dans des salons ou sur des plateaux de télévision aseptisés.

La politique ne s’exerce qu’en étant au milieu du peuple et en restant attentif aux doléances de celui-ci.

Voilà pourquoi nous sommes différents, nous au Parti de la France !

Voilà pourquoi nous sommes déterminés parce que la situation dans notre pays est désastreuse.

Voilà  pourquoi nous tiendrons toujours un langage de vérité face aux démagogues et aux marchands d’utopie qui prolifèrent.

Il est vrai que la situation française est propice à toutes les impostures. A méditer !

Franck Pech chargé de la communication du PdF 31

 

 

lundi, 20 octobre 2014

France, ta politique migratoire produit l’avilissement de tes hôtes

Qui n’a pas un tout petit peu le coeur serré de voir les « boats people » sombrer en pleine méditerranée ? L’Italie fait ce qu’elle peut pour les sauver par le truchement de l’opération mare nostrum, nom latin de la mer précitée. Elle fait cela en plus dans l’indifférence de la communauté internationale. La France quant à elle récupère une fraction importante de cette marée humaine. 

Effectivement l’élan spontanément humaniste en tout un chacun invite à ne pas abandonner un être humain, de porter assistance à personne en danger. Cependant il est permis de constater que le migrant s’est mis en danger tout seul, et que la responsabilité de son déracinement revient à ces états riches européens qui font tout ce qu’ils peuvent pour maintenir le mythe d’un eldorado. Autrefois, l’européen imaginait sous les tropiques une vie paisible, des cités prospères où l’or était pavement, des peuples ancestraux aux modes de vie sains. Relire pour s’en convaincre les écrits des humanistes du XVIIIème siècle sur le « bon sauvage ».

Désormais la réalité pousse à voir sous les tropiques une situation bien moins bucolique. Une surpopulation insoutenable, l’extrême misère pour presque tous, l’extrême richesse pour quelques uns. Alors bien sûr certains font leurs valises et viennent dans le pays de l’ancien maître honni pendant la décolonisation. Maintenant les cartes sont rebattues, l’occidental n’est plus l’exploiteur d’autrefois. Les nouveaux maîtres ont montrés qu’ils étaient pires. 

Ils s’entassent sur des bateaux. Les passeurs sont des importateurs de viande humaine. Ils exigent un prix exorbitant en échange d’une promesse insatisfaisante. Soit les migrants vivent l’enfer du naufrage en mer, soit ils vivent l’enfer du naufrage à terre. La course pour régulariser sa situation, la vie de dépendance totale à l’état d’adoption. Certes nombre d’entre eux, plus débrouillards, vivoteront correctement ; tandis que quelques élus réussiront et feront honneur à leur nouvelle patrie. La plupart sont condamnés à porter la croix de la misère dans un pays qui n’est pas le leur. Ils se regroupent en communautés pour conserver le souvenir d’un temps maintenant perdu.

Je dis que les plus coupables dans cette malheureuse histoire ne sont pas les migrants. Les coupables sont les gouvernements qui par leur lâcheté déracinent des hommes. Par ce biais, ils les condamnent à accepter le premier boulot, pour le plus grand bonheur de patrons sans scrupules (proxénètes, ateliers clandestins, distributeurs de drogue et autres nouveaux esclavagistes) ou à vivre de mendicité (et de sa nouvelle forme plus discrète : l’assistanat). Je dis que les passeurs sont des bouchers pour lesquels aucune sanction pénale n’est aujourd’hui assez forte pour leur faire rendre les trente deniers perçus. L’immigration zéro n’est pas une sentence antihumaniste. Elle est l’expression du simple respect de ces hommes et femmes qui quittent le monde connu d’eux pour un bond dans l’univers occidental. Elle est aussi le respect des pays de départ, confrontés à une hémorragie de forces vives. Le perdant-perdant en somme. Ces forces ne seront pas employées dans le pays d’origine et ne trouveront pas leur place dans la terre promise.

L’immigration zéro n’est pas la fin de l’immigration. Les hommes ont toujours voyagé, exploré, déménagé. Mais le flux à sens unique que l’on constate bouleverse gravement un équilibre précaire. Il détruit toute action et engendre le ressentiment, à juste titre des immigrants trompés comme des autochtones envahis. Alors pour plus d’humanité dans un monde à la dérive, disons non aux frontières passoires, aux politiques d’assistanat, à la pompe aspirante immigrationniste. Et merde aux exploiteurs-importateurs, aux biens pensants (sans pensée), aux allophiles convaincus (en grec : qui aime l’autre).

 

Marc-Antoine HENNET

mercredi, 24 septembre 2014

L'Autriche demande à suspendre les accords de Schengen

 

Publié par Guy Jovelin

L'Autriche renvoie actuellement en Italie environ 30 migrants par jour. Les policiers dénoncent : « Au Brenner, la situation devient insoutenable »

L'opération Mare Nostrum et la gestion de l'immigration de la part de l'Italie n'exaspère pas seulement les syndics et gouverneurs italiens. L'Autriche aussi n'en peut plus de voir ce qui se passe à ses frontières. A tel point que le gouvernement autrichien est en pourparlers avec Bruxelles pour suspendre temporairement les accords de Schengen et de réintroduire des contrôles le long de la frontière avec l'Italie. Vienne a fait savoir qu'en 2014 il y a déjà eu 4.700 migrants arrêtés dans le pays et pratiquement tous renvoyés en Italie (une moyenne de 30 personnes par jour). Parmi les personnes arrêtées, seules 300 ont demandé l'asile politique en Autriche.

Le ministre de l'Intérieur Johanna Mikl-Leitner et les  gouverneurs de Salzbourg, Burgenland, de la Basse et Haute Autriche n'excluent pas la réintroduction de contrôles aux frontières.

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