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vendredi, 20 juillet 2018

De quoi Alexandre Benalla est il le nom ?

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2018

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Jean-François Touzé

membre du Bureau politique du Parti de la France

Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.

En soixante ans d'existence la Cinquième République nous a habitués à ces «chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-files officiels, pour tous de l'impunité d’État.

Savoir, dans ces conditions ce que faisait Benalla le 1er mai place de la Contrescape dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui lui a fourni le brassard «police" qu'il arborait fièrement ce jour là en tabassant ce manifestant gauchiste sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes, importe finalement assez peu. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en Commission d'enquête.

La question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront ils à s'en remettre à ce Système dépravé ?

La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue ?

La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?

lundi, 14 août 2017

Suède : 80% des jeunes femmes de la ville d’Uppsala ne se sentent plus en sécurité, selon un sondage

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2017

Huit jeunes femmes sur dix ne se sentent peu en sécurité à l’extérieur à Uppsala, selon un très récent sondage. La police de la ville indique que ce sont les «hommes immigrés» que craignent les femmes.

Moins de deux femmes sur dix, ou 18,5 pour cent, se sentent en sécurité lorsqu’elles se promènent à l’extérieur dans le centre d’Uppsala. En 2013, ce chiffre était de 45 pour cent.

Un sondage réalisé dans la région d’Uppsala, 3 900 jeunes femmes ont été interrogé.

Daniel Larsson, commissaire à Uppsalapolisen, a commenté les résultats du sondage en disant que « des garçons immigrés en groupe » attaquent les jeunes femmes suédoises.

Source : fdesouche via Aftonbladet

dimanche, 02 juillet 2017

La Chine refuse d’accueillir des migrants afin de sauvegarder son économie, sa sécurité, son homogénéité ethnique et religieuse.

Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2017

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Lors de la Journée Mondiale des Réfugiés, qui se déroule tous les ans le 20 juin, l'ONU a publié une vidéo intitulée «Nous sommes solidaires avec les réfugiés» sur son compte officiel Sina Weibo, appelant le public chinois à accorder plus d'attention à cette question.

Le public chinois soutient généralement que la Chine ne peut pas accepter un grand nombre de réfugiés actuellement, bien que beaucoup soient compatissants à l'égard de ces victimes. Les raisons sont complexes (...). C'est lié au développement économique de la Chine, à la population, à la composition ethnique, au mécanisme juridique et à l'histoire.

La priorité pour la Chine demeure le développement. Un afflux excessif de réfugiés aura un impact énorme sur l'ordre social. Si des terroristes infiltrent la Chine via les réfugiés, la sécurité des 1,4 milliard de personnes sera menacée, une crainte qui peut être démontrée par la crise actuelle des réfugiés en Europe. 

Accepter trop de réfugiés peut priver la Chine d'un environnement stable pour le développement.

La Chine exploite son développement pour stimuler l'économie mondiale et offre activement des biens publics à la planète, grâce à des plates-formes telles que l'initiative Belt and Road et la Banque asiatique d'investissement. Si la Chine est plongée dans le chaos, d'autres pays et même le monde en subiront les conséquences.

De plus, la Chine n'a pas encore mis en place un mécanisme pour accepter les réfugiés. Ce problème, couplé avec les différentes religions et différents style de vie, engendrerait des difficultés pour les réfugiés du Moyen-Orient de vivre en Chine à long terme.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

jeudi, 23 mars 2017

«Aucun Européen ne pourra plus faire un pas dans la rue en sécurité», menace Erdogan

Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2017

«Aucun Européen ne pourra plus faire un pas dans la rue en sécurité», menace Erdogan
© Umit Bektas Source: Reuters
 
Le 22 mars, le président turc a fortement tancé l'Europe dans sa façon de traiter la Turquie, sur fond de crise aggravée entre Bruxelles et Ankara depuis l'expulsion de ministres turcs de meetings pro-Erdogan aux Pays-Bas et en Allemagne.

«Je m'adresse une nouvelle fois aux Européens [...] La Turquie n'est pas un pays qu'on peut bousculer, dont on peut jouer avec l'honneur, dont on peut expulser les ministres», a martelé Recep Tayyip Erdogan lors d'un discours à Ankara. Le président turc a ainsi menacé l'Union européenne, qui, selon lui, maintient une attitude hostile envers Ankara. 

«Le monde entier suit ce qu'il se passe de très près. Si vous continuez de vous comporter de cette manière, demain, aucun Européen, aucun occidental, ne pourra plus faire un pas en sécurité, avec sérénité, dans la rue, nulle part dans le monde», a-t-il ajouté.

«En tant que Turquie, nous appelons l'Europe à respecter les droits de l'homme et la démocratie», a lancé le chef de l'Etat turc.


Voir l'image sur Twitter

Erdogan warns Europeans 'will not walk safely' if current attitude persists http://reut.rs/2mQq145 

Ces déclarations surviennent alors que les relations entre la Turquie et l'UE se sont fortement tendues ces dernières semaines après l'interdiction de plusieurs meetings pro-Erdogan auxquels devaient participer des ministres turcs en Allemagne et aux Pays-Bas.

En réaction, les dirigeants turcs avaient multiplié les invectives envers les capitales européennes. Recep Erdogan avait ainsi accusé la chancelière allemande Angela Merkel d'avoir recours à des «pratiques nazies», suscitant l'indignation de Berlin.

Le regain de tension avec l'Europe surgit à moins d'un mois d'un référendum en Turquie, le 16 avril, sur une révision constitutionnelle visant à renforcer les pouvoirs présidentiels, qui pourrait permettre à Recep Tayyip Erdogan de rester au pouvoir jusqu'en 2029.

Ouvrir les vannes des migrants 

Si Erdogan n'a pas précisé en quoi consistaient exactement ces menaces vis-à-vis de la sécurité de Européens, il apparaît vraisemblable qu'il puisse s'agir d'une éventuelle mise à mal de l'accord migratoire en vigueur entre la Turquie et l'UE depuis un an.

Le président turc a déjà menacé à plusieurs reprises de briser cet accord migratoire passé le 18 mars 2016. Il prévoit un plan global pour réduire la migration vers l'Europe en renvoyant les migrants en situation irrégulière présents en Grèce vers la Turquie.

Le 16 mars, le ministre turc de l'Intérieur, Süleyman Soylu, avait déjà annoncé la couleur en déclarant  : «Je le dis à l'Europe, êtes-vous à la hauteur ? Si vous le souhaitez, nous pouvons ouvrir le passage aux 15 000 réfugiés que nous ne vous envoyons pas chaque mois et vous couper le souffle.»

En contrepartie de l'accord, l'Union européenne doit accélérer le versement du montant de 3 milliards d'euros destiné à la gestion des réfugiés en Turquie. L'UE doit également assurer le financement d'autres projets en faveur de personnes bénéficiant d'une protection temporaire en Turquie, pour 3 milliards d'euros supplémentaires jusqu'à fin 2018.

 

Source : francais.rt

vendredi, 30 décembre 2016

Lors des viols à Cologne, une partie de la sécurité était confiée à… des migrants !

 Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2016

Par le 29/12/2016 
 Cologne, réveillon 2015

Bild révèle qu’une partie de la sécurité du réveillon 2015 de Cologne était assurée par 59 migrants d’un centre de première aide : ils ont notamment été postés sur des ponts au-dessus du Rhin.

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Selon les informations de Bild, la société Rheinischer Sicherheitsdienst (service de sécurité du Rhin) recherchait des agents de sécurité en décembre 2015 pour honorer son contrat avec la ville de Cologne.
La condition d’embauche était « la maîtrise moyenne de la langue allemande » et des vêtements chauds que les employés devaient apporter eux-mêmes. Rheinischer Sicherheitsdienst aurait alors sous-traité son mandat à la société Westturm, société spécialisée dans la sécurité.
Concrètement, 59 migrants originaires d’Afrique du Nord, de Syrie et d’Afghanistan ont ainsi été recrutés pour un salaire plus bas que le minimum légal, percevant ainsi 5€ de l’heure.
Le recrutement se serait déroulé par le biais de salariés de la société Westturm qui se seraient rendus dans les centres de première aide pour y charger des migrants dans des minibus et les ramener aux différents postes qui devaient être surveillés : sommairement, on a alors remis un baudrier et un talkie-walkie à chaque migrant qui ne comprenait pas ce qu’il faisait là.
Rapidement, on a relevé des anomalies : à la Zoobrücke (pont du zoo), 5 des 20 agents ont disparu avec le matériel ; à la Deutzer Brücke, un agent était fortement alcoolisé, au pont Hohenzollernbrücke un agent a disparu dès la prise de poste.
Toujours selon les révélations de Bild, sur les ponts du Rhin (donc là où les migrants avaient initialement été répartis), beaucoup d’incidents furent relevés dans la soirée : on a rapidement relevé que sur la Hohenzollernbrücke absolument plus rien n’était maîtrisé, y-compris les agressions sur les femmes.
La ville de Cologne répond à ces révélations en précisant que, par le passé, elle n’avait jamais eu de problème avec des sociétés de sécurité. Elle aurait vérifié le nombre d’agents avant la mise en place. Cologne s’est reposée sur les prestataires quant à la qualification des agents recrutés (qui de fait, n’avaient strictement aucune expérience, ni aucune qualification).
La société Westturm refuse de répondre aux journalistes.

Focus.de

 

Source : fdesouche