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jeudi, 30 avril 2015

Dimanche 7 juin, TOUS à Poitiers pour la 1ère Rencontre Charles Martel

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Destruction sociale et destruction culturelle

 Publié par Guy Jovelin

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Jean-Gilles Malliarakis L’Insolent cliquez ici

Certains se demandent parfois si la déconstruction culturelle, entraînant la trahison des élites, n'engendre pas des conséquences plus graves encore que l'arasement social, étranglant les classes moyennes et se traduisant par la perte du sens du travail et de l'entreprise.

Des deux processus de subversion et de décadence lequel doit-on combattre par priorité ?

L'actualité nous fournit sa réponse par la simultanéité de deux mouvements.

D'une part, ce 27 avril, les artisans, commerçants et autres travailleurs indépendants manifestaient leur légitime révolte contre les abus, contre les dysfonctionnements et, en bonne logique, contre le monopole du lamentable RSI. Ce "régime social des indépendants" a été créé sans véritable débat par le fourre-tout de la loi Fillon de 2003. Il fut mis en place, sans que personne ne s'en aperçoive, sauf les assujettis incorporés de force, sous la présidence Sarkozy. Droite et gauche peuvent donc s'enorgueillir de concourir  à la même nuisance.

Et, d'autre part, depuis la révélation de son projet d'abaissement des programmes scolaires par la citoyenne Vallaud-Belkacem, on peut aussi observer et nous devons soutenir de toutes nos forces, la protestation grandissante contre les atteintes tendant à effacer la culture classique et les langues européennes de l'école publique en France.

Dans un cas comme dans l'autre nous ne subissons peut-être pas la même opération, mais elle vient de la même famille d'opérateurs, poursuivant un même but, par le pouvoir des bureaux dont les ministres et sous-ministres ne sont que les communicants.

Ils ont alors bonne mine ceux qui voudraient seulement accélérer le rythme de ce qu'on désigne de manière trop vague et trop indistincte comme des "réformes", trouvant trop lent, trop lourd et trop incertain le pas destructeur de Monsieur Normal et de ses comparses.

Hypocritement le 24 avril, la citoyenne Vallaud-Belkacem, ce personnage incompétent, inculte et non-élu, qui fut promue, on ne sait pourquoi, ministre de l'Éducation, a osé produire un communiqué faisant semblant de concéder que "les débats sont légitimes"… mais que le 12 juin tout sera bouclé, après "consultation", consultation de pure forme cela va sans dire, "des" enseignants… (lesquels ?)

Dans un cas comme dans l'autre, on doit par conséquent cesser de demander des améliorations au monopole, qu'il s'agisse du monopole scolaire ou du monopole social : on doit combattre le monopole.

Le même jour, où s'étaient dressés des gens écrasés par la lourdeur des charges on apprenait les nouveaux chiffres du chômage, la belle réussite de Hollande depuis 3 ans.

Il faut vraiment se situer dans le sillage de l'étatisme et du conformisme le plus absolu pour faire encore semblant de s'interroger sur les causes, alors qu'elles ne datent pas d'hier, même si leur comptabilité officielle vient de franchir la barre symbolique et historique des 3,5 millions de chômeurs.

On peut se demander en fait combien de politiciens français ont daigné observer un bulletin de paie français qu'il s'agisse de celui d'un ouvrier professionnel, d'une caissière de supermarché, d'un cadre moyen ou supérieur. Inutile par conséquent de les inviter à comparer un tel document avec son homologue en Allemagne ou au Royaume Uni. Dans le gouvernement actuel, essentiellement composé de fonctionnaires, personne ne semble capable de comprendre à quel point le modèle social français "que le monde nous envie" tue l'emploi en France, à quel point le poids des charges sociales monopolistes ont fait sombrer l'économie privée française

Songeons aussi que le conseil d'orientations des retraites est composé de gens qui, sans être eux-mêmes assujettis au régime général, bénéficient de la garantie accordée aux privilégiés de la haute fonction publique.

On va fêter bientôt le 20e anniversaire du plan Juppé de 1995 : depuis cette date, l'État, ou plutôt l'étatisme de la haute administration a mis la main sur les régimes sociaux et en a évacué l'ombre de démocratie syndicale qu'ils étaient supposés intégrer.

Dans un cas comme dans l'autre il est temps d'en finir avec ces mini-dictatures de l'incompétence, de l'arrogance et de la jactance.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

Émeutes raciales à Baltimore : l'état d'urgence déclaré

 

 Publié par Guy Jovelin

Après la mort d’une racaille afro-américaine suit à une arrestation, ses congénères ont multiplié les attaques, agressions et pillages ces derniers jours. La situation s’est dégradée fortement  avec des attaques extrêmement violentes. Au moins seize policiers ont été blessés dont au moins un grièvement. Les dégâts sont considérables. Les criminels noirs ont notamment totalement détruit un vaste ensemble qui devait accueillir des retraités ; une pharmacie et un centre commercial ont également été incendiés.

Les trois principaux gangs de voyous du secteur, les Crips, les Bloods et la Black Guerilla Family auraient conclu une trêve pour attaquer ensemble, selon les autorités. Cela pourrait expliquer l’ampleur des violences.

Le gouverneur vient de décréter l’état d’urgence. La garde nationale a été déployée dans les rues de la ville. Même le maire de la ville, également une afro-américaine, a dénoncé les pillages et autres crimes commis par les prétendus« manifestants ».

Pendant que les médias du Système pleurent la mort de criminels noirs tués par des policiers blancs, les crimes racistes antiblancs se multiplient donc aux États-Unis avec la bénédiction, la complicité et le silence des mêmes médias, mais également grâce à la passivité de la prétendue police « raciste » de Barack Obama.

En fin de semaine dernière, des Blancs qui venaient assister à une rencontre de base-ball au stade Camden Yard ont été très violemment attaqués par une horde de noirs hors de contrôle. Les supporteurs agressés ont dû se réfugier dans un restaurant après qu’une manifestation de « protestation » contre les violences policières eut dégénéré en émeute raciale antiblanche. Malgré une des législations sur le port d’arme parmi les plus dures d’Amérique, 210 meurtres ont été commis en 2014 à Baltimore, la quasi-totalité entre afro-américains. La ville est gangrenée par les gangs, sans que cela n’émeuve jamais les médias qui ne s’intéressent qu’à la mort de racailles.

Source

mercredi, 29 avril 2015

Collage sur Toulouse Sud Aujourd'hui

Par Edwige et Alex (4 photos)

Agression à Lyon au cri de « sales Français »

 Publié par Guy Jovelin

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Il faut bien noter qu’une agression de « sales Français » n’est pas une agression raciste pour les journalistes pourtant prompts à dénicher le racisme partout, même là où il n’est pas.

Lorsque les victimes sont blanches, cela devient une agression « gratuite ».

Il faut également souligner par ailleurs que cela reste bien discret (dans la presse régionale), quand le moindre mot de travers à l’égard d’un membre d’une minorité fait la Une des journaux nationaux…

 

 

Source : http://www.contre-info.com/