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mercredi, 06 février 2019

Sonia Krimi, député favorable aux Frères Musulmans

Publié par Guy Jovelin le 06 février 2019

Auteur : Michel Janva

Sonia Krimi, député favorable aux Frères Musulmans

Sonia Krimi, née le 20 décembre 1982 à Tunis, est une femme politique française, est député de la 4e circonscription de la Manche.

Elle a suivi des études de commerce en Tunisie, qu’elle a poursuivies, en France, par une double maîtrise en commerce international et en management et contrôle stratégique et par un doctorat à Toulon, en France. Elle devient enseignante en management, comptabilité et stratégie d’entreprise à l’université Panthéon-Assas de 2010 à 2012.

Elle demande la nationalité française, et l’obtient en 2012, tout en conservant sa nationalité d’origine. De 2013 à son élection comme député, elle est consultante senior en performance industrielle chez Efeso Consulting, spécialisée notamment dans l’industrie du nucléaire.

Aujourd’hui, elle plaide en faveur des Frères Musulmans… Extrait de son intervention dans l’émission Droit de Suite sur La Chaîne Parlementaire :

LCP
@LCP

"A l'époque, on a raté une forme de démocratisation de la société. Je suis pour qu'on puisse intégrer politiquement les frères musulmans (...) C'était une erreur de ne pas les intégrer parce qu'ils ont joué sur cette humiliation", juge @Sonia_Krimi.

mardi, 05 février 2019

Christian Baeckeroot : « Macron, rends-moi mon vote ! »

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2019

Le 29 mai 2005, les Français, à 54,68 %, répondaient NON à la question qui leur était posée par référendum en vertu de l'article 11 de la Constitution française par le Président de la République Jacques Chirac, après adoption du texte du projet dans les mêmes termes par les deux Assemblées : « Approuvez-vous le projet de loi permettant la ratification du traité établissant une Constitution européenne ? »

Couplé au NON des Pays bas, et puisqu’un seul pays refusant de ratifier le texte suffisait à le rendre inopérant, ce refus français aurait dû signer la fin de cette Constitution de l'Union voulue par les supranationaux mondialisés, architecture institutionnelle visant à abattre les derniers murs d'indépendance nationale dont Valéry Giscard d'Estaing fut le maître d’œuvre à la tête de la Convention chargée d'en établir les règles.

Il n'en fut rien. Dans un déni de démocratie sans précédent, les européistes s'acharnant dans leur projet funeste, réussirent à contourner les décisions populaires en rédigeant un nouveau traité qui reprenait 90 % des éléments de la Constitution sans y mettre ni le mot ni la nature institutionnelle. Ce fut le honteux Traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy devenu Président fit ratifier par le Congrès et signa le 13 décembre 2007.

Au moment où, désireux de sortir si possible par le haut de la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron semble vouloir organiser un nouveau référendum à l'issue des débats nationaux/alibis qu'il a voulus, organisés et cadrés, ne serait-il pas juste, souhaitable et pour tout dire réparateur que la République, par la voix de son Président, reconnaisse l'atteinte faite à la souveraineté du peuple français, bafoué dans sa volonté, nié dans sa parole et muselé dans son pouvoir décisionnaire ?

Le traité de Lisbonne fut une infamie, non seulement dans ses intentions – le fédéralisme comme seule voie pour le destin du Continent - mais dans sa pratique – toujours moins d’indépendance, toujours plus de technocratie et de pouvoir bureaucratique de la Commission – et dans ses effets – la marche en rythme accélérée vers la financiarisation des marchés et vers l’immigrationnisme, ce qui ne fut pas pour rien dans la crise financière de 2008, ni dans celle de la déferlante migratoire de 2017, la première faisant encore sentir ses effets sur nos économies, la seconde étant bien loin de se finir.

Sans le Traité de Lisbonne, l’Europe et la France auraient été mieux armées pour faire face à ces deux crises majeures.

En gage de sincérité dans sa démarche affichée de rendre la parole au peuple, les Français attendent du Chef de l'État qu'il déclare, par souci de repentance pour une fois utile et légitime, la responsabilité de la République dans l'injustice politique, nationale et identitaire qui leur a été faite.

Christian Baeckeroot - Ancien député - Membre du Bureau Politique du Parti de la France

Elysée : les effarants et coûteux travaux des Macron

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2019

Auteur : Rédaction

Les Macron ont décidé de « rénover » la salle des fêtes de l’Elysée. Avec 500 000 euros, ils l’ont transformée en vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…

Décidément, ils n’ont rien à faire là… 

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Source : contre-info

 

Autoroutes : 350.000€ de bénéfices par kilomètre !

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2019

Auteur : Pierrot
autoroutes,bénéfices

Suite à une revente honteuse de notre réseau autoroutier par Villepin à des sociétés privées, c’est une fois de plus les Français qui passent au tiroir-caisse pour le bonheur des multinationales et au détriment du bien commun. Un autre scandale – alors que les entreprises exploitantes réalisent des bénéfices monstrueux, elles refusent catégoriquement de geler l’augmentation annuelle de leurs tarifs.

Trouvé sur Auto Plus :

« Les affaires roulent pour les sociétés d’autoroutes ! Alors qu’en ce début du mois de février, les tarifs au péage augmentent, Auto Plus s’est plongé dans le bilan financier des différentes sociétés afin de vérifier ce que chacune d’entre elles gagnent par kilomètre. Nous avons retenu neufs sociétés « historiques » (ASF, Cofiroute, Escota, APRR, etc.) et huit (petites) récentes (A’liénor, Alis, Atlandes, etc.) et avons constaté que l’addition de leurs bénéfices représente un joli magot.

Le viaduc de Millau : record toute catégorie !

Nous avons ainsi découvert que, rapporté aux 9119,3 km des 17 réseaux payants chaque kilomètre rapporte, en moyenne, 350.000€, la palme revenant à Area avec 733.252€/km ! Ahurissant !

Quand au viaduc de Millau, le bénéfice est à l’image de ce magnifique ouvrage d’art : IM-PRE-SSIONNANT ! Ses 3,3 kilomètres de bitume lui rapporte 21,4 millions d’euros par an, soit près de 6,5 millions par kilomètre… »

 

Source : contre-info

lundi, 04 février 2019

Retour des djihadistes, c'est NON ! Sauf… si c'est pour leur mettre 12 balles dans la peau !

Publié par Guy Jovelin le 04 février 2019

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Retour des djihadistes, c'est NON ! Sauf…    
si c'est pour leur mettre 12 balles dans la peau !
 
Faut-il procéder au retour des djihadistes emprisonnés par les troupes kurdes dès lors que nos services ne sont pas parvenus à les tuer lors des combats ou par attaques ciblées et que le retrait américain, risque de créer les conditions d'une nouvelle déstabilisation ?
L'intense polémique en cours ces derniers jours, alimentée aussi par des calculs politiques, est biaisée : la véritable question ne doit pas être le RETOUR des djihadistes, logique en droit (encore que, la plupart étant binationaux, on ne voit pas pourquoi la France devrait procéder à leur transfert davantage que l'Algérie, le Maroc ou la Tunisie), mais aberrante d'un point de vue national, pour y être jugés et incarcérés surtout dans l’état actuel de notre hiérarchie des peines ; la vraie question est l'immense et légitime défiance d'une large majorité de la population contre une justice trop clémente au vu des chefs d'accusation et inadaptée à un contexte de guerre au moment où plusieurs dizaines de criminels islamiques vont être libérés des geôles de la République que, grâce à elle, à ses juges et à ses lois, ils n'auront connues que quelques années (sept ans dans le meilleur des cas).
Dans l'État national que nous voulons, la question du retour en France des djihadistes ne se poserait pas. Celle de leur départ non plus qui n'est, au demeurant, pas notre problème.
Dès lors qu'un ressortissant français part faire le Djihad, il rompt dans le même temps avec la France. Pour ceux-là, bi nationaux ou pas, avec le Parti de la France la déchéance de la nationalité serait automatique et nos services spéciaux seraient largement mis à contribution pour élimination.
Quand aux rescapés de nos opérations faits prisonniers par nos amis peshmergas, ils pourraient éventuellement être transférés sur le territoire français, puis jugés rapidement pour actes de guerre contre la France et la civilisation par une Cour de sûreté de l'État ou un Tribunal militaire avec toutes les chances, la peine de mort ayant été rétablie, de finir, comme il se doit, avec douze balles dans la peau devant un peloton d'exécution.

Jean-François Touzé, Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires