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jeudi, 14 février 2019

Faut-il pleurer sur le sort des femmes jihadistes ?

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

 

Ces femmes djihado-terroristes qui cherchent à faire pleurer sur leur sort doivent assumer les conséquences de leurs actes.

En faisant le choix de l’Etat islamique, elles savaient parfaitement ce qu’elles faisaient. Il ne peut y avoir une justice à géométrie variable alors qu’elles ont joué un rôle actif dans les exactions commises par leurs mâles en Syrie et en Irak. Ont-elles eu une once de pitié aux enfants et aux femmes chrétiennes et yazidies ? 

Leur seule présence dans ces pays est en soi la preuve formelle de leur pleine adhésion à l’idéologie qui anime et arme les mains des djihadistes. Une idéologie mortifère, génocidaire, sanguinaire et purificatrice des non-musulmans dans la région. Elles n’ont pas rejoint les rangs de l’Etat islamique contraintes et forcées, elles l’ont fait en toute connaissance. Convaincues par l’utopie du Califat islamique et tout aussi mues du même idéal barbare et inhumain que leurs sbires masculins. 

Elles ont servi de leur plein gré de dames de confort, sous couvert du djihad du nikah, un concept wahhabite, aux escadrons de la mort de l’Etat islamique issus de plus de 70 pays dans le monde, recrutés et formés par le sinistre Triumvirat wahhabo-islamiste, la Turquie, l’Arabie Saoudite et le Qatar, fer de lance de l’Administration américaine au temps d’Obama. Elles n’étaient pas dans cette région du monde en mission humanitaire, elles voulaient être la matrice humaine du nouvel Etat islamique, en lui procurant ses premiers sujets. Leurs enfants nés de leurs liaisons multiples ne sont pas nés français, belges, tunisiens, ou autres, ils sont daéchiens et les futurs soldats d’Allah, des machines de mort.

Elles ne doivent bénéficier d’aucune circonstance atténuante, elles croyaient en la réussite du projet apocalyptique pour l’humanité de l’Etat islamique, un monstre qui s’est retourné contre ces créateurs saoudiens, turcs et qataris.

Les faire revenir pour les juger en France est une insulte grave aux victimes chrétiennes et yazidies et une absolution de leurs crimes et complicité de crimes contre l’humanité. 

Elles ont été un véhicule important dans la propagation de la terreur en Syrie et en Irak.

Autant les amnistier plutôt que des les mettre derrière les barreaux soi-disant pour mieux les surveiller.

On peut tout enfermer sauf l’idéologie qui les nourrit.

© Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

La Corse se débarrasse de ses migrants et les envoie en rétention à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

Par  le 13/02/2019 
 

Des pratiques illégales et absurdes ! La Cimade entend ainsi dénoncer le sort réservé à des migrants interpellés en Corse.
Selon l’association d’aide aux réfugiés et demandeurs d’asile, la Corse traite en effet des migrants « avec mépris » et en dépit du bon sens.

Depuis le début de l’année, 14 personnes interpellées en Corse ont été placées en rétention à Toulouse (au centre de Cornebarrieu). Elles ont d’abord passé 48 heures dans un local de rétention à Bastia puis elles ont été acheminées vers Toulouse en avion en passant par Paris sous escorte policière.

[…]

Pour la Cimade, « ces procédures sont tant financièrement qu’humainement, très coûteuses.  Elles sont particulièrement absurdes et inefficaces. Elles traumatisent durablement les personnes qui en sont victimes et qui sont privées de liberté. »

France 3 via fdesouche

110 voitures brûlées chaque jour en France

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

Par  le 13/02/2019

 

Le phénomène est loin de décroître. Le Nord, le Val-d’Oise et l’Isère sont particulièrement touchés.

L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) jette une lumière crue sur les feux de voitures, département par département. Les plus touchés ? Le Nord (avec près de 250 feux par mois en moyenne), mais aussi l’Oise, le Val-d’Oise, l’Isère, la Drôme, le Gard, les Pyrénées-Orientales et le Vaucluse. Tandis que la Lozère (30 sinistres seulement en un an), les Côtes-d’Armor et la Mayenne font figure de havres de paix. En tout cas, si l’on s’en tient aux chiffres des pompiers.

Les Services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) disposent de données précieuses. Ils se basent sur un taux moyen d’intervention. « En 2017, en France métropolitaine, les taux moyens sont de 7,7 interventions pour 10.000 habitants et de 12,8 interventions pour 10.000 véhicules », rappelle l’ONDRP.

(…) Le Figaro via Fdesouche

Neckartailfingen (All.) : Un habitant doit quitter la maison qu’il loue depuis 24 ans pour laisser la place à des réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

 
Selon une décision du conseil municipal, un habitant âgé de 74 ans doit partir pour laisser la place à des réfugiés. Klaus Roth n’est pas un inconnu à Neckartailfingen. Il travaille comme chauffeur pour l’Association des infirmières et s’occupe des personnes âgées.

Autrefois, le père de trois enfants était président du conseil des parents d’élèves. A la fin des années 70, l’ancien graphiste a également produit et érigé de sa propre initiative des panneaux d’avertissement colorés portant l’inscription « Automobilistes : levez le pied » après que deux enfants de Neckartailfingen aient été tués sur la route.

Depuis 24 ans, Klaus Roth vit à Neckartailfingen dans une ancienne maison qui appartient à la commune. A présent, le contrat de location a été résilié parce que le conseil municipal a décidé que le logement est nécessaire pour accueillir des réfugiés. Cet homme de 74 ans, qui s’engage de multiples façons pour le bien commun de la communauté, ne comprend plus le monde dans lequel il vit.

[…]

(Traduction Fdesouche)

Ntz.de

 

Quelques nouvelles de la majorité actuelle

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

 
L’Humanité, journal commu­niste, est le quotidien le plus subventionné de France (et ce n’est pas peu dire tant la presse est sous perfusion d’argent public !) – sans parler du soutien de nombreux grands groupes du CAC40. La propagande peut bien dénoncer le « grand capital », on s’arrange toujours avec l’argent (et d’autant plus facilement que cet argent est plus apatride).

Malgré cela, le quotidien est en faillite. On le comprend aisément : la gestion communiste ne peut pas fonctionner. Résultat : le journal, qui ne compte même plus 35 000 exemplaires vendus par jour, a été placé en redressement judiciaire.

Mais je trouve indécents ces innombrables déclarations de soutien ou ces appels au « pluralisme de la presse ».

De Jean-Jacques Aillagon à Cédric Villani en passant par Erik Orsenna, on ne compte plus les personnalités qui y vont de leur petit couplet pour « sauver L’Humanité ».

N’ont-ils aucun respect pour les 100 millions de morts du communisme ? Méprisent-ils ces millions de Vénézuéliens obligés de fuir le régime « bolivarien » qui a réussi le tour de force d’affamer l’un des pays les plus riches de la planète ? N’ont-ils aucune compassion pour les millions d’esclaves qui peuplent le Laogaï chinois ?

Je trouve déjà insupportable et grotesque la prétention de Patrick Le Hyaric, directeur du quotidien, selon lequel « L’Humanité est un bien commun » (il est vrai que, vu ce que nous, contribuables, payons pour ce torchon stalinien, on peut dire qu’il nous appartient un peu !). Mais, je dois dire que ces prétendus défenseurs de la liberté me dégoûtent encore plus.

En matière de justice à géométrie variable, je dois aussi faire une mention de la mésaventure survenue à Richard Ferrand, l’un des piliers de la Macronie (et l’un des exemples vivants que le « nouveau monde » ne refuse pas les prébendes de « l’ancien »).

Une tentative d’incendie, semble-t-il d’origine criminelle, a visé son domicile. Aussitôt, le président de l’Assemblée nationale a communiqué de façon à incriminer à mots couverts les gilets jaunes – sans la moindre preuve de l’implication de ces derniers.

Les incendies criminels sont effectivement un crime grave. Mais pourquoi donc M. Ferrand n’a-t-il jamais protesté contre les innombrables incendies de voitures que les racailles organisent à chaque occasion « festive » ? Les victimes étaient-elles socialement trop méprisables pour mériter sa compassion ? Ou bien découvre-t-il simplement aujourd’hui la douce France que son idéologie « vivre-ensembliste » nous a préparée ?

La majorité travaille, lit-on dans les gazettes, au retour de la taxe carbone. Mais, nous assurent les médias aux ordres, pas question d’anticiper sur les résultats du « grand débat ». Comme s’il y avait le moindre risque que les Français réclament le retour de la taxe carbone. On voudrait nous dire que les résultats vont être « bidonnés » que l’on ne s’y prendrait pas autrement !

En attendant, Brune Poirson, secrétaire d’État à la Transition écologique, et Stanislas Guérini, patron du parti LREM, ont tous deux déclaré publiquement qu’ils trouvaient que la taxe carbone était une bonne idée pour financer la fameuse « transition écologique » (transition de quoi vers quoi, nous ne le saurons pas !).

Guérini a ajouté : « à condition que ça ne se fasse pas au détriment des classes populaires. »

Nous sommes rassurés. Non seulement, la taxe carbone revient, mais il y a toutes les chances qu’elle soit une usine à gaz à laquelle même François Hollande n’avait pas songé !

 

Source : les4verites