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vendredi, 24 mars 2017

Balma : à 9 ans, il brandit des balles et menace de mort des camarades de son école

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2017

Par FV avec AFP 

L'école Gaston Bonheur à Balma / © Google
L'école Gaston Bonheur à Balma / © Google

L'enfant avait des munitions en main et aurait menacé plusieurs de ses camarades dans une école primaire de Balma. 

Par FV avec AFP

Un élève de l'école primaire Gaston Bonheur à Balma, près de Toulouse, a exhibé trois balles d'une arme à feu et menacé des camarades de classe de mort, a indiqué jeudi 23 mars le procureur de la République de Toulouse. Les faits se seraient produits mercredi dans cette école publique. 

L'enfant aurait déclaré, selon une source non-officielle, avoir "fait une liste de noms" et indiquer vouloir tuer ses camarades. 

Ces propos, une semaine après que Killian, un adolescent de 16 ans, a ouvert le feu dans son lycée de Grasse (Alpes-Maritimes), blessant cinq personnes ont  été pris très au sérieux. Cela a amené les responsables de l'école à alerter la gendarmerie.

Le procureur de la République de Toulouse Pierre-Yves Couilleau a indiqué que si cette affaire devait avoir des suites judiciaires après enquête, ce serait "sous l'angle de l'assistance éducative".
 
Source : france3-regions.francetvinfo

Enquête sur le collaborateur « à statut fictif » de Jean-Michel Baylet

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2017

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Jean-Michel Baylet n’est pas simplement ministre. Il préside deux importantes structures intercommunales dans le Tarn-et-Garonne. Dans le cadre de ses fonctions locales, Jean-Michel Baylet emploie un proche. Problème : le contrat de travail de ce collaborateur pose de sérieuses questions. Il existe de (forts) soupçons d’irrégularité.

Jean-Michel Baylet. Photo MaxPPP

Jean-Michel Baylet. Photo MaxPPP

Dans un précédent article, le Blog Politique a évoqué un collaborateur « fantôme » de Jean-Michel Baylet. Un collaborateur très présent et influent mais absent des effectifs et du compte administratif de la structure pour laquelle il travaille. Contacté par France 3 Occitanie, le bras droit de Jean-Michel Baylet au sein du PETR (pôle d’équilibre territorial et rural) Garonne-Quercy-Gascogne a reconnu percevoir une rémunération pour ses activités. Mais refusé de dire qui le rémunère.

Un collaborateur payé mais par qui ?

Les activités de Max Courrègelongue sont attestées par de nombreux élus. Interventions lors des réunions, préparation de notes, démarchage de communes, présence physique dans les murs du PETR…

Un article paru dans un titre du groupe de presse de Jean-Michel Baylet apporte une preuve par le texte et l’image. L’article est un compte rendu d’une réunion du PETR Garonne-Quercy-Gascogne. Sur la photo, derrière Jean-Michel Baylet, on peut voir Max Courrègelongue au milieu des élus et des agents du PETR.

Dans un discours prononcé devant les élus du PETR, Jean-Michel Baylet a récemment salué le travail de Max Courrègelongue. Le ministre-président (du PTER et de la communauté de communes des 2 Rives) a affirmé que, sans l’action de son proche, le PETR ne serait pas devenu ce qu’il est. Plusieurs élus du PETR qualifient Max Courregelongue de véritable Directeur Général des Services et évoquent une fonction de direction informelle mais réelle.

Aucun doute. Max Courregelongue est présenté comme le pilier de l’importante structure (130 845 habitants, 300 000 euros de budget, 141 communes) présidée par Jean-Michel Baylet.

Le travail de Max Courrègelongue au profit du PETR est de notoriété publique. En revanche, les modalités financières et statutaires de ce travail de fond sont opaques. Le principal intéressé cultive la discrétion (pour ne pas dire le secret) en refusant de révéler l’identité de son financeur. Max Courregelongue accepte seulement de préciser une chose. L’argent qu’il perçoit ne provient ni du ministère de Jean-Michel Baylet (ce qui est une évidence), ni (plus surprenant) de son employeur, le PTER.

Le Blog Politique s’est procuré des documents (bulletin de salaire, contrat de travail) qui lèvent le voile. Max Courregelongue est rémunéré par la communauté de communes présidée par Jean-Michel Baylet, les Deux Rives. Une intercommunalité dont le siège se situe sur les terres historiques de la famille Baylet, Valence d’Agen.

Le contrat (signé de la main de Jean-Michel Baylet) a été conclu le 21 décembre 2016. Problème. Ce contrat est irrégulier en raison de l’âge de Max Courregelongue.

Un contrat irrégulier pour des raisons de limite d’âge

Le contrat de travail de Max Courregelongue est un contrat de droit public. Le collaborateur de Jean-Michel Baylet a été recruté en qualité d’agent contractuel de la fonction publique territoriale. Or un tel recrutement n’est pas possible au delà de 65 ans. Le contrat signé entre Max Courregelongue et Jean-Michel Baylet vise le décret du 15 février 1988. Ce texte est applicable aux agents contractuels de la fonction publique territoriale. Ces derniers sont soumis à des limites d’activité. Des limites fixées par la loi et que Max Courreègelongue a dépassé avec ses 71 printemps.

Les vacations ne sont pas soumises au principe de la limitation d’âge. Mais ce n’est pas le cas des contrats signés sur la base du décret de 1988.

Ancien Directeur Général des Services du conseil général du Tarn-et-Garonne, Max Courrègelongue a dû quitter ses fonctions pour faire valoir ses droits à la retraite. Trop âgé pour occuper un poste (fonctionnel) dans la fonction publique territoriale, l’ex patron des services départementaux est également trop âgé pour être recruté en tant qu’agent public contractuel. Les textes sont formels.

Consultés par France 3 Occitanie, un avocat et un spécialiste du droit des collectivités locales insistent sur cette évidence juridique.

Ce point est loin d’être un détail. Un recrutement qui ne respecte pas la limite d’âge est un recrutement irrégulier et cela rend le versement de salaires…irrégulier. Les sommes perçues et versées par le comptable public doivent être remboursées.

Max Courrègelongue a déjà perçu des salaires et doit continuer à en percevoir pendant les 10 prochains mois.

Le contrat de Max Courrègelongue est susceptible de reconduction, de manière expresse ou par voie de simple avenant. Mais il court sur la période « janvier 2017-décembre 2017 ». En vertu de son grade (Attaché Principal), Max Courregelongue perçoit un traitement de base indiciaire de 2 098,66 euros par mois. Cette somme est susceptible d’être reversée et, évidemment, avec un effet multiplicateur en raison du nombre de salaires (mensuels) perçus.

Mais ce n’est pas tout.

La question de la limite d’âge n’est pas la seule question qui fâche.

L’indispensable mais introuvable convention

Max Courrègelongue est rémunéré par une Communauté de Communes. Mais son travail s’effectue dans une autre structure, le PTER Garonne-Quercy-Gascogne. Le communauté de communes est membre du PETR. Mais, juridiquement, aucun doute possible. Il s’agit de deux personnes juridiques différentes et distinctes : un établissement de coopération intercommunale (EPCI) s’agissant de la communauté de communes des Deux Rives et un syndicat mixte s’agissant du PETR Garonne-Quercy-Gascogne.

Un agent contractuel peut travailler pour deux entités juridiques différentes. Mais cela suppose (à moins de tomber sous le coup d’une infraction pénale) l’existence d’une convention de mise à disposition. S’agissant de Max Courregelongue, cette convention est introuvable.

Une collectivité peut utiliser un collaborateur recruté et rémunéré par une autre. Mais il faut un acte de mise à disposition. Cette convention se traduit par des écritures comptables. L’employeur doit abonder (au travers d’une dépense) la colonne recette de la collectivité mettant l’agent à disposition.

A défaut, il s’agit d’un détournement de fonds publics. Un agent qui ne travaille pas (réellement) pour la collectivité qui le rémunére. Il s’agit également d’un emploi fictif.

Contacté par France 3 Occitanie, Jean-MIchel Baylet n’a pas souhaité s’exprimer sur l’existence d’une convention de mise à disposition.

A défaut d’une déclaration du président du PETR qui est en même temps le président de la communauté de communes, il reste un faisceau d’indice.

Le Blog Politique a pu consulter le rapport d’orientation budgétaire du PETR pour 2017.  Aucune trace de compensation financière vis-à-vis de la communauté de communes des 2 Rives.

Les dépenses liées aux frais de personnel du PETR se limitent aux salaires, indemnités, charges sociales de 3 agents. Montant : 186 000 euros.

Les autres postes sont les loyers (13 200 euros), fournitures (6000 euros), locations (5000 euros), assurances-maintenances (2500 euros) et autres dépenses liées à des déplacements ou des besoins matériels.

Max Courrègelongue bénéficie d’un contrat de 20 heures hebdomadaires.

Il peut toujours plaider que son activité pour le PETR est exercée à titre bénévole et en dehors de ses horaires de travail pour la communauté de communes des Deux Rives. Mais cette version des faits est difficilement compatible avec les multiples témoignages des élus du PETR. Témoignages qui insistent sur la présence régulière (pour ne pas dire permanente) de Max Courregelongue dans les locaux du PETR à Castelsarrasin.

Une seule source atteste d’un travail (effectif) pour le compte de la communauté de communes des Deux Rives. Il s’agit d’une activité comptable. Et encore cette fonction appartient (toujours selon la même source) au passé.

En toute hypothèse, la réalité d’un emploi se prouve par toute une série de preuves matérielles : badgeage, signature de documents ou mention dans des réunions de service, témoignages…

Le mystère du collaborateur fantôme de Jean-Michel Baylet s’éclaircit. Mais il reste encore de vraies zones d’ombres.

Laurent Dubois (@laurentdub)

 

Source : france3-regions.blog.francetvinfo

jeudi, 23 mars 2017

TF1 : le CSA rappelle à l'ordre Jean-Pierre Pernaut pour des propos sur les migrants

Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2017

TV 22 mars 2017

ILLUSTRATION. Jean-Pierre Pernaut en 2015. (LP/Olivier Corsan)

Selon l'instance de contrôle, les propos du présentateur de TF1 peuvent «encourager un comportement discriminatoire».

«Plus de places pour les sans-abris mais, en même temps, les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France». Ce commentaire de Jean-Pierre Pernaut, prononcé au JT de 13h de TF1, le 10 novembre, en clôture d'un reportage sur les sans-abris, ne passe pas auprès du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). Mercredi, l'instance de contrôle a adressé un rappel à l'ordre au présentateur et à sa chaîne. 

«Après examen de la séquence, le Conseil a regretté la formulation choisie par le journaliste, estimant que celle-ci était de nature à sous-entendre que les migrants seraient privilégiés par les autorités publiques par rapport aux personnes sans domicile fixe. Il a donc considéré que ces propos pouvaient encourager un comportement discriminatoire», écrit le CSA dans un communiqué. 

VIDEO. Le JT de 13 heures du TF1 du jeudi 10 novembre (à 6'25)

Les propos du journaliste avaient suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Dans quel but opposer le sort des migrants à celui des sans-abri ?», s'était notamment demandée la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) sur son compte Twitter.  

 

Source : leparisien

«Aucun Européen ne pourra plus faire un pas dans la rue en sécurité», menace Erdogan

Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2017

«Aucun Européen ne pourra plus faire un pas dans la rue en sécurité», menace Erdogan
© Umit Bektas Source: Reuters
 
Le 22 mars, le président turc a fortement tancé l'Europe dans sa façon de traiter la Turquie, sur fond de crise aggravée entre Bruxelles et Ankara depuis l'expulsion de ministres turcs de meetings pro-Erdogan aux Pays-Bas et en Allemagne.

«Je m'adresse une nouvelle fois aux Européens [...] La Turquie n'est pas un pays qu'on peut bousculer, dont on peut jouer avec l'honneur, dont on peut expulser les ministres», a martelé Recep Tayyip Erdogan lors d'un discours à Ankara. Le président turc a ainsi menacé l'Union européenne, qui, selon lui, maintient une attitude hostile envers Ankara. 

«Le monde entier suit ce qu'il se passe de très près. Si vous continuez de vous comporter de cette manière, demain, aucun Européen, aucun occidental, ne pourra plus faire un pas en sécurité, avec sérénité, dans la rue, nulle part dans le monde», a-t-il ajouté.

«En tant que Turquie, nous appelons l'Europe à respecter les droits de l'homme et la démocratie», a lancé le chef de l'Etat turc.


Voir l'image sur Twitter

Erdogan warns Europeans 'will not walk safely' if current attitude persists http://reut.rs/2mQq145 

Ces déclarations surviennent alors que les relations entre la Turquie et l'UE se sont fortement tendues ces dernières semaines après l'interdiction de plusieurs meetings pro-Erdogan auxquels devaient participer des ministres turcs en Allemagne et aux Pays-Bas.

En réaction, les dirigeants turcs avaient multiplié les invectives envers les capitales européennes. Recep Erdogan avait ainsi accusé la chancelière allemande Angela Merkel d'avoir recours à des «pratiques nazies», suscitant l'indignation de Berlin.

Le regain de tension avec l'Europe surgit à moins d'un mois d'un référendum en Turquie, le 16 avril, sur une révision constitutionnelle visant à renforcer les pouvoirs présidentiels, qui pourrait permettre à Recep Tayyip Erdogan de rester au pouvoir jusqu'en 2029.

Ouvrir les vannes des migrants 

Si Erdogan n'a pas précisé en quoi consistaient exactement ces menaces vis-à-vis de la sécurité de Européens, il apparaît vraisemblable qu'il puisse s'agir d'une éventuelle mise à mal de l'accord migratoire en vigueur entre la Turquie et l'UE depuis un an.

Le président turc a déjà menacé à plusieurs reprises de briser cet accord migratoire passé le 18 mars 2016. Il prévoit un plan global pour réduire la migration vers l'Europe en renvoyant les migrants en situation irrégulière présents en Grèce vers la Turquie.

Le 16 mars, le ministre turc de l'Intérieur, Süleyman Soylu, avait déjà annoncé la couleur en déclarant  : «Je le dis à l'Europe, êtes-vous à la hauteur ? Si vous le souhaitez, nous pouvons ouvrir le passage aux 15 000 réfugiés que nous ne vous envoyons pas chaque mois et vous couper le souffle.»

En contrepartie de l'accord, l'Union européenne doit accélérer le versement du montant de 3 milliards d'euros destiné à la gestion des réfugiés en Turquie. L'UE doit également assurer le financement d'autres projets en faveur de personnes bénéficiant d'une protection temporaire en Turquie, pour 3 milliards d'euros supplémentaires jusqu'à fin 2018.

 

Source : francais.rt

mercredi, 22 mars 2017

Le pire est devant nous…

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2017

POSTÉ LE 20 MARS , 2017, 4:17

Résultat de recherche d'images pour "le pire est devant nous"Quel que soit le vainqueur de l’élection présidentielle, le pire est devant nous.

Macron, dit-on, l’emporterait au deuxième tour, mais les législatives de juin donneraient probablement la majorité à la droite parlementaire, d’où une cohabitation rendant impossible toute réforme sérieuse.

Alors, pratiquement, que se passerait-il ? C’est très simple. Il ne se passerait rien. C’est-à-dire que, comme précédemment, tout augmenterait : l’immigration, et donc l’insécurité, le chômage, la dette et surtout la fiscalité, avec une seule diminution, celle du pouvoir d’achat. Et, si, d’aventure, une majorité se formait, non pas sur son programme (Macron n’en a pas !), mais sur son nom, ce serait pire. À la question : « Baisserez-vous les impôts qui écrasent les ménages et ruinent l’économie ? », je n’ai toujours pas eu de réponse.

Je rappelle que les deux derniers quinquennats, ceux de Sarkozy et Hollande, ont été financièrement désastreux : une dette passée de 1 253 milliards d’euros à plus de 2 200 milliards. 600 milliards supplémentaires sont dus à Sarkozy et 350 milliards à Hollande. C’est ce que vient de publier Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’Ifrap.

Ces deux présidents ont augmenté les impôts de 76,2 milliards (Sarkozy) et de 79,7 (Hollande). Matraquer et appauvrir les Français, c’est tout ce qu’ont su faire ces deux politiciens démagogues, incompétents, mais qui en ont bien profité sur le dos des Français.

En outre, cette interminable campagne présidentielle cacophonique et nauséabonde a révélé une faille très grave du système politique français : la politisation de la justice. Les poursuites engagées contre le candidat Fillon, largement décrites par une presse généralement subventionnée, le démontrent amplement. Contre ceux, affichés sur un mur, le « mur des cons », c’est la présomption de culpabilité qui s’applique avec mise en examen et perquisitions à répétition. Les magistrats de gauche et syndiqués disent rendre une justice sociale. En URSS aussi, on rendait une justice sociale !

« Une dénonciation via un journal visiblement alimenté de bonne source, écrit l’ancien procureur général près la cour d’appel de Paris, dans Le Monde du 3 mars, l’engagement, le jour même, d’une enquête illustrée de fuites bien informées et orientées d’éléments du dossier, l’ouverture d’une information judiciaire en quelques semaines, une convocation quasi immédiate… Combien de justiciables attendent bien plutôt des mois ou des années dans une douloureuse incertitude ? Des millions de Français sont convaincus qu’on veut leur voler leur élection au mépris de la présomption d’innocence. » On ne peut être plus clair.

Une justice absolument impartiale est le fondement de la sécurité des citoyens et de la démocratie. Force est de constater que, maintenant, en France, il n’y a ni sécurité, ni démocratie.

Autre constat. L’agression politique et diplomatique du Turc Erdogan contre les Pays-Bas et, de façon générale, contre l’Europe chrétienne, est très significative de l’évolution générale dans le monde et, plus particulièrement, en Europe. Malgré un chaos apparent, cette politique démontre, en effet, l’invasion méthodique par les foules musulmanes de l’Europe où l’on compte déjà quelque 5 millions de Turcs et au moins 40 millions de musulmans, la France étant le pays le plus atteint.

Dans son dernier ouvrage, « Républicains, osez ! », Alain Mathieu, président honoraire de « Contribuables associés », a fort bien décrit le processus d’invasion : « Tant que la population musulmane ne dépasse pas 2 % de la population d’un pays, les musulmans y sont considérés comme une minorité pacifique et non comme une menace. C’est le cas des États-Unis, du Canada, de l’Australie, etc. De 2 à 5 %, ils commencent à exercer un prosélytisme envers les autres minorités ethniques, recrutant souvent parmi les détenus et les bandes urbaines. C’est ce qui se passe au Royaume-Uni, en Allemagne, etc. Au-delà de 5 %, ils exigent l’introduction de nourriture halal. Ils font pression sur la grande distribution pour qu’elle fasse figurer des produits halal dans ses rayons. Ils exigent que leurs femmes ne soient pas soignées par des hommes, demandent des heures d’ouverture spéciales pour les femmes dans les piscines. Dans les entreprises, ils demandent des pauses pour la prière et des menus spéciaux dans les cantines. Les fêtes musulmanes doivent devenir chômées. Des tribunaux spéciaux appliquant la charia sont demandés. La construction de mosquées se multiplie. En France, il y en avait 4 en 1965, plus de 2 500 maintenant. Et on en manque toujours. Comme le dit Dalil Boubakeur [recteur algérien de la Grande mosquée de Paris] “pour les 7 millions de musulmans de France, les mosquées actuelles ne suffisent pas”. »

Qui va arrêter cette invasion, alors que la gouvernance française est, de facto, complice des envahisseurs, parce qu’un musulman ayant reçu la nationalité française, distribuée surabondamment, votera socialiste ?
La France est bradée par des politiciens avides de privilèges et souvent ne maîtrisant pas leur langage – l’un d’entre eux, candidat connu, ne vient-il pas, dans un pays musulman, d’accuser les Français de crimes contre l’humanité et de barbarie. Comment élire à la tête du pays un démagogue hostile à la France et à son histoire ?
Telles sont les perspectives dans un pays en état d’anarchie dont la politique politicienne méprisable et destructrice est l’une des formes les plus apparentes de la décadence évidente qui le fera disparaître.

 

Source : les4verites