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dimanche, 26 mars 2017

26 mars 1962 : massacre de la rue d’Isly, par les gendarmes gaullistes

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2017

26 mars 2017 par admin4

Il y a cinquante ans environ, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly à Alger.

Une centaine d’entre eux furent abattus et des centaines furent blessés par les balles des gendarmes français. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

 

 

T. de Chassey

 

Source : contre-info

samedi, 25 mars 2017

Immigration, l’Autriche dit Stop !

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2017

On écrit immigration, on lit chaos ! Au sein de l’Europe, nouvelle tour de Babel des temps modernes, l’anarchie règne souverainement en matière d’immigration.

L’Autriche a décidé de protester à nouveau contre l’arrivée des demandeurs d’asile qui débarquent en Italie par la Méditerranéen, le grand couloir des invasions.

Ce n’est pas un nationaliste mais un social-démocrate, Hans Peter Doskozil, le ministre de la Défense, qui dit Stop :

« Tant que l’immigration illégale, incontrôlée, continue à exister, a expliqué Doskozil à l’Agence de presse italienne Apa, et tant que l’Autriche continuera à supporter cet énorme poids, il ne pourra pas y avoir de canal légal supplémentaire pour les demandeurs d’asile. »

En 2016, l’Autriche a accueilli 36 000 demandes d’asile,

« un tiers, a calculé le ministre, de celles accueillies en Italie, qui a une population sept fois supérieure. »

Au même moment où ce socialiste autrichien s’insurge contre les flots de migrants, la commission défense du Sénat italien a autorisé l’enquête concernant le rôle des bateaux des ONG en Méditerranée dans les débarquements des clandestins africains sur les côtes italiennes, enquête plusieurs fois demandée par Forza Italia. Selon ce parti politique italien, les ONG

« au lieu de se limiter à leur fonction humanitaire, de fait contribuent au transport de clandestins en Italie, alimentant ainsi les activités des trafiquants d’êtres humains et les passeurs. » « Une chose est l’aide humanitaire. Autre chose est l’encouragement d’une activité qui enrichit les marchands de personnes et transporte en Italie des milliers et des milliers de clandestins chaque semaine, avec des retombées en termes de charges, de coûts pour l’accueil et pour la sûreté du pays.»

ont expliqué trois députés de Forza Italia.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 24 mars 2017

Le déficit public de la France plus élevé que prévu en 2016, à 3,4% du PIB

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2017

Michel Sapin assure pour sa part que le gouvernement "a tenu ses engagements européens".

Le ministère de l'Economie à Paris, le 7 janvier 2017.
Le ministère de l'Economie à Paris, le 7 janvier 2017. (MANUEL COHEN / AFP)
franceinfo avec AFPFrance Télévisions

La France a enregistré en 2016 un déficit public légèrement plus élevé que prévu, à 3,4% du produit intérieur brut (PIB) au lieu des 3,3% promis par le gouvernement, a annoncé, vendredi 24 mars, l'Insee dans un communiqué. La dette publique, qui continue à s'accumuler tant que les comptes publics sont dans le rouge, a pour sa part continué sa progression, pour atteindre 2 147 milliards d'euros fin 2016, soit l'équivalent de 96% du PIB, contre 95,6% fin 2015.

"Pour la troisième année consécutive, la France a scrupuleusement tenu ses engagements européens", a toutefois assuré le ministre de l'Economie et des Finances Michel Sapin. "Avec un déficit public de 3,4%, elle respecte exactement la recommandation de la Commission européenne", a ajouté le ministre, selon qui "toutes les conditions sont réunies pour que, en 2017, le déficit public revienne sous les 3%".

Baisse de la dépense publique

"Cette gestion budgétaire sérieuse aura permis de réduire continûment les déficits, tout en baissant les impôts des ménages et des entreprises et en permettant à la croissance de repartir", a estimé Michel Sapin. Le gouvernement, après avoir obtenu plusieurs délais de Bruxelles pour repasser sous la barre des 3%, a engagé en 2014 un mouvement de réduction de la dépense publique, passée de 57,1% à 56,2% du PIB en 2016.

Ces résultats constituent une déception pour le gouvernement, qui insistait ces dernières semaines sur son sérieux budgétaire et se disait confiant sur sa capacité à tenir ses objectifs. Mais les finances publiques ont pâti du climat économique morose, avec une croissance qui a patiné l'an dernier, à 1,1% selon les dernières estimations, loin des 1,5% prévus par l'exécutif.

 

Source : francetvinfo

Molière au secours des Français

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2017

Francophonie-_e parle français

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Qu'est-ce que la Clause Molière? D'après le site web qui la présente, il s'agit d'une mesure simplissime - demander la maîtrise du français sur les chantiers publics.

La "Clause Molière" impose aux ouvriers la connaissance du français sur l'ensemble des chantiers publics.
C'est un moyen simple et efficace de protection des ouvriers et de lutte contre le dumping social.
Inventée à Angoulême, cette clause a été mise en place dans 6 régions et de nombreux départements et villes en France.

L'objectif de protectionnisme est assumé. Il n'est pas question de pseudo-arguments comme la "bonne compréhension des instructions des machines" ou le "besoin de saisir les directives du chef de chantier". Aucune volonté de confusion, à l'inverse par exemple de celle soigneusement entretenue par nos légalistes à travers l'évocation de "signes religieux distinctifs" pour éviter de parler de burqa ou d'islam.

L'exigence du français n'est ni une question de sécurité, ni de qualité. C'est une riposte à la fameuse Directive Bolkestein visant à entériner la concurrence au niveau des services (en réalité, une sous-enchère salariale de la main d’œuvre) à l'échelle de l'Union Européenne. La Clause Molière vise en priorité les marchés publics, dont on attend qu'ils "contribuent à soutenir les PME [du territoire français]".

Forcément, l'Europe grogne contre cette attaque frontale contre la "concurrence de tous contre tous", valeur fondatrice de l'Union. Marianne Thyssen, Commissaire européenne à l'emploi, s'étrangle d'indignation: d'après elle la Clause Molière est une discrimination - ce qui veut tout dire. Mais Mme Thyssen parle dans le vide et elle le sait parfaitement: il n'est pas interdit de faire venir des travailleurs détachés - il suffit qu'ils parlent français, ou se fassent accompagner d'un interprète. Ces deux contraintes visent évidemment à briser l'avantage financier qui motive leur venue en premier lieu, mais ne sont pas, en soi, des discriminations.

La clause divise la classe politique:

Ce stratagème inventé par un élu d'Angoulême pour contourner la directive Bolkestein fait débat, notamment à droite où certains pressent François Fillon de l'adopter. Au centre et à gauche on dénonce le « racisme » et la « tentation du repli nationaliste ».

Ce sont là des discussions de campagne car l'idée progresse sur le terrain - et à travers le spectre politique. La Clause Molière est désormais soutenue par cinq régions de droite (Pays de la Loire, Hauts-de-France, Normandie, Auvergne-Rhône-Alpes et Île-de-France), une région de gauche (Centre Val-de-Loire), cinq départements et de nombreuses villes. Il est loin, le vieux clivage droite-gauche. Mieux encore, elle serait soutenue par une proportion massive de 80% des Français. 39% y seraient très favorables, 41% plutôt favorables.

En Suisse, rien à craindre ; aucun risque de voir apparaître l'équivalent d'une Clause Molière ou quoi que ce soit d'approchant. On se bat au contraire pour pousser la libre-circulation dans les derniers retranchements où pourraient encore se cacher quelques Helvètes, cette ethnie en voie d'extinction. La préférence à l'embauche donnée à des personnes de nationalité suisses est "strictement interdite", nous rappelle-t-on. Que les mondialistes se réjouissent, on continuera encore d'entendre de nombreux dialectes sur les chantiers publics du pays, en évitant surtout les langues nationales.

Alors que les médias invitent le grand public à fêter les 60 ans du Traité de Rome, pareil revirement devrait faire réfléchir. La résistance s'organise contre l'alignement par le bas des salaires que permet la Directive Bolkestein, même dans un pays fondateur de l'Union Européenne.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 20 mars 2017

 

Source : lesobservateurs

Des Bulgares «chasseurs de réfugiés» construisent une clôture à la frontière turque

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2017

La Hongrie, exemple criant de l’échec des quotas sur les migrants

Des Bulgares «chasseurs de réfugiés» construisent une clôture à la frontière turque

© REUTERS/ Laszlo Balogh
 

Des Bulgares «chasseurs de migrants illégaux» ont commencé la construction d'une clôture à la frontière avec la Turquie. Les autorités bulgares n'interviennent pourtant pas dans le processus de construction.

Des activistes bulgares bâtissent un mur à la frontière avec la Turquie afin de « prévenir les provocations turques durant les élections », ainsi que pour empêcher la pénétration des réfugiés, a déclaré dans une interview à Sputnik Nikolaï Ivanov, un des chefs de fil de ces «chasseurs». Les travaux emploient près de 400 personnes.

« En raison de la situation difficile à la frontière, afin d'éviter la provocation de la partie turque et l'entrée illégale des réfugiés, nos militants ont commencé à construire une clôture d'une hauteur de quatre mètres [….]. On en a déjà construit environ 11 kilomètres, la construction se poursuit », a-t-il déclaré.

 
En Bulgarie, 13 % de la population est de confession musulmane, avec une majorité de Turcs. À l'heure actuelle, la Turquie abrite environ 60 000 personnes originaires de Bulgarie. Ils ont immigré au cours des dernières décennies, tout en préservant la citoyenneté bulgare.

Les tensions entre Sofia et Ankara ont monté d'un cran début mars, lorsque la Bulgarie a accusé la Turquie d'« ingérence » dans la campagne électorale pour les législatives anticipées en Bulgarie, prévues le 26 mars. La Bulgarie a notamment évoqué des propos du ministre turc des Affaires sociales, Mehmet Muezzinoglu, qui avait appelé les citoyens bulgares d'origine turque résidant en Turquie à voter pour DOST, une nouvelle formation pro-turque en Bulgarie.

 

Source : sputniknews