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vendredi, 24 février 2017

« Burn out » dans la police : le commissariat de Montpellier touché

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2017

MALAISE. L’épidémie de « burn out » qui frappe les effectifs de police de la Sécurité publique des commissariats de Sète et d’Agde se propage depuis ce jeudi à l’hôtel de police de Montpellier.

Seuls 7 gardiens de la paix, seuls 4 étaient en piste avec 3 adjoints de sécurité (ADS) en début d’après-midi sur les 25 que compte la brigade de roulement de police-secours, jusqu’en soirée.

Des policiers ont été requis dans différents services du commissariat central pour pouvoir assurer les interventions. Et il est fait appel aux réservistes.

Contrôles médicaux

Par ailleurs, selon Bruno Bartocetti, délégué régional du syndicat Unité SGP Police FO, des contrôles des policiers restés à leur domicile par le médecin réquisitionné par la hiérarchie sont mal perçus : « Ce n’est évidemment pas la solution attendue et surtout adaptée pour répondre au mal-être des fonctionnaires de police. Ce n’est pas en agissant de la sorte que le profond malaise sera réglé ».

L’épidémie gagne des commissariats d’autres départements d’Occitanie.

 

Source : e-metropolitain

L’état réel de la France

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2017

POSTÉ LE 23 FÉVRIER , 2017

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Les multiples campagnes présidentielles qui se déroulent depuis des mois ont provoqué un vacarme médiatique assourdissant. Les discours, conférences, interviews, commentaires et commentaires de commentaires se succèdent jour nuit. Mais ce sont des mots. La réalité, c’est autre chose. Que l’on en juge :

La sécurité, c’est 3,75 millions de crimes et délits par an (plus ceux qui ne sont pas déclarés), 802 assassinats, hors attentats islamistes (238 morts, prêtre égorgé et médecins poignardés), et 200 viols par jour. On a enregistré 243 000 cambriolages de logements en 2016, soit une effraction toutes les deux minutes. Imaginons avec optimisme que 10 % seulement des auteurs de ces crimes et délits méritent, une fois jugés, la prison ferme, soit 370 000 individus. Où les mettra-t-on, sachant qu’avec 65 000 détenus, les prisons sont surpeuplées ? 7 500 gendarmes et policiers ont été blessés en 2015 au cours de leur mission, rendue de plus en plus risquée, moins en raison des coups qu’ils reçoivent que des sanctions dont ils peuvent faire l’objet de la part de la justice, apparemment très attentive à protéger de facto les délinquants.

Tous les jours, des manifestations, autorisées ou non, organisées par des associations et syndicats subventionnés par l’argent public, donnent lieu à des pillages de magasins, à des incendies de restaurants ou de voitures, à la destruction systématique du mobilier urbain. Toutes les demi-heures, un incident violent se produit dans les hôpitaux, provoqué souvent par le mari musulman d’une patiente qui doit être soignée sans qu’on la regarde et sans auscultation.

On recense, en outre, en France, 183 bandes armées qui opèrent dans les banlieues des grandes villes, et se livrent presque ouvertement au trafic de stupéfiants. Tous les 15 jours, un adolescent de l’une de ces bandes est assassiné à coups de couteau. Son nom n’est jamais publié et vous savez pourquoi… De façon générale, le vandalisme coûte au contribuable plusieurs milliards d’euros par an.

L’immigration, qui, depuis des décennies, envahit le territoire national, est en grande partie la cause de cette anarchie meurtrière et destructrice. La France compte désormais 10 à 12 millions d’immigrés de tout statut, dont 6 à 8 millions de musulmans, en majorité originaires d’Afrique, beaucoup d’entre eux étant sans qualification ni ressource. Il en arrive environ 1 000 nouveaux par jour. La progression démographique en Afrique, l’anarchie qui y règne, les guerres dans presque tous les pays musulmans, font que cette immigration sans frein ne pourra que s’amplifier, sans possibilité pour les pays dits « d’accueil » de renvoyer ces populations d’où elles viennent. La seule action efficace qui est menée par les États, les organisations internationales et les associations, est de les aider à débarquer en Europe. Les mesures démagogiques de toute nature, claironnées par la presse, sont autant d’appels pour toute la misère du monde à venir en Europe de l’Ouest, et en particulier en France, là où l’immigré sait qu’il sera logé, nourri, soigné et qu’il ne risque pas grand-chose à piller et à voler. Le salaire universel sonne la mobilisation générale pour des dizaines de millions de candidats au départ qui pensent recevoir 1 000 € par mois, simplement en tendant la main, alors qu’en Afrique noire, hormis les dirigeants archi-corrompus, les familles vivent péniblement avec quelques euros par jour.

Tout cela conduit inexorablement à la ruine. La France consacre en effet plus de 700 milliards d’euros à son budget social, chaque année. Soit 31,9 % en pourcentage de PIB. C’est la championne du monde – étant évidemment, de ce fait, la championne du monde des prélèvements obligatoires (57 % du PIB). Si bien que le Français qui a un emploi travaille jusqu’au 29 juillet pour payer les 300 impôts et taxes inventés par l’administration fiscale. Il faut aussi rétribuer quelque 6 millions de fonctionnaires, chiffre en augmentation constante, y compris des jeunes Français surdiplômés mais qui, bien que salariés, sont sans emploi puisque les services sont en sureffectif – avec un absentéisme moyen de 30 jours par an dont le coût annuel est estimé à 140 milliards d’euros, sans parler de 2 millions de jours de grève par an organisées par les syndicats ultra-subventionnés par l’argent public. Ceci explique que les entreprises écrasées par l’impôt et tourmentées par l’État de 1 000 façons sont en faillite (630 000 par an) et surtout n’embauchent pas. Le chiffre du chômage est officiellement de 9,9 % en France. C’est faux. Si on intègre toutes les catégories de chômeurs, on obtient un taux de chômage de 21,2 %, entretenu notamment par les 200 000 jeunes qui sortent de l’onéreux système scolaire sans aucun diplôme, sachant à peine lire, écrire et compter, alimentant les 9 millions d’habitants vivant en France sous le seuil de pauvreté et sans doute les 70 000 SDF des trottoirs, sans parler de ceux qui ont la « chance » d’être logés dans des taudis à vermine. C’est cela la réalité. En même temps, on constate que la balance commerciale de la France reste largement déficitaire avec 48 milliards d’euros de déficit en 2016, alors que la balance allemande est en 2016, positive de 278 milliards d’euros. Dans une France sans croissance réelle, à la désindustrialisation et à la crise agricole, s’ajoutent les déboires du tourisme dus à la dégradation de l’image de notre pays, à la porte de la guerre civile. Personne ne l’ignore. Tout cela se fait, en outre, dans une complexité effroyable. Je relève à ce propos la réflexion de Bernard Zimmern, polytechnicien et fondateur de l’Ifrap, qui écrit dans Les profiteurs de l’État (Plon), page 270 : « Tout est fait pour que personne ne comprenne rien. » 12 700 décrets, 36 269 communes, 13 régions et 101 départements (dont l’un, récemment créé, est entièrement musulman et misérable, mais à la maternité la plus prolifique du monde – ce qui permet de célébrer le « dynamisme démographique rassurant de la France »). Comment peut-on comprendre ce charabia administratif, lorsqu’on relève l’obligation de payer la redevance pour pollution diffuse, la taxe sur les boues d’épuration et celle affectée au CTCPA et au CTIFL, etc. Ainsi en est-on revenu aux cités antiques où le pouvoir était détenu par des grands prêtres au langage secret que le peuple ne pouvait comprendre, n’étant autorisé qu’à se prosterner et à payer !

 

Source : les4verites

Aulnay-sous-Bois : la famille de Théo au coeur d'une enquête financière

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2017

Jean-Michel Decugis et Stéphane Sellami|23 février 2017

CAPTURE ECRAN. Mickael Luhaka, ici sur le plateau de "C à vous", est le président de l’association Aulnay Events.France 5

La famille de Théo est au coeur d'une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros.

C’est une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. La famille de Théo, et Théo lui-même, se retrouvent au coeur d’une affaire financière. Selon nos informations, une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » en juin dernier, soit bien avant le viol présumé du jeune homme lors d’une interpellation brutale, le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois.

Cette enquête, confiée au Service départemental de la police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis ne remet évidemment pas en cause les violences policières présumées subies par Théo.

Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile-de-France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Mickael Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département... L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés.

Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes

S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSSAF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny.

Toujours selon nos informations, les investigations des policiers du SDPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par « Le Parisien », Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salariés, dont les membres de sa famille. Il confirme avoir été interdit bancaire, tout comme son frère.

 

Source : leparisien

jeudi, 23 février 2017

La Vierge de Publier déplacée ? Insuffisant ! Exigeons le déplacement de Notre-Dame de Paris !

 Publié par Guy Jovelin le 23 février 2017

Encore une de ces bonnes histoires bien rigolotes (quoique fort tristes, au fond) comme la Libre pensée et les laïcards savent les inventer : farouchement anti chrétiens mais pas du tout anti musulmans (ils souhaitent à ceux-ci un « Bon Ramadan ! » ou partagent volontiers avec eux le repas de rupture du jeûne, sans problème) les laïcards de tout poil saisissent toute occasion de nuire au seul christianisme, religion traditionnelle de la France et l'un des éléments constitutifs de sa personnalité et de son identité.

Régulièrement, donc, un libre penseur X, Y ou Z, croit finaud de se faire remarquer, lui qui est par ailleurs bien content de rester à la maison le jour de Noël, ou le jeudi de l'Ascension, ou les lundis de Pâques et de Pentecôte, ou le 15 août, bref un jour chômé manifestement d'origine chrétienne. C'est peut-être sa façon à lui d'exister, ou de croire qu'il existe, ou de s'en donner l'illusion. Alors, il va au Tribunal administratif du coin, pour faire retirer une crèche ou enlever une statue. La Justice, erratique, interdit ici une crèche qu'elle autorise là ; ordonne d'enlever ici une statue qu'elle laisse en place ailleurs. Plus personne n'y comprend rien, mais le laïcard libre-penseur à l'origine du charivari est content : il a eu l'impression d'être quelqu'un pendant quelques jours ; d’exister ; comme s'il n'y avait rien de mieux à faire, aujourd'hui, avec nos chômeurs par millions, nos pauvres et mal-logés par millions, aussi !

Cette fois, c'est à Publier, charmante petite bourgade de Savoie, au-dessus du Léman, qu'a eu lieu l'attaque foudroyante de l'armée picrocholine. Par un blitzkrieg audacieux, qui a surpris tout le monde et terrassé l'adversaire, la Libre pensée du lieu a obtenu que la statue de la Vierge, joliment installée dans un parc public avec vue imprenable sur le lac, soit déplacée sur un terrain privé ! Victoire grandiose ! Chômage, maladies, insécurité et violences, inculture galopante... tous les fléaux que nous subissons passent après. La Libre pensée a « libéré » Publier, la France est sauvée. La France ? Non, l'Europe, la Terre entière, et tout l'univers, tant qu'on y est. Puisqu'on ne peut décemment plus parler du « grand soir », on sait au moins que l'avenir radieux est pour demain. Ouf ! Ne perdez pas espoir, braves gens, courage, tenez bon dans les épreuves que vous subissez : Publier est déjà libérée, le reste de la France le sera bientôt ! 

Le reste de la France ? Justement, parlons-en. Pourquoi tant de pusillanimité ? C'est au cœur qu'il faut frapper, messieurs de la Libre pensée. « Hardiment !», comme vous le dirait Sainte Jeanne d'Arc (pardon pour la référence, cela va vous choquer, mais, que voulez-vous, c'est l'habitude...) : exigez donc que l'on retire de Paris la cauchemardesque vision de Notre-Dame ! Qu'on la vende aux Chinois, ou à Trump, tiens, voilà une idée qu'elle est bonne : tel qu'on le connaît, il pourrait bien nous l'acheter, lui ! Et puis toutes ces cathédrales dans toutes les villes de France : mais qu'est-ce que c'est ! On se croirait dans un pays chrétien, un pays qui a une histoire, des traditions, des racines, un passé, bref une âme ! Quelle horreur, une âme ! Allez, toutes les cathédrales sur Le bon coin (Sarko ne connaît pas Le bon coin, mais il y en a quand même pas mal qui savent que ce n'est pas un Monoprix ou un Super-U...). Et puis ça renflouera les caisses de l'Etat : il faut bien que les escrocs du Pays légal, qui s'en mettent plein les poches, trouvent du fric à piquer quelque part ! Non, mais... 

Et puis, ces noms de rue et de places et de quartier. Boulevard Saint Germain, à Paris ? Boulevard de la Guillotine, ce serait mieux ! Faubourg Saint Antoine ? Faubourg du Sang qui gicle, ça, ça aurait de la gueule ! A Marseille, rue Saint Ferréol ? Rue de l'Echafaud lumineux, ce ne serait pas mal, non ? Et les villes et villages : Pont Saint Esprit ? Pourquoi pas Pont du Génocide vendéen ? Saint Etienne ? Ville des têtes sanguinolentes au bout des piques ! L'Ecole militaire de Saint-Cyr ? Pourquoi pas l'Ecole militaire du million et demi de morts de la grandiose Révolution ? Bon, d'accord, dans les deux cas, c'est un peu long, mais c'est « parlant », non ? C'est drôlement (!) expressif...

Allez, les gars, y'a du boulot ! Faut pas mollir. Aidons cette pauvre Libre pensée à trouver ces dizaines de milliers de noms à changer de toute urgence : tous à vos claviers, remuez vos méninges pour remplacer ces milliers de noms, à elle insupportables.

Et, comme on dit dans le langage des journalistes, « écrire au journal (en l'occurrence Lafautearousseau) qui transmettra » ...

 

Source : lafautearousseau

Terra Nova (proche du PS et des Rothschild) veut remplacer les lundis de Pâques et Pentecôte par des jours fériés juif et musulman

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2017

par 22 février 2017

La fondation Terra Nova, proche du PS, vient de présenter aujourd’hui un rapport qui préconise une « émancipation » de l’islam de France ainsi que l’instauration de deux jours fériés, un musulman et un juif, en lieu et place des lundis de Pâques et Pentecôte qui ne seraient plus fériés !

Alain Christnacht et Marc-Olivier Padis sont les auteurs de ce cahier de revendications intitulé « L’émancipation de l’islam de France ». Leur argument ? L’islam serait la deuxième religion pratiquée en France. 

Les deux « penseurs » de la gauche française proposent de reconstruire le Conseil Français du Culte Musulman à partir des conseils régionaux du culte musulman (CRCM), qu’ils considèrent plus représentatifs de la réalité de l’islam en France.

Mais Terra Nova en profite pour relancer une rengaine qui heurte les Français : l’instauration de jours fériés juif et musulman à la place de jours fériés de fêtes chrétiennes (lundis de Pâques et de Pentecôte).

« Pour que toutes les confessions soient traitées à égalité, il convient d’intégrer désormais au moins deux nouvelles dates importantes, le Kippour et l’Aïd el-Kébir, dans le compte des jours fériés, en supprimant les deux lundis qui ne correspondent à aucune solennité particulière », affirme le rapport de Terra Nova.

Or, il faut noter que parmi les organisations musulmanes et juives, seule l’UOIF (proche des Frères musulmans) réclame une telle mesure.

La gauche maçonnique instrumentaliserait-elle les communautés musulmane et juive pour agresser une fois de plus le christianisme ?

Terminons en signalant que la Fondation Terra Nova est une organisation de gauche façon Emmanuel Macron. Elle compte parmi les membres de son bureau directeurGuillaume Hannezo, associé gérant de Rothschild et Cie.

 

Source : medias-presse.info