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mardi, 24 novembre 2015

Jawad Bendaoud, le « naïf » logeur des terroristes : un caïd qui avait tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans en 2008

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2015

Le jour de l’assaut donné par la police à Saint Denis, BFM TV interrogeait la personne chez qui étaient logés des terroristes ayant participé aux attentats du 13 novembre.

Avec un aplomb coutumier chez ce type d’individu, l’homme joue les naïfs comme on peut le voir dans cette video :

On apprend par la suite dans le Figaro que ce Jawad Bendaoud est décrit « dans son quartier, surtout comme «un chef de rue»  » et surtout qu’il a été « condamné en 2008 à huit ans de prison pour avoir tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans pour une obscure histoire de portable, déjà dans la rue du Corbillon, décidément mal famée ». Et que « à part ses années de prison pour coups mortels entre 2008 et 2013, il cumule 13 condamnations depuis 2010: stupéfiants, détention d’armes aggravée en réunion, faux et usage de faux, conduite en état d’ivresse et sous l’emprise de stupéfiants, violences conjugales, violences aggravées en réunion. »

Vous ne rêvez pas : il tue un adolescent de 16 ans à coups de hachoir, et il ne prend que 8 ans sans bien sûr être expulsé (avec déchéance de la nationalité le cas échéant), et il n’en fait que 5…

Source : http://www.contre-info.com/

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2015

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Coups de feu sur trois militaires en civil du 17e RGP

 Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2015

Faits divers - Violence avec arme dans une cité toulousaine

Des soldats du 17e RGP./Photo DDM, C.L.
Des soldats du 17e RGP./Photo DDM, C.L.

La soirée devait être festive. Elle s'est finie à l'hôpital pour l'un des trois militaires en civil légèrement blessé par de nombreux impacts de plomb sur les jambes, les fesses, et l'arrière de la tête. Ces trois hommes d'une vingtaine d'années et appartenant au 17e régiment de parachutiste basé à Montauban ont essuyé des coups de feu, dans la nuit de jeudi à vendredi, rue Belloc, quartier Soupetard, à Toulouse. Ils rejoignaient à pied leur camp de base à la caserne de Balma, où ils sont hébergés le temps de leur mission, lorsque l'attaque s'est produite. De nombreuses questions restent encore en suspens après ces coups de feu.

Une enquête est ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale. Les raisons pour lesquelles ce solide trio a été violemment pris à partie restent à préciser. Leur qualité de militaire n'était pas décelable au premier coup d'œil.

Un peu plus tôt dans la soirée, ces trois hommes quittent leur caserne de Balma pour se rendre place Saint-Pierre. Après une bonne partie de la nuit passée dans ce haut lieu des fêtes toulousaines, ils auraient marché en direction de leur camp de base, en approchant de la cité La Gloire, à Soupetard. Arrivé rue Belloc, le trio est pris à partie par deux individus juchés sur un scooter, vers 3 h 30 du matin.

Selon les premiers éléments, ils auraient essuyé des tirs de plomb de la part de l'un d'entre eux armé d'un fusil de chasse. Les trois hommes auraient ensuite été frappés par un groupe de plusieurs individus.

 

Source : http://www.ladepeche.fr/

samedi, 21 novembre 2015

Pas d'amalgame !

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2015

Photo de Thomas Joly.
Thomas Joly
 
Qui aurait pu imaginer que de ces sympathiques jeunes hommes, aux visages pétris de bonté et exhalant l'amour de leur prochain, allaient commettre un tel massacre vendredi ? 

Vous en croisez par paquets de 12 dans les transports en commun quand vous revenez du boulot ? Profitez-en alors pour leur demander si eux aussi "pray for Paris" et ont allumé une bougie de la paix...

Airbus : la "fausse bombe" découverte dans un A330 était en fait... un thermomètre

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2015

Airbus a procédé à la mi-journée ce vendredi à l'évacuation partielle du site Clément Ader à Colomiers près de Toulouse après une alerte à la bombe. L'engin "artisanal" était en fait un dispositif de relevé de températures d'un sous-traitant.

 
Le bâtiment a été évacué © E. Wat / France 3

© E. Wat / France 3 Le bâtiment a été évacué

 
Incroyable scénario, qui a conduit ce vendredi à l'évacuation partielle de la chaîne d'assemblage final de l'A330 sur le site Clément Ader d'Airbus à Colomiers, près de Toulouse : l'engin découvert et qui ressemblait à une bombe artisanale était en fait un "bricolage" d'un sous-traitant.

L'alerte a été donnée à midi après la découverte par des ouvriers d'un objet suspect, qui pouvait faire penser à une bombe artisanale, dans deux compartiments d'un A330 en cours de montage.
Au total, les policiers découvrent alors deux dispositifs distincts : 6 canettes de soda intactes reliées entre elles, 3 par 3, par des fils électriques eux-mêmes reliés à des "dispositifs" enveloppés dans du papier adhésif.

Après examen par les démineurs, les canettes de Coca se sont révélées vides de tout explosif...mais pleines de soda. "Une très mauvaise plaisanterie" car c'est avec ce type de mécanisme, des explosifs dans une canette d'aluminium, que l'Airbus russe aurait explosé dans le Sinaï. 

Le lieu précis était le bâtiment G2 où l'on procède à l'aménagement commercial des A330. Des investigations ont été menées jusque vers 14 heures et une fois que l'engin a été pris en charge par les démineurs et les lieux sécurisés, les salariés ont pu reprendre leurs postes de travail. 

Mais rebondissement en fin de journée. Selon la direction de la communication d'Airbus, la "fausse bombe" serait en fait un dispositif "bricolé" par un employé d'un sous-traitant qui fournit les chariots pour les hôtesses. Il avait mis au point un système pour vérifier la température et semble l'avoir oublié dans l'A330 en construction. 

Un "oubli" qui aura mobilisé pompiers, policiers, démineurs et mis à l'arrêt la chaîne de production pendant plus de deux heures.