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lundi, 16 novembre 2015

Le citoyen armé ? Un citoyen devenu majeur : un cauchemar pour nos politiciens et pour les voyous, leurs frères d’armes

Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2015 

Le citoyen armé ? Un citoyen devenu majeur : un cauchemar pour nos politiciens et pour les voyous, leurs frères d’armes

 

 

http://resistancerepublicaine.eu/2015/si-les-francais-ava...

Excellente démonstration. En effet, dans les cas d’urgence les moyens habituels de la Justice, police et magistrature, ne permettent pas d’assurer la sécurité des personnes ou des biens. Dans ce cas le citoyen qui se défend PARTICIPE au maintien de l’ordre.

Hollande, en nous désarmant nous prive non seulement de notre droit naturel à nous défendre en cas d’attaque mais aussi prive la police d’une collaboration sérieuse et efficace .

Nos dirigeants nous prennent pour des imbéciles : tous les jours ils nous expliquent que l’Etat ne peut rien ou si peu dans les choses de l’économie mais qu’il pourrait tout dans la défense des concitoyens. Et, tant pis si les chiffres de la délinquance prouvent le contraire, si les attentats de Paris prouvent le contraire.

L’état endetté ne veut plus de fonctionnaires, plus de police, plus de moyens pour la police : même pas l’empreinte génétique pour faciliter le travail d’enquête ! L’Etat se retire des quartiers et des villes. Les incivilités, les délits et les crimes se multiplient. L’Etat ne peut plus assurer notre défense. La moindre des choses qu’il pourrait dans ces conditions faire c’est nous laisser le soin de nous défendre par nous même : privatiser notre défense en quelque sorte. Quoi de choquant, la privatisation est à la mode non !?

Les voyous par définition se moquent de la loi et sont toujours armés. Il est évident qu’un homme armé a toujours l’avantage sur un homme désarmé. La législation sur les armes en France est absurde. Elle n’empêche pas le crime , elle le facilite.

En fait les Cazeneuve, Taubira et autres acolytes de gauche ou de droite ne veulent pas de l’élimination du voyou qu’ils considèrent comme une victime de la société. Ils le protègent en nous désarmant parce que pour eux le voyou c’est la victime. Surtout, en fait, ils savent bien qu’ils abusent du pouvoir et profitent de l’argent du peuple qu’ils volent. Alors ils craignent le réveil et la colère éventuelle de ce peuple. Le syllogisme est simple : Le peuple est d’autant plus dangereux qu’il est armé, donc, il faut le désarmer. Le seul corps armé privé c’est les chasseurs mais l’État s’occupe d’eux… Bientôt, la chasse se fera au lance pierre, à l’intifada quoi !

La peur du peuple transparaît partout. Ainsi, l’urgence actuellement en vigueur n’est pas mise en place pour arrêter les terroristes mais pour éviter les émeutes et édifier le peuple que l’on prend encore une fois pour un con : interdiction de réunion, fermeture des bars, comme si les terroristes allaient jouer à la belote au bar du coin, couvre feu, etc… Cet état d’urgence ne correspond à rien… Du bluff… du bidon…du foutage de gueule. L’urgence elle était, comme vous l’avez souligné au moment des attaques ! Mais là l’État était aux abonnés absents.

A moins qu’il ne s’agisse d’un lapsus. Cet état d’urgence serait alors un acte poussé par l’inconscient : la résurgence à la conscience de ces débiles de nos théories. Théories qu’ils savent fondées sur les « gentils musulmans de souche » : Hollande et Valls sont terrorisés de voir des manifestations de joie dans certains quartiers ! Alors, là le « pas d’amalgame » deviendrait intenable. L’ État d’urgence pour sauver le « Pas d’amalgame ».

Dans tous les cas, l’état d’urgence est contre le peuple de France, français de souche. D’ailleurs on apprend que tranquillement un des terroristes a pu passer la « frontière », la passoire Franco-belge ! Preuve que l’état d’urgence est bien en place contre nous !

Etat d’urgence ou pas la priorité des gouvernements c’est de désarmer le peuple tout en sachant pertinemment que les bandits sont toujours armés et fortement armés. François Hollande ne nous dit jamaisaux armes citoyens mais toujours aux larmes citoyens de souche! Faut dire qu’il a l’habitude maintenant ! D’ailleurs, sur le plan de l’inconscient, nous savons maintenant pourquoi les Français ont voté Hollande : c’est parce qu’il a un air de croque-morts ! La larme à l’œil à pleurnicher en nous donnant la leçon pseudo-républicaine du pas d’amalgame et de la force, (indémontrée), de l’État, (supposé exister) . C’est insupportable !

L’argument que la possession d’une arme par le peuple augmenterait le nombre de crimes ne tient pas. Outre votre argument Christine qui est imparable, j’ajoute que cette affirmation, régulièrement opposée, n’est en réalité qu’une pure hypothèse. En effet, les faits sociaux ne sont pas renouvelables de sorte que l’on ne peut jamais savoir ce qui se serait passé ou se passera si les conditions sont différentes. C’est un mensonge ! Une fiction ! Les politiciens sont coutumiers de ces fictions là. Ainsi, c’est à partir de ce raisonnement absurde qu’ils soutiennent que la CEE nous a préservés de la guerre. Ils n’en savent rien. Si l’Europe n’avait pas existé on ne peut pas savoir ce qui serait arrivé. Pour ma part, il me semble plus réaliste de dire que si la guerre n’a pas eu lieu ce n’est pas grâce à l’Europe mais plutôt grâce à la guerre froide. Ce qu’il faut constater c’est que l’Europe ne nous protège pas des terroristes et des migrants !
L’État protecteur comme l’Europe le serait aussi est une fiction !

Ce mensonge transparaît tous les jours. L’État ment tout le temps la preuve, j’insiste parce que c’est criant, avec les Migrants, soi-disant que des gentils ! Et on apprend qu’il y aurait parmi les terroristes un syrien et un autre avec un passeport Égyptien !

L’État ne nous protège ni sur le plan économique ni sur le plan culturel encore moins sur le plan personnel. Personne n’est à l’abri d’un vol, d’un viol, d’un assassinat même pas chez soi. Nos maisons ne sont plus une protection n’importe qui peut nous y chercher. Il y a quelques années , chez moi, à la campagne, plus exactement dans le petit bourg proche de quelques milliers d’habitants, une personne âgée été volée chez elle alors que sa porte était fermée à clef, sa fille présente est intervenue : elle a été violée !

Pour qu’on puisse se défendre il devient évident qu’il faut modifier la réglementation sur le port d’armes corrélativement à la réglementation sur la légitime défense. Une arme c’est dangereux comme une voiture peut l’être. Aussi, un permis pourrait être instauré dans lequel on apprendrait l’usage des armes mais aussi la règlementation notamment sur la légitime défense. Un nouveau délit relatif à la surveillance de son arme qui serait inadmissible de laisser trainer à la porté d’un enfant pourrait être créé… Que sais je encore dans le sens de garantir une bonne sécurité ?

En plus cela serait bon pour l’économie : un marché énorme de vente d’armes, de munitions, une expansion phénoménale des écoles de tirs… Pour convaincre Bercy : de la TVA en plus et…des taxes sur les permis. Bref, le rêve pour l’État.
Mais le citoyen armé c’est un citoyen devenu majeur : un cauchemar pour nos politiciens et pour les voyous, leurs frères d’armes.

Villeneuve, Résistance républicaine Midi Pyrénées

Traitres un jour, traitres toujours, messieurs-dames du gouvernement !

Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2015

gouvernement« Pas d’amalgame », « unité », « intentions fermes », autant de déclarations banales et sans effets, comme une leçon apprise par cœur et à laquelle on ne croit pas, trop embourbés que sont ces politiques et médias dans le « vivre ensemble ».

Mais je n’entends pas de sirènes dans les rues d’Andrésy, lesquelles résonnent souvent pour aller calmer les ardeurs des hordes « déshéritées » de Chanteloup-les-Vignes, dont beaucoup sont des fidèles de cet islam qu’on nous vend comme lumineux. Pas de sirènes, je me répète, pour aller débusquer les prédicateurs dans les mosquées, ces centres de formation à la haine de la France. La paix ethnique vaut bien quelques sacrifices ! La sûreté de la Nation devra s’en accommoder !

Les corps des victimes de Paris sont encore chauds et déjà, sur les plateaux de télévision, les musulmans « modérés » pérorent, comme en janvier, comme d’habitude. Personne n’osera leur dire : « Ces terroristes kamikazes, ce sont vos enfants, vous les avez éduqués ; ils ont baigné dans votre milieu socioculturel. » Non, il ne faut pas briser l’omerta : il y aura toujours de l’immigration, des constructions de mosquées et un enseignement obligatoire, et certainement renforcé, de l’islam…toujours et encore l’islam.

On contrôle les frontières, mais on ne les ferme pas. C’est cohérent. Peu importe qu’il s’agisse d’une extermination dans l’intention. Traîtres un jour, traîtres toujours, messieurs-dames du gouvernement ! Passez, passez, soldats du Croissant, puisque la porte est ouverte et que les gorges sont offertes !

Pourtant, il suffirait d’une sincère volonté politique pour neutraliser ces ennemis héréditaires de l’Occident. Oui, il n’y aurait qu’à promulguer l’Article 16, qui confère des pouvoirs exceptionnels au Président de la République ; il n’y aurait qu’à extirper des prisons labellisées Taubira les apprentis djihadistes et les torturer jusqu’à ce qu’ils crachent ce qu’ils savent. Pour cela, il suffirait d’avoir ce que nous n’avons pas : des dirigeants politiques qui aiment la France.

Le compteur, pendant ce temps, continue de tourner. Au moment où j’écris, déjà 127 morts. Combien de vies qui ne demandaient que vivre et rien d’autre ? Qui désignera les coupables de leur mort, directs ou indirects : oui, s’acoquiner avec l’Arabie Saoudite, le Qatar – deux pays abominablement intégristes, c’est-à-dire fidèles au message coranique – c’est meurtrier ; comme d’accueillir des migrants dont on ne sait rien et qui sont potentiellement dangereux ; comme d’accepter les exigences d’une religion qui a fait la preuve de son incapacité en même temps que son refus – et ce, dans le monde entier – à s’intégrer à une autre culture ; comme, enfin, de bâillonner les voix dissonantes qui se dressent contre cette tentative d’anéantissement de notre identité.

Tout ça s’est passé un vendredi 13, date rendue mythique par l’arrestation des Templiers, en 1307. Des Templiers qui avaient eu le courage de se lever contre l’islam. Facétie tragique de l’Histoire qui, peut-être, nous indique la voie à suivre : repartir en croisade contre ce fléau venu des déserts où il ne pousse rien que de la souffrance.

J’ai habité deux décennies à Paris ; j’ai connu les attentats de 1986 : je me souviens de la peur ressentie. Aujourd’hui, je n’y vis plus, mais ces massacres de vendredi se sont invités dans mon intimité : mon fils sortait hier soir, avec un copain, dans les rues de la capitale. Moi, je me suis couché de bonne heure et n’ai appris l’odieuse nouvelle qu’au matin. Panique, mais tout va bien bien…pour moi. Pour les autres, mes dérisoires condoléances n’atténueront pas leur chagrin. Je leur dédie cet article.

 Charles Demassieux

Source : http://ripostelaique.com/

dimanche, 15 novembre 2015

« L’immigration d’aujourd’hui, c’est le terrorisme de demain »… mais aussi le danger actuel

Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2015

« L’immigration d’aujourd’hui, c’est le terrorisme de demain »… mais aussi le danger actuel

 

Camille Galic, journaliste, écrivain, Le Bataclan et le Casino de la corniche à Alger : autre temps, mêmes mœurs.

Devant l’horreur, les déplorations, le deuil et les bougies allumées ne suffisent pas. Le monde politique mais aussi médiatique,, qui a si longtemps pratiqué la désinformation sur « l’immigration, chance pour la France », doit prendre conscience de ses abdications, de ses non-dits, de ses initiatives criminelles qui ont contribué à armer la main des terroristes.

♦ Car si la France a gagné la bataille d’Alger au début de 1958, rien ne dit qu’elle gagnera la bataille de Paris en 2016 si elle s’obstine à célébrer le culte des « valeurs républicaines » qui sont avant tout des valeurs antinationales.


Ecoles, salles de spectacle et musées fermés. La conférence sur le climat qui devait s’ouvrir le 30novembre avec 195 délégations étrangères attendues aura-t-elle lieu ? Et quid des élections régionales prévues les 6 et 13 décembre mais dont on évoque déjà le report après les massacres du vendredi 13 à Paris et à Saint-Denis ? Près de 130 tués et 300 blessés dont 80 en « urgence absolue », expression imbécile. Comme, du reste, le titre du Point.fr sur « Un carnage commis par “M. Tout-le-Monde avec une kalachnikov” ». Sauf que les exterminateurs, dont huit sont également morts par autoexplosion ou sous les balles de la police, n’étaient pas « M. Tout-le-Monde » mais des ilotes de l’Etat islamique. Lequel, dès le lendemain, revendiquait la série d’attentats commis à Paris en précisant que l’opération avait été « soigneusement préparée » et que « la France demeurera une cible privilégiée tant qu’elle poursuivra la même politique au Moyen-Orient » – vers lequel faisait cap le Charles-de-Gaulle, le fleuron de notre marine.

Un pays moralement désarmé

En réponse à l’« acte de guerre », commis par « une armée terroriste, Daesh », le président de la République a convoqué ses ministres, annoncé pour le 16 novembre une réunion des Chambres en Congrès et un deuil national de trois jours mais on veut espérer qu’il ne se limitera pas à ces seules mesures. Si légitimes que soient le chagrin et la pitié devant une telle hécatombe, ce n’est pas cela qui empêchera de nouveaux « actes de guerre ».

Mais notre pays a-t-il les moyens militaires et surtout moraux de se défendre ? Car l’écrivain marocain Tahar ben Jelloun n’a pas tort d’estimer que « c’est une guerre à armes inégales », l’Europe n’étant « pas en mesure d’affronter cette guerre que Daesh est déterminée à mener par tous les moyens » en ayant « recours à deux choses que la civilisation et les traditions européennes ne peuvent utiliser sans renoncer à leurs valeurs » :« l’instinct de mort » et l’effet de « surprise ». Si bien que « toute démarche pour prévenir se voit empêchée par la loi et le droit. Quel que soit le soupçon, quelle que soit son importance, la démocratie ne peut pas envahir une maison et arrêter ceux que la police soupçonne de préparer des attentats. »

Un crime… contre « le vivre-ensemble » !

Mais qui, au nom de valeurs débilitantes, nous a réduits à l’impuissance sinon la camarilla ayant naguère porté aux nues le sieur ben Jelloun dont le livre culpabilisateur, Le Racisme raconté à ma fille, fut en 1997 encensé par tous les médias et imposé dans toutes les écoles de la République ?

Et cela continue. Maire de Paris « avec toute sa diversité », Anne Hidalgo s’est indignée, au lendemain du massacre, de ce crime commis contre « le vivre-ensemble ». Simultanément, les télés tentaient de faire diversion hors de nos frontières en insistant sur un mystérieux Allemand (d’ethnie inconnue) complice ou mentor des terroristes et sur la découverte d’un passeport syrien, « appartenant vraisemblablement à un kamikaze », trouvé sur le parvis du Stade de France cible des premières attaques (voilà qui rappelle le passeport égyptien de l’un des pilotes du 11 septembre 2001 miraculeusement retrouvé intact dans les décombres fumants du World Trade Center dont les deux tours avaient été abattues). Et de toutes parts des voix s’élèvent pour s’inquiéter de la recrudescence des contrôles « au faciès » (d’ailleurs condamnés le mois dernier par la Cour européenne des Droits de l’homme) et dénoncer « tout amalgame » entre les méchants kamikazes et nos si bons Beurs.

La « cinquième colonne » existe, composée de 10.000 djihadistes.

L’ennui est que les faits sont têtus. Sur le territoire national même a été passé le cap des 10.000 (*) individus, pour la quasi-totalité allogènes et jeunes, signalés pour leur « radicalisation » et dont le nombre a triplé en trois ans.

Premiers secours

Premiers secours

Bien sûr, tous ne passeront pas à l’action directe, mais pratiquement toutes les villes, y compris dans la France profonde, ont désormais leur « zone de non-droit », qui est le plus souvent une zone de droit islamique. Les viviers sont donc nombreux et la surveillance quasi impossible, sauf à regrouper les « signalés » dans des camps de rétention, ce qui horrifierait les bonnes âmes… et quelques autres. En janvier dernier, n’est-ce pas d’ailleurs la dénonciation par Aymeric Chauprade d’une « cinquième colonne » à l’œuvre dans les cités qui avait provoqué la première rupture entre Marine Le Pen et le géopoliticien dont elle avait précédemment fait son conseiller, la tête de liste frontiste dans l’Ile-de-France lors des élections européennes de mai 2014 et le chef de la délégation FN à Bruxelles ?

Le spectre de la bataille d’Alger.

Le vendredi 13 novembre, jour de chance maximale selon la Française des Jeux (qui a pu du reste se vanter d’un nombre record de parieurs), les voltigeurs de pointe de cette cinquième colonne ont choisi, pour tuer, le Stade de France où avait lieu un match France/Allemagne, la salle de spectacles du Bataclan et plusieurs cafés et restaurants de quartiers très festifs de l’Est parisien.

Curieusement, de tels lieux avaient aussi été les objectifs du FLN pendant ce qu’on appela la bataille d’Alger en 1957. Le mois de février fut particulièrement sanglant. Deux stades furent durement touchés pendant des rencontres dominicales, ceux de Belcourt

Alger, 6/06/1957 - Bombe au Casino de la Corniche

Alger, 6/06/1957 – Bombe au Casino de la Corniche

et d’El Biar, ainsi que le casino de la Corniche qui se transformait le dimanche en salle de bal extrêmement fréquentée et où une bombe placée sous la piste de danse fit huit morts et des dizaines d’amputés des membres inférieurs, tous très jeunes. Egalement visés : deux cafés, le Milk-Bar et l’Automatic voisins des facultés et de plusieurs collèges et lycées et donc très prisés de la faune estudiantine.

Ces cibles avaient évidemment été déterminées en raison de leur clientèle, très majoritairement européenne. Mais c’est aussi son mode de vie « décadent » et contraire aux enseignements du Coran que visaient les fanatiques. Près de soixante ans plus tard, n’a-t-on pas assisté à Paris au même schéma ?

Au Bataclan, où l’on a déploré le plus lourd bilan (80 tués aux cris d’Allahou Akbar lancés par les assaillants dont trois ont finalement été abattus), se produisait le groupe californien Eagles of Death Metal dont un plumitif admiratif nous disait avant le drame que « les spectacles sont empreints de lascivité dans un esprit très sexe, drogues et rock and roll ». Les Eagles venaient d’entonner leur tube « Kiss the Devil » (Embrasse Satan) quand l’enfer s’est déchaîné.

Le « mariage gay », encouragement au fanatisme.

De même les rades du canal Saint-Martin et de la rue de Charonne sont-ils connus pour attirer les soirs de week-end des fêtards très gays, aux postures provocatrices. A la haine raciale et au désir de punir ceux qui avaient osé s’attaquer à l’Etat islamique en Syrie (fût-ce aussi timidement et tardivement que l’a fait la France, avec ses trois séries de raids sur des camps de Daesh) s’est sans doute ajoutée la volonté de frapper le pays qui s’enorgueillit d’avoir légalisé et encouragé le mariage homosexuel, une « abomination » condamnée par tous les imams. Depuis une quinzaine, les agressions de couples gays se sont d’ailleurs multipliées, notamment à Montpellier où sept « jeunes » ont rossé deux invertis qui proclamaient leur « droit à s’aimer en public ».

A cet égard, le chef de l’Etat, son premier ministre, son garde des Sceaux et sa majorité parlementaire pourraient procéder à leur examen de conscience : dans la société plurielle qu’est devenue la France, où l’islam est la deuxième religion, et à n’en pas douter la plus dynamique, n’ont-ils pas mis leurs compatriotes en danger en promulguant une réforme propre certes à leur procurer les faveurs d’une fraction de l’électorat mais surtout propre à aggraver la fracture civilisationnelle ? Surtout alors que l’Etat est si cruellement démuni face à « la terreur qu’il faut répandre dans le cœur de l’ennemi, une terreur qui n’aura pas de fin » comme le préconise l’émir Abou Bakr Naji, l’une des têtes pensantes d’Al-Qaïda, dans son livre Gestion de la barbarie(éditions de Paris), qui serait devenu le manuel de l’Etat islamique.

« Perdre son âme » ou la vie ?

Si la bataille d’Alger fut finalement gagnée, c’est parce que les despérados s’étaient concentrés sur une seule ville, que les populations n’étaient guère imbriquées alors que, grâce à la fameuse « mixité sociale », les terroristes potentiels sont partout « chez eux chez nous », et parce que sur place existaient des troupes d’élite, paras et légion, surentraînées après deux ans de guerre. N’empêche qu’il fallut aux quatre régiments de la Xe Division parachutiste, assistée par le XIe Choc et des commandos marine, près d’une année pour démanteler les réseaux FLN et mettre fin aux attentats – en recourant parfois à des méthodes que la morale républicaine réprouve désormais et en prenant ainsi le risque de « perdre son âme ».

Pour éviter de nouvelles boucheries, l’opinion émolliée par des décennies de paix et la tympanisante religion des Droits de l’homme est-elle prête à accepter un état d’urgence vraiment coercitif, des contrôles discriminatoires, voire le recours à la torture tant vilipendée si la vie d’innocents est à ce prix ?

Le chef de l’Etat a promis de « nouvelles inflexions » de la politique sécuritaire. Il est permis de douter de leur efficacité s’il garde comme ministre de l’Intérieur un Bernard Cazeneuve qui déclarait le 5 août 2014 sur RTL que « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad », prêchait la mise au pas d’Internet aux fins essentiellement d’y pourchasser le révisionnisme et l’islamophobie et, tout récemment, condamnait le sénateur Jean-Louis Masson qui, le 13 octobre, lors du débat sur le nouveau droit des étrangers, avait lancé cet avertissement : « L’immigration d’aujourd’hui, c’est le terrorisme de demain. »

L’attitude face à l’actuel tsunami migratoire donnera la mesure de la prise de conscience annoncée. En effet, Mehdi Ben Nasr n’est sûrement pas le seul chef d’Al-Qaïda ou de quelque autre groupe islamiste à s’être introduit clandestinement en Europe (plus précisément en Sicile, le 4 octobre) en se faisant passer pour « réfugié ». Par tous les moyens, l’Europe doit donc s’ériger en « forteresse » et la France doit donner l’exemple, refusant l’accès à tous les migrants politiques ou économiques et renvoyant chez eux, manu militari, tous les demandeurs d’asile déjà installés. En matière de terrorisme, la main-d’œuvre naturalisée est déjà suffisamment nombreuse sans faire appel à des supplétifs étrangers.

Certes, pour le pape François qui s’en est ouvert à Jacques Gaillot, « les migrants sont la chair de l’Eglise ». Mais, devant les chairs meurtries des victimes d’une terreur aveugle, il faut faire un choix.

Camille Galic
14/11/2015

Source : http://www.polemia.com/

Roger Holeindre défend la véritable Histoire de France

Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2015

Roger Holeindre défend la véritable Histoire de FranceL’infatigable Roger Holeindre, à la tribune de la 9ème Journée nationaliste et identitaire, rétablit quelques vérités historiques pour l’honneur de la France.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Sommes-nous donc devenus une nation de lopettes ?

Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2015

Marchés, musées, cinémas, écoles… tout est fermé en attendant. Mais en attendant quoi, au juste ? Le grand soir qui nous verra tous rafalés ??
 
 
 
« Parisiens, restez chez vous ! Ne sortez qu’en cas de nécessité absolue. »

Voilà le message de la Mairie de Paris et du gouvernement. Et pourquoi pas aussi « planquez-vous sous la couette et prenez du Temesta » ?

Marchés, musées, cinémas, écoles… tout est fermé en attendant. Mais en attendant quoi, au juste ? Le grand soir qui nous verra tous rafalés ??

Bravo, mesdames et messieurs les édiles ! Au cas où les terroristes n’auraient pas pleinement réussi leur pari, vous aurez achevé le boulot : créer la psychose, terroriser les populations par votre couardise, nous transformer en carpettes et demain en lopettes.

J’ai honte. Honte de vous tous, assemblée de couilles molles qui avez aujourd’hui mis Paris en état de mort clinique, posant déjà, au delà du drame humain, les jalons d’une catastrophe économique.

Depuis huit jours – coïncidence, prémonition, hasard malheureux, préscience, incitation/dénonciation ? – s’imposait au regard des passants, dans toute la ville, l’image d’une kalachnikov montée en Tour Eiffel, tournant en boucle sur les colonnes Morris et les panneaux de la Mairie de Paris.
En lettres capitale : « Made in France ». On ne saurait mieux dire.

J’ai cru, je l’avoue – et je ne suis sans doute pas la seule –, que cette affiche était celle du salon de la production nationale, le Salon Made in France, coïncidant avec la sortie du film de Nicolas Boukhrief. Entrevue en passant, il faut croire que cette image était un message subliminal ô combien efficace, celui d’une vérité hautement prémonitoire…

Alors oui, je le redis : j’ai honte, et tant d’autres avec moi.
Honte devant mon grand-père estropié à Verdun, honte devant mon beau-père déporté dans les camps de Pologne, honte aussi devant cet ami qui tout à l’heure me disait : « Quand je pense à mes copains, aux 145.000 mecs qui sont morts en Algérie… tout cela pour en arriver là ! »

En arriver là, à se terrer comme des souris, à se planquer dès que souffle le vent mauvais, à se coucher sur l’injonction de nos gouvernants, en attendant sans doute que les chars règlent la circulation aux carrefours ?
Sommes-nous donc devenus une nation de lopettes ?