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mercredi, 18 novembre 2015

Bartolone : «Il n'y a pas de lien entre la banlieue et ces terroristes»

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2015

Claude Bartolone.

LE SCAN POLITIQUE - Réagissant à l'assaut lancé à Saint-Denis, le président de l'Assemblée a voulu défendre le département qu'il a dirigé pendant de nombreuses années.

 
 

Alors que l'assaut était donné contre des terroristes retranchés dans un appartement du centre de Saint-Denis, Claude Bartolone était invité sur Europe 1. Et le président de l'Assemblée nationale, candidat aux élections régiolanes en Île-de-France, a souhaité avant tout défendre l'image de la Seine-Saint-Denis, département qu'il a dirigé de 2008 à 2012. «Il ne faut pas qu'on établisse de lien entre les classes populaires, les banlieues populaires et ces terroristes qui n'ont rien à voir avec ces populations qui n'aspirent qu'à vivre normalement», a-t-il assuré. Pour lui, les habitants de banlieues sont «victimes» des récents événement. «Regardez tous ceux qui aujourd'hui ne peuvent pas aller travailler, ne peuvent pas se déplacer», pointe-t-il.

Il n'y aurait donc pas de lien entre banlieue et terrorisme, bien que les planques des assaillants aient été découvertes à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, et à Alfortville, dans le Val-de-Marne. «Je ne pense pas que ce soit lié. Vous savez, à l'époque, la bande à Bonnot, déjà, avait trouvé son refuge en dehors des fortifications de l'époque», explique Claude Bartolone. «Dans leur folie, les terroristes essayent d'avoir un minimum d'organisation. C'est beaucoup plus facile de se cacher dans un lieu où il y a beaucoup de monde, où il y a une urbanisme qui permet la fuite», juge-t-il. Avant d'ajouter: «Il faut qu'on soit très attentif. Je ne veux pas qu'il y ait un lien entre banlieue populaire et banlieue dangereuse».

» La séquence en vidéo:

 

Ah bon, ce n'est pas une banane ?

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 Ceci est un Belge                 Ceci est une pomme

La génération Bataclan est foutue, trop conne…

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2015

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Une bobo parisienne se prosterne devant son possible futur égorgeur… qui paraît bien se foutre de sa gueule !

Une vingtaine de courageux jeunes patriotes se sont spontanément mobilisés à Lille lors d’une assemblée de bobos fascistes, afin de crier leur juste colère et réclamer ce que le gouvernement devrait et aurait dû faire depuis longtemps, à savoir l’expulsion de ce cancer glaireux nommé islam de la terre de France…

Qu’ont-ils reçu en échange de leur courage ? Une pluie d’insultes de la part de CONcitoyens,  du gaz lacrymogène et des coups de la part de la police nationale et municipale, aux ordres et à la botte de cet Etat de pleutres…


Lille : irruption d’un groupe d’identitaires au… par lavoixdunord

Quelques dizaines de Bretons têtus, oui, je sais c’est un pléonasme, et fiers de leur pays et de leur région, se sont rassemblés dans les rues de Pontivy pour réclamer la fin du grand remplacement et la fermeture des mosquées en terre bretonne…..

Des peignes-culs antifas locaux et des socialistes de base si courants en Bretagne, où les gens votent socialiste et communiste sans savoir pourquoi, sinon qu’ils ont toujours fait comme ça, donc c’est bien, les ont conspués et insultés tout au long du cortège jusqu’a ce que certains viennent un peu trop près et osent chercher des noises.

4 ou 5 bien-pensants ont pris des claques, l’un d’eux un peu foncé de peau, se disant Antillais, a été mis au sol et un peu frappé… mais il estime que c’était parce qu’il était noir… (encore un qui a tout compris).

Et les journaux locaux, type ouest-torchon, de titrer :  La lâche agression de justes citoyens par des ignobles racistes…

Des bobos trentenaires parisiens sont allés se réunir dans le recueillement place de la République, d’autres poser des bougies, d’autres des fleurs… histoire de faire bien, histoire de chialer, histoire de se plaindre et de se morfondre…

Et les journaleux continuent de nous inonder de leurs mièvreries et de leurs analyses hautement judicieuses et sensées….

Le Padamalgam 500 est distribué à haute dose, alors qu’il n’est pas nécessaire de le faire, les Français sont des veaux, des trouillards et des hypocrites… aucun d’eux n’est capable de faire le lien entre islam, maghrébin, africain, cités, racailles, clandestins, immigration, niquab, qhami, barbe, voile, babouche, khebab, mosquées…

Plus personne ne parle de ces gamins de 6 ou 7 ans refusant de faire silence après les attentats de janvier, et tenant des propos, entendus à la maison, dignes d’une condamnation pénale pour apologie du terrorisme ou incitation à la haine raciale.

Plus personne ne parle de ces cris de joie entendus dans les banlieues et les prisons françaises après ces mêmes attentats….

Les Français  de 15 à 35 ans sont des lavettes incapables de se battre; les femmes de cette tranche d’âge disent oui à des Maghrébins ou des Africains puis viennent pleurer dans les commissariats quand elles prennent des coups ou se font violer…

Dans quelques semaines, c’est à Marseille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Lille, Nantes que ce type d’événement va se produire, peut être tout en même temps….

Et alors là, elle fera quoi cette génération de pignoufs, trop intéressés par leurs i-phones, leurs blogs, leur Facebook, leurs tweeds, leur look, leur inculture crasse… elle fera encore des marches et des pleurs, des rassemblements et des réunions…

Notre pays va tomber aux mains de ces tarés islamisés si personne ne dit à cette génération que la fraternité entre les peuples n’existe pas, que les musulmans ne sont pas nos amis, que trop d’Africains nous haïssent parce que nous sommes blancs, que l’islam est la pire des saloperies, qu’il faut débrancher sa télé, et qu’il n’est pas nécessaire de changer de chaussure tous les 6 mois pour être vivant, et surtout, surtout, qu’aimer son pays et être fier d’être Français n’est pas une tare, mais un honneur.

Cette génération va tomber de haut, elle va avoir mal, parce qu’elle est trop bête pour comprendre quoi que ce soit…

On va peut-être pouvoir sauver les jeunots de 5 à 10 ans, en les reformatant correctement… et encore.

Ce qui est sûr, c’est que le réveil des bobos gauchos va être pire qu’un lendemain de cuite au chouchen !

Hugh !

Geronimo

Source : http://ripostelaique.com/

Sarkozy : sa responsabilité est écrasante

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2015

Si nous sommes en guerre, c'est dû pour une bonne part à sa dévotion atlantiste et sa politique désastreuse en Libye aux basques d’un BHL déguisé en chef des armées.
 

Quatre jours après les attentats, on sait à une exception près qui les a commis, d’où venaient les terroristes, par où ils sont passés et qui les a aidés. Preuve que lorsqu’on veut savoir… En 36 heures, des centaines de perquisitions ont été menées, des armes de guerre et des explosifs découverts dans des planques où, nouveau miracle, on a su en une nuit où aller les chercher et les récupérer ! Comme les terroristes n’en avaient pas la liste dans la poche, on peut donc imaginer que les adresses étaient connues depuis un moment.

Le premier assassin identifié dans la boucherie du Bataclan s’appelait Omar Ismaël Mortefaï. Il aurait eu 30 ans dans huit jours et s’est offert un feu d’artifice hors du commun pour son anniversaire. Né à Courcouronnes, dans l’Essonne. Aux dernières nouvelles vivant à Chartres, sur le mail Anatole-France. Père d’une fillette de 5 ans. Se serait radicalisé à la mosquée de Lucé ! Pour ma part, j’ai bien du mal à associer le nom de Lucé à une mosquée radicale… c’est plutôt le château du Cloux et Léonard de Vinci qui me viennent à l’esprit, mais il faut croire qu’entre mon époque et la sienne, l’école de la République a bien changé…

Avant d’être un musulman convaincu, Ismaël Mortefaï était un petit voyou sans envergure. Exactement huit fois condamné pour des faits de petite délinquance. Des délits mineurs, pas du terrorisme. Et comme la France ne cumule pas les peines et peut remettre en liberté des individus qui comptent parfois plusieurs dizaines de condamnations, ceux-là ne sont jamais incarcérés. Une démotivation foncière pour les forces de police qui passent leur temps à courser des voyous remis dans la nature avant qu’eux-mêmes aient fini le rapport les concernant…

C’est une honte, un scandaleux laxisme, a dit Nicolas Sarkozy au cours de l’entretien fleuve qu’il a accordé à TF1 dimanche soir. Comment la justice a-t-elle pu laisser filer Mortefaï ? Pourquoi n’a-t-il jamais été incarcéré ?

C’est vrai, ça, pourquoi ?

Mais à bien y regarder, personne ne saurait mieux répondre que Sarkozy lui-même, car les condamnations dudit Mortefaï ont été prononcées entre 2004 et 2010. Et que faisait Nicolas Sarkozy en 2004 ? Il était ministre de l’Intérieur d’un certain Jacques Chirac. Et que faisait Nicolas Sarkozy en 2010 ? Il était président de la République.

Alors il peut prendre son air affligé, le patron des nouveaux Républicains, et déplorer les ratés dans la sécurité du territoire ; il peut avancer ses solutions fumeuses et totalement irréalistes, comme la résidence surveillée pour les 11.500 personnes fichées S, ou encore faire de la consultation de sites djihadistes un délit. Comme si l’on avait les personnels pour surveiller tout ce monde et un ange gardien sur l’épaule de chaque internaute !

Il n’est « pas question de polémiquer », dit-il, « ce ne serait pas digne alors que tant de victimes ne sont pas enterrées ». Facile ! Comme si cela excusait tous les mensonges.

La vérité, c’est que la responsabilité de Nicolas Sarkozy est écrasante dans ce qui vient d’arriver.

La vérité, c’est qu’il n’a pas changé : Nicolas Sarkozy est un cynique, un calculateur froid, un hypocrite, un sinistre tartuffe qui, soyons-en sûrs, ne fera pas davantage demain ce qu’il a refusé de faire hier. Et si nous sommes en guerre, comme il le répète avec son air compassé, cela est dû pour une bonne part à sa dévotion atlantiste et sa politique désastreuse en Libye aux basques d’un BHL déguisé en chef des armées.

 

mardi, 17 novembre 2015

Arrêté du 14 novembre 2015 autorisant l'utilisation de sulfate d'atropine, solution injectable 40 mg/20 mL PCA antidote des neurotoxiques organophosphorés

JORF n°0265 du 15 novembre 2015 page 21381
texte n° 8


ARRETE
Arrêté du 14 novembre 2015 autorisant l'utilisation de sulfate d'atropine, solution injectable 40 mg/20 mL PCA antidote des neurotoxiques organophosphorés

NOR: AFSP1527645A
ELI: http://www.legifrance.gouv.fr/eli/arrete/2015/11/14/AFSP1527645A/jo/texte


La ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes,
Vu le code de la santé publique, notamment son article L. 3131-1 ;
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 721-2 ;
Considérant l'accueil sur le territoire français de la 21e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique de 2015 (COP21/CMP11) du 30 novembre au 11 décembre 2015 ;
Considérant l'accueil sur le territoire français d'un sommet de chefs d'Etat, préparatoire à la COP21, le 29 novembre 2015 ;
Considérant que le risque d'attentats terroristes et le risque d'exposition aux neurotoxiques organophosphorés constituent des menaces sanitaires graves qui appellent des mesures d'urgence ;
Considérant les données disponibles sur le sulfate d'atropine, solution injectable 40 mg/20 mL PCA comme antidote spécifique dans les intoxications aiguës par les anticholinestérasiques (insecticides organo-phosphorés, neurotoxiques de guerre et carbamates) ou par les médicaments parasympathomimétiques ou cholinomimétiques, dans un contexte d'urgence ou de catastrophe ;
Considérant que, malgré l'obtention d'une autorisation de mise sur le marché français délivrée par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé pour le sulfate d'atropine 40 mg/20 mL PCA, les contraintes de fabrication et d'étiquetage ne permettent pas sa mise à disposition dans des délais compatibles avec l'organisation de la COP 21 ;
Considérant qu'aucun autre médicament adapté à la prise en charge en urgence n'est à ce jour autorisé en cas d'exposition de personnes à des neurotoxiques organophosphorés (insecticides organo-phosphorés, neurotoxiques de guerre et carbamates, médicaments parasympathomimétiques ou cholinomimétiques) et qu'il convient de prendre toute mesure utile pour prévenir les atteintes graves pour la santé, en cas d'exposition d'un nombre potentiellement important de victimes à des neurotoxiques organophosphorés,
Arrête :


A titre dérogatoire, le sulfate d'atropine solution injectable 40 mg/20 mL PCA, fabriqué par la Pharmacie centrale des armées, peut être acquis, stocké, distribué, prescrit, dispensé et administré pour la prise en charge des personnes exposées à des neurotoxiques organophosphorés (insecticides organo-phosphorés, neurotoxiques de guerre et carbamates, médicaments parasympathomimétiques ou cholinomimétiques), par les professionnels de santé intervenant dans le cadre des services d'aide médicale urgente, conformément au protocole prévu à l'article 3 du présent arrêté.


Le service de santé des armées approvisionne l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires qui met à disposition des services d'aide médicale urgente le sulfate d'atropine, solution injectable 40 mg/20 mL PCA.


Le service de santé des armées est chargé, pour le médicament mentionné à l'article 1er :


- de l'élaboration et de la mise en place d'un protocole d'utilisation ;
- de l'enregistrement et de l'analyse de toute déclaration de pharmacovigilance transmise au SSA dans les conditions prévues par l'article 4.


La traçabilité du médicament mentionné à l'article 1er est assurée par le service de santé des armées.
Le recueil des effets indésirables et leur transmission à l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé et au service de santé des armées sont effectués par les professionnels intervenant dans le cadre des services d'aide médicale urgente ou par les professionnels de santé prenant en charge les patients.
Le suivi nominatif d'utilisation du médicament mentionné à l'article 1er est assuré par les professionnels intervenant dans le cadre des services d'aide médicale urgente.
A la demande du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, le retrait des lots est mis en œuvre par le service de santé des armées.


Le directeur général de la santé et le directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.


Fait le 14 novembre 2015.


Pour la ministre et par délégation :

Le directeur général de la santé,

B. Vallet