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samedi, 30 janvier 2016

C’était un 30 janvier…

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2016

rouerie1793 : mort du marquis Armand de la Roüerie, chef de la première conjuration bretonne, à l’annonce de la mise à mort de Louis XVI.

Trahi, pourchassé, à bout de forces et malade, se reprochant de n’avoir pas agi avec une célérité capable de prévenir l’exécution du roi, le marquis meurt d’une fièvre cérébrale.

Il sera déterré et décapité après sa mort par les révolutionnaires fanatiques, mais le mouvement de la Chouannerie continuera encore longtemps contre l’oppression républicaine.
Une biographie de cet homme à la vie aventureuse, retourné sur le droit chemin, est récemment sortie, signée Alain Sanders et Jean Raspail.

1914 : mort à Nice, de Paul Déroulède, combattant héroïque durant la guerre de 1870 et poète patriotique de la revanche, dans ses Chants du soldat.
Il fut également fondateur de la Ligue des patriotes, l’un des principaux mouvements nationalistes de la fin du XIXe siècle.
« Il est mort comme un saint, écrivent les Tharaud. Paris l’enterra comme un roi. »
De la cérémonie au cimetière de la Celle-Saint-Cloud, Barrès dira : « celui qui descend dans cette tombe a été aussi grand que les grands Allemands. Il ne lui a manqué qu’un milieu. Son résultat est ajourné. Nous le continuerons et je veux sur sa tombe faire rayonner sa pensée. »

Source T. de Chassey

vendredi, 29 janvier 2016

L'augmentation des tarifs de cantine à Toulouse "injustifiée" pour 90 % des parents d'élèves selon la FCPE

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2016

L'association de parents d'élèves a interrogé 550 familles de 70 écoles différentes de la ville au sujet de la forte augmentation des tarifs de cantines scolaires et de centre de loisirs associées à l'école. 

Lundi les repas ne seront pas livrés aux enfants. © Guillaume BONNEFONT/IP3/MaxPPP

© Guillaume BONNEFONT/IP3/MaxPPP Lundi les repas ne seront pas livrés aux enfants.

 
Pour 89,1 % des familles toulousaines interrogées par la Fédération des Conseils de Parents d'Elèves (FCPE) pensent que l'augmentation des tarifs des services associés aux écoles maternelles et primaires (cantines et centre de loisirs) n'est pas justifiée. 

Après la décision de la mairie de Toulouse d'augmenter ces tarifs depuis la rentrée de septembre 2015, la FCPE 31 a mené une enquête auprès des familles, interrogeant 550 familles dans 70 écoles différentes (sur les 200 que compte la ville). 

A la question "par rapport à l'an dernier, est-ce que votre facture a augmenté ?", 97,5 % répondent oui. Et lorsque l'on demande aux personnes interrogées s'ils trouvent que cette évolution est acceptable ou justifiée, ils sont donc 89,1 % a répondre non.

La FCPE a aussi demandé aux parents si ces augmentations les avait conduit à modifier la fréquentation de la cantine ou du CLAE par leur enfant, une faible majorité (56,9 %) indique que c'est le cas. Le plus grand nombre (66 %) a arrêté le CLAE du matin.Mais seuls 4,5 % ont retiré leur enfant de la cantine. 

Enfin, 60 % des parents s'inquiètent de la baisse du nombre de personnels municipaux dans les écoles et 61,1 % de la taille des portions et de la qualité des repas à la cantine.

A la mairie de Toulouse, on indique que la FCPE est dans son rôle d'interroger ainsi les parents et de mener cette enquête. La mairie qui se dit prête à recevoir les représentants des parents d'élèves et de débattre sur le problème du financement des activités péri-scolaires et de la cantine. 
 

Selon la FCPE, 90 % des familles trouvent injustifiée l'augmentation des tarifs.

 

Source : france3-regions.francetvinfo.f

Toto bira : « hommage »

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2016

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Savez-vous ce que c’est que birer ? Birer, c’est tourner en rond en imaginant qu’on avance. Birer, c’est se retourner dix fois dans sa couette pour finir étouffé la tête aux pieds. Birer, c’est encore marcher la tête en bas en se persuadant que les pieds vont s’accrocher au plafond. A la fin, la tête est certes pleine, mais pleine d’ecchymoses. Fini la biroute, Toto bira.

Toto pourra dire à ses enfants : «j’ai connu le bon vieux temps où la France birait de ses sbires plénipotentiaires». Les sbires de la descente aux Enfers se sont déchaînés jusqu’à ce que la ministre du tourniquet national démissionne. Enfin ! Libération mérite son nom, car la libération du siège est totale. Ainsi, un autre pourra en arroser le coussin de ses flatulences magistrales, et birer à son tour sur le siège, voire en dessous ou à coté, si Dieu lui pète vie. Madame Utopia 2050 a donc jeté son dernier désaccord à la volée, histoire de soulager le vent d’Ohm. Tout le monde en respire mieux.

Par un con munichois, nous apprenons que «Madame Christiane Taubira, Garde d’Esso, Ministre de la juste hisse et ho et ho ho ho ho ho, a remis ce 27 janvier 2016», probablement secouée par la gîte. Nous lui conseillons le bicarbonate de soude pour faciliter la reconversion. Selon la même source, elle remettait «le dais-miction de ses toilettes au président de la République, qui l’a accepté», (…) élément de décharge à ciel ouvert, de source sûre. Voilà pour la version officielle, a peine aménagée pour la rendre présentable.

Maintenant, voyons la version officieuse, celle qui s’exprime sur les twitts de la démise volontaire : «Fière» se dit-elle, car «la Justice a gagné en solidité et en vitalité». Gag ? «Comme celles et ceux qui s’y dévouent chaque jour, je la rêve invaincue». Hallucination ? Dans un autre message, l’ex dame de la colonne Vendôme se désespère à la Proust : «Parfois résister c’est rester, parfois résister c’est partir(…)», pour finalement ne rien dire, une habitude chez la mini. Stop. Conseil Constitutionnel en danger. Stop.

 

Source : http://24heuresactu.com/

Attentat islamiste déjoué à Disneyland Paris

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2016

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Attentat islamiste déjoué à Disneyland Pari

 

28/01/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Pardon pour le titre racoleur, nous aurions dû écrire :
“Un loup solitaire déséquilibré interpellé à l’entrée du parc d’attractions. En sa possession : un Coran, deux pistolets automatiques et des cartouches. À date, aucun lien avec l’islam n’a été établi.”

Interpellé avec deux pistolets automatiques et un Coran dans son sac à dos, alors qu’il tenté de pénétrer dans un hôtel de Disneyland Paris, un homme s’apprêtait vraisemblablement à commettre un attentat. L’homme de 28 ans a été « repéré à son arrivée à l’hôtel dans le site Disneyland où il avait une réservation », selon la police. Sa compagne en fuite est activement recherchée.
Domicilié à Paris, selon ses papiers, l’individu était connu des services de police pour une simple affaire de conduite sans permis. Le préfet de Seine-et-Marne Jean-Luc Marx a déclaré à la presse :

Je souligne que les services de sécurité de Disney et les forces de l’ordre ont été immédiatement réactifs pour que cette personne soit mise hors d’état de nuire, si tant est qu’elle ait eu l’intention de nuire, ce que l’on ne sait pas.

En effet. Deux armes de poing et un stock de cartouches, c’était uniquement pour sa protection personnelle. Rien à voir avec un attentat islamiste.

 

Source : http://fr.novopress.info/

Taranto en Italie – Dom Camillo et Peppone sont de retour : le curé voit rouge contre le maire communiste au sujet des immigrés

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2016

larizza_stefano_immigrationLes habitants de la ville de Taranto en Italie ont eu droit à une scène vivante d’une dispute animée entre Don Camillo et Peppone !

Le curé de la paroisse de l’église du Sacré-Coeur de Taranto en Italie, don Luigi Larizza, n’a pas hésité, avec une verve satirique digne du célèbre curé joué par Fernandel, à disputer publiquement le maire communiste de la ville, Ippazio Stéfano, au sujet de l’accueil tout attentionné qu’il réserve aux migrants, allant jusqu’à leur apporter des petits gâteaux chauds dans le centre mis à disposition par la mairie, alors qu’il a totalement ignoré les sinistrés d’un immeuble de sa commune qui ont perdu leur habitation suite à l’effondrement d’un toit et qui vivent depuis plus de deux semaines dans le hall de l’immeuble.

Lors d’une rencontre à l’Hôtel de Ville, Don Luigi a dit son fait au premier magistrat de la ville qui est soutenu par les gauches diverses et variées dont les Verts, tous les uns et les autres fort sensibles au sort des immigrés clandestins et fort étrangers aux misères de leur concitoyens ! Le curé a, ni plus ni moins, clamé son indignation au maire qui, avec son comportement, est en train de faire des « discriminations raciales au préjudice des citadins italiens. » Le maire, qui n’a peut-être pas l’habitude qu’on lui parle du racisme anti-blanc, s’est montré outrer par les propos de ce nouveau Don Camillo : « Vous parlez un langage qui vraiment me bouleverse par rapport à votre mission. »

Ne se laissant pas intimidé pour un sous, Don Luigi lui rétorque : « Moi, je dis la vérité. » Scandalisé, le Peppone de service, en moins drôle, lui intime « d’enlever le col romain que vous portez. » Réponse du tac au tac du curé : « Et vous démissionnez de votre charge de maire. »

Cette dispute, digne des dialogues au vitriol de Guareschi, a continué ainsi pour une bonne minute. « Vous êtes un vote, et certainement je n’ai pas été élu avec le vôtre » ajoute le maire qui aurait mieux fait de se taire. Réponse cinglante du prêtre : « Moi je n’ai jamais voté pour vous. Je vote pour les personnes comme il faut. »

Proche de ses ouailles, Don Luigi venait de passer la nuit sur le perron de son église avec ses paroissiens et certains des sinistrés afin d’attirer l’attention des institutions et du maire sur le problème des sans-logis obligés de dormir dans le hall de l’immeuble sinistré. La municipalité de gauche, engeance qui a toujours pourtant le mot solidarité à la bouche, a, sans honte aucune,  rétorqué que les sinistrés abusent car ils n’ont pas de contrat de location pour le hall ! Parce que les immigrés clandestins qui arrivent en Italie ont, eux, ce permis, peut-être !

Et comme c’est toujours Don Camillo qui gagne, le curé a prévenu que la mobilisation continuera jusqu’à ce que les habitants de la ville restés sans toit trouvent une accommodation plus digne. Voilà un curé comme il y en a de moins en moins, conscient que charité bien ordonnée commence par soi-même et ses proches.

Si la scène à la Don Camillo et Peppone  vécue à l’Hôtel de ville de Taranto a un côté comique aux premiers abords, dans le fond elle inspire un sentiment de tristesse. On voit là jusqu’à quel point ces esprits caviardés, imbus de leur idéologie du « vivre-ensemble », de la société multi-culturelle et multi-ethnique, bercés dans ce relativisme moral qui désagrège nos sociétés occidentales, animés par ce sentimentalisme humanitariste qui corrompt nos mentalités chrétiennes, ont perdu tout sens du bien commun de leur prochain le plus proche, au point de préférer, par une fausse charité, l’étranger au familier. Mais le pape François ne donne-t-il pas le ton ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : http://www.medias-presse.info/