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lundi, 25 janvier 2016

Grippe aviaire : éleveurs, distributeurs et clients se préparent au vide sanitaire

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2016 

Après l'annonce de mesures radicales (mise en place d'un vide sanitaire dans les élevages) pour éradiquer l'épidémie de grippe aviaire dans les 8 départements de Midi-Pyrénées, les éleveurs du Gers s'organisent et appellent à l'aide l'état. Distributeurs et clients eux sont solidaires.

 
© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

 
Retour sur les 15 jours qui ont tout changé pour la filière du gras dans le Sud-Ouest avec l'épidémie de grippe aviaire.

Le 12 janvier 2016, un foyer d’influenza aviaire H5N1 (grippe aviaire) hautement pathogène a été localisé dans un élevage situé sur la commune de Lafitte-Vigordane en Haute-Garonne. Ce nouveau cas de grippe aviaire détecté en Midi-Pyrénées était le premier en Haute-Garonne. Comme dans les autres élevages de la région touchés par le virus (une quinzaine au total), aussitôt, les palmipèdes ont été abattus, les locaux désinfectés. L'épidémie se propage, du coup le gouvernement décide de prendre des mesures radicales.

Le couperet tombe le 14 janvier au soir. La production de palmipèdes sera gelée pour éradiquer la maladie. Une première en France. Les 8 départements de la région sont concernés même si aucun cas n'a été signalé dans le département.

Depuis lundi 18 janvier, plus aucun caneton n'est accueilli dans les fermes du Sud-Ouest, et les producteurs ont jusqu'à fin mars pour vider les élevages et vendre leurs stocks de canards. Des élevages qui resteront vides ensuite pendant des semaines le temps d'assainir et de désinfecter. C'est la procédure du vide sanitaire.

Dans le Gers : éleveurs, distributeurs et clients se préparent au vide sanitaire. Voyez ce reportage de Pascale Lagorce et Thierry Villéger :
Grippe aviaire : éleveurs, distributeurs et clients se préparent au vide sanitaire

Ces mesures coûteront près de 300 millions aux éleveurs. Ils appellent à l'aide l'état. Le dispositif d'aide sera détaillé dès la semaine prochaine. Des annonces attendues par toute la filière du gras dans le sud-ouest , une filière qui produit à elle seule 80 pour cent du foie gras français.
 

Davos d’hier et d’aujourd’hui

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2016

Rédigé par Louis Blase le 25 janvier 2016.

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Après les prédations sexuelles improvisées en bandes organisées de Cologne, viennent les prédations organisées en économie improvisée de Davos (Suisse). A Davos, les «gens importants» se réunissent pour débattre des perspectives «du marché». Tiens, c’est Manuel Valls qui s’y colle. Comme à son habitude, le mini a prédit de grandes catastrophes. C’est, il est vrai, sa spécialité.

Pour le premier mini, l’Union européenne fait face à un danger de «dislocation dans les mois qui viennent». Ce serait plutôt une bonne nouvelle, à condition qu’il ne soit pas embauché pour régler les crises : crise des réfugiés que nous devons en partie à Schengen, crise du terrorisme que nous devons en partie à Schengen, crise des populismes que nous devons en partie à Schengen, crise du Brexit que nous devons en partie à Maastricht. L’Union Européenne a généré toutes ces crises, il est donc normal qu’elle soit en crise. Les producteurs de crises en discutent à Davos.

A Davos, tous attendent l’entrée en scène du Premier ministre conservateur britannique, David Cameron, qui pourrait annoncer le divorce des Britanniques avec l’Union, un paradoxe qui n’est qu’apparent. Manuel Valls a déjà donné son point de vue, peu importe. Les grands Bretons d’outre-Manche demandent des réformes de l’Union Européenne, les petits Bretons de France étranglés par la PAC robinet aussi. Seule la classe politique française sous influence mondialiste est sourde aux appels de détresse du peuple. De cela, on ne discute pas à Davos.

Dans les revendications de David Cameron, la gestion, voire la digestion, des populations exogènes concentre l’essentiel des sujets épineux. C’est assez cohérent avec l’insécurité quotidienne des Européens, situation devenue insupportable, sans compter les soutiens exorbitants aux économies fragiles comme celle de la Grèce. Le clown de la gauche grecque, Alexis Tsipras a rencontré mercredi le clown de la gauche française, Pierre Moscovici, devenu commissaire européen aux Affaires économiques par l’opération du sein des pourris, tout va mal.

 

Source : http://24heuresactu.com/

Face aux migrants : soutien à David et Gaël !

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2016

 Calais : le Parti de la France apporte son soutien à la famille de Calaisiens agressés

 

Exclusif : Interview de David, père de famille Calaisien qui a défendu sa famille face aux migrants et l'extrême gauche avec l'aide de son fils Gaël. Page facebook de soutien



 

dimanche, 24 janvier 2016

Tarn-et-Garonne : annulation des assignations à résidence de quatre tchétchènes

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2016

Faute de preuve, le ministère de l'Intérieur a abrogé l'assignation à résidence de quatre Tchétchènes accusés de soutien financier à la cause jihadiste en Syrie et en Irak.

 
© Maxppp

C'est donc avant que leur cas soit examiné par le tribunal administratif de Toulouse  que les quatre tchétchènes ont retrouvé toute leur liberté de mouvement. 

Dans la nuit de jeudi à vendredi, le ministère a signé un arrêté d'abrogation de leur assignation à résidence prononcée il y a deux mois. Ils avaient été interpellés le 20 novembre à Montauban après les attentats de Paris du 13 novembre. A leur domicile, la police avait découvert des fusils de chasse et des carabines. 
L'Etat les accusait d'avoir apporté un soutien financier aux jihadistes mais n'avait pu en apporter aucune preuve. Ce sont les services de renseignement russes qui auraient porté ces accusations.
Les quatre tchétchènes bénéficient depuis 10 ans de l'asile politique en France.

En vidéo : l'un de ces tchétchènes a accepté de répondre aux questions de Pascale Lagorce et Jean-Pierre Duntze
Quatre tchétchènes de Montauban ne sont plus assignés à résidence
 

Dalil Boubakeur a un truc : le thé tard

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2016

Rédigé par 4VinsDivers le 15 janvier 2016

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Comme un poisson dans l’eau, François Hollande prenait le thé à la grande mosquée de Paris en ce début de semaine. En privé cela n’aurait soulevé aucune question. Mais en public, les uns et les autres s’interrogent sur l’intérêt de grenouiller sur les carpettes quand l’économie croule et que l’insécurité quotidienne des Européens ne peut plus être cachée par les médias officiels.

La visite fut aussi surprenante que de voir Johnny chanter pour les pavés, les parisiens ne s’étant pas déplacés pour commémorer. Dans le Figaro, Laurent Bouvet s’interroge sur l’opportunité d’exhiber le président de notre République sirotant un shiaï-ma-alib dans les fumées d’encens de la grande mosquée de Paris.

Pour le politologue,  «c’est évidemment le rôle du ministre de l’intérieur qui a en charge les cultes» mais pas celui du Président ni celui des autres ministres du gouvernement, «(…) et je ne mentionne pas ici les arrières-pensées électoralistes toujours possibles». Nous non plus, 2017 est encore si loin. Il n’aurait tout de même pas d’aussi basses arrières-pensées noyées au fond de sa tasse.

Pour d’autres comme Henri Guaino, le thé tard chez Dalil Boubakeur accrédite l’idée «qu’il y aurait une stigmatisation, et qu’il faudrait la combattre», alors que la réalité n’est pas forcément celle là. En effet, l’attitude du président vis à vis des musulmans est contradictoire : pourquoi les musulmans devraient-ils spécifiquement montrer qu’ils n’ont rien à voir avec le terrorisme ? On se le demande Fernande.

 

Source : http://24heuresactu.com/