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dimanche, 21 février 2016

Mazamet, Olivier Fabre, le maire, assigne Stéphane Gallois, élu du Front national, devant la justice pour injures publiques et diffamations ou la "dhimmi attitude" du néo Front National du Tarn (81)

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

 Stéphane Gallois sera fixé sur son sort le 2 mars prochain.Stéphane Gallois sera fixé sur son sort le 2 mars prochain.

Des propos inadmissibles pour un élu de la République, c'est la réaction d'Olivier Fabre, le maire de Mazamet à propos du communiqué publié par Stéphane Gallois, conseiller municipal d'opposition du Front national. Le maire de Mazamet a assigné l'élu frontiste devant la justice pour injures publiques et ddiffamations.

Le 2 mars Stéphane Gallois répondra devant le tribunal d'injure publique et diffamation à l'encontre d'Olivier Fabre pour des propos tenus sur Facebook

Le 2 mars prochain, le conseiller municipal FN Stéphane Gallois devra répondre d’injures publiques et de diffamations à l’encontre d’Olivier Fabre, le maire de Mazamet devant les juges du tribunal de Castres. La cause de cette procédure judiciaire, un communiqué daté du 9 novembre (le communiqué en question est publié sur le compte Facebook de Stéphane Gallois) du conseiller municipal FN relatif au droit de préemption par la mairie d’un local situé sur à l’angle de la place Olombel et du quai de l’Arnette et destiné selon Olivier Fabre à accueillir la police municipale. Un local que voulait acquérir le propriétaire du Kebab voisin afin de développer son activité. « Ce commerçant est musulman et son commerce est un kébab. M. Le Maire préfère le voir mettre la clé sous la porte que de défendre ses intérêts, » écrit Stéphane Gallois.

Les propos qu'Olivier Fabre juge intolérables

Et ce dernier de conclure quelques lignes plus loin : « Cette attitude méprisante du Maire pour un commerce de sa ville me fait vous rappeler que les racistes ne sont pas forcément là où les médias vous disent…» Des propos qu’Olivier Fabre, le maire de Mazamet a jugé intolérables et indignes d’un élu de la République et c’est pour cela qu’il a décidé de saisir la justice. Une décision qui ne semble pas impressionner outre mesure Stéphane Gallois qui a réagit lors du dernier Conseil municipal mais également sur son compte Facebook : « Dire la vérité me vaut aujourd'hui d'être cité à comparaître devant le tribunal correctionnel de Castres à la demande d'Olivier Fabre pour (soit disant) diffamation. Vous pourrez juger par vous même de ce qui est à l'origine de la plainte de son Altesse le Roi Fabre ! Sachez que je suis serein. » Ce sera désormais aux juges de dire si oui ou non le communiqué de Stéphane Gallois respecte les règles de la légalité en matière de diffamation et d’injures publiques. 

Dominique Escorne

 

Source : http://www.letarnlibre.com/

Une bijouterie braquée en plein centre-ville de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

Un braquage en plein centre-ville de Toulouse et en plein jour. C'était ce matin vers 10H30. Une bijouterie a été attaquée par trois individus qui ont pris la fuite. Le préjudice avoisinerait les 200.000 euros.

© Emmanuel Wat/France 3 Midi-Pyrénées

© Emmanuel Wat/France 3 Midi-Pyrénées

 
Une bijouterie de la rue Croix-Baragnon, dans le centre-ville de Toulouse (31), a été braquée ce samedi matin (vers10H30). La Joaillerie "Dorise" située au 41 rue Croix Baragnon a été la cible de 3 individus qui ont pénétré dans la boutique peu après l'ouverture. Un premier individu (avec un chapeau mais à visage découvert) est entré dans la bijouterie, suivi rapidement de deux autres hommes cagoulés.

© Emmanuel Wat/France 3 Midi-Pyrénées

Ils ont brisé notamment une vitrine intérieure pour s'emparer des montres de luxe. Selon des sources policières, le préjudice avoisinerait les 200 mille euros. La police s'est rendue sur place et a interrogé notamment le propriétaire de la bijouterie. Les trois individus (des professionnels selon des témoins sur place) ont pris la fuite en voiture. La voiture (une Porsche Macan) a été retrouvée brûlée quelques minutes plus tard dans le quartier toulousain de la Côte Pavée.

© Emmanuel Wat/France 3 Midi-Pyrénées


Reportage d'Emmanuel Wat et Eric Foissac :

Baromètre Ifop: forte baisse des cotes de popularité de Hollande et Valls en février

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

 Baromètre Ifop: forte baisse des cotes de popularité de Hollande et Valls en février

Le président français François Hollande (g) et le Premier ministre, Manuel Valls, le 17 février 2016 à Paris
© STEPHANE DE SAKUTIN

Les cotes de popularité de François Hollande (-5) et de Manuel Valls (-6) ont connu des baisses significatives en février, selon le baromètre Ifop pour le...

Les cotes de popularité de François Hollande (-5) et de Manuel Valls (-6) ont connu des baisses significatives en février, selon le baromètre Ifop pour le Journal du dimanche (JDD).

Seuls 19% des sondés se disent "satisfaits" de l'action du chef de l'Etat, contre 24% le mois dernier. A contrario, ils sont 81% à se dire "mécontents" (+6). 43% sont "plutôt mécontents" et 38% "très mécontents" (+5). Parmi les sympathisants PS, ils sont 53% à se dire satisfaits (-12).

Manuel Valls enregistre une cote de satisfaction de 33%, contre 39% en janvier. 66% des sondés se disent mécontents (+6). 63% des sympathisants PS sont satisfaits (-11).

Sondage réalisé du 12 au 20 février par internet et téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.968 personnes de plus de 18 ans (méthode des quotas).

 

Source : www.publicsenat.f

La fracassante démission d'un haut cadre du ministère de la Santé

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

Un haut cadre de la santé publique a décidé de démissionner. Il dénonce des dysfonctionnements au sein du ministère de la Santé.
Un haut cadre de la santé publique a décidé de démissionner. Il dénonce des dysfonctionnements au sein du ministère de la Santé. LP/C.L

« Permettez-moi, Monsieur le directeur général, l’ultime honneur de ne pas vous saluer » ! Ce propos peu commun conclut une lettre de démission pour le moins explosive, datée de vendredi et signée « Thomas Dietrich, ex-responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé, de mars 2015 à février 2016 ».

Des pressions sur des sujets sensibles

Il sait de quoi il parle puisque durant un an, il a dirigé le secrétariat général de la Conférence nationale de santé. Créé par une loi de 2004, cet organisme (à ne pas confondre avec la Grande conférence de santé qui s’est tenue jeudi dernier), est constitué de 120 membres, représentants l’ensemble du paysage de la santé : usagers, professionnels du soin, élus, chercheurs, assureurs, laboratoires… Sa mission est simple : rendre des avis indépendants pour éclairer, notamment les parlementaires et le ministère.

Cette instance est assujettie à la Direction générale de la Santé, elle-même dépendant de la ministre, Marisol Touraine. Or, selon Dietrich, le ministère ne supporterait pas certaines prises de positions. Son avis sur la « Loi fin de vie », qui n’allait pas assez loin, fut le début de l’entrée en disgrâce de la CNA. Le coup de grâce vint lorsque sa présidente, Bernadette Devictor, afficha sa volonté de piloter un débat national sur la vaccination.

Des pressions commencèrent alors à s’exercer. Lors d’une réunion avec Benoit Vallet, rapporte Thomas Dietrich, « il fut exigé que je fasse relire les avis ou contributions de la CNA par le cabinet de la ministre ». Une première. Plus tard, le fonctionnaire fut convoqué par sa hiérarchie qui s’opposait à la diffusion d’une lettre d’information de la CNS. « La volonté affichée d’organiser un grand débat sur la vaccination avait effrayé », écrit le démissionnaire.

Finalement, la ministre demandera un rapport sur la vaccination à une député socialiste, Sandrine Hurel, et lancé un débat national dont l’organisation a été confiée au Pr Alain Fisher, « membre éminent du comité de campagne de Martine Aubry, lors des primaires de 2011 », rappelle encore l’auteur.

Une importante baisse de budget 

Pendant ce temps, la source financière de la CNA s’est tarie. La part servant à indemniser ses membres bénévoles est tombée de 80000€ en 2012 à 59600€ en 2015. La part servant à organiser les débats publics est tombée de 141000€ à 96000€. De même, les promesses du Directeur général de la Santé de renforcer les rares effectifs n’ont finalement pas été tenues.

Une évolution qui n’a rien d’économique, si l’on en croit Thomas Dietrich, car le ministère a pu trouver 400 000€ pour financer une nouvelle structure, « l’institut pour la démocratie en Santé », dont la secrétaire générale était jusque-là conseillère de Marisol Touraine. « Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte ».

Interrogé samedi, Thomas Dietrich « assume » sa lettre. « Je démissionne parce que je n’ai rien à perdre, je suis libre. Je sais que je risque des sanctions en tant que fonctionnaire, mais je ne pouvais pas continuer comme ça ».

*Thomas Dietrich vient de publier chez Albin-Michel « Les enfants de Toumaï ».

 

Source : http://www.leparisien.fr/

“LE VIOL D’UNE FEMME ALAOUITE OU CHRÉTIENNE N’EST PAS CONTRAIRE AUX PRÉCEPTES DE L’ISLAM”

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

Lu sur l’Agence Fides, traduit par Le Salon Beige :
“Le viol d’une femme alaouite ou chrétienne n’est pas contraire aux préceptes de l’Islam”
“La conquête du quartier de Cheikh Maksoud à Alep par la milice anti-Assad pourrait marquer le sort de la métropole battue pendant des mois par une guerre civile sanglante. “Ce quartier», confirme à l’Agence Fides le Père David Fernandez, un missionnaire de l’Institut du Verbe Incarné – est situé sur une colline surplombant Alep et est un point stratégique pour ceux qui veulent conquérir la zone centrale de la ville, où il y a aussi des bâtiments gouvernementaux.

On me dit que déjà de nombreuses rues du centre-ville ont été fermées et personne ne peut passer à travers ces rues, parce que des snipers tirent sur tout ce qui bouge.

Parmi les fugitifs, des nouvelles sur les meurtres et les viols de femmes commis ont circulé. “Même moi, j’en ai entendu parler”, dit le père David, “mais l’information que nous recevons est parfois contradictoire, et pour le moment il n’y a aucun moyen de la vérifier.” Hier, une fatwa émise par Yasser al-Ajlawni – un salafiste jordanien résident à Damas – a été émise sur le réseau social, qui déclare légale pour les opposants au régime de Bachar al-Assad le viol commis contre toute femme syrienne non sunnite. Selon le cheikh, la capture et le viol de femmes alaouites ou chrétiennes ne sont pas contraires aux préceptes de Islam.”

Sur cette question de la légalité du viol en islam (sur les femmes considérées comme butin de guerre), lire notre article précédent.