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dimanche, 21 février 2016

Oskar s’indigne de l’ingérence des socialistes français dans la votation suisse

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

Publié le 19 février 2016 - par

Oskar_Freysinger_drapeau_suisse

 

Ci-dessous, le courrier du Ministre Oskar Freysinger adressé au Président socialiste français François Hollande :

Oskar Freysinger à la présidence française

samedi, 20 février 2016

Qu’est-ce qui est vraiment en cause : la laïcité ou bien l’autorité ?

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2016

laicitéinchallah

Ce n’est pas le refus de la laïcité qui nous tue, c’est notre lâcheté !

L’école hier, aujourd’hui l’hôpital : tous les jours, les « institutions » de la République et leurs représentants (pompiers, policiers, magistrats) sont en butte à une contestation de plus en plus décomplexée et même revendiquée de ce qui fait les fameuses « valeurs de la République ». Celles que, par ailleurs, on nous serine tant – en tête, la laïcité. Alors on pond des textes, des manuels, des « aides à… », des chartes, comme celle qui est proposée aujourd’hui aux hôpitaux français.

Des textes au kilomètre, depuis des années, et qu’on se garde bien d’appliquer, la France étant ce pays fort prétentieux où l’« on ne cesse de voter des lois au nom des grands principes qu’on refuse d’appliquer au nom des grands sentiments ».

Christian de Moliner rapportait fort bien ici même, hier, les résultats de l’enquête (c’est-à-dire les faits) qui ont conduit nos crânes d’œuf à rédiger ce nouveau Guide de l’Observatoire de la laïcité censé porter assistance à des hospitaliers qui n’en peuvent, mais. Foutaise, une fois de plus, car le mal qu’on a laissé métastaser dans tous les rouages de nos vies est devenu intraitable.

Interrogée jeudi matin par Yves Calvi sur RTL, Isabelle Lévy, conférencière et auteur de Menaces religieuses sur l’hôpital, ne cachait pas sa fureur face à cette mesure de pure façade. Tout d’abord, si le guide s’appuie en grande partie sur ses travaux, on s’est bien gardé de la consulter ! « Ils ont peur de la vérité », dit-elle. Une vérité bien plus dérangeante que ce qu’on nous raconte. Ainsi, rappelle Isabelle Lévy, « on a déjà sorti une circulaire en 2005 à propos du respect de la laïcité dans le milieu hospitalier. Aujourd’hui, cette circulaire n’est pas appliquée parce qu’elle n’est pas connue. Et même si elle l’est, les directeurs comme les personnels d’encadrement ont peur des représailles et ne l’appliquent pas. »

Car si l’on connaît à peu près tous, désormais, les exigences d’un public de plus en plus difficile à gérer (refus de se laisser soigner par un homme, tabous sur la nourriture, omniprésence des familles, violences, etc.), on se garde bien de dire que le problème devient aussi alarmant côté personnels ! Des gens qui posent leurs conditions lors de l’entretien d’embauche et auxquels on cède par manque de personnel à recruter.
Alors, on passe même sur les impératifs d’hygiène : « Vous avez de nombreuses femmes qui travaillent avec des manches longues dans les services, ce qui est absolument interdit. Et les chefs de service se taisent, car ils ont peur des représailles. Certaines infirmières disent : “Je ne vais rien dire, sinon j’ai peur de me faire tabasser sur le parking.” On en est là ! » Une auditrice évoque ainsi au téléphone l’aide-soignant qui a refusé de l’aider à se déplacer au lendemain d’une opération : il ne voulait pas toucher une femme.

Quand on en est là, le problème n’est pas la laïcité, le manque d’aumôniers ou le nécessaire recours aux psys (sic) pour contraindre des fanatiques à accepter ce que des présupposés religieux leur interdiraient. Il est dans la déconfiture d’une société qui ne sait plus ce qu’est le droit, le juste, le sensé ; qui surtout ne veut plus l’imposer. Une société que le seul mot d’autorité fait trembler, terrifiée qu’elle est par son ombre et les fantasmes d’une histoire erronée qu’elle traîne à ses basques. Au nom des libertés individuelles et du relativisme culturel, nous battons en retraite depuis des décennies, laissant pousser des générations hors de toute contrainte.
Ce n’est pas le refus de la laïcité qui nous tue, c’est notre lâcheté !

Marie Delarue

Chiens maltraités à Osséja : un homme interdit à vie de détenir un animal

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2016

  • (Photo par © D.R)
  • (Photo par © D.R)
  • (Photo par © D.R)

Le propriétaire des chiens qui lui avaient été retirés pour maltraitance le 24 octobre dernier à Osséja par les gendarmes de Bourg-Madame avec le renfort technique des policiers de l'unité canine de Toulon, a été jugé mercredi devant le tribunal correctionnel de Perpignan pour actes de cruauté envers des animaux.

Les pauvres bêtes avaient été retrouvées dans un état de souffrance avancée, sans nourriture, sans eau, certains présentant une maigreur effrayante, d'autres des traces de coups et blessures diverses, un dernier étant entortillé dans du fil barbelé. Leur propriétaire a été condamné à 3 mois de prison avec sursis, assortis de l'obligation de rembourser les frais vétérinaires et de soins quotidiens assurés depuis leur saisie par l'association de défense et de protection animale Un gîte, une gamelle de Rivesaltes qui s'est constitué partie civile.

En outre, la justice a prononcé à l'encontre du prévenu une interdiction à vie de détenir un animal domestique. Soit, à la lettre, les réquisitions prises par le procureur de la République. "Le jugement est à la hauteur des actes commis. Je suis satisfaite, précise Corinne Legrand la présidente de l'association. L'enquête menée par les gendarmes a permis de disposer d'un dossier bien ficelé. On peut considérer que c'est une peine exemplaire et cela permettra sans doute de sauver des centaines de chiens car apparemment, il s'agissait là d'un sacré trafic."

 
  • Jim cherche un foyer

Un des chiens retirés a été adopté par un gendarme, de même qu'un chiot, qui malgré un problème au cœur, a été recueilli également par un militaire. Un troisième a malheureusement dû être euthanasié à cause des sévices qu'il avait subis.

Et reste Jim, un magnifique Podenco, âgé de 2 ans, prêt à partir dans une famille.

"Au départ, par rapport aux actes de maltraitance qu'il avait subis, il était inapprochable. Il est devenu doux et affectueux grâce aux bons soins des salariés et des bénévoles. C'est aujourd'hui la mascotte du refuge. C'est un amour et il adore les friandises." Ne lui suffit plus qu'à trouver un foyer aimant.

 

 

Un gîte, une gamelle, chemin de Saint-Bernard à Rivesaltes. Tél. : 04 68 80 55 92.

Source : http://www.lindependant.fr/

vendredi, 19 février 2016

En garde à vue pour avoir dénoncé les atrocités des barbares islamistes

 

Publié par Thomas Joly

J'ai été placé en garde à vue ce vendredi 19 février pour être entendu à propos d'une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur ». Il s'agit en fait d'une procédure engagée par l'OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication) visant l'utilisation de deux photos pour illustrer des articles de mon blog consacrés aux atrocités commises par DAECH et au meurtre par décapitation commis par l'islamiste Yassin Salhi en juin 2015.

Cette minable petite intimidation politico-judiciaire est évidemment sans effet sur ma détermination à dire la vérité aux Français sur le danger islamiste dans un pays envahi dirigé par des irresponsables.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, ayant diffusé ces mêmes photos sur son compte Twitter, il sera intéressant de voir si elle subit le même traitement que ma modeste personne...

Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités...

Thomas JOLY - Secrétaire général du Parti de la France

 

Source : http://www.thomasjoly.fr/

« Personnification permanente de la Révolution, la franc-maçonnerie constitue une sorte de société retournée… » (Léon XIII)

 

Leon_XIII

« Personnification permanente de la Révolution, la franc-maçonnerie constitue une sorte de société retournée dont le but est d’exercer une suzeraineté occulte sur la société reconnue et dont la raison d’être consiste entièrement dans la guerre faite à Dieu et à son Eglise. »

Léon XIII (Lettre « Parvenu à ma 25e année », 1902)