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vendredi, 19 février 2016

Insolite : « Chiens acceptés, banquiers interdits »

Publié par Guy Jovelin le 19 février 2016

17 février 2016 par Pierrot

Depuis mardi, un restaurateur de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) interdit formellement à tous les banquiers de venir manger dans son établissement. Sur une ardoise, exposée à l’entrée de ce restaurant gastronomique recommandé par le guide Michelin, la consigne est claire et sans détour : « Chiens acceptés, banquiers interdits ».
« Ce n’est pas une blague. Aucun banquier ne passera cette porte », prévient le patron des lieux. Parce qu’il s’est vu refuser à plusieurs reprises un crédit qui lui aurait permis d’ouvrir un deuxième établissement, Alexandre Callet, gérant des «Ecuries de Richelieu » a saisi sa plus belle craie… pour bannir les banquiers de son restaurant. « A moins que l’un d’entre eux ne vienne avec un chèque de 70 000 euros, assure-t-il, je refuse de les servir ».

 

Source : http://www.contre-info.com/

La Suède veut louer un luxueux navire de croisière pour y loger 1800 clandestins

Publié par Guy Jovelin le 19 février 2016

18 février 2016 par Pierrot

L’Ocean Gala de l’affréteur US Shipmanagers

Une petite croisière gratuite en Suède ? Vous feriez bien de vous faire passer pour un clandestin fraichement débarqué… Voici la fiche technique du prochain hôtel pour les réfugiés de Suède : ici.

Trouvé sur Le Point :  La Suède veut louer un luxueux navire de croisière et l’ancrer dans un port de la mer Baltique pour y installer près de 1.800 migrants, a-t-on appris jeudi auprès de l’Office des migrations.

Un affréteur américain, US Shipmanagers, met à disposition l’Ocean Gala (anciennement MS Scandinavia et MS Island Escape), un navire construit en 1982 par les chantiers Dubigeon en France et transformé en hôtel flottant.

« Le fournisseur doit trouver un port d’attache et le navire doit être expertisé » pour s’assurer qu’il satisfait certains impératifs de sécurité et de confort, a indiqué à l’AFP une porte-parole de Migrationsverket, Alexandra Elias.

Des négociations sont en bonne voie, selon l’office qui versera 450 couronnes suédoises (48 euros) par passager et par jour à US Shipmanagers.

La Suède manque de place pour loger les 163.000 demandeurs d’asile arrivés sur son sol en 2015. Faute de lits suffisants dans les centres d’accueil, des milliers d’entre eux sont hébergés dans des églises, des mosquées, des gymnases, des centres d’évacuation de la sécurité civile.

 

Source : http://www.contre-info.com/

Recommandation du CSA : écrans avant 3 ans = retard du développement

Publié par Guy Jovelin le 19 février 2016

18 février 2016 par Pierrot

Serait-ce un début de prise de conscience ? Le CSA publie aujourd’hui des recommandations au jeune public et proscrit notamment, les écrans avant l’âge de trois ans. Les effets nocifs du petit écran sur le développement des enfants (même sur les adultes!) sont pourtant connus depuis longtemps : TV lobotomie – « La vérité scientifique sur les effets de la télévision » de Michel Desmurget.

Pour le CSA, le Ministère de la santé et plusieurs experts, la télévision n’est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans car elle peut freiner leur développement, même lorsqu’il s’agit de chaînes qui s’adressent spécifiquement à eux.

Avant 3 ans, l’enfant se construit en agissant sur le monde : la télévision risque de l’enfermer dans un statut passif de spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l’entoure.

Il existe plusieurs étapes dans le développement de l’enfant de moins de trois ans : le bébé est d’abord attiré par tout ce qui bouge puis il découvre qu’il peut agir sur son environnement et, dès que sa motricité le lui permet, il désigne les choses et les touche. À partir de neuf mois, il imite sans comprendre ce qu’il voit. Vers un an et demi ou deux ans, il met des mots sur les choses et comprend des expressions de base.

 

Pour développer ses capacités, l’enfant doit utiliser activement ses cinq sens en s’appuyant notamment sur la relation avec un adulte qui répond à ses sollicitations. Il a besoin de se percevoir comme pouvant transformer le monde, ce qu’il fait par exemple quand il manipule des objets autour de lui. L’exposition passive à des images diffusées sur un écran ne favorise pas ce type d’interactions et peut au contraire freiner le développement du tout-petit enfant.

On croit souvent que la télévision a un effet apaisant sur les tout-petits. Or, le regard du bébé est capté par le flux d’images et de sons provenant de l’écran et qu’il ne comprend pas, ce qui peut donner l’illusion d’un effet calmant. Pourtant, ce calme sera souvent suivi d’une agitation mal comprise qui amènera les parents à augmenter l’exposition à la télévision, risquant ainsi d’accentuer son effet néfaste sur l’enfant.

Source : CSA

jeudi, 18 février 2016

Toulouse : le syndicat Unité SGP dénonce "l'agonie" de Police-Secours

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

Dans un communiqué publié mercredi, le syndicat Unité SGP Police dénonce la paralysie de Police-Secours à Toulouse. Selon lui, un seul équipage est opérationnel pour répondre à environ 500 appels quotidiens.  

Une intervention de Police-Secours à Toulouse © Max PPP

© Max PPP Une intervention de Police-Secours à Toulouse

 
A Toulouse, Police-Secours censée répondre aux appels sur le 17 est paralysée,selon le syndicat Unité SGP Police.

"Ce jour, comme très régulièrement, 1 seul équipage est opérationnel pour mener les interventions sur la circonscription, une configuration inacceptable, tant en semaine que le week-end", indique le syndicat dans un communiqué."Pareille situation a de quoi inquiéter puisque cette mission essentielle d’aide et assistance d’urgence représente une moyenne de 500 appels « 17 » quotidiens, poursuit-il.

Unité SGP Police dénonce donc "le manque flagrant de personnels affectés à cette mission prioritaire et la mauvaise qualité de réactivité du service public « POLICE » face aux évènements auxquels les équipages sont confrontés".

Ces Brigades « Police-Secours » auraient été divisées par moitié sur une décennie pour atteindre "un seuil de rupture aujourd’hui avéré". D'où cette mise en garde d'Unité SGP sur "un état de fait dont les conséquences pourraient s’avérer dramatiques, et qu’il est inconcevable de maintenir ainsi".
 

Mariage pour tous en Italie : même des prêtres sont pour !



Mgr Nunzio Galantino, secrétaire de la Conférence épiscopale italienne (CEI)

Mgr Nunzio Galantino, secrétaire de la Conférence épiscopale italienne (CEI)

Officiellement, depuis la prise de position publique plus ferme affichée par le président de la Conférence Épiscopale Italienne, le cardinal Bagnasco, l’Église en Italie est contre le mariage pour tous en discussion actuellement au parlement tout en acceptant de reconnaître certains droits aux couples de mêmes sexes. Position d’ailleurs plutôt conciliante par rapport à la doctrine traditionnelle de l’Église catholique qui interdit l’homosexualité et les unions hors mariage.  Position qui devrait donc remporter plus facilement l’unanimité au sein des ecclésiastiques d’aujourd’hui pétris d’idées nouvelles et soumis à la pression de la modernité.

Mais nous sommes à l’ère de l’Église conciliaire, de la liberté de conscience sans repères, du sentimentalisme larmoyant, et surtout du personnalisme chrétien qui affirme le primat de la personne et la bonté de toute action dans la mesure où elle respecte la personne humaine et contribue à son épanouissement. Ce n’est plus Dieu la fin ultime des actions humaines mais l’épanouissement de l’homme !

La position du cardinal Bagnasco est donc loin de faire le consensus parmi les évêques et prêtres italiens. Bien pire, les évêques se disputent sur cette question, ce qui ne peut que laisser pantois tout catholique fidèle à la doctrine traditionnelle de l’Église. Le secrétaire de la CEI, Nunzio Galantino, qui n’a jamais vraiment été en phase avec la fermeté du cardinal Bagnasco, prend ses distances vis-à-vis des dernières déclarations du président de la CEI qui souhaite un vote secret au Parlement italien.

Parmi les prêtres, même désunion, même absence de repères doctrinaux vraiment catholiques. Le voyage du quotidien La Stampa dans les églises de Turin est plus que révélateur : « dans l’ensemble les prêtres sont plus ouvert que l’Église officielle ».

Contradictions du prêtre salésien qui reconnaît, auprès du jeune homosexuel qui veut se marier et qui l’interroge,  que « l’homosexualité est une déviance », que « le mariage est toujours entre un homme et une femme » tout en affirmant que « Si tu désires un fils, je ne me sens pas de te dire non » et que le manque de figure maternelle est un problème qui « se dépasse. Et puis il y a toujours les grands-mères. »

Démission du curé qui admet honnêtement que l’Église est divisée : « Chaque prêtre te dira une chose diverse. Ce que je te dis moi c’est : ne décident ni les évêques ni les politiciens, c’est toi et ton compagnon devant Dieu. »

Incohérences d’un autre qui ne reconnaît pas l’homosexualité comme une maladie, affirme qu’on peut être homosexuel et catholique si on ne vit pas « l’homosexualité dans le péché. »Pour ensuite expliquer : « Je suis favorable à cette loi. Le mariage est chose bien différente, mais c’est juste d’étendre les droits et les devoirs. En revanche chaque enfant a besoin d’un  pape et d’une maman. » 

Affabilité de ce prêtre ancien qui se dit favorable aux unions civiles : « Même, il faudrait appeler les choses par leur nom : mariage homosexuel. Mon conseil cependant est de bien y réfléchir avant. C’est le même conseil que je donne aux couples hétérosexuels. »

Embarras du jeune religieux qui répond : « Tu dois affronter ton chemin de foi, je ne peux te dire autre chose. Même le pape ne peut décider de ce qui est moral et de ce qui ne l’est pas. »

Un seul ose parler fermement : « L’homosexualité est une dépravation. Tu te trompes en acceptant ta condition, tu dois réagir. Tu es jeune, je suis sur que tu pourrais guérir. »

Mais de quel poids sera-t-il face au tout jeune prêtre pour qui  « Il y en a qui dressent des murs, et d’autres qui construisent des ponts, moi je choisis les ponts. » en paraphrasant le pape François. Et de continuer « Je ne peux pas dire que l’amour soit seulement entre un homme et une femme parce que je sais que ce n’est pas ainsi. L’Église est lente, mais elle y arrivera. »

L’Église conciliaire, véritable auberge espagnole où toutes les options semblent permises et acceptables, y arrivera peut-être.

Mais comme l’a dit le jeune prêtre, « même le pape ne peut décider de ce qui est moral ou pas », la doctrine traditionnelle de l’Église catholique sur le « mariage » homosexuel, elle, ne changera pas ! Et c’est Non !

Francesca de Villasmundo

 

Source : http://www.medias-presse.info/