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mardi, 16 février 2016

Un projet de génocide des peuples européens?

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

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14 FÉVRIER 2016 PAR GUILLAUME FAYE

Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles. Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle ”crise des migrants” participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens. 

Le soft génocide volontaire et nihiliste  

Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.

Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens : en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ; en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ; en provoquant l’exil  des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ; en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ; en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.        

Certains à droite répètent que le ”système”, le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.

En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central  dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal–pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce ”grand remplacement” ethnique est souhaité.

Terra Nova (”nouvelle terre”, nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France ”de souche”. Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste–trotskiste, dont l’ ”internationalisme prolétarien ” est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens.  

Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de ”républicains”. Leur objectif obsessionnel est  l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, ”internationaliste” au départ, n’est-elle pas suicidaire  pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ?  Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.   

Les axes stratégiques du soft génocide

Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.

1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation  de peuplement. La crise des ”migrants ”en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de ”réfugiés”. Il n’y a aucune ”impuissance” des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note  au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.

2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ ”islamophobie” s’impose comme péché capital, délit impardonnable. 

3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.    

4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…

 5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’ ”antiracisme”. Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.

6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants  d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé ”franco-européen”.   

7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader  l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures  des populations immigrées –islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale ”socialiste” et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste. 

8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.  

Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la ”Manif pour Tous” obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État ”français”. La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy,  non ? 

Collabos contre résistants

Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.

Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .

Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.    

 

Source : http://www.gfaye.com/

Financement de la campagne 2012 : Sarkozy chez les juges

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

PARIS, MARDI. Nicolas Sarkozy à son arrivée au pôle financier.  
PARIS, MARDI. Nicolas Sarkozy à son arrivée au pôle financier.  (AFP/THOMAS SAMSON).

Nicolas Sarkozy est arrivé ce mardi matin chez les juges d'instruction parisiens pour être entendu dans l'enquête sur les fausses factures de Bygmalion et les comptes de sa campagne présidentielle en 2012.


L'enquête Bygmalion, du nom de la société qui organisait ses meetings, porte à l'origine sur un système de fausses factures pour cacher une explosion du plafond légal des dépenses pour la présidentielle, fixé à 22,5 millions d'euros. Ces fausses factures auraient eu pour objet d'imputer à l'UMP quelque 18,5 millions d'euros de dépenses qui auraient dû rentrer dans le compte de campagne.

«L'argument d'une campagne qui dérape est une farce», selon Sarkozy



Plusieurs cadres de Bygmalion, son comptable, ainsi que Jérôme Lavrilleux à l'UMP, ont reconnu l'existence de cette fraude, mais aucun protagoniste n'a mis en cause Nicolas Sarkozy pour l'avoir décidée ou en avoir eu connaissance.

L'enquête montre cependant que l'ex-président a demandé et obtenu plus de meetings, vers la mi-mars 2012. Guillaume Lambert, ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, a déclaré aux policiers qu'il l'avait informé d'une note de l'expert-comptable pointant un risque de dépassement du plafond et interdisant toute dépense supplémentaire.

Entendu par les enquêteurs en septembre 2015, Nicolas Sarkozy a assuré ne pas s'en souvenir et a relativisé le coût que pouvaient engendrer les événements ajoutés. «L'argument d'une campagne qui dérape est une farce», a-t-il affirmé. Il a renvoyé la responsabilité des fausses factures sur Bygmalion et l'UMP dirigée alors par Jean-François Copé, qui a été placé sous le statut de témoin assisté.

Mais depuis les enquêteurs ont élargi leurs investigations aux comptes de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012.

Dans ce volet de l'affaire, quatre personnes ont été mises en examen en janvier dont l'ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, Guillaume Lambert.


La semaine dernière, c'est Jean-François Copé qui avait été entendu comme témoin assisté. Il en était ressorti sans être mis en examen. 
 

Racisme, antiracisme : l’imposture républicaine

 

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Ce reportage démontre comment le christianisme et la république s’opposent intrinsèquement, y compris en ce qui concerne l’identité.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Le vent s’essouffle dans l’emploi éolien

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

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Michel Gay Métamag cliquez ici

Éolien : mauvaise nouvelle pour les emplois en France qui vont se concentrer en Allemagne.

La concentration des acteurs du marché de l’éolien offshore et la sortie d’Areva de ce secteur se confirme, comme le prédisaient les opposants, et certains professionnels de la branche. Mauvaise nouvelle pour les emplois en France qui vont se concentrer en Allemagne.

Quand des entreprises sont en avance sur un marché, comme Siemens (plus de 1.000 éoliennes offshore) et le géant danois Vestas, alors ceux qui sont partis trop tard, comme Areva ou Alstom, ne peuvent plus être compétitifs. Il était donc à prévoir que le marché s’adapterait aux règles économiques.

Le rachat d’Adwen/Gamesa par Siemens n’est pas une bonne nouvelle pour les opposants à l’éolien. Siemens aura les moyens financiers de développer la turbine de 8 mégawatts (MW) de puissance promise dans les appels d’offre français. Le prototype Adwen était toujours à l’étude et Areva / Gamesa n’avait pas les moyens financiers de développer à la fois la turbine de 8 MW, dont le coût de développement est d’environ 100 millions d’euros (M€), et de mettre en place son seul projet éolien offshore « Vikinger ».

Malheureusement, l’éolien offshore n’apportera presque pas d’emplois en France. Les habitants de la région qui escomptaient du travail peuvent se faire du souci. Il ne faudra pas compter sur les postes locaux de maintenance : c’est l’entreprise allemande Siemens qui en sera responsable. Les Allemands vont d’abord utiliser leurs effectifs, et ils ne formeront des « locaux » à la marge que pour des tâches subalternes. Il n’est en effet pas économiquement pertinent pour une entreprise de former quelques dizaines de personnes éparpillées ici et là. Le personnel doit être transférable, « mutualisable ».

Par ailleurs, Siemens a déjà ses outils de production et ses fournisseurs pour construire les éoliennes, et ils ne se sentiront pas obligés d’embaucher des Français. Si l’État français demande des garanties d’emplois locaux dans les accords de rachat avec Gamesa / Adwen / Areva, ce sera juste une façade rutilante pour rassurer la population et calmer les esprits.

C’est affligeant mais, en clair, il n’y a aura pas d’emplois locaux. Les élus avaient été prévenus il y a un an, mais ils ne savaient comment allait se dérouler le scénario. Maintenant, ils savent. L’éolien offshore en France sera allemand, danois, mais pas français.

Alstom sortira de l’éolien quand cette entreprise aura mené à terme les trois projets offshore français promis, à contre-cœur, au gouvernement français par General Electric lors du rachat d’Alstom Power… sauf s’ils trouvent une solution de sortie d’ici là.

Les turbines des six projets français d’éoliennes devaient être de fabrication française (trois projets avec Alstom et trois autres avec Areva). Mais maintenant, adieu la filière éolienne française et les emplois locaux avec la sortie de notre fleuron français Areva.

En revanche, les nuisances visuelles, le tourisme sacrifié, les dégâts environnementaux, les prix d’électricité en hausse, les populations divisées, et les élus décrédibilisés sont une réalité.

Et tout ça pour des projets inutiles, ruineux pour les contribuables, et… si peu d’emplois français.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

Volkswagen, YouTube, renseignement... Un journaliste énumère les enquêtes retoquées par Canal+

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

Vincent Bolloré, le 29 septembre 2015. - AFP F.R.

« Volkswagen, entreprise de tous les scandales », « Le monde selon YouTube », « François Homeland » (sur le chef de l’Etat et les guerres), « Attentats : Les dysfonctionnements des services de renseignement », « Les placards dorés de la République » (consacrés aux emplois fictifs dans la fonction publique), « La répression made in France » (dédié à l’exportation, par la France des matraques électriques et autres outils de répression), « Nutella, les tartines de la discorde » Autant de sujets d’enquêtes que vous ne verrez pas à la télévision. En tout cas, pas sur Canal +.

Jean-Baptiste Rivoire, rédacteur en chef adjoint de Spécial Investigation, l’émission de Canal +, a confié sur le plateau d’arretsurimages.net que toutes ces propositions d’enquêtes ont été retoquées par la chaîne cryptée. Selon le journaliste, la direction a fait savoir qu’elle tenait « avant tout à défendre les intérêts du groupe Canal et estime qu’il est préférable d’éviter certaines attaques frontales ou polémiques à l’encontre des partenaires actuels ou futurs du groupe ».

« Il n’y aura plus d’enquête sur le monde bancaire »

« Autant vous dire qu’on reçoit beaucoup moins de projets d’investigation », déplore Jean-Baptiste Rivoire en expliquant que « les agences de presse qui essaient de travailler pour Canal + se creusent la tête pour essayer de savoir qui sont les partenaires actuels ou futurs éventuels de Vincent Bolloré [le président du conseil de surveillance du groupe Canal +]. »

Le journaliste de Canal + avance ainsi qu’« il n’y aura plus d’enquêtes sur le monde bancaire » diffusées sur l’antenne de la chaîne cryptée. Le reportage consacré au Crédit Mutuel et l’accusant d’évasion fiscale a semble-t-il fait jurisprudence. Rejeté par Canal +, il avait finalement été diffusé sur France 3, en octobre, dans le magazine Pièces à conviction.

Jean-Baptiste Rivoire raconte que Vincent Bolloré s’est exprimé sur cette censure le 3 septembre en comité d’entreprise (CE) : « Il a assumé en disant : "Ce n’est pas de la censure, c’est de la connerie. (…) Il ne faut pas embêter les partenaires du groupe, attaquer la BNP ou le Crédit Mutuel, c’est débile" ». Des propos qui figureraient dans le compte-rendu écrit du CE.

 

Source : http://www.20minutes.fr/