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lundi, 22 février 2016

Des éleveurs en colère aux domiciles de Le Drian et Le Foll dans l'Ouest dimanche soir

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

Des éleveurs en colère aux domiciles de Le Drian et Le Foll dans l'Ouest dimanche soir
Stéphane Le Foll (d), ministre de l'Agriculture, discute avec des agriculteurs en colère venus manifester devant chez lui au Mans le 21 février 2016
© JEAN-FRANCOIS MONIER

Plusieurs dizaines d'éleveurs en colère ont manifesté dimanche soir devant le domicile du ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll au Mans et à...

Plusieurs dizaines d'éleveurs en colère ont manifesté dimanche soir devant le domicile du ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll au Mans et à proximité de celui de son collègue de la Défense Jean-Yves Le Drian près de Lorient.

Une trentaine d'agriculteurs se sont présentés vers 20H00 au domicile de M. Le Foll en périphérie du Mans, où le ministre a ouvert la porte de son jardin avant d'engager une conversation tendue pendant près d'une heure avec les manifestants, a constaté un photographe de l'AFP.

"Comment je fais avec mes factures?", lançait un éleveur, pendant qu'un autre provoquait la colère du ministre en le comparant à son ancien collègue du Budget, Jérôme Cahuzac, poursuivi pour fraude fiscale.

"Je fais ce que j'ai à faire, je fais mon travail", a répondu M. Le Foll, ancien député de la Sarthe, pendant ces longs échanges.

Les éleveurs ont apposé une banderole sur la haie du ministre avec le slogan "Nous sommes comme nos vaches sur la paille", ainsi qu'un cercueil où était inscrit la mention "Morts pour la France".

"Il a été très surpris de nous voir, piqué à vif", a témoigné pour l'AFP François Thomelin, producteur laitier à La Ferté-Bernard (Sarthe). "On avait accroché un pendu en paille, il a dit: 'Vous m'enlevez ça tout de suite".

M. Thomelin, qui a précisé être venu "en partenariat" avec le syndicat des Jeunes agriculteurs (JA), a dit vouloir expliquer au ministre "le malaise agricole". "On n'a plus rien, plus de sous, plus d'avenir", a-t-il résumé. "Il a dit qu'il est pas responsable de grand chose, ce qui ne nous convient qu'à moitié", a rapporté l'éleveur.

Par ailleurs, entre 60 et 80 agriculteurs en provenance du Finistère ont tenté d'approcher du domicile de M. Le Drian à Guidel, dans le Morbihan, mais ont été stoppés par les forces de l'ordre, a indiqué la préfecture.

La préfecture n'était pas en mesure de préciser si M. Le Drian, également président du conseil régional de Bretagne, se trouvait ou non sur place.

Les agriculteurs, venus à bord d'une vingtaine de tracteurs, ont pique-niqué dans le centre de Guidel, selon la même source.

 

Source : http://www.publicsenat.fr/

Libye : un gouvernement de dilution de l’Etat – par Bernard Lugan

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

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22/02/2016 – FRANCE (NOVOpress avec Bernard Lugan)

Dans une Libye disloquée par une guerre de tous contre tous, trois gouvernements s’opposent. A Tobrouk, siège la Chambre des représentants reconnue par la communauté internationale ; à Tripoli est installé le parlement de Salut national sous influence des islamistes d’Abdelhamid Belhadj et des Frères musulmans de Misrata. Quant au Gouvernement d’union nationale constitué le 19 janvier 2016 sous les pressions de l’ONU par le Conseil présidentiel de neuf membres dirigé par Fayez el-Sarraj, il n’est pas parvenu à se faire reconnaître par les Libyens. Composé de plus de trente membres, il a en effet été rejeté par les deux parlements rivaux de Tobrouk et de Tripoli.

Prié de « revoir sa copie », le 14 février, Fayez el-Sarraj a présenté un nouveau gouvernement de 13 membres plus cinq secrétaires d’Etat, dans lequel, en principe, chaque grande faction libyenne est représentée. Cependant, deux des neuf membres du Conseil présidentiel se sont opposés à sa composition. Il s’agit d’Omar lassoued (Omar Al Aswad), représentant de Zenten et d’Ali Kotrani (Ali al Gatrani) de Tobrouk qui reprochent à ce gouvernement de faire la part trop belle aux Frères musulmans de Misrata et aux islamistes de Tripoli.

La composition de ce Gouvernement d’union nationale a également buté sur le portefeuille de la Défense qui était brigué à la fois par le général Haftar, le chef de l’armée de Cyrénaïque soutenu par l’Egypte, et par l’ancien bras droit de Ben Laden, Abdelhakim Belhaj, le chef du GICL (Goupe islamiste de combat de la Libye) une des plus puissantes milices islamistes de Tripoli, soutenu par la Turquie et le Qatar. Finalement, le portefeuille est revenu au colonel Mehdi Brahim Barghethi (Mahdi al-Barghati), proche du gouvernement de Tobrouk mais que certains observateurs pensent être en froid avec le général Haftar. Quant au ministère de l’Intérieur, il a été attribué à El Aref Salah Khouja (Salel al-Khoja), un lieutenant d’Abdelhakim Belhaj. Les forces de sécurité libyennes vont donc dépendre de deux chefs dont les objectifs sont à l’opposé… La coupure entre la Tripolitaine et la Cyrénaïque est donc inscrite dans les faits.

Concernant les autres ministères, chaque région, chaque grande faction a en principe obtenu d’être représentée. Dans cette dilution de l’Etat, certains sont favorisés, comme les Frères musulmans de Misrata, inconditionnellement appuyés par la Turquie et le Qatar. D’autres sont marginalisés, comme Zenten, qui détient prisonnier Saïf al Islam, le fils du colonel Kadhafi. De fait, la Tripolitaine est donc partagée entre Frères musulmans de Misrata et Milices de Tripoli apparentées à Al Qaïda. Le nouveau gouvernement devant s’installer à Tripoli, il sera donc, de fait, sous le contrôle de ces derniers, d’où d’inévitables tensions avec les forces de Cyrénaïque.

Mais peu importe ce bricolage issu d’un quasi marchandage de souk puisque la « communauté internationale » a enfin réussi à mettre en place une autorité « légale » qui va pouvoir lui demander d’intervenir contre l’Etat islamique. Une intervention refusée par l’Algérie et la Tunisie mais qui va se faire au profit des Frères musulmans et des diverticules d’Al Qaïda qui contrôlent la Tripolitaine. Tous espèrent que les forces spéciales occidentales les débarrasseront de l’Etat islamique afin qu’ils puissent reprendre ensuite leurs guerres internes et continuer à s’enrichir en acheminant des « migrants » en Europe.
Regardons en effet les choses en face : le résultat de la calamiteuse guerre décidée en 2011 par Nicolas Sarkozy et BHL est que, aujourd’hui, nous allons intervenir en Libye, certes contre l’Etat islamique, mais d’abord au profit d’une coalition rassemblant Al-Qaïda et Frères musulmans…

Bernard Lugan

Les harkis bâillonnés par l’État ?

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

Nouvelle colère des anciens harkis.
 
 
Nouvelle colère des anciens harkis : l’État semble vouloir imposer des associations aux effectifs étonnamment pléthoriques pour évincer, des réunions au ministère, des associations plus petites mais, elles, 100 % harkies !

Jeudi dernier, le 18 février, M. Todeschini, secrétaire d’État chargé des Anciens combattants, a présidé au ministère de la Défense une réunion du « G12 harki » – Groupe d’associations d’anciens harkis habilitées par le ministère – pour y étudier des solutions aux problèmes que vivent, depuis plus d’un demi-siècle, ces soldats français ayant risqué leur vie sous nos couleurs. Et lors de cette réunion, qu’ont appris les participants dont le nombre vérifié d’adhérents va de 45 – neuf ne dépassent pas la centaine de membres – à 320 ? Tout simplement que l’État avait décidé de faire des « propositions pour la constitution du G12 harki » en présentant cinq associations ayant « un poids relativement important permettant de les retenir » ! Et un poids non des moindres : la plus petite compte plus de 100 membres et les quatre autres – comme cela tombe curieusement bien – dépassent allègrement les 500 membres, et même une les 800 !

Pour les actuels représentants des harkis habilités au « G12 », il est pour le moins étonnant que les associations choisies aient autant d’adhérents : à 25 € la cotisation, celle qui en déclare 800 aurait ainsi 20.000 € par an en caisse, versés par d’anciens harkis ou même des enfants ou amis de ceux-ci ! Ils estiment cela peu probable… Une autre association proposée par M. Todeschini, natif et élu d’Alsace-Lorraine, fait référence à 554 membres anciens combattants en… Alsace et en Allemagne !
Or, sur les moteurs de recherche, si on associe le nom de cette association au mot « harkis », un seul document apparaît : une thèse de doctorat récente (3/12/2014, université de Strasbourg, Aurélie Bludszus, 489 pages) dans laquelle le nom de cette association n’est cité que dans la liste récapitulative en fin de document, mais pas pour ses actions en faveur des harkis. Le mot « harkis » n’est employé qu’au chapitre sur l’Amicale des pieds-noirs de Moselle, l’Association nationale des Français d’Afrique du Nord, d’outre-mer et leurs amis, le Front national des rapatriés et le Cercle algérianiste… Mais pas avec l’association aux 554 membres proposée par le secrétaire d’État.

Quand un collectif de harkis regroupant, donc, plusieurs associations des Alpes-Maritimes qui ont largement accueilli les harkis ne fait état « que » de 320 adhérents, une association de l’Est de la France en annoncerait, elle, plus de 550…

Si les associations proposées par l’État entraient dans le G12, soit des associations de harkis – et uniquement de harkis – telles celles de l’Aveyron ou de l’Aude passeraient à la trappe, soit le G12 deviendrait G17 et, dans ce cas, les voix des « petites » associations pèseraient moins face à des « mastodontes » mais ne réunissant que peu de harkis…

Source : http://www.bvoltaire.fr/

En Europe, la chasse aux anti-migrants a commencé

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

Immigration, islamisation ? On ne pourra peut-être bientôt plus rien écrire de non élogieux sur le sujet. Dans aucun pays d'Europe.
 
 
Immigration, islamisation ? On ne pourra peut-être bientôt plus rien écrire de non élogieux sur le sujet. Dans aucun pays d’Europe.

C’est un Écossais de l’île de Bute, 7.000 habitants et bientôt 1.000 migrants (neuf familles déjà sur place), qui vient d’en faire les frais. Le motif de son arrestation ? Avoir posté sur Facebook « des commentaires jugés offensifs » à propos de leur arrivée prochaine. L’inspecteur de la police de Dunoon assume pleinement sa décision et « espère que l’arrestation de cet individu va résonner comme un message clair : la police écossaise ne tolérera aucune forme d’activité qui pourrait inciter à la haine […] ». Menaces, intimidations, interdiction de tout esprit dissident : si cela ne signifie pas l’entrée en régime totalitaire…

Aux Pays-Bas, un porte-parole de la police nationale a révélé l’existence de dix unités de « détectives digitaux en charge de la surveillance, en temps réel, de Facebook et de Twitter diffusant des messages qui vont trop loin ». Par exemple ? Les tweets d’un jeune Hollandais tel celui sur « la proposition du conseil municipal de Sliedrecht de prendre 250 réfugiés au cours des deux prochaines années : quelle mauvaise idée ! »Mark a reçu la visite de policiers à son travail, lui intimant l’ordre de « surveiller [son] ton », semblables propos étant jugés « séditieux ».

En Suède, c’est l’Expressen, l’un des plus grands journaux du pays, qui fait appel aux hackers pour se livrer à la chasse aux blogueurs qui « dérapent ». Descente à domicile pour les « interviewer », publication de leur nom et parfois même de leur photo, avec pour conséquence, pour l’un d’eux, la perte de son emploi. La Suède, supposée être la panacée de la démocratie, adepte des méthodes des pires régimes totalitaires. Qui l’eût cru ?

Le Danemark, en août 2015, a condamné à une amende de 893 euros un ancien politicien, « pour délit à caractère raciste », qui avait osé dénoncé, dans un tweet en 2014, « l’antisémitisme musulman ».

Et chez nous ? On a www.internet-signalement.gouv.fr qui encourage, comme au bon vieux temps de la Révolution française ou de la Collaboration, la dénonciation de « contenus ou comportements illégaux punis par une loi française »(en ligne de mire, évidemment, les lois Pléven, Gayssot et Compagnie). Mais existe aussi denoncerlahaine.org, site créé par quatre avocats pour pallier « l’inaction des réseaux sociaux » en ce domaine, expliquait l’un d’eux, Maître Bensaid, en février 2015.

Idée reçue 5 sur 5 par Mutter Merkel qui, en septembre dernier, se rendit à New York tirer les oreilles de Mark Zuckerberg. Et depuis décembre, Facebook, Twitter et Google se sont unis pour faire appliquer, en 24 h chrono, la loi allemande visant à supprimer « les discours de haine ». Ce dispositif s’appelle : « Initiative pour le courage civil »…

On comprend alors pourquoi, depuis ces derniers mois, la chasse aux antimigrants – aux patriotes, en fait – a pris pareille tournure. Et dire qu’on se plaignait déjà de ne plus pouvoir rien dire ! Ça promet…

 

Combien d’immigrés armés à Calais ? Encore un blessé par balle dans la « Jungle »…

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

jungle_calais

Ce samedi, un immigré afghan a été blessé par balle dans la «Jungle» de Calais. Touché à la colonne vertébrale, selon des témoins, il a été transporté à l’hôpital de Calais par d’autres migrants et des membres d’associations actives sur le campement sauvage, a affirmé le sous-préfet de permanence. Les circonstances sont encore inconnues.

D’après une source policière, il s’agit d’une «rixe entre migrants» comme il en arrive fréquemment.

Fin janvier, c’est dans le camp de Grande-Synthe qu’une fusillade avait éclaté, faisant trois blessés. Deux groupes armés avaient échangé des tirs à l’intérieur du camp.

Question que toute personne de bon sens devrait se poser : combien d’immigrés errant dans ces campements sont-ils armés ? Il saute aux yeux que les autorités et la police sont plus promptes à arrêter les opposants à l’invasion migratoire que les malfrats présents parmi les immigrés illégaux.

 

Source : http://www.medias-presse.info/