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samedi, 12 novembre 2016

Villemur-sur-Tarn (31) : 67 migrants vont être logés dans des HLM

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2016

Par le 11/11/2016

Le projet avait déjà été évoqué plusieurs fois dans nos colonnes, il est désormais acté : 67 demandeurs d’asile devront être accueillis tout prochainement sur la commune de Villemur-sur-Tarn.

[...] La confirmation de cette hypothèse tombant brutalement le 29 septembre dernier, la ville de Villemur devra accueillir 67 migrants (ressortissants étrangers inscrits dans une procédure visant à obtenir le statut de réfugiés), dont 4 personnes isolées et 63 familles dont une trentaine d’enfants de 0 à 18 ans. Une première tranche (une quarantaine) sera là dès le mois de décembre, les autres courant février.

Bertrand Leroy, directeur départemental de la Cohésion sociale de la Haute-Garonne, a expliqué que le choix de Villemur avait été dicté par la vacance de 12 appartements HLM, propriété de l’OPD31. Ces logements seront loués à France Horizon, association nationale mandatée par l’état afin de prendre en charge l’accueil et l’accompagnement au quotidien des migrants. [...]

La Dépêche

vendredi, 11 novembre 2016

Marine le Pen, n'a pas la trempe de Trump, elle vous trompe...

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2016 

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11 novembre : honneurs à nos héros, morts pour la France

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2016

Thomas Joly le 11 novembre 2016

Contrairement aux « migrants », nos ancêtres n'ont pas « fui la guerre » comme des lâches et ont défendu la patrie, au prix de leur vie pour nombre d'entre eux, dans ce qui a été une effroyable boucherie entre peuples européens, qui a d'ailleurs sonné le déclin de notre continent.

Aujourd'hui, rendons hommage à ces héros dont nous devons nous inspirer pour libérer la France et sauver notre civilisation.

Le Blanc-Mesnil : des tags menaçaient de mort le policier et sa famille

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2016

Le Blanc-Mesnil, ce jeudi. Le fonctionnaire était affecté au Blanc-Mesnil. C’est dans la cour du commissariat que sa voiture avait été incendiée. LP/Thomas Poupeau
Le prénom de son fils de 7 ans et son adresse avaient été tagués sur les murs au Blanc-Mesnil. « On connaît ton adresse », « On va te tuer », « T’es mort», promettaient ces tags au chef de la BAC dont le nom avait été écrit en toutes lettres ce 12 juin 2013. La vengeance de trafiquants gênés dans leur commerce : c’est ce que les enquêteurs de la PJ ont tout de suite pensé.

Le fonctionnaire avait participé à la saisie de 22 kg de drogue dans la cité des Blés d’Or. Et dans le quartier, plusieurs jeunes l’avaient prévenu que son nom « serait tagué », qu’il allait se passer « un truc qui allait le rendre fou »… « Les menaces envers les policiers ne sont pas rares, mais là, on a voulu s’en prendre à ce que cet homme a de plus précieux : sa famille », répète Me Frédéric Gabet l’avocat du policier, assis, ce jeudi au tribunal, à moins de deux mètres des prévenus, âgés de 18 à 24 ans au moment des faits.

Ils auraient dû être cinq à être jugés, mais Kevin manquait à l’appel et Sofiane — « retenu pour obligation professionnelle »— s’est fait représenter par son avocat. Restent Mounir, Adeline et Mohamed, le seul à comparaître détenu, condamné à 4 ans pour trafic de stupéfiants. Dans cette affaire, quatre d’entre-eux ont déjà fait de la détention (de 4 à 13 mois). Les deux jeunes garçons disent avoir agi pour un « commanditaire dangereux et mençant », contre rémunération. La procureure n’y croit pas. C’est Mounir qui s’est procuré l’adresse du policier par sa petite amie, Adeline, alors conseillère clientèle dans une banque. « J’ai hésité… puis j’ai cédé, explique la jeune femme à la barre, qui depuis a été licenciée pour faute grave. A la banque tous les collaborateurs regardent les comptes de tout le monde, je sais que c’est totalement immoral et contraire à l’éthique du métier, complètement stupide… »

Elle aurait aussi fait des recherches sur la chanteuse Amel Bent, sur une nourrice de drogue dans la cité et sur une juge d’instruction du tribunal ! « Par curiosité », précise la jeune femme qui n’a rien trouvé sur la magistrate, puisqu’elle n’est pas cliente de la même banque. Quant à Mohamed, il reconnaît quelques tags : « J’ai fait un copier-coller, j’ai écrit mot pour mot ce qu’on me demandait, comme un ordinateur… »

« Mais vous n’êtes pas un ordinateur. Ecrire le prénom d’un enfant de 7 ans, ça ne vous fait rien ? », le reprend la juge. « J’avais 18 ans, je ne savais pas ce que c’était le respect d’autrui, je me rends compte aujourd’hui que c’est très grave, je suis vraiment désolé. » « Sincèrement désolé aussi », explique à son tour Mounir. « A l’époque, j’étais drogué. Je sais que c’est une très grosse connerie, mais ma vie à changé, vraiment. Je suis désolé et je ne dis pas ça pour faire plaisir », explique ce jeune père de famille désormais gérant d’une pizzeria.

Le policier serre les mâchoires, détourne la tête. « Je ne suis pas touché par ses regrets », lâche-t-il. Sa voiture avait été incendiée dans la cour du commissariat, mais les auteurs n’ont jamais été retrouvés. « Quel intérêt qu’il reparte en prison aujourd’hui ? Ça ferait plaisir au policier, au procureur mais ce serait ubuesque au regard de la situation qui est la sienne », a plaidé Me Amar Bouaou, dernier des quatre avocats de la défense. La procureure a réclamé « des peines sévères » de 12 à 30 mois de prison contre les prévenus, avec un mandat de dépôt pour trois d’entre-eux. La décision sera rendue le 1erdécembre.

Source : leparisien

Malade il dort dans la rue : « Mais aux migrants ils donnent l’hôtel »

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2016

sdf-italienIl a 62 ans et il souffre du cœur. Il a eu un infarctus, il est cardiaque. Il est sans travail et sans toit. Mais le gouvernement au lieu de l’aider pense aux migrants qui débarquent en Italie.

L’histoire de Gianfranco Tomé pourrait être l’histoire de bien des Français. Et elle nous fait nous indigner !

Après 39 année de travail honnête il a été licencié. La crise économique l’a laissé dans la rue. Même la maladie n’a pas fait bouger les autorités.

« Pour les « réfugiés » il y a les hôtels et les communautés. Pour moi, qui ai travaillé 39 ans et qui ai une pathologie cardiaque, j’ai seulement la rue. » Cet homme n’a plus rien. Les Services Sociaux de Sesto, la ville où il vit, à qui il a demandé une maison ou au moins un lit, ne lui ont rien donné ! Il avait une maison, mais il ne pouvait plus payer le loyer. Sont arrivées la rue et le banc public.

« Je suis désespéré, frustré et fatigué. Après 39 ans de travail comme agent de sécurité et une invalidité à 75% je n’ai pas droit à la pension. Ils me disent que je dois attendre d’avoir 67 ans. Et en attendant, je n’ai même pas d’argent pour manger. »

Pas de centre d’accueil pour cet SDF italien. Pas d’intérêt. Pas d’aide. Un gouvernement indifférent.

Pour Gianfranco, aucun de ces humanitaristes bien-pensants qui ont la main sur le cœur et des tremolos dans la voix dès qu’ils parlent des « pauvres migrants » ne se mobilise.

La mode philanthropique est aux migrants !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info