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samedi, 19 novembre 2016

Toulouse : Un migrant syrien frappe des policiers avec un marteau.

Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2016

Par le 18/11/2016 

Un Syrien âgé de 30 ans a été condamné à 18 mois de prison ferme plus six mois avec sursis par le tribunal correctionnel de Toulouse pour des violences sur des personnes dépositaires de l’autorité publique.

Dans la soirée du mardi 11 octobre, cet homme qui a perdu femme et enfants lors d’un bombardement en Syrie, a eu la mauvaise idée de proposer des cigarettes de contrebande à des policiers de la brigade anticriminalité sur la place Arnaud-Bernard.

Comprenant son erreur, le vendeur a alors pris la fuite en courant, poursuivi par un policier qu’il a essayé de frapper à deux reprises avec un marteau.
[...]
Le vendeur de cigarettes a donc finalement été condamné à une peine mixte : 18 mois ferme plus 6 mois avec sursis et mise à l’épreuve. Le tribunal a ordonné le maintien en détention.

La Dépêche

Impôt: l'Assemblée nationale vote le prélèvement à la source

Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2016

Michel Sapin à l'Assemblée nationale, ce jeudi.

Cette mesure phare du projet de budget 2017 a finalement été adoptée par les députés, ce vendredi soir. L'opposition a promis de revenir sur ce texte en cas d'alternance.

Les députés de la majorité ont réparé le couac de la veille sur le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu. Cette mesure phare, inscrite dans le projet du budget 2017, n'avait pas pu être adoptée, faute d'une présence suffisante d'élus de la majorité. Le gouvernement avait alors demandé une seconde délibération qui est intervenue ce vendredi.

Les députés ont finalement largement adopté le prélèvement à la source qui doit être appliqué à partir de janvier 2018. L'opposition, qui a promis de revenir sur cette mesure en cas d'alternance, n'était représentée dans l'hémicycle que par une seule députée LR, Claudine Schmid, contre une trentaine la veille.

La réforme prévoit qu'à compter du 1er janvier 2018 l'impôt sera calculé sur les revenus de l'année en cours et non plus sur les revenus de l'année précédente. Ce montant sera prélevé directement sur les salaires ou les pensions de retraite. C'est donc un tiers - l'employeur ou la caisse de retraite - qui collectera l'impôt.

Revenus de 2017 non imposés

L'administration fiscale calculera le taux de prélèvement selon les revenus de l'année précédente. Celui de janvier 2018 sera communiqué aux employeurs ou autres organismes collecteurs de l'impôt fin 2017. Le contribuable pourra opter pour un taux neutre ou individualisé afin que son employeur ne puisse pas «deviner», d'après son taux de prélèvement, le niveau de ses autres revenus ou de ceux de son conjoint.

Ce taux pourra être ajusté en cours d'année en cas d'évolution de revenu (augmentation de salaire, départ en retraite, perte d'emploi...) ou de changement de situation familiale. Comme les contribuables s'acquitteront en 2017 de l'impôt sur les revenus de 2016 et en 2018 de l'impôt sur les revenus de 2018, ceux de 2017 ne seront donc pas imposés.

Les revenus exceptionnels et les réductions ou crédits d'impôt de cette «année blanche» seront pris en compte en 2018, pour éviter les manques à gagner ou des effets d'aubaine. Les députés ont voté vendredi des amendements pour exclure du champ de ces revenus exceptionnels imposables les indemnités de fin de CDD et de mission d'intérim.

En revanche, les primes de bienvenue «golden hello» ou de départ, versées en 2017, seront bien considérées comme des revenus exceptionnels tout comme les primes de signatures et les indemnités liées aux transferts de sportifs professionnels.

«Excessivement complexe»

Les députés n'ont pas refait le débat politique vendredi. Jeudi, les élus LR, comme Marc Le Fur et Hervé Mariton, étaient très remontés contre une réforme«excessivement complexe» et très préoccupés de sa «réversibilité», la droite ayant quasiment unanimement promis de revenir dessus.

Le ministre des Finances, Michel Sapin, avait concédé que «toute réforme est, par définition, réversible». Mais il s'était interrogé sur l'intérêt de «revenir sur une réforme qui a demandé autant de travail (...) et répond à une telle évidence en termes de simplification».

La CGT Finances a cependant contesté dans un communiqué cette simplification. «Les citoyens espérant un allégement de leurs démarches administratives vont être déçus. En effet, le prélèvement à la source n'exonérera ni de déclaration, ni d'avis d'imposition mais générera surtout toute une série de démarches visant à modifier son taux d'imposition tout au long de l'année au gré des fluctuations de revenus et des changements de situation professionnelle ou personnelle», a souligné le syndicat dans la soirée.

 

Source : lefigaro

Conseil d’Etat & crèches dans les mairies : la réponse délirante du Grand Orient de France

Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2016

18 novembre 2016 par Pierrot

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Le 9 novembre dernier, le Conseil d’Etat a autorisé sous strictes conditions, l’installation de crèches dans les mairies. Les pré-requis sont « le contexte de l’installation : celui-ci doit être dépourvu de tout élément de prosélytisme » ; « les conditions particulières de l’installation » ; « l’existence ou de l’absence d’usages locaux » ; enfin le « lieu de l’installation ».

Car, pour le Conseil d’Etat, si l’article 28 de la loi de 1905 pose l’interdiction « d’élever ou d’apposer des emblèmes ou signes religieux sur les emplacements publics », tout le problème de la crèche est qu’elle peut avoir « plusieurs significations. Elle présente un caractère religieux ; mais elle est aussi un élément des décorations et illustrations qui accompagnent traditionnellement les fêtes de fin d’année, sans signification religieuse particulière ».

En résumé, le Conseil d’Etat autorise les crèches en mairie car elles sont aussi des décorations profanes ou folkloriques pour la période de Noël. C’est incroyable d’en arriver à devoir faire un numéro d’équilibriste juridique pour autoriser une tradition religieuse multiséculaire, mais on attendait pas mieux de la République.

Il n’en fallait pas moins à une ramification de la secte maçonnique, la loge du Grand Orient de France, pour sortir un communiqué délirant. Selon ces bouffeurs de curés; la décision du Conseil d’Etat « fragiliserait même le principe de laïcité dans notre pays » (si seulement…).

Voici la totalité du communiqué :

 Crèches de Noël : le principe de laïcité fragilisé

Pour le Grand Orient de France, la décision du Conseil d’Etat du 9 novembre dernier relative à l’installation des crèches de Noël dans les édifices publics fragilise le principe constitutionnel de laïcité dans tous ses éléments constitutifs : neutralité des personnes publiques à l’égard des cultes, liberté de conscience et égalité des droits des citoyens devant la loi.

Les contorsions du Conseil d’Etat visent à accorder aux crèches de Noël une pluralité de significations et singulièrement un caractère festif impossible à appréhender objectivement en droit pour autoriser, sous des conditions au périmètre incertain, ces crèches dans les bâtiments publics.

Elles le conduisent à écarter l’application de la loi de 1905, notamment dans ses articles 2 et 28.

La haute juridiction administrative s’interdit ainsi de garantir l’obligation de neutralité de la puissance publique. En permettant une plus grande immixtion du religieux dans la sphère publique, cette décision contribue à une confessionnalisation de la société que nous dénonçons comme contraire à la liberté de conscience.

En reconnaissant la primauté des prétendues traditions chrétiennes de la France sur la loi républicaine, elle affaiblit le principe d’égalité tel qu’il est défini par l’article 1er de la Constitution (« sans distinction d’origine, de race ou de religion ») et porte en elle le germe de revendications identitaires dangereuses pour la cohésion nationale.

Le Grand Orient de France condamne fermement le glissement sémantique encouragé par cette décision, c’est à dire la transformation d’une manifestation objectivement cultuelle en manifestation festive culturelle.

 

Source : contre-info

vendredi, 18 novembre 2016

Sainte-Geneviève (91) : Le champion d’athlétisme Toumany Coulibaly à nouveau pris en flagrant délit

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2016

Par le 14/11/2016 
Sa liberté restait suspendue à un fil, entre des peines de sursis ou des aménagements de peine lors de ses condamnations pour vols en bande organisée. Toumany Coulibaly dort pourtant en cellule depuis samedi. Le roi du tour de piste, sacré champion de France du 400 m en février 2015, a toujours su mettre en avant sa carrière d’athlète de haut niveau pour échapper à la prison.

Mais dans la nuit de samedi à dimanche, il a été arrêté par la sûreté départementale de l’Essonne et les policiers du commissariat de Sainte-Geneviève alors qu’il venait de cambrioler le magasin Carrefour de la ville. Passé par les toits, il en sortait avec ses complices les mains pleines de matériel hi-fi et de téléphonie pour une valeur de plusieurs dizaines de milliers d’euros.

Placé en garde à vue pour quatre jours pour vol en bande organisée, il était déjà mis en examen pour d’autres affaires de ce type pour lesquelles il devait comparaître au tribunal dans les prochains mois.

Repéré ces derniers jours par les enquêteurs alors qu’il notait les changements d’emplacements des caméras de vidéosurveillance de la grande surface qu’il est soupçonné d’avoir déja cambriolée voici deux ans, il était suivi par les policiers qui ont attendu qu’il commette son forfait pour le prendre sur le fait ce week end.

Le Parisien

Nice : un couple appelle son fils Mohamed Merah

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2016

18 novembre 2016 par Pierrot

Bébé Merah

A noter : la République menace certaines familles catholiques de retirer l’autorité parentale pour des broutilles. Il faudra suivre l’affaire pour vérifier qu’une enquête est bien diligentée contre cette famille admirative du terroriste.

Nice compte depuis début novembre un nouvel habitant, un petit garçon prénommé « Mohamed, Nizar Merah ».

Un choix de prénom très peu apprécié des édiles, pour qui la référence à l’auteur des actes terroristes survenus à Toulouse et Montauban en 2012 est particulièrement malvenue et « susceptible d’être contraire à l’intérêt » de l’enfant.

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