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Effrayant et inquiétant : que dire d'autre, après avoir pris connaissance du dernier rapport du Secours Catholique sur l'inexorable montée de la pauvreté en France ?
• près de 9 millions de personnes, dont 3 millions d'enfants, vivent « dans » la pauvreté ;
• le Secours Catholique a accueilli 608.5000 personnes en 2015, soit une augmentation de 2,7 % par rapport à 2014.
• les enfants et les « précaires » sont en hausse, dans ces accueils, comme est en hausse l'appauvrissement des familles...
Oh, que l'on se rassure : il n'y a que du consensuel et du « politiquement correct » dans ce rapport. Aucune accusation contre le Système, uniquement des chiffres froids et presque glacés, des constats, des tendances et des courbes. A croire que cette inexorable croissance de la pauvreté - qui à ce stade devient comme un cancer, et le naufrage d'une Nation - arriverait presque toute seule, comme par hasard, sans causes bien précises.
Il y a pourtant deux choses que dit le rapport et qui amènent à une critique frontale du Système et de sa politique, qui crée, justement, et amplifie d'une façon exponentielle cette pauvreté.
1. La part des étrangers, dans cette marée de détresse, a quasiment doublé depuis 2000 : les étrangers représentaient, alors, 20% des personnes aidées, leur part est montée à 36% en 2015, dont - scandale supplémentaire - 18% de clandestins (que les bobos, les trotskistes et le président des Evêques de France - Mgr Pontier, archevêque de Marseille - se plaisent à appeler « sans-papiers »).
C'est la première critique du Système que porte - même sans le vouloir - ce rapport : pourquoi, en effet, accueillir chaque année 300.000 étrangers par an (soit 1,5 millions sous le quinquennat de Hollande) et 200.000 sous les quinquennats précédents (soit un nombre impressionnant de millions depuis les décrets Chirac de 1975) ? On voit bien que ces étrangers, dans une proportion devenue insupportable pour nos moyens matériels, se retrouvent ensuite, très vite, dans les statistiques de la pauvreté. Quant aux clandestins, il est tout simplement scandaleux d'ajouter une aide supplémentaire au quasi milliard de l'AME (Aide Médicale d'Etat), alors que deux paysans français se suicident chaque jour, et que les JT de TF1 et de France 2 ont « passé » plusieurs reportages sur ces personnes âgées, ayant travaillé toute leur vie, et vivant avec 400 euros de retraite par mois !... Le tort de ces paysans ou de ces retraités aux indécentes pensions est-il d'être, tout simplement, Français, et pas d'une autre couleur, ou d'une religion venue d'ailleurs ? Oui, semble-t-il, pour le Système...
2. Mais il n'y a pas - il n'y a plus - que le « matériel » qui cause directement la pauvreté : le Secours Catholique note l'explosion - elle aussi exponentielle - des demandes d’« écoute » et d' « accueil ». Et, là, on n'est plus dans les conséquences sociales ou économiques d'une politique insensée, mais bien dans « le » politique. Et l'on voit les conséquences désastreuses de l'éclatement des familles, qui sont depuis des décennies comme l'ennemi numéro 1 d'un Système qui fait tout pour rabaisser leur image, les fragiliser, les dissoudre, alors que l'on sait bien que la famille est la cellule de base de la société, la base fondamentale de la pyramide sociale. Et que, plus les familles sont fortes, nombreuses, faisant partie de ces « classes moyennes » qui ont de tout temps fait la force de la France, plus la Société est solide, stable, et capable de résister aux différentes crises qui ne manquent pas de se produire...
Théorie du genre, court-termisme généralisé, exaltation frénétique de l'individualisme et de l'hédonisme, justifications jusqu'à l'absurde de toutes les autres formes de vie sociale que la vie familiale (le « choix » LGBT étant considéré comme aussi normal et « valable » que le choix de fonder une famille...), accablement par des impôts et taxes qui deviennent un racket légalisé, baisse des Allocations familiales selon les revenus... la liste est longue de ce « Famille je vous hais », façon André Gide, qui semble bien devenu l'un des axes majeurs d'une politique aussi néfaste et funeste pour le Pays que le Système qui la conduit...
Hier, le 13 novembre, les terroristes ont fait recours à des armes chimiques pour attaquer les positions de l’armée syrienne à Alep. Cette fois-là, des frappes ont été menées dans les faubourgs de Karam al-Tarab à proximité de l’aéroport international. 28 militaires syriens ont été blessés lors de l’attaque chimique qui était une revanche des terroristes incitée par de récentes avancées de l’armée gouvernementale, dit le commandement des forces syriennes. Cet incident était le troisième cas de l’utilisation de matières toxiques au cours de ces derniers 15 jours.
Il est à noter que l’attaque précédente a eu lieu le 3 novembre quand des obus contenant des gaz toxiques ont été lancés dans le sud-est d’Alep.
L’attaque chimique menée le 30 octobre par les extrémistes à proximité de l’Académie Al-Assad a fait un mort et au moins 40 civiles blessés.
Selon les militaires syriens, dans tous ces cas, les terroristes ont recouru à des armes chimiques à base de chlore. Le communauté internationale a complètement ignoré l’utilisation des substances toxiques par l’opposition syrienne.l’ONU n’ a qu’annoncé que ses experts « étudieraient les détails ». Une enquête n’a pas même été entamée.
La veille, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a publié un rapport où elle accusait l’EI mais aussi la Syrie d’avoir utilisé des armes chimiques.
Le texte prévoit également l’introduction des sanctions contre des infrastractures militaires et scientifiques syriennes. Dans ce cas-là,la Ministère des Affaires étrangères a tout à fait raison d’avoir condamné cette résolution en la qualifiant de subjective.
Il est évident que des organisations internationales sont de parti pris compte tenu leurs accusations injustes d’avoir tué des civiles d’ Alep ou d’avoir bombardé des écoles et des quartiers d’habitation.
Il ne reste qu’à espérer que les soi-disant activistes occidentaux arrêteront d’accuser Damas d’attaque chimique et de « crime contre l’humanité » ainsi que de se taire devant les actes terroristes.
LA MACRONITE AIGÜE, ÇA SE SOIGNE DOCTEUR ? Si besoin était de démontrer « qu’une démocratie comme la nôtre » est malade, la candidature d’Emmanuel Macron qui, sans être un perdreau de l’année, n’en est pas moins un nouveau venu sur la scène des « grands », suffirait amplement à le prouver.
Enfin, voici un homme jeune pour ne pas dire un jeune homme, issu des milieux financiers – Rothschild, ce n’est pas rien, une référence, que dis-je une marque !- qui a été secrétaire-général adjoint au Palais de l’Elysée puis ministre de l’économie de François Hollande avec le succès que l’on sait et qui, avec culot, paré des habits neufs d’un renouveau qui n’est pas celui de « Bruno », ose annoncer sa candidature à l’élection présidentielle ce mercredi 15 novembre, à Bobigny, chef-lieu du « 9-3 », tout un symbole ? Tel un homme neuf, apparemment vierge de toutes les turpitudes du monde politiCHIEN, ne doutant de rien, comme beaucoup de ses pairs il se jette dans la fosse aux lions et veut concourir à l’élection suprême sans passer par la case « primaires ». Fort de ses discrets mais puissants soutiens, ce symbole du monde libéral-libertaire trace son sillon et grappille, ici ou là, quelques points dans les sondages qui inondent quotidiennement le théâtre politique. Il est pourtant aux antipodes de ce que semblent souhaiter une majorité de Français : souveraineté, ordre, respect des valeurs et équité. Sans oublier cette foutue « courbe du chômage » qui, décidément, refuse de se ramollir sans quelques trucages statistiques. Nouvelle gravure de mode, figure avenante de gendre convenable – trop tard, la place est prise par « maman »….- il est devenu le champion d’une caste de « bobos » énamourés qui, décidément, n’a rien compris à la vague de fond qui ,de la Grande-Bretagne aux Etats-Unis, de la France à la Scandinavie en passant par la Hongrie, remue les couches populaires, ces gens du peuple qui n’en peuvent plus des frasques et des échecs d’une oligarchie, provisoirement, encore dominante. A croire que l’élection de Trump – divine surprise ? – n’aura servi à rien. Décliné petits bouts par petits bouts, tel un collier cassé qui perdrait ses perles une à une, le programme de Monsieur Emmanuel Macron reste flou sur l’essentiel : quid de l’immigration, de la place de la France dans le monde, de ses relations avec ses alliés et voisins, des rapports du monde du travail et du monde de l’argent, de l’avenir du syndicalisme « institutionnel », de la liberté d’expression, de la place exagérément revendicative de l’Islam, de la répression du terrorisme islamiste, de la reconstruction de l’école ? J’avoue que, pour l’instant, je reste sur ma faim et que mon appétit ne sera pas calmé par une infâme tambouille cuisinée par quelques socialistes repentis, acoquinés avec des centristes en rupture de ban. Les désillusions des bonnes volontés se mobilisant en faveur de cette nouvelle offre lancée sur le marché politique, promue telle une marque de lessive qui laverait « plus blanc que blanc », viendront à leur heure. Les caciques de la « droite molle » et de la gauche moribonde veillent au grain ; on peut leur faire confiance pour ne pas adouber sans coup tordu cet « OVNI » propulsé par le monde médiatique. La température de la douche électorale du printemps prochain risque d’être glaciale. En Marche fera, à terme, du sur place ! Jean-Claude ROLINAT
Fondateur de l'école Al-Badr, l'imam Abdelfattah Rahhaoui est notamment poursuivi pour «poursuite d'une activité scolaire malgré une mise en demeure de l'Éducation nationale». Il dénonce un acharnement administratif.
Violences volontaires sur mineur, ouverture d'un collège clandestin, «poursuite d'une activité scolaire malgré une mise en demeure de l'Éducation nationale». Ce 17 novembre, Abdelfattah Rahhaoui, directeur de l'école primaire hors contrat Al-Badr devra s'expliquer de ces trois accusations devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Personnalité controversée, l'imam et conférencier entretient avec l'Éducation nationale des rapports plus que tumultueux depuis l'ouverture de cette école privée musulmane en 2013, dans le quartier populaire Bellefontaine.
À l'issue de la dernière inspection de l'établissement, le 12 avril dernier, en présence des forces de l'ordre, l'académie de Toulouse, a conclu à un enseignement «très déficitaire dans tous les domaines, en dehors de l'enseignement de l'arabe qui s'effectue à des quotités quotidiennes importantes». Elle a aussi constaté que «l'étude quotidienne du coran oblitère le temps de façon importante». Le 20 juillet, avant les vacances estivales, elle invitait les parents à inscrire leurs enfants ailleurs, au motif que l'école «ne délivrait pas un enseignement conforme aux exigences».
«Le vrai coran»
L'école Al-Badr fait partie de ces établissements hors contrat visés par une vague d'inspections surprises lancées il y a un an par la ministre de l'Éducation, dans le cadre d'une lutte affichée contre la radicalisation. «À ce jour, une petite dizaine ont ou vont être saisis devant la justice pour fermeture», explique-t-on Rue de Grenelle. Pour l'école Al Badr, signalée au procureur au titre de l'article 40, la machine est déjà lancée. «Dans certains établissements, nous ne pouvons que constater la volonté manifeste de pas tenir compte des recommandations faites lors de précédentes inspections», poursuit-on au ministère, tandis qu'à l'académie de Toulouse, c'est le silence radio, pour cause d'instruction en cours.
De son côté, le fondateur de l'école, très actif sur les réseaux sociaux, dénonce «un acharnement administratif» contre lui-même, l'école et ses propres enfants. La ligne de défense est claire. Dans une vidéo postée le 5 septembre sur Facebook, vue plus de 80.000 fois, il défend une école musulmane qui, en enseignant «le vrai coran» est «un rempart» contre la radicalisation. Il demande à être jugé comme «simple citoyen», et non «pas sur ses prises de positions politiques».
«Délire communautaire»
Sur ce terrain, l'homme déroule, au rythme de ses vidéos sur Youtube et de ses prêches, un CV de choix. Condamnation de l'attentat contre Charlie Hebdo sans pour autant valider «les ignobles caricatures fanatiques», attaque contre la «théorie du genre» et les lobbys LGBT, proximité alors avec Alain Soral, affirmation du Hijab obligatoire pour les femmes, contexte toulousain marqué par l'affaire Merah...
«Je rappelle que mon client n'est pas fiché S», martèle l'un de ses avocats, Me Hakim Chergui. À ma connaissance, il ne fait l'objet d'aucune condamnation. Pour l'avocat au barreau de Paris, par ailleurs vice-président de l'association Al-Kindi -l'un des plus anciens groupes scolaires privés musulmans- «le dossier est extrêmement léger sur le plan juridique, mais il draine une symbolique forte qui a abouti à placer mon client au centre de toutes les attentions administratives. Ce qui pose la question de l'égalité des droits. Les administrations ont pratiqué un dépassement de leurs fonctions. Un procureur a demandé à l'Éducation nationale de mener une inspection. Cette inspection a amené des policiers dans une école».
Décrit comme proche des salafistes, «ne vivant qu'à travers une lecture rigoriste du coran», «perché», «dans un délire communautaire», Abdelfattah Rahhaoui se refuse à serrer la main d'une femme. «Religieux», «musulman», «barbu», mais «pas pour autant radicalisé», clame haut et fort le principal intéressé.
Mise en demeure
Français né au Maroc, âgé de 43 ans, Abdelfattah Rahhaoui s'est intéressé à l'éducation en 2009, lorsqu'il a fondé le collège musulman privé Alif, dans le quartier sensible du Mirail, en réaction directe et revendiquée à la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l'école. C'est en 2013 qu'il a créé l'école Al-Badr, qui accueille une centaine d'enfants, de la petite section de maternelle au CM2.
Outre des faits de violence «sur un mineur de moins de 15 ans», il devra ce 17 novembre répondre de l'ouverture illégale d'un collège privé. Dans les locaux de l'école primaire Al Badr, sont en effet proposées des activités de soutien scolaire. Où commence le scolaire, où s'arrête le périscolaire? Vaste question, récurrente ces derniers mois. Il devra enfin se justifier de la non-fermeture de l'école Al-Badr, en dépit de la mise en demeure de l'Éducation nationale. Un point sur lequel son avocat a déposé une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). «La justice ne s'est pas encore prononcée sur la fermeture de l'établissement», explique-il. Le délibéré de l'audience pourrait y aboutir.
Renégat (dictionnaire de l'Académie française) : « Il s'est dit de celui, de celle qui a renié la religion chrétienne pour embrasser une autre religion. Il s'est fait renégat. C'est une renégate. Il se dit figurément de celui qui, par des motifs intéressés, abjure sa religion quelle qu'elle soit, renie sa patrie ou ses opinions politiques. Les renégats sont également méprisés dans les deux partis ».
Kevin Guiavarch a aujourd'hui 23 ans. Il a rejoint la Syrie fin 2012, d’abord dans les rangs du Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, avant d’intégrer l’organisation État Islamique (EI). Il est soupçonné d’avoir été un recruteur très actif de l’EI, directement impliqué aussi dans son financement, mais son rôle était aussi, essentiellement, de recruter des femmes, y compris mineures : on imagine aisément la suite ...
Après avoir quitté et renié son pays (?), la France, celui qui est devenu un terroriste veut maintenant y revenir, avec ses quatre compagnes françaises et leurs six enfants. Il faut savoir qu'il a eu un ou plusieurs de ces enfants avec une ou plusieurs mineures : il faut dire que, en matière de pédophilie, il n'a fait que suivre l'exemple de son maître Mahomet, qui a épousé à 52 ans, en troisièmes noces, Aicha, une fillette de 6 ans, avec laquelle il a attendu qu’elle ait 9 ans pour avoir des rapports sexuels ... « notre » Kevin ayant pris ses mineures plus âgées que six ans, il n'a pas eu à attendre, lui, pour consommer ses mariages.
S'étant fait librement soldat de l'armée ennemie, ce Guiavarch-là est devenu traître à sa (?) patrie ; et, accessoirement, terroriste pervers et hors-notre-loi : s'il revient, il doit être immédiatement traduit devant une Cour martiale, puisqu'il a pris les armes pour une armée avec laquelle nous sommes en guerre.
Peloton d'exécution, fusillé, et on n'en parle plus...