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dimanche, 25 juin 2017

C’était un 25 juin…

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017

25 juin 2017 par admin4


1673 : d’Artagnan, capitaine des Mousquetaires, tombe devant Maastricht. Louis XIV exprimera sa profonde tristesse auprès de la reine.

1804 : exécution, en place de Grève, de Georges Cadoudal, trente-trois ans, dernier chef chouan, en ce jour presque anniversaire du débarquement de Quiberon (27 juin 1795).

Ayant participé à toutes les guerres de Vendée, il est le seul chef chouan à avoir continué le combat, contre Bonaparte.

1940 : le maréchal Pétain s’adresse aux Français dans un discours fameux : « c’est vers l’avenir que, désormais nous devons tourner nos efforts. Un ordre nouveau commence […] Votre vie sera dure.

Ce n’est pas moi qui vous bernerai par des paroles trompeuses. Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal. La terre, elle, ne ment pas. Elle est devenue notre recours. Elle est notre patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de la France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de la France qui renaît […] Notre défaite est venue de nos relâchements. L’esprit de jouissance détruit ce que l’esprit de sacrifice a édifié. C’est à un redressement intellectuel et moral, que, d’abord, je vous convie ». Le matin même, il avait entendu l’archevêque de Bordeaux, Maurice Feltin, déclarer dans son homélie : « si nous avons été battus, c’est que peut-être nous n’étions plus suffisamment soutenus, au fond de nos âmes, par ce triple idéal que sont trois grandes réalités : Dieu, la Patrie, la Famille. »

 

Source : contre-info.com

Saint-Denis, des rois de France aux zones de non-droit !

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017

J.-P. Fabre Bernadac

Un contraste saisissant entre le Saint-Denis des rois de France et la ville livrée aux racailles d'aujourd'hui. Merci à J.-P. Fabre Bernadac et Boulevard Voltaire pour ce rappel [24.06].  LFAR

 

d533f61cd7e451225deb674c5cda3bca.jpeg.jpgLe 28 juillet 754, le pape Étienne II sacrait Pépin le Bref dans la basilique de Saint-Denis et bénissait son épouse Berthe au Grand Pied. Depuis cette époque ce chef-d’œuvre de l’art gothique fut la dernière demeure de quarante-deux rois, trente-deux reines, soixante-trois princes et princesses de France. Des mérovingiens avec Dagobert, en passant par les carolingiens jusqu’aux Bourbons, avec les priants de Louis XVI et Marie-Antoinette, la nécropole royale de Saint-Denis fut le témoin privilégié de l’histoire de France. Aujourd’hui la ville de St Denis n’est plus que le témoin privilégié d’une zone de non droit !

Le dernier exemple de cet abaissement vient d’être rapporté par Le Figaro. Le 20 juin, « un officiel russe présenté comme chef de la délégation au Salon aéronautique du Bourget, qui circulait à Saint-Denis, à bord d’un véhicule VTC (Véhicule de tourisme avec chauffeur) a été victime d’un vol avec violence à la portière » a indiqué une source policière. Le détail des faits, cependant, divergent entre le quotidien et « Russia Today ».

D’après le premier, l’homme a été frappé et la conductrice s’est fait arracher son sac. Ne s’en laissant pas conter, celle-ci aurait décidé de prendre en chasse les voleurs. Cette poursuite la conduisit dans un quartier sensible où les malfaiteurs furent rejoints et appuyés par une bande. « Elle est alors violemment prise à parti par une cinquantaine d’individus » qui « la frappent et l’agressent sexuellement » selon le récit livré par le journal français.

Pour le média russe il n’y aurait pas eu de course poursuite et la jeune femme n’aurait pas été agressée.
 
Dans les deux hypothèses la réaction de la police fut rapide, ils purent secourir le couple. Cette agression est symptomatique de la situation de la préfecture de Seine-Saint-Denis comme de celle de multiples banlieues de l’hexagone. 

Messieurs les touristes, il faut savoir qu’en venant en France, si vous vous écartez des beaux quartiers de la capitale, vous prenez un risque. Parcourir les rues de la cité dionysienne c’est comme aller en vacance en Libye. Le danger est présent tout au long des 20 kilomètres de l’autoroute qui traverse le 9-3 entre Roissy et la porte de la Chapelle, m’ont confié des amis de la BAC. Des centaines de voyageurs se font agresser sur ce tronçon chaque année et la clientèle richissime du salon du Bourget constitue une proie inespérée pour ces « racailles ». Disons-le, nous sommes revenus au Moyen Age au temps du brigandage et des ribauds.

Les seules solutions pour les conducteurs arpentant ces voix : d’abord fermer les portes notamment celle passager et vider sol et siéges inoccupés de tout objet. Si l’attaque a lieu en cassant la vitre, essayer de foncer si la voiture n’est pas bloquée et actionner continuellement le klaxon tout en mettant les warning. Si vous êtes bloqué par un deux-roues, il ne vous reste plus qu’uns solution prier pour qu’il ne vous arrive rien. D’ailleurs les gens de la BAC expliquent discrètement aux automobilistes agressés de ne pas s’arrêter aux feux rouges à Saint-Denis… mais de « glisser » lentement lors des croisements. Le 9-3, est actuellement une des « républiques » autonomes du « vivre ensemble » comme tant d’autres en France.

À part cela tout va bien dans ce pays qui a la « chance » de profiter des multiples diversités culturelles.

Quelle honte pour notre nation, il est certain qu’en Russie la milice aurait alpagué sans ménagement ces fauteurs de trouble.

Au fait Messieurs du CIO, il est prévu où le village olympique si les JO 2024 se déroulent à Paris ? 

Ancien officier de Gendarmerie
Diplômé de criminologie et de criminalistique

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Le gisant de Charles V et Jeanne de Bourbon à Saint-Denis

 

Source : lafautearousseau

ONU : les États-Unis ne reconnaissent pas « l’avortement en tant que méthode de planning familial »

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017 

La nouvelle administration Trump des États-Unis a refusé, jeudi 22 juin, d’approuver un paragraphe d’une nouvelle résolution du Conseil de l’ONU des droits de l’homme condamnant les abus et discriminations à l’encontre des femmes. Car tout en déplorant « la persistance et l’omniprésence de toutes formes de violence à l’encontre des femmes et des filles dans le monde« , ce texte est aussi un moyen de propagande pour l’avortement en tant que moyen de contrôle des naissances.

Dans le paragraphe non-ratifié par le représentant américain, le Conseil de l’ONU appelle en effet les pays à faire en sorte que leurs services de santé procurent aux femmes des soins « complets et de qualité concernant la sexualité et la procréation« , y compris « un avortement sûr lorsque de tels actes sont autorisés par la législation nationale ».

« Les États-Unis soutiennent pleinement le principe d’un choix volontaire concernant la santé maternelle et infantile et le planning familial »,

a déclaré Jason Mack, le représentant américain aux Nations unies.

« Mais nous ne reconnaissons pas l’avortement en tant que méthode de planning familial, et nous ne soutenons pas l’avortement dans nos programmes d’assistance à la santé en matière de procréation »,

a-t-il également ajouté.

Une décision qui choque les tenants de la culture de mort onusiens qui se cachent derrière une défense de la femme pour imposer l’avortement comme moyen de contraception.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

 

La GayPride défile à Paris pour demander la PMA promise par Macron

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017

Pour la 40e GayPride appelée dorénavant la Marche des Fiertés parisienne (sic), – parce que dans la nouvelle vague moralisatrice d’aujourd’hui c’est une fierté d’être homo, trans, bi, queer, et une honte d’être un normal hétéro !, les mouvements arc-en-ciel ont un mot d’ordre : réclamer « la légalisation de la PMA, (la Procréation médicalement assistée) pour toutes, sans condition et sans restriction », alors qu’aujourd’hui elle n’est légale que pour les couples hétérosexuels.

Et puisque Emmanuel Macron, au cours de la campagne présidentielle s’est dit « favorable » à son ouverture « aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires », cette demande, qui ne tient aucun compte des droits des enfants à qui l’on refuse un papa ET une maman, sera certainement exaucée sans trop de difficultés. « On demande au gouvernement un calendrier législatif précis », confirme Joël Deumier, président de SOS homophobie. « Les personnes LGBT attendent la PMA depuis 2013. On va mettre le gouvernement face à ses responsabilités et il ne peut pas tourner les talons et dire : ‘finalement non’. Cette majorité doit travailler et agir. » Avec Macron, le monde Lgbt a trouvé chaussure à son pied !

En tout, 88 associations et organisations doivent participer à cette marche revendicatrice (l’affiche au poing levé comme au plus beau temps du communisme assassin en témoigne) sponsorisée entre autres par la Marie de Paris et le Conseil Régional d’Ile de France. Contribuables Franciliens et Parisiens vous savez où va votre argent !

Ce samedi 24 juin, Paris va donc se transformer, à partir de 14h, et jusque tard dans la soirée en un vaste lupanar à ciel ouvert où toutes les déviances et comportements immoraux s’exhibent sans pudeur ni retenu. De la place de la Concorde à l’arrivée prévue vers 17h, place de la République, où se tiendra un grand concert jusque 22 h, le Grand Podium, show festif et militant engagé autour de concerts, dj sets, vidéos, stands-up , avec des artistes queers & gay-friendly, ce quartier sera totalement aux mains de la Gaystapo. Le drapeau arc-en-ciel flottera sur la place de la République !

Familles abstenez-vous aujourd’hui d’aller vous balader avec vos enfants dans ce quartier parisien !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

samedi, 24 juin 2017

Douce France – Macron face aux migrants : entre l’idéologie d’Hidalgo et la réalité à Calais

Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2017

PAR LE

Macron face aux migrants : entre l’idéologie d’Hidalgo et la réalité à Calais

 

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Campement de migrants Porte de la Chapelle

 
Les élections sont finies mais les problèmes qui pendaient restent. Macron et sa majorité se trouvent face à l’afflux incessant de migrants. Coincés entre l’idéologie mondialiste qu’incarne Anne Hidalgo à Paris et la dure réalité qu’illustre Calais. Il va falloir choisir.
 
Emmanuel Macron ne m’inspire ni la moindre estime ni la moindre illusion, mais c’est un politique, et tous les politiques doivent survivre : la submersion de l’Europe par les migrants est un phénomène si grave qu’elle peut lui inspirer quelques décisions conservatoires, d’urgence, pour éviter la faillite et la guerre civile. A moins qu’il ne préfère se soumettre à l’idéologie qui l’a mandaté et qui anime ses soutiens. L’événement nous le dira vite. En attendant, les migrants occupent l’actualité de façon toujours plus inquiétante.
 

Mort à Calais sur une barricade élevée par des migrants

 
Un automobiliste est mort à Calais sur l’autoroute A 16. Brûlé dans sa camionnette. On ignore son identité. Sa plaque minéralogique est polonaise. Le véhicule a percuté un « barrage artisanal » placé en travers de la chaussée et a pris feu. Ce sont des migrants qui ont construit le barrage. De simples troncs d’arbres entremêlés. L’AFP nous apprend que les « migrants désespérés » font souvent cela la nuit, « afin de ralentir des camions en partance pour l’Angleterre et tenter de se cacher à l’intérieur ». Du temps de la Jungle c’était une pratique courante, depuis, ça s’était arrêté, maintenant, ça repart. La camionnette polonaise n’était apparemment pas au courant.
 

La réalité des migrants que l’idéologie dominante refuse de voir

 
Depuis Sangate, ni la France ni la Grande Bretagne n’ont voulu ouvrir les yeux. Il y a eu Calais, la Grande Synthe, la Jungle, des milliers, des dizaines de milliers, des centaines de milliers d’incivilités toujours plus graves, des vols, des agressions. Face à cela la réponse des organisations humanitaires était toujours de récriminer contre les conditions d’accueil faites par la France, et celle des autorités la dispersion-relocalisation des migrants. Les malheureux, il fallait comprendre leurs coutumes, dont l’habitude d’incendier les maisons à leur départ. Résultat l’anarchie grandit et l’afflux des migrants, loin de cesser, croît. Bien que l’on ait réparti des milliers de beaux Noirs censément réfugiés de la guerre en Syrie dans les campagnes françaises, quatre cent migrants (officiellement) sont revenu hanter les abords de Calais. Et cela se traduit par des troubles insignes à l’ordre public (couper un autoroute n’est pas un délit banal ni bénin) et un mort. Un, pour l’instant. La réalité n’est pourtant pas compliquée : ce qu’on nomme la crise des migrants est une invasion, et il n’y a pas d’invasion, même si on la dit pacifique, sans violence ni modification profonde du biotope de l’envahi.
 

Anne Hidalgo face au déni de la réalité

 
Mais dans une société régie par le virtuel, la réalité est moins forte que l’idéologie : malgré le mort de Calais, Anne Hidalgo vient de réclamer pour Paris dont elle est le maire plus de lieux d’accueil pour les migrants. Avec un argument massue, qui en appelle à la fois au bon sens et à la dignité : si rien n’est fait, « plusieurs milliers » de migrants vont camper dans les rues de Paris cet été, et seraient ainsi contraints « de vivre dans des conditions indignes ». Pourquoi ? Parce que le nombre d’arrivées à Paris est « en augmentation nette depuis le début du printemps (…) plus particulièrement depuis deux semaines ». En particulier le nombre de jeunes migrants qui se disent mineurs « a doublé en un an ».
 
Or la situation est déjà terrible selon Mme Hidalgo : un camp de « un millier de migrants » s’est reconstitué dans le nord de Paris depuis les dernières ouvertures de centres d’accueil, il subit des « tensions à l’entrée » et des rixes s’y « multiplient ».
 

Macron va-t-il sauver l’environnement des Parisiens ?

 
L’aveu est terrible. Les migrants constituent un danger, pour eux et pour la population. Pire, l’ouverture de centres d’accueil, dont Anne Hidalgo est un partisan déclaré, n’a en rien résolu le problème, puisque d’une part, dès maintenant, des campement insalubres se sont reconstitués (Anne Hidalgo en relève un mais on pourrait lui en montrer vingt), et que d’autre part l’afflux continue et s’aggrave même. On ne saurait mieux constater l’échec total de la politique suivie par Anne Hidalgo et ses semblables : mais l’idéologie est la plus forte. Du temps de l’URSS, devant la marasme de la société, on réclamait toujours plus de communisme. L’immigrationnisme fait de même. Avec grandiloquence. Anne Hidalgo rappelle son « engagement à s’impliquer résolument dans les initiatives nationales » et préconise « une politique européenne ambitieuse en matière d’asile ». Donc, toujours plus de migrants sans contrôle. Alors que les rues de Paris sont envahies, en dépit des milliards dépensés et des centres d’accueil, par des migrants non identifiés, leurs gourbis, leurs hardes, leurs détritus, leurs déjections, ruinant le tourisme et la santé publique – la gale et les punaises reviennent. Tout frais émoulu président, Macron a, dit-on, le souci de l’image de Paris et de la France. S’il veut œuvrer pour l’environnement…

Pauline Mille

http://reinformation.tv/macron-face-migrants-ideologie-hi...

 

Source : leblogalupus