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vendredi, 16 juin 2017

La nation en arme !!

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

Allemagne : Les affiches de l’AFD

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

Publié le par

Maj : traduction rapide ( merci aux Brigandes et à Rodgers pour la réponse en commentaires)

1 : Les seins en l’air à la plage au lieu d’une Burka! chez nous également pendant le Ramadan

2 : Burkas? Nous nous craquons pour les bikinis!

3 :  Nouveaux allemands, nous les faisons nous mêmes

4 : Burqa ? Nous préférons le Bourgogne.

5: L’islam ne colle pas à notre cuisine.

 

Source : eurocalifat

« Climatocratie L’arnaque du climat tramée à Paris percée à jour – une bonne chose ».

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

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Climatocratie

L'arnaque du climat tramée à Paris percée à jour – une bonne chose.

De Roger Köppel, Editorial, 8 juin 2017

Les Mayas, un peuple indien d'Amérique centrale, disparu au début des temps modernes à cause de la sécheresse persistante due à l'élévation de la température, ont vénéré le dieu Soleil avec assiduité et une grande rigueur. Je ne sais pas comment les Mayas appelaient leur divinité, mais ils lui sacrifièrent des animaux et des humains vivants parce que leurs sorciers leur racontaient que c'était le seul moyen d'apaiser la colère du soleil.

Les pauvres Maya ne savaient pas si leurs sacrifices plairaient à leur dieu, mais ils les pratiquèrent et l'honorèrent jusqu'à leur disparition. Il aurait probablement été plus intelligent d'investir leurs ressources dans une réforme de leurs méthodes de cultures.

Nous voici de retour aujourd'hui à une situation similaire. Le soleil est devenu mauvais et réchauffe l'atmosphère.

Les hommes interrogent leurs sorciers qui leur recommandent, menaçants, de nouveaux sacrifices. Cette fois-ci, pas de sacrifices humains ou d'animaux, mais de l'argent et de la prospérité. Mortification et renoncement s'imposent. Les contemporains ne savent pas non plus si leurs offrandes plairont aux dieux du soleil, mais confiants en leurs sorciers, ils espèrent qu'elles finiront tôt ou tard par porter leurs fruits, dans cent ans peut-être.

La politique climatique, c'est du vaudou, de la religion solaire, de la pensée magique, une sorte de commerce des indulgences qui permet à plus d'un d'en tirer profit. Croire que l'humanité puisse contrôler la température moyenne de la planète par une action concertée au cours de congrès et de conférences est si fou que cela en devient presque fascinant. Ces mêmes personnes, qui tentent en vain depuis des décennies de juguler la dette publique, sont légion devant les micros quand ils ont la possibilité de raconter aux gens à l'extérieur comment limiter la présumée hausse mondiale de la température avec leurs concepts. Ils ont enfin une frontière qu'ils sont capables de contrôler.

L'accord sur le climat de Paris, pour autant que je puisse en saisir la portée, est une arnaque. Il a été «vendu» par ses initiateurs comme l'ultime tentative pour sauver la planète. Ce qui serait décidé à Paris aurait une importance capitale pour l'humanité, exultaient les journaux. Ce serait un acte politique majeur: l'ébauche de la solution d'un problème central, auquel chaque citoyen de cette planète aurait un intérêt tout particulier. Et où est l'arnaque? Elle réside dans le fait que les promoteurs de «Paris» ont bricolé leur accord de manière à interdire à tout jamais tout vote à son propos dans un pays. Le salut de l'humanité serait décidé en se passant de son avis.

Bien entendu, il y avait des excuses. On disait que l'accord ne serait pas passé s'il avait été libellé comme un traité officiel accompagné de sanctions. Toutes les mesures seraient volontaires, faute de quoi il aurait fallu présenter l'accord aux parlements. Il valait mieux l'éviter. Les sauveurs du climat autour du président américain Barack Obama ont trouvé le climat trop important pour le laisser entre les mains de la démocratie.

Pourquoi donc? Si le contrôle du climat était si important, il magnétiserait politiquement les foules. Pourquoi soustraire à l'opinion ce qui doit de toute urgence intéresser les gens et, si c'est exact, qui les intéressera? Ce comportement étrange n'autorise que deux interprétations. Soit ces personnalités politiques ne croient pas à leur politique climatique, soit ce ne sont pas des démocrates, mais des dictateurs, plus précisément des climatocrates qui veulent imposer d'en haut aux citoyens, sans les consulter démocratiquement, leurs vues comme jadis les communistes ou d'autres tenants de systèmes totalitaires. Les deux théories sont probablement justes.

On entend maintenant souvent dire que l'accord sur le climat de Paris était anodin puisqu'il ne liait pas ses signataires, qu'il avait plutôt un caractère symbolique et qu'il fallait plus voir en lui un signal qu'une politique concrète. Ajouter foi à ces arguments, c’est se faire piéger par les climatocrates. Cet accord est dangereux parce qu'il est quelque part en suspens dans un vide démocratique entre responsabilité morale et juridique, au-dessus de l'État de droit. C'est un non-traité, qui veut faire passer en force des changements de comportement et des mesures politiques, mais, bien sûr, sans que les citoyens aient leur mot à dire.

Et pas si anodin que cela. En Suisse, par exemple, l'accord «non contraignant» sur le climat de Paris sert déjà fort bien à justifier de façon très contraignante une stratégie énergétique qui coûtera jusqu'en 2050 quelque 200 milliards de francs suisses et bouleversera l'approvisionnement énergétique – en intervenant massivement sur la vie privée. Les sauveurs du climat contournent ainsi la démocratie: ils créent durant leurs conférences internationales un pseudo-droit qu'ils utilisent à la maison comme moyen de pression pour faire passer les lois souhaitées.

Le retrait de Trump de ce non-traité, qui de fait en est un, est un acte d'honnêteté. La montée de la haine mondiale à laquelle il est depuis lors confronté ne fait que prouver à quel point la religion climatique anti-démocratique s'est répandue dans les rédactions et les partis. De puissants groupes d'intérêt craignent déjà pour leur argent et leur influence que leur apportera l'accord sur le climat, il est vrai, tellement non contraignant.

Le comble de l'hypocrisie consiste maintenant à reprocher à Trump d'en être sorti, alors qu'un non-respect tacite de l'accord eût été possible et aurait suffi. Toute la malhonnêteté de cette arnaque du climat tramée à Paris est percée à jour avec de tels conseils: l'enjeu n'est pas le climat, mais le maintien de la façade d'une communauté mondiale d'idées qui remplit ses propres poches et celles de ses bénéficiaires dans le monde des affaires, de la recherche et de la société. Les masques tombent. L'arnaque est dévoilée. En Suisse, la présidente de la Confédération, Doris Leuthard, constitue la figure de proue rayonnante de cette douteuse climatocratie, ennemie de la démocratie et de la prospérité, sous les applaudissements intarissables des médias.

Je ne suis certainement pas contre la protection de l'environnement et les énergies propres, mais je suis contre le fait d'organiser une sorte d'environnementalisme dans notre dos avec des accords mensongers «non contraignants» qui finissent par établir un système de prébendes, de réglementations et de privilèges que les gens doivent payer sans jamais avoir été amenés à donner leur avis. Grâce à Trump, tout le monde finit par en parler. Une bonne chose.

Lien vers l'article  et la Weltwoche, ici

 

Source : lesobservateurs

FN : PLUS DUR SERA LA CHUTE

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

vendredi 16 juin 2017, par Pierre Picace

Quel avenir pour le Front national, Marine Le Pen et Florian Philippot après la désastreuse séquence des présidentielles et des législatives 2017 ?

Pour en débattre, Carl Lang, Président du Parti de la France participait à l’émission « Ça vous regarde » sur la chaîne parlementaire (LCP) en compagnie de François d’Orcival de Valeurs Actuelles, de Jérôme Fourquet de l’Ifop et Marie Labat, co-auteur du livre « Philippot 1er » et journaliste sur LCP.

 
 
Source : national-hebdo
 

Pourquoi de Gaulle est parti à Londres…

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

Publié le 15 juin 2017 - par

Le 16 juin 1940, le général « à titre temporaire » Charles de Gaulle, sous-secrétaire d’État à la Défense du gouvernement Paul Reynaud, revient de Londres, où il avait été envoyé en mission.

Il rejoint aussitôt Bordeaux, où s’est replié le gouvernement de la France.

Paul Reynaud vient de démissionner et Philippe Pétain est appelé pour le remplacer et former un nouveau gouvernement.

De Gaulle espère un ministère bien plus important qu’un sous-secrétariat d’État à la Défense dans ce nouveau gouvernement, proposé par le Maréchal Pétain.

Énormément déçu de ne pas être nommé, de Gaulle profite de l’avion envoyé de Londres pour transporter soit Paul Reynaud, soit Georges Mandel, pour s’enfuir, en compagnie de son aide de camp Geoffroy Chodron de Courcel.

Il déclare au général Edward Louis Spears : « C’est bon, ils ne veulent pas de moi ! Dans ces conditions je fous le camp à Londres. »

Considéré comme déserteur devant l’ennemi (il est important de signaler que ce 16 juin 1940 l’armistice n’est pas encore signé, que donc la France est toujours en guerre et que la fuite de de Gaulle est une désertion face à l’ennemi en temps de guerre, acte pour lequel des dizaines de soldats ont été fusillés), le gouvernement français lui ordonne de revenir immédiatement en France.

De Gaulle répond au général Weygand, chef des armées, le 20 juin 1940 : « Mon général, j’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune résolution que de servir en combattant » (Mémoires de guerre – 1954).

Depuis 1958 cette lettre a été supprimée, occultée, par tous les historiens officiels du gaullisme qui nous livrent donc une histoire de France revue et corrigée.

Si de Gaulle avait pu se procurer un moyen de transport, que les autorités britanniques lui ont refusé, il aurait rejoint Bordeaux.

Il s’agit là d’un point très important car si de Gaulle s’était vu confier un poste ministériel il serait resté à Bordeaux et aurait fait partie du premier gouvernement formé par le Maréchal Pétain.

Quelle aurait été sa véritable conduite dans la suite des évènements ? Cela nous ne le saurons jamais !

Ce que l’on sait en revanche : en 1967, de Gaulle se confie à Roger Stéphane, au sujet de son départ le 16 juin 1940 : « Et pourquoi ne pas l’avouer, il y avait l’ambition, j’étais un ambitieux politique et il y a eu rencontre de la circonstance et de l’ambition. »

Cette ambition politique, avouée par lui, l’aura conduit tout au long de sa carrière politique jusqu’au reniement de sa parole, jusqu’à la trahison et même jusqu’aux crimes contre l’humanité.

Manuel Gomez

(Davantage de preuves dans mon livre J’accuse De Gaulle – Edition 2016)

 

Source : ripostelaique