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mercredi, 03 janvier 2018

2018 : année de la racaille ?

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 02 janvier 2018. 

Nos édiles nous avaient donné la permission de décompresser en ce 31 décembre 2017. La Saint-sylvestre devait être festive. Les gogos d’Ile-de-France se sont précipités sur les Champs-Elysées pour assister à un feu d’artifice de trois minutes. D’autres ont préféré rester s’amuser chez eux alors que d’autres encore ont voulu se divertir chez les seconds sans avoir été invités. Bilan : deux policiers lynchés à Champigny-sur-Marne et la confirmation pour tous les délinquants que la chasse au flic est bien ouverte.  

Ce sera donc l’image de cette Saint-Sylvestre 2017. Deux policiers lynchés par une bande de jeunes dans les rues de Champigny-sur-Marne. Deux représentants de l’ordre qui ont frôlé la mort et qui n’auront droit qu’à des paroles mielleuses en guise de réconfort. Les images sont particulièrement choquantes et ont été mises sur les réseaux sociaux par ces mêmes jeunes qui s’amusent avec la vie de deux êtres humains. Une vidéo symbole d’une société dans laquelle les forces de l’ordre sont la cible de délinquants qui pullulent et qui restent encore et toujours en liberté malgré leur casier judiciaire aussi long qu’un annuaire téléphonique.

Bagatelles pour un massacre

Deux policiers qui auraient été massacrés s’ils n’avaient pas été sauvés par leurs collègues obligés d’employer la manière forte. Et encore, aucune arme à feu n’a été utilisée par les deux victimes ou par leurs collègues dans ce qui ressemblait pourtant fortement à une mise à mort. A quand la présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre comme l’a demandé Marine Le Pen ? Les policiers devront-ils attendre de se prendre une balle avant de pouvoir utiliser leur arme à feu ? Un lynchage comme celui de Champigny-sur-Marne a le même résultat qu’une dose de plomb. Mais pour les politiques, il reste primordial de se voiler la face.

Les réactions rapides de Macron et de Collomb sur Twitter ne sont utiles que pour donner le signal qu’ils veillent et compatissent. Pour ce qui est de prendre les décisions qui s’imposent, il n’y a plus personne. Qu’attendre d’un président qui se fout de la sécurité des Français et d’un ministre de l’Intérieur qui pleure parce qu’il est pris pour le « facho de service » après avoir murmuré que certains migrants ne pourraient pas rester en France ? La lâcheté à de multiples visages, mais le résultat est toujours le même.

Les forces de l’ordre sont devenues depuis plusieurs années déjà le punching ball de racailles qui font la loi dans un nombre croissant de cités. Plus personne n’ose parler des fameux « territoires perdus de la République », car pour ceux qui ne l’auraient pas compris, tout va bien dans notre bas monde jupitérien. Les lynchages ne sont que de tristes faits divers qui n’ont aucun enracinement avec une quelconque violence endémique qui s’attaque à l’intégrité des personnes et de la nation française.

Le ministère de l’Intérieur a fait savoir que de lourdes sanctions seraient prises contre les agresseurs. Collomb a-t-il pensé duper son monde en se faisant passer pour un petit juge ? Les quelques lyncheurs présumés qui finiront par comparaître devant la Justice auront le droit à des peines avec sursis quand il faudrait de la prison ferme pendant de très longues années. Mais la Justice a déjà montré que la vie d’un flic n’a pas beaucoup de prix. La vie d’un citoyen français lambda non plus. Les racailles savent que les tentatives de meurtre ne sont pas disqualifiantes pour qui souhaite humer l’air librement. A tel point que le lendemain, un autre policier a été attaqué par plusieurs jeunes à Aulnay-sous-Bois. L’année ne fait que commencer et les Français (en uniforme ou non) sont prévenus : la loi du plus fort règne et avec un Etat aussi faible, ce sont les racailles qui dictent les règles.

 

Source : 24heuresactu

mardi, 02 janvier 2018

Ces interdits qui nous pourrissent la vie

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2018

Rédigé par Philippe Kottela 

- L’année 2017 a été celle des polémiques.
- Beaucoup relèvent du faux débat incarné notamment par l’effet du buzz des réseaux sociaux. 
- Florilège de ces interdits, en passant par la dictature de la bouffe, l’écologie à outrance aux pseudo-harceleurs.

La dictature de la bouffe
Noël, son sapin, ses cadeaux... Nouvel An, son champagne, ses cotillons... et leurs grandes tablées! Comme une sorte de remake chaque année. Sauf que le menu devient toujours plus difficile à élaborer. Entre la frangine devenue végétarienne, le cousin végan ou la belle-sœur au régime sans gluten , sans parler de son fils végétalien, difficile de s’avouer simplement «normal», aimant la bonne bouffe. Celle, entre autres, que faisaient nos grands-mères qui osaient, lors d’un repas, aligner un bon foie gras, aussitôt suivi d’une entrecôte, avant de passer à un gargantuesque plateau de fromages.
Sujet sensible!  Les habitudes alimentaires changent et les convictions en la matière évoluent. En toute logique, chacun devrait respecter le choix de l’autre. Mais c’est loin d’être le cas! La cuisine vit à l’heure des diktats. Que la souffrance animale, au même titre que la valorisation des produits locaux ou la dégradation de l’environnement, soient sujets de discussion, c’est bien. Qu’une caste d’ayatollahs bien pensants veuille nous imposer quoi et comment manger, en est une autre. Et là on dit stop!

L’intégrisme vert
Vous ne le saviez pas. Mais vivre pollue. Alors cessons de vivre. Prendre une douche gaspille de l’eau, voyager plombe votre empreinte carbone, avoir des enfants alourdit la facture écologique, utiliser du papier toilette même recyclé nuit à la forêt, absorber et excréter des médicaments pollue les eaux usées, cuisiner sans mettre de couvercle gaspille de l’énergie… Et la liste est interminable. A coup d’injonctions culpabilisantes martelées ad nauseam, les intégristes verts engagés parfois même dans une invraisemblable démarche malthusienne, nous façonnent un quotidien fait d’interdits et d’obligations. Résultat: le pauvre quidam, épuisé de se penser à tout prix et à tout moment comme un consommateur responsable, ne sait plus à quel saint se vouer, ni quel comportement adopter, au point pour finir, de tout envoyer au diable. Vivre pollue. Alors cessons de vivre.

Le culte de la perfection
Etre une maman ou un papa exemplaire, être irréprochable au boulot, se transformer en pro de la cuisine et, bien sûr, afficher un corps irréprochable, et être... tendance! Télévision, publicité, magazines et internet ne cessent de nous fragiliser pour nous démontrer que nous ne sommes pas «assez bien». Ils prônent le culte de la perfection. Même si elle doit se faire à coup de régime restrictif et de bistouri: ici un nez refait, là une cure de Botox, ailleurs un régime sans fin: partout les femmes – et beaucoup d’hommes aussi –demeurent soumises à cette implacable loi de la fausse beauté. Partout les canons établis les poussent à se mutiler, à endurer des privations, à mettre leur vie en danger, répondant aux injonctions d’ayatollahs qui, au final, s’en mettent plein les poches! Et là aussi, on dit stop! Et si 2018 nous apprenait à nous accepter imparfaits. Souvenons-nous que c’est la vie qui nous a façonnés et qu’au final, c’est le chemin, ou notre parcours, plus que la destination ou le résultat, qui a toute son importance.

Le prince charmant, un vil harceleur… 
Si le harcèlement sexuel est un vrai problème de société, on peut se demander si on n’en fait pas un peu trop. Des harceleurs et même des prédateurs, il y en a sans aucun doute, et probablement beaucoup trop. Et ils doivent être sanctionnés. Mais de là à en voir partout, à analyser les rapports hommes-femmes uniquement sous ce prisme, il y a un pas que certains (certaines ?) franchissent allègrement. Un exemple parmi d’autres: selon certaines féministes ayatollah, notre bon vieux prince charmant serait un harceleur, le «chaste» baiser qu’il a donné à la Belle au bois dormant n’étant pas consenti, celle-ci étant évidemment… endormie. Le célèbre psychanalyste spécialiste des contes de fée Bruno Bettelheim doit s’en retourner dans sa tombe. En attendant, messieurs oubliez votre mauvaise habitude d’embrasser votre moitié endormie avant de sortir de la maison. Un procès vous attend peut-être.

Tous racistes!
N’ayez aucun doute. Vous êtes raciste! A l’insu de votre plein gré et même si vous n’en êtes pas conscient. Surtout si vous n’en êtes pas conscient. Le pauvre joueur de foot français Antoine Griezmann vient d’en faire les frais, lui qui a eu la mauvaise idée de se grimer en joueur de basket et pour cela de se… noircir la face. Polémique, plates excuses et terrible sentiment de vivre dans un monde aseptisé où on ne peut plus rien dire, plus rien penser. En ce début de XXIe siècle, les sketches de Coluche, Michel Leeb, les saillies de Pierre Desproges, le film Rabbi Jacob etc, n’auraient jamais pu voir le jour sans être immédiatement suivis d’un lynchage en règle de la part des ayatollahs de la bien-pensance qui, bien souvent, oublient de balayer devant leur propre porte. 
Dans une société où le bon sens et l’humour ont dramatiquement disparu, le politiquement correct à l’anglo-saxonne n’aboutit qu’à entretenir le racisme. Le vrai.

 

Source : ghi.ch

Trappes (78) : l’arabe enseigné dès la 5e dans les trois collèges de la ville, une « section orientale » pourrait bientôt ouvrir au lycée

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2018

Par  le 01/01/2018

Depuis cette année, l’arabe est enseigné en langue vivante 2 à partir de la 5e dans les trois collèges de Trappes. Une trentaine d’élèves ont choisi de suivre les cours.

C’était la fête de la langue arabe jeudi dernier au collège Gustave-Courbet de Trappes. Atelier de calligraphie, buffet de plats orientaux… A l’occasion de la journée mondiale de la langue arabe, il s’agissait de célébrer l’arrivée de l’arabe en langue vivante 2 dans les trois collèges de la ville, Gustave-Courbet, Youri-Gagarine et Le Village.

Depuis le début de l’année scolaire, ce sont ainsi une trentaine d’élèves de 5e qui apprennent les bases de cette langue à raison de 3h par semaine.

Roumaïssa, 12 ans, en 5e à Courbet, a choisi l’arabe « pour pouvoir m’en servir avec ma mère dans la vie de tous les jours, raconte la jeune fille, originaire d’Algérie et du Maroc. Je vais pouvoir comprendre les conversations. »

Dans cette dynamique, une section orientale pourrait ouvrir au lycée de la Plaine-de-Neauphle dans les années à venir.

 

Actu.fr via fdesouche

Le Danemark quitte l’agence des Nations Unies pour les réfugiés – l’accueil des migrants est complètement stoppé

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2018

Par  le 02/01/2018

Le Danemark n’accepte plus les réfugiés et les migrants: le pays s’est désengagé du système de quotas de l’organisation des Nations Unies pour les réfugiés – avec laquelle plus de 30 pays dans le monde ont pris des personnes dans les zones de crise, rapporte le «taz» .
Par conséquent, le gouvernement danois justifie la mesure en disant que le pays a besoin d’un « espace de respiration ». Il n’y a plus de possibilité d’accueillir 500 réfugiés de quota chaque année – Copenhague s’est engagée envers l’organisation des réfugiés des Nations Unies.
En 2017, environ 2 800 migrants avaient demandé l’asile au Danemark.
Comme le rapporte le journal, depuis 1978, le Danemark participe au programme de réinstallation de l’ONU. Les réfugiés et les migrants doivent donc être transférés des pays de réfugiés les plus proches des régions en crise vers des pays tiers.
Le parlement danois a maintenant adopté une loi pour ne plus avoir à accepter de réfugiés. En plus de la coalition droite-libérale-conservatrice et du parti populaire danois, les sociaux-démocrates ont rejoint la décision. Selon « taz » ils étaient le seul des partis d’opposition de gauche.
La gauche critique vivement la décision: « Le monde a besoin de plus de coopération internationale et rien de moins », a déclaré Sofie Carsten Nielsen, porte-parole des affaires étrangères des libéraux de gauche danois sur le « taz ». « Si tous les pays se comportent comme nous, nous pourrions oublier les accords internationaux ».
Amnesty International critique également les actions du gouvernement danois. L’organisation des droits de l’homme accuse Copenhague de « l’échec historique ».

 

Epoch Times via fdesouche

Par solidarité avec leurs collègues de Champigny, les policiers se rassemblent à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2018

 

A l'appel du syndicat de police Alliance, avec le soutien des syndicats Unsa, Unité et SPIP, une centaine de fonctionnaires de la police nationale se sont réunis ce mardi après-midi devant l'Hôtel de police de Toulouse. Un rassemblement pour soutenir leurs deux collègues très violemment agressés le soir du 31 décembre à Champigny-sur-Marne, en région parisienne.
"Une agression lâche", dénoncent les policiers qui se sont réunis sans banderoles, ni prise de parole. Un seul mot d'ordre dans les rangs des policiers : "Il faut des sanctions exemplaires contre les auteurs de cette agression !"
Des policiers fatigués d'être de plus en plus souvent pris pour cible et qui comprennent de plus en plus mal l'attitude des hommes politiques, "quelle que soit leur étiquette". "Quand nos collègues de Viry-Chatillon ont été agressés au cocktail Molotov, tout le monde s'est indigné mais qu'est-ce qui a vraiment changé ? Rien. 15 mois plus tard, ça recommence et les mêmes voix s'indignent... Même chez nous, quelque part, on banalise ces agressions". Une de plus, reproche un policier de terrain. "Tant que ces voyous n'auront pas peur de s'attaquer aux policiers ou aux gendarmes, rien ne changera. Il ne faut pas demander des sanctions exemplaires comme l'ont fait le Président ou le ministre de l'Intérieur. Il faut les appliquer !"