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mercredi, 14 février 2018

Turquie : les Européens se couvrent (encore) de honte !

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2018

Rédigé par notre équipe le 13 février 2018.

Depuis l’apparition bien étrange de Daech en Syrie et en Irak, les Européens se sont signalés par une ferme volonté d’aller d’erreur en erreur. Les djihadistes ont longtemps prospéré, les flux venant d’Europe jamais coupés, et l’attitude de la Turquie jamais remise en question. Les armes ont afflué en masse et ce sont les Kurdes – alliés d’hier – qui font aujourd’hui les frais d’une lâcheté européenne qui atteint de nouveaux sommets.

Les trahisons font de belles histoires pour le cinéma, mais il n’est pas certain qu’il restera un Kurde pour regarder le film de la lâcheté occidentale. Après avoir combattu les djihadistes venus des quatre coins du monde, les Kurdes font face à une attaque de grande ampleur dans le nord-ouest de la Syrie. Une attaque venue de Turquie, la soi-disante démocratie qui devait faire le pont entre une Europe endormie et un Moyen-Orient en plein essor. Le conte de fée était beau, mais a bien vite brûlé dans les flammes des bombes et des obus lancés contre les hérauts de la lutte anti-Bachar el-Asad.

Les Kurdes : dindons de la farce turque

Revenons au début de l’histoire. En 2011, les Syriens sont censés faire une révolution pacifique vite réprimée dans le sang par l’armée syrienne. De ce carnage serait né un groupe de djihadistes puissamment armés, entraînés, financés et qui se multiplient à volonté. L’affaire n’a jamais été syrniano-syrienne, mais il est encore de bon ton de le prétendre. Seuls ceux qui regardent le service public n’ont pas encore compris que les djihadistes étaient une création occidentale qui avait pour but de mettre au pas un régime syrien pas assez coopératif et d’aider par la même occasion à la propagation de l’islamisme. Malgré les milliards dépensés et les atrocités commises, la première mission est un échec. Pour ce qui est de la seconde…

Le régime syrien est toujours debout et c’est désormais la Turquie qui est la plus active. Après avoir laissé passer tous les apprentis terroristes venus de France et d’ailleurs, Ankara mobilise son armée contre les forces kurdes qui se sont battues contre les djihadistes et contre le régime syrien. Alliés des Kurdes, les Etats-Unis et les pays européens ne trouvent pas grand-chose à dire lorsqu’ils voient leur autre allié turc les détruire. Car après l’échec djihadiste, la Turquie a peur de combattants kurdes qui ont des envies d’autonomie. Une autonomie ou indépendance qui verrait de nouvelles frontières se tracer aux dépens de la Turquie…

Il faut donc réduire en cendre les Kurdes et la mission sera accomplie d’ici à quelques semaines tant toutes les chancelleries font semblant de croire qu’il s’agit d’une opération limitée dont l’objectif est de sécuriser la frontière. Macron, toujours désireux de faire parler de lui sur la scène internationale a sorti les trompettes et déclaré qu’il verrait d’un mauvais œil une opération kurde de grande ampleur. Du bluff jupitérien car moins de 48 heures plus tard il affirmait être rassuré par les intentions de son ami Erdogan.

La Turquie a les mains libres et les Kurdes rejoignent la longue cohorte des peuples qui ont cru pouvoir se prévaloir du soutien des Européens. Au grand jeu de la géopolitique, la force et la volonté sont deux éléments fondamentaux. L’Europe est un nain divisé qui voit à très court terme et qui a perdu toute volonté. La France – à l’image des élites bruxelloises – n’a aucune volonté de s’ériger contre une puissance même moyenne qu’est la Turquie. Un pays où l’armée est purgée, la population très divisée et les idées au pouvoir bien proches de l’islamisme radical. Mais non, l’Europe et la France ne sont plus que des momies qui continuent même de laisser la porte ouverte à des négociations en vue d’intégrer ce pays au merveilleux monde européen… Les chercheurs d’espoir feraient bien de quitter ce Continent voué à la disparition. Les Kurdes, eux, n’ont plus qu’à se battre pour éviter une annihilation complète.

 

Source :24heuresactu

Seine-Saint-Denis : une policière islamiste radicalisée et un militaire écroués pour vols d’armes

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2018

Par  le 13/02/2018

 
 
Une adjointe de sécurité serait impliquée dans la disparition de deux armes de service, à la direction territoriale de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Affaire dans laquelle un militaire a aussi été incarcéré.

C’est une affaire dont l’institution policière se serait volontiers passée. Deux armes de service, des pistolets automatiques Sig Sauer, calibre 9 mm, ont été dérobées au sein de la direction territoriale de Seine-Saint-Denis, et c’est une fonctionnaire qui est dans le collimateur. Cette jeune adjointe de sécurité (ADS) de 20 ans vient d’être suspendue. Elle est mise en examen et placée en détention provisoire depuis vendredi, ainsi que trois autres complices présumés, âgés de 19 à 29 ans, dont un est militaire.

Les soupçons s’étaient rapidement portés sur la jeune femme, en poste à l’accueil au siège départemental de la police à Bobigny. Pour entrer dans l’enceinte grillagée et barriérée, il faut montrer patte blanche. Or, le soir du vol, le 25 août 2017, la fonctionnaire, en poste dans la cabine d’entrée, s’était fait remarquer par une absence momentanée. « Elle avait dit devoir retrouver un ami qui lui apportait un panier-repas », indique une source proche de l’affaire. Toujours selon cette source, la jeune fonctionnaire était précédée par une « réputation quelque peu sulfureuse ». Le comportement de la jeune femme, avant les faits, avait déjà été jugé douteux par des collègues, qui la soupçonnaient de radicalisation.

Six personnes arrêtées la semaine dernière

Un rapprochement a été fait entre ce vol et la blessure par balle d’un militaire deux mois et demi plus tard dans le département voisin de la Seine-et-Marne. Ce dernier avait été hospitalisé pour une blessure à la jambe le 12 novembre. Du 9 mm. Il avait prétendu s’être fait tirer dessus « par un homme encagoulé », alors qu’il faisait un footing dans la forêt à Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne). Mais l’hypothèse d’un tireur solitaire a fait long feu. De victime, le militaire a acquis le statut de suspect, lorsqu’il a été découvert que parmi ses visiteurs à l’hôpital certains étaient des connaissances communes avec la jeune ADS, elle aussi originaire de Seine-et-Marne. (…)

 

JEUDI PROCHAIN, 15 FÉVRIER, CARL LANG INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2018

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Danemark : les limites de vitesse passent de 80 à 90 km/h, la mortalité baisse de 13% et seulement 10 radars dans tout le pays

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2018

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 Source Réalités routières cliquez ici

Pendant que la France expérimentait la baisse de la vitesse autorisée sur les routes du réseau secondaire, le Danemark testait la hausse ! Résultat ? L’accidentalité a baissé de 11 % et la mortalité de 13 % sur deux ans, selon l’association « 40 millions d’automobilistes ».

Ne pas dépasser le 80 km/h sur les routes du réseau secondaire français ? Une mesure déjà décriée qui devrait être annoncée par le gouvernement à la mi-janvier.

Parmi les partisans du « non », l’association « 40 millions d’automobilistes », qui a décidé de démontrer l’inefficacité du procédé via l’exemple danois. A l’inverse de ce que s’apprête à faire l’Hexagone, le Danemark est passé de 80 à 90 km/h. Selon l’association, pendant les deux années d’expérimentation, l’accidentalité a baissé de 11 % et la mortalité de 13 %. « Cela a fluidifié le trafic » estime Pierre Chasseray, délégué général.

« Les usagers ne respectaient pas tous la limitation de 80 km/h. Cela menait à des dépassements pouvant conduire à des accidents ». D’après lui, c’est la limitation qui n’était « pas adaptée » aux comportements des usagers.

Quant à l’installation de radars, là encore, les deux pays se situent aux extrêmes l’un de l’autre. « Au Danemark, il n’y a que 10 radars sur tout le territoire. Est-ce que le radar est la seule solution à la sécurité routière ? Non, puisque fondamentalement, là-bas, il n’y en a pas » assure-t-il. « Il faut choisir la voie de la prévention et ne pas miser sur la répression à tout prix ».

 

Source : synthesenationale

mardi, 13 février 2018

Migrants : La route des Balkans à nouveau la porte pour entrer en Europe

Publié par Guy Jovelin le 13 février 2018

ansa,balkans,europe,migrantsSelon la presse croate, reprise par l’Agence de Presse italienne, l’ANSA,  le nombre de migrants qui essayent de rejoindre l’Europe orientale en traversant l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie, la Croatie et la Slovénie serait en augmentation.

Nonobstant le pacte de 6 milliards d’euros entre Bruxelles et Ankara pour contenir le flux de migrants et intégrer 3,7 millions de « réfugiés » syriens en territoire turc, les débarquements sur les côtes de la Grèce continuent.

Syriens, Afghans, Pakistanais, défient les contrôles pour arriver en Europe. Le but de leur voyage est toujours le même, seul l’itinéraire change. Ce n’est plus la vieille route balkanique, inaccessible depuis 2016, mais un nouveau parcours qui de la Grèce passe par l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie, la Croatie et la Slovénie. Un tracé inédit qui cependant, assure le quotidien croate Jutarnji List (La feuille du matin),  serait toujours plus utilisé par les « migrants », y compris ceux de nationalité algérienne et marocaine. Et ce afin d’éviter d’être bloqués en Serbie ou en Macédoine et d’atteindre la Slovénie.

Les quotidiens locaux n’ont pas hésité à la rebaptiser « la nouvelle route balkanique ».

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info