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jeudi, 08 février 2018

Vague de froid : Christian, SDF à Paris, « ne sait pas où dormir ce soir » et « n’attend rien de l’État »

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2018

Par  le 07/02/2018  

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Christian Page, sans-abri à Paris depuis trois ans, s’équipe modestement pour se préparer à dormir dans la rue avec un mercure en négatif, sans rien attendre de l’État. Sommelier il y a cinq ans, Christian Page est devenu SDF à la suite d’ »accidents » de vie : chômage, divorce, expulsion de son logement… Il attend un logement d’urgence depuis trois ans.

« Je sais pas où dormir ce soir ». « Je n’attends rien de l’État, il y a beaucoup de gens qui me dépannent, qui m’aident, avec de la nourriture, de l’argent, des vêtements. Il n’y a rien à leur demander, ces gens réagissent naturellement. » 

 
 

Christian Page vit dans la rue depuis trois ans maintenant et l’arrivée de la nuit la plus froide depuis le début de l’hiver à Paris a naturellement inquiété ce sans-abri, qui ne bénéficie pas de l’hébergement d’urgence. « On ne la voit pas arriver, la nuit la plus froide, même si on s’inquiète de la météo. On ne peut pas savoir quand on va se prendre deux heures de neige sur la gueule« , témoigne Christian Page dans Europe Soir mercredi.

« Il y a des gens faibles, qui meurent de froid« . « Après, on s’y attend donc on se prépare. Il faut s’équiper… Moi j’ai des couvertures, des duvets qui me permettent de tenir à une certaine température, je me démerde pas mal« , ajoute-il. Mais Christian Page rappelle qu’avec un mercure en négatif, les sans-abri les plus fragiles succombent à cette vague de froid exceptionnelle : « Je tente de survivre. Je suis en bonne santé, tout va bien pour moi, il n’y a pas de soucis pour l’instant, mais il y a des gens qui sont faibles et qui meurent de froid dans la rue. » […]

 

Europe 1 via fdesouche

L’ancien directeur de l’Institut d’études démographiques affirme que la France compte un quart d’immigrés et 8,4 millions de « musulmans »

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2018

Auteur : admin4
contre-info.com

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En 2017, François Héran, directeur de l’Institut national d’études démographiques (INED) de 1999 à 2009, estime que le nombre de personnes ayant une « origine musulmane » (sur une ou deux générations) représente un huitième de la population totale. Dans son livre « Avec l’immigration: Mesurer, débattre, agir » paru en 2017, on peut lire à la page 20 :

« Parce qu’un quart de la population est lié à l’immigration sur une ou deux générations, dont une moitié environ, soit le huitième de la population, a une origine musulmane (ce qui ne veut pas dire nécessairement une pratique religieuse). Dès lors qu’on atteint de telles proportions, il devient absurde de soutenir qu’un quart ou même un huitième de la population vivant en France, française dans sa grande majorité, ne serait pas intégré. »

Avec près de 67 millions d’habitants en 2017, un « huitième » d’habitants d’« origine musulmane » représentent donc 8,4 millions de personnes, et les immigrés récents 17 millions. Il faut noter que ce chiffre de François Héran ne considère que l’immigration sur une ou deux générations (ce qui exclue donc l’immigration moins récente), et que la moyenne d’âge de cette catégorie doit être beaucoup plus jeune que la moyenne nationale.

Alors qu’une conspiration du silence est organisée autour des chiffres de l’immigration, ceux de ce chercheur – une référence officielle dans son domaine – confirment l’étude parue dans le numéro 11 de la « revue d’études nationales »L'Héritage

Source :  BA

IL N’Y A PLUS QUE MACRON POUR NE PAS CROIRE À UN KRACH FINANCIER IMMINENT !

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2018

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ROUSSET M 2.JPG

Marc Rousset

Les taux d’intérêt remontent, suite à la prise en compte des risques et à la résurgence des craintes d’inflation. Le Dow Jones a reculé de 2,58 % le vendredi 2 février et la Bourse de Paris est déjà dans le rouge pour l’année 2018, tandis que le bitcoin, autre sinistre présage, poursuit sa descente aux enfers en étant déjà passé de 20.000 dollars, en décembre 2017, à moins de 7.500 dollars.

Bernard Arnault, lors d’une interview toute récente au Figaro, a pu déclarer : « Il n’y a pas eu de crise mondiale depuis plus de dix ans. Cela ne va pas durer. Dans les cinq ans qui viennent, une crise surviendra », tandis que l’économiste Jean-Pierre Robin constate, d’une façon plus précise, que l’économie américaine vit aujourd’hui la troisième reprise la plus longue de son histoire, soit 103 mois – le début remontant à juillet 2009.

Maurice Obstfeld, chef économiste du FMI, a reconnu à Davos que les arbres ne peuvent monter jusqu’au ciel : « Le prochain retournement à la baisse pourrait intervenir plus vite que prévu et s’avérer plus difficile à combattre », tandis que Christine Lagarde lançait un avertissement à l’Europe, et plus particulièrement à la France, « qui n’a pas su réparer son toit quand il faisait beau », suite à la fin du célèbre alignement des planètes. La France aura connu, avec Hollande et son ancien ministre et conseiller économique Macron, un inacceptable déficit budgétaire et commercial, un niveau extravagant de chômage et d’endettement public, des entreprises, des banques et des ménages hyper-endettés.

La BCE n’est pas, non plus, très rassurante. Benoît Cœuré, membre du directoire, vient d’émettre des vœux pessimistes trop tardifs à Ljubljana, en Slovénie, souhaitant accélérer les réformes pour éviter l’éclatement de la zone euro lors de la prochaine crise. Il a confirmé que les taux étaient historiquement bas et que la BCE, depuis 2015, avait déjà acheté plus de 2.300 milliards d’euros d’obligations d’une façon non conventionnelle. Le taux de référence du Bund allemand est passé, en un mois, de 0,40 % à 0,75 %.

Et si l’on se tourne vers les États-Unis, ce n’est pas, non plus, très réconfortant. Le rendement des bons du Trésor américain, qui était proche de 2,4 % en début d’année, s’est envolé à plus de 2,85 %, pour la première fois depuis avril 2014. Alan Greenspan, qui fut président de la Fed de 1987 à 2006, aujourd’hui libre de ses paroles, agite le spectre d’un éclatement de la bulle. Il a estimé, dans un entretien à Bloomberg, qu’il y a deux bulles sur les marchés financiers, « une sur les actions et l’autre sur les obligations ».
 
Il se trouve que, lorsque le même Alan Greenspan avait quitté la présidence du Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale en 2006, on le surnommait « maestro ». L’inflation et le chômage étaient faibles et la croissance honorable. Un an plus tard éclatait la bulle immobilière qui allait précipiter la plus grande crise financière de l’histoire contemporaine car Greenspan avait été trop laxiste en matière de crédit et de taux d’intérêt pas assez élevés.

Bis repetita placent. Les mêmes reproches seront bientôt faits à Janet Yellen, qui a passé le flambeau de la présidence, ce jeudi 1erfévrier, à Jerome Powell. Martin Feldstein, professeur à Harvard, estime que Yellen n’a pas reconnu assez tôt « les risques croissants des excès d’appréciation de certains actifs ». Bref, Wall Street se retrouve exactement dans la même situation qu’en 2000 (bulle Internet) ou 2006 (scandale des subprimes) avec une bulle immobilière, obligataire et des actions.

Lors de la dernière séance de la Fed, Janet Yellen a repassé la patate chaude à Jay Powell en ne remontant pas les taux. Il est probable que ce dernier va augmenter à nouveau les taux directeurs les 20 et 21 mars prochains, avec trois hausses à prévoir en 2018, ce qui pourrait contribuer à faire éclater les bulles.

Les récessions américaines se manifestent, en moyenne, tous les cinq ans. Nombre d’économistes s’attendent à ce que le coup de tabac survienne alors que Jay Powell sera à la barre. Mais, cette fois-ci, ce pourrait être un véritable tsunami à l’échelle mondiale, avec un risque non négligeable d’écroulement total du système économique et monétaire, du capitalisme financier, avec des répercussions inimaginables.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 07 février 2018

France: l'Etat veut former les réfugiés pour mieux les aider à s'intégrer

Publié par Guy Jovelin le 07 février 2018

Par RFI                                                                                

media Vingt-deux réfugiés ont bénéficé du programme Hope en Île-de-France.RFI/David Baché

Intégrer des réfugiés, des migrants qui ont donc obtenu le droit d'asile, en les aidant à apprendre le français et surtout à trouver un travail : c'est l'objectif de l'accord-cadre signé ce mardi 6 février par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, avec la Fédération nationale des travaux publics. L'initiative, baptisée « Hope », a été lancée par la préfecture d'Ile-de-France. Elle concerne essentiellement des réfugiés Afghans, Soudanais et Erythréens, qui ont pu intégrer une formation en alternance.

Il ne se plaint que d'une chose : la neige qui tombe sur son chantier. Pour le reste, Mahamad Alhass Alhassan, réfugié soudanais du Darfour arrivé en France il y a quatre ans, sait qu'il a de la chance. L'année dernière, plus de 100 000 demandes d'asile ont été déposées en France, 43 000 ont été accordées.

Le programme « Hope », dont il est bénéficiaire, ne concerne que 22 réfugiés en Ile-de-France, un millier dans l'Hexagone. Mais il a permis à ce trentenaire, qui avait dû arrêter ses études au lycée à cause d'une guerre qui a décimé sa famille, de suivre des cours de français et une formation de coffreur-brancheur.

« Avant pendant quatre ans, je ne travaillais pas, je ne parlais pas bien français, maintenant je parle un peu français, explique-t-il. Maintenant que j’ai fait la formation, je gagne un peu d’argent. »

L'entreprise qui l'a pris en contrat de professionnalisation, c'est Vinci. « Nous avons accueilli deux réfugiés sur notre chantier, détaille Christophe Moignet, le conducteur des travaux. Il a fallu leur montrer ce qu’on fait et ils ont vite compris donc ça s’est bien passé. Ils se sont bien incorporés dans le groupe et c’est très bien pour nous ». 

A l'issue de leur formation en alternance de 450 heures, les stagiaires seront diplômés. Ils espèrent surtout qu'ils seront embauchés.

 

Source : rfi.fr/france

Scandale : la photo de sa fille handicapée utilisée pour promouvoir l'avortement

Publié par Guy Jovelin le 07 février 2018

DOr22wMU8AAb7vUNatalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett. Extrêmement rare, le syndrome de Rett est une maladie génétique qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères.

Natalie Weaver tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l'avortement. Sur Twitter, elle réagit :

"Cette fois, c'est trop. Cette personne n'a pas le droit d'utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d'aussi horrible".

Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l'ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l'origine du post.

Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l'insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d'être traités comme tous les enfants. Natalie partage d'ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.

 Posté le 6 février 2018 à 20h21 par Michel Janva 

Source : lesalonbeige