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jeudi, 15 février 2018

Rétablissons la PEINE DE MORT pour les tueurs d'enfants

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Maëlys, Fiona, etc. Le Parti de la France a un projet pour les tueurs d'enfants

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Gelos (64) : la tradition d’accueil du sud-ouest profite aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Par  le 14/02/2018 
 
Deux Soudanais et un Afghan en plein cœur du Béarn (Pyrénées-Atlantiques). Arrivés au terme de leur exil, interminable et périlleux, ils ont enfin en poche le statut de réfugiés et un titre de séjour de dix ans. Leur nouvelle famille, ce sont les Machu. Ce couple d’enseignants à la retraite les accompagne depuis maintenant plus d’un an, depuis leur arrivée dans les environs de Pau. Cours de français, aides dans les déplacements, visites de la région : dans toutes leurs démarches, ils sont avec eux.


Elles sont loin, les montagnes d’Afghanistan. Aimal a, lui aussi, un statut de réfugié, et beaucoup de gratitude pour les bénévoles qui ont changé son destin. Ces réfugiés vivent aujourd’hui en colocation dans des appartements de l’agglomération de Pau. Et leurs anges gardiens ne sont jamais loin, comme ces retraités, les Campgrandessus, qui veillent sur des Soudanais et des Afghans. Les aider à poursuivre leurs études, à trouver du travail : c’est la dernière marche avant l’autonomie. Le centre de Béterette, à Gelos, dans la banlieue de Pau : c’est là qu’en octobre 2016 sont arrivés de la jungle de Calais 40 migrants, désormais réfugiés pour la plupart. C’est là aussi que s’est constitué le réseau d’une cinquantaine de bénévoles. Aujourd’hui, le centre est officiellement fermé, mais d’autres migrants se battent à leur tour pour obtenir l’asile en France et les bénévoles sont toujours là, à leurs côtés.

 

Source : fdesouche

L’agonie de l’Italie et le grand remplacement

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

 
POSTÉ LE 13 FÉVRIER , 2018, 11:24
agonie,grand remplacement,italie

On parle peu de l’Italie dans la grande presse française.

On en parle quand des vagues de « migrants » arrivent en Sicile ou sur l’île de Lampedusa.

On en parle quand on évoque Ventimiglia, ville sise sur le bord de la Méditerranée, près de la frontière avec la France, parce que des milliers de « migrants » remontant vers la France s’entassent à Ventimiglia.

On en parle, un peu, lorsque des élections ont lieu.
On en parlera au début du mois de mars, parce que des élections vont avoir lieu.

Le président du Conseil des ministres (c’est ainsi qu’en Italie on appelle le Premier ministre) actuel est un intérimaire de gauche qui a pris ses fonctions fin 2016 après que son prédécesseur, de gauche lui aussi, Matteo Renzi ait perdu un référendum.

Il n’occupera plus son poste fin mars, car la gauche va perdre les élections, qui verront sans doute le retour de Silvio Berlusconi, quatre-vingt-un ans, sous le regard consterné des grands médias.

On parlera donc, alors, du retour de Silvio Berlusconi et, comme pour d’autres politiciens qui déplaisent aux grands médias, on parlera de la grivoiserie du principal intéressé.

On reviendra sur des aspects financiers litigieux le concernant.

On ne parlera pas de la situation réelle de l’Italie.

Il faudrait pourtant en parler. L’Italie est dans une situation économique très difficile, et le clivage entre un Nord développé et un Sud sous-développé reste flagrant.

Mais l’Italie est surtout un pays qui meurt plus vite que d’autres pays d’Europe qui sont eux aussi en train de mourir.

Si, en France, les taux de natalité donnent une validité certaine aux analyses du grand remplacement énoncées par Renaud Camus et évoquées souvent par Éric Zemmour, en Italie la situation est plus catastrophique encore : le taux de natalité général est en effet très bas : 1,3 enfant par femme, ce qui est tellement en dessous du seuil de renouvellement des générations qu’on peut parler d’une forme de suicide collectif qui ne dit pas son nom.

Tôt ou tard, vingt personnes seront remplacées par treize personnes, puis ces treize, sauf inversion radicale des chiffres, seront remplacées par six ou sept personnes.

Les taux de natalité prenant en compte, d’un côté, les Italiens de souche et, d’un autre côté, les immigrants permettent de tracer un tableau plus sombre encore : ils sont officiellement de 2 enfants par femme pour les immigrants (et ce chiffre me semble très bas, et devrait être vérifié de près) et de 0,9 pour les Italiens de souche.

Le grand remplacement sera beaucoup plus rapide pour l’Italie que pour la France, et devrait être cataclysmique, dès lors que le capital humain des immigrants est bien plus bas que celui des Italiens de souche.

Les vagues de « migrants » qui arrivent depuis la chute du régime Kadhafi en Libye ne font que rendre une situation effroyable plus effroyable encore.

Des villages du Sud de l’Italie sont submergés par des hordes de gens totalement étrangers aux coutumes occidentales, et au comportement de prédateurs.

Ce qui se passe dans les villages du Sud se retrouve peu à peu ailleurs dans le pays.

Des violences parfois atroces sont commises.

Des actes de réponse aux violences peuvent résulter.

C’est ce qui s’est passé, il y a quelques jours, à Macerata, une petite ville autrefois paisible de la côte Adriatique.

Une jeune fille de dix-huit ans a été assassinée éviscérée, démembrée, découpée en morceaux.

Son assassin a été retrouvé. C’est un migrant venu du Nigeria. Les couteaux qui ont servi à l’éviscération, au démembrement et au découpage du corps ont été retrouvés dans le lieu où il dormait.

Cela aurait pu être un meurtre de plus, l’un de ceux dont les médias ne parlent pas.

Un jeune homme de vingt-huit ans a réagi avec colère.

Il a pris un revolver qui était en sa possession, et il est parti en voiture, pour tirer sur des migrants. Il en a blessé plusieurs sans en tuer aucun.

Il a été arrêté et a crié « l’Italie aux Italiens ». Il a été aussitôt présenté comme un abject criminel et un fasciste.
Nul ou presque n’a évoqué la jeune fille assassinée et l’assassin de la jeune fille.

Il risque fort, hélas, d’y avoir d’autres jeunes filles assassinées en Italie, et d’autres jeunes hommes qui réagissent avec colère dans les mois et les années à venir.

 

Source : les4verites

Est-on gouverné par des détraqués (sexuels) ?

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Rédigé par notre équipe le 15 février 2018. 

Les Gouvernements se suivent et se ressemblent. Le péché mignon le plus en vue de l’actuel exécutif semble être les femmes. Des femmes perçues uniquement comme des objets sexuels par certains ministres au comportement douteux. La justice enquête et aucune condamnation n’a (encore ?) eu lieu, mais l’étau se resserre autour du ministre de l’Action et des Comptes publics. Une seconde plainte a été déposée contre Gerald Darmanin pour abus de faiblesse dans une histoire de fesses…

Alors qu’on se moquait gentiment de Gérald Darmanin pour son faible patrimoine après une (plutôt courte) carrière consacrée à la politique, il se pourrait que les raisons de ce choix n’aient rien à voir avec la cupidité. Darmanin a peut-être vu dans la politique un moyen de coucher avec de nombreuses femmes. Il s’agit là d’une hypothèse, laquelle finira par être infirmée ou confirmée selon le résultat des enquêtes et des possibles décisions de justice. Une hypothèse qui colle toutefois aux fais dont est accusé le ministre au physique quelque peu ingrat.

La politique comme outil de dépravation sexuelle et morale ?

Les faits présumés remontent à 2015 et 2016. A cette époque, Darmanin est maire de Tourcoing, encarté à l’UMP. Il se cherche un champion dans sa famille politique (il finira par faire la cour à Macron) et voit dans la prochaine présidentielle le moyen de quitter une ville qui n’a rien de sexy. C’est là que la plaignante, habitante de Tourcoing, raconte avoir fait des demandes pour être relogée, car son habitation était insalubre. Toujours selon, elle cela n’a pas posé de problème pour le maire Darmanin… à condition de bien vouloir passer à la casserole. Le ministre aurait accepté de donner un coup de main contre des faveurs sexuelles.

Une plainte a été déposée lundi pour abus de faiblesse et les enquêteurs se mettent au travail pour identifier laquelle des versions avancées est la vraie. Quoiqu’il en soit, le procédé est le même que pour la première plainte pour viol déposée contre le ministre. Dans cette affaire, Darmanin aurait promis son aide en justice contre des faveurs sexuelles. Espérons pour le ministre que toutes ces plaintes soient infondées car dans le cas contraire, elles feraient du ministre un pervers dangereux pour les femmes. Marlène Schiappa serait ainsi bien inspirée de rester à l’écart et de se taire (pour une fois).

La seule réaction issue du gouvernement – pour le moment – vient d’Edouard Philippe. Le Premier ministre a pour une fois été dans la juste mesure en appelant à respecter « la parole de la plaignante » tout comme « la présomption d’innocence ». Cette position médiatique est-elle pourtant le gage d’une justice indépendante ?

L’enjeu est énorme car si Darmanin ne représente plus que lui-même, sa chute braquerait tous les projecteurs sur un précieux Nicolas Hulot aux comportements tout aussi répréhensibles selon les accusations dont il est l’objet. La perte d’un Hulot serait un rude coup sur le plan politique et confirmerait le sentiment grandissant que ce Gouvernement est rongé par des maux encore pire que la politique qu’il met en place.

 

Source : 24heuresactu

Étude exclusive : Baromètre 2016 de l’octroi de prénoms musulmans en France

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Par  le 14/02/2018 

L’INSEE vient de publier comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.

L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2016 révèle :
• Un taux national dépassant désormais les 20%, soit 1 enfant sur 5,
• Pour rappel, ce taux était de 6,5% il y a 20 ans en 1997,

• Un taux dépassant les 32% en région parisienne, hors Paris intra-muros, soit près d’1 enfant sur 3,
• Seulement 10 départements au-dessus de la moyenne nationale de 20%, mais ces départements sont très fertiles, avec plus de 26% des naissances nationales :
o 6 départements d’Île de France (hors Paris et la Seine et Marne qui sont légèrement en dessous),
o Au Sud de la Loire : les Bouches du Rhône, le Rhône, le Vaucluse et le Gard.
• 28 départements sont en dessous des 5% d’octroi, mais sont peu fertiles, représentant à peine 8% des naissances nationales et voient par ailleurs une baisse sensible des naissances.

En termes de tendances, l’augmentation moyenne de ce taux d’octroi au niveau national est de +0,6 points par rapport à 2015. Une étude au niveau local présente quelques tendances particulières :
• Une accélération de l’octroi de prénoms musulmans :
o en région Parisienne (hors Paris), notamment dans le Val d’Oise et surtout le Val de Marne,
o dans certains départements ouvriers (Savoie, Aube, Seine Maritime…),
o dans les départements d’outre-mer (accélération deux fois supérieure à la moyenne nationale).
• Une régression de l’octroi de prénoms musulmans :
o à Paris intramuros, le coût de la vie en étant probablement la cause,
o dans de nombreux départements ruraux,
o en Corse, qui confirme une certains « résistance » depuis 10 ans.

Méthodologie

Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 33500 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.

Certains prénoms sont systématiquement attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans certains ».

D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme « prénoms mixtes ».

Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms mixtes » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.

Un biais tend par ailleurs à minimiser le comptage des prénoms musulmans, l’INSEE ne publiant pas pour des raisons de secret statistique de nombreux prénoms musulmans, car considérés comme « rares ».
Les officiers de l’état civil étant beaucoup plus regardants pour des prénoms traditionnels que pour les innombrables variations des prénoms étrangers. (Cf. exemple récent du tilde de Fanch…)

 

Source : fdesouche