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mardi, 18 décembre 2018

Poutine déclare la guerre au rap : « il corrompt la société »

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2018

« Quand tu ne peux pas arrêter quelque chose, il faut en prendre le contrôle ». C’est la troisième voie choisie par Vladimir Poutine pour affronter le binôme drogue-concert rap.

Le maître du Kremlin, à l’occasion du conseil consultatif sur la culture et les arts, s‘est alarmé sur la croissante progression de la popularité du rap parmi la jeunesse russe. Or le rap estime-t-il « se base sur trois piliers : le sexe, la drogue et la contestation. De tout cela, la drogue est le plus préoccupant. C’est la voie ouverte vers la corruption de la société ».

Aussi, sans vouloir censurer le rap, il a en revanche l’intention d’en maîtriser la diffusion. Il a donc demandé aux responsables culturels de trouver un moyen pour contrôler plutôt qu’interdire cette musique populaire. A travers notamment des subventions publiques destinées à aider les chanteurs « à corriger » leurs textes.

Depuis longtemps en Russie des groupes de volontaires et des associations de parents se sont mobilisés contre certaines expressions musicales qui « ont une influence négative sur la société et sur les plus jeunes ». Ce que démontrent certaines chansons de rappeurs qui font l’apologie ouverte de la drogue et du suicide.

La guerre contre le rap est ouverte au pays des Tsars !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Gilets Jaunes, puisez des idées dans la doctrine sociale de l’Eglise et l’apport des maîtres de la contre-révolution et du nationalisme

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2018

Ecrit par François Marceron

La révolte des gilets jaunes fait depuis un certain nombre de semaines la une dans notre pays. Partie d’une révolte fiscale ponctuelle – le refus des hausses sur le prix des carburants prévues pour janvier 2019 –, elle s’est étendue comme un incendie d’abord à l’ensemble des alourdissements de la fiscalité, puis à toute une série de revendications catégorielles, sociales et même politiques.

Jusqu’ici le mouvement a montré un grand souci de ne pas se laisser récupérer par les partis politiques et les syndicats. Les médias en ont donné une présentation variable, parfois biaisée (notamment en choisissant des interlocuteurs peu aptes à la discussion ou peu présentables – les casquettes à l’envers par exemple).

Au plan de la sociologie, le noyau initial des gilets jaunes a été constitué par des personnes qui se trouvent juste au-dessus des minima sociaux : ne bénéficiant d’aucune aide, elles sont directement affectées par toutes les augmentations et vivent finalement moins bien que les assistés. La revendication de ces personnes est d’ailleurs de pouvoir vivre convenablement de leur activité sans subir une pénalisation constante, dont l’augmentation du carburant a fourni un exemple typique.

Le pouvoir a tout d’abord tenté de faire la sourde oreille. Cette stratégie, qui lui avait réussi lorsqu’il avait été question de réformer le statut des cheminots, s’est ici montrée totalement inopérante. En effet, les cheminots étaient perçus comme de relatifs privilégiés qui cherchaient à maintenir des privilèges liés à des conditions de travail pénibles qui n’existaient plus. Par ailleurs leurs grèves à répétition étaient perçues comme des prises d’otages à l’encontre du reste de la population. En revanche, les gilets jaunes n’étaient pas des privilégiés mais des gens démunis. Ils sont d’ailleurs apparus comme l’avant-garde des matraqués fiscaux (ce qui explique que bien d’autres catégories d’impôts aient été discutées à la suite). Dès lors le mouvement a acquis la sympathie de larges parties de la population.

Le gouvernement a senti qu’il perdait l’initiative lorsque d’autres catégories sociales – des agriculteurs, les transporteurs, les retraités… – ont menacé d’entrer à leur tour dans la danse.

Le mouvement a cependant été perturbé par des opportunistes :
• les lycéens, qui n’ont rien à voir dans cette affaire. Il y a là une manœuvre de milieux gauchistes minoritaires qui ont voulu profiter de la situation et n’ont rien à voir avec les gilets jaunes.
• les syndicats, qui, au début, se sont montrés hostiles au mouvement de gilets jaunes – mouvement spontané né totalement en dehors d’eux – et qui depuis essayent de les récupérer. La CGT est particulièrement active.
• Les assistés qui ont présenté diverses revendications en omettant celle de prétendre vivre de leur travail.
• Les casseurs qui profitent de n’importe quelle manifestation pour semer le désordre et pour piller, comme dans les pays du tiers-monde. Parmi eux beaucoup de gens des banlieues.

Le gouvernement recueille là les fruits de son laxisme en matière d’immigration et de celui de ses prédécesseurs depuis plus d’un demi-siècle. Apparemment la sagesse ne lui vient pourtant pas sur ce point. L’on étouffe d’ailleurs dans les médias toute remarque anti- immigrationniste. Et, en pleine crise des gilets jaunes, le gouvernement n’a pas renoncé à signer le pacte de Marrakech qui favorise l’accueil des migrants ! Il refuse de voir que l’immigration, qui coûte plusieurs dizaines de milliards, est l’une des sources du déficit français. Il refuse aussi de voir que les Français ne veulent plus d’immigration musulmane. À suivre donc, et même éventuellement dans la rue si le pouvoir laisse pourrir la situation.

L’on observera que l’opinion publique a bien su faire la différence entre ces divers récupérateurs et le noyau dur des gilets jaunes. Le soutien populaire est resté massif. La baisse du nombre de manifestants qui s’est vue lors du cinquième samedi de manifestation correspond probablement au désir des vrais gilets jaunes d’éviter d’être confondus avec les casseurs ou d’être récupérés par des gens qui comme le sieur Mélenchon jouent les ouvriers la dernière heure.

Mesurant le danger, le gouvernement, puis le Président ont amorcé un grand recul. L’on a pu ironiser sur Emmanuel Macron qui a inventé le quinquennat de dix-huit mois… Il semble en effet que rien ne sera plus comme avant : l’on voit mal le gouvernement présenter de grandes lois comme celle concernant les retraites en prétendant bousculer de fond en comble les situations existantes.

Le gouvernement a aussi redécouvert l’importance des corps intermédiaires. Alors que le Président avait traité avec une certaine distance hautaine les maires de France lors de leur récent congrès, il a dû leur lancer un appel : les maires sont en effet, au mois en province, parmi les rares intermédiaires entre « le haut » et « le bas ». Peut-être conviendrait-il d’ailleurs de s’interroger sur la restitution de leurs pouvoirs qui ont été confisqués par la loi qui a créé des regroupements artificiels au détriment des petites communes.

Le gouvernement a annoncé plusieurs chantiers de discussion notamment sur la fiscalité, la démocratie locale, la transition écologique… De bonnes choses peuvent en sortir, mais il faut aussi être vigilant à la fois contre le retour des technocrates et les récupérations de la gauche. Il importe que les militants nationaux apportent leur contribution : beaucoup de leurs idées peuvent prospérer en ce moment, telles que le référendum d’initiative populaire ou la renaissance de corps intermédiaires locaux et professionnels. Beaucoup d’idées susceptibles d’intéresser peuvent être puisées dans la doctrine sociale de l’Eglise et l’apport des maîtres de la contre-révolution et du nationalisme.

En matière de fiscalité, le gouvernement actuel, avant l’affaire des gilets jaunes, n’a pas desserré l’étreinte étatique mise en place par ses prédécesseurs et notamment par François Hollande. L’idée de l’impôt juste ne semble toujours pas avoir pénétré dans la tête des technocrates. De même que l’idée de la micro-économie leur est totalement étrangère : la meilleure façon de faire repartir la machine économique est en effet de permettre aux « petits » acteurs de dépenser, et non de s’en tenir à favoriser les multinationales et la « fortune anonyme et vagabonde. » Le gouvernement a ménagé celle-ci, et en revanche a continué de frapper les patrimoines : les droits de succession sont exorbitants et se traduisent par la vente des biens de famille et la cession des entreprises à l’étranger en cas de décès.

L’on déplorera cependant que certains gilets jaunes aient recours à des formules et à des symboles détestables : le terme « révolution » (alors qu’il n’y a pas eu dans l’histoire de pire oppression que la Grande Terreur jacobine ou la Révolution russe), le bonnet phrygien, voire la guillotine… A part quelques drapeaux régionaux, notamment bretons, l’on voit peu de symboles acceptables. Nous aimerions bien sûr voir plus souvent la fleur de lys ou le Sacré-Cœur. L’on pourrait aussi penser au sanglier des Gaulois (qui a l’avantage d’être identitaire et de ne pouvoir être récupéré par certains), ou à la chouette, symbole des chouans qui étaient aussi en révolte contre un État injuste…

Enfin le mouvement a permis d’arracher le masque de la technocratie et de l’oligarchie. Il convient d’aider les Français à comprendre que ces forces usurpatrices sont au cœur du pouvoir pour les en libérer.

François Marceron

NB : une revendication à faire avancer : le retour à la vitesse de 90 sur les routes départementales qui faciliterait les déplacements en province.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 17 décembre 2018

Baromètre de la pauvreté : un Français sur cinq ne peut pas manger trois fois par jour

Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2018

Publié le 16 décembre 2018 Auteur par Rédaction
contre-info

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« La pauvreté gagne du terrain en France. D’après le baromètre 2018 du Secours Populaire, 39% de Français ont déjà été pauvre. Soit deux points de plus par rapport à l’an dernier.  L’une des premières conséquences, c’est la précarité alimentaire. Manger sainement est extrêmement difficile. Manger régulièrement aussi.

Les cinq fruits et légumes par jour sont bien loin. D’après l’étude, 27% des Français ont du mal à s’offrir des légumes et des fruits frais tous les jours. Pour le poisson, 20 % n’arrivent pas à s’en acheter au moins une fois par semaine.

Être pauvre c’est sauter des repas régulièrement, manger des produits gras, moins coûteux, ce qui entraîne : fatigue, anémie, diabète ou cholestérol. Être pauvre , ce n’est pas double peine, mais triple peine.  Puisque ne pas pouvoir se nourrir seul entraîne un sentiment de honte et d’isolement.

Quand on vit avec moins de 1 015 euros par mois, on rogne sur plusieurs budgets. D’après cette étude, c’est logiquement celui des loisirs qui diminue en premier. Environ, 41 % des Français ont du mal à partir une fois par an en vacances ou a faire des sorties en famille régulièrement.

Ces restrictions forcés concernent également la santé, puisque quatre Français sur dix ont des difficultés à payer certains actes médicaux mal remboursés par la sécurité sociale. Ils renoncent par exemple à l’achat de prothèses dentaires, de lunettes ou aux visite chez les spécialistes de la santé. »

Source et suite France bleue

Réinfo, magazine d'information du Parti de la France du 17 décembre 2018

Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2018

réinfo du 17 décembre 2018

RÉINFO, LE JT DU PDF
 

dimanche, 16 décembre 2018

Afrique du Sud: Un politicien marxiste appelle ses partisans à « tuer les Blancs », en déclarant « nous allons tuer leurs enfants et leurs femmes »

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2018

Par  le 14/12/2018 

(…)

Andile Mngxitama, président de Black First Land First (BLF), s’exprimait lors d’un rassemblement le week-end à Potchefstroom, près de Johannesburg, lorsqu’il a tenu ces propos violents.

(…)

« Vous tuez l’un de nous, nous tuerons cinq des votre. Nous allons tuer leurs femmes, nous allons tuer leurs enfants, nous allons tuer tout ce que nous trouvons sur notre chemin. »

Mngxitama fait alors signe à la foule:

« Pour chacun d’entre eux, nous en tuerons combien? »

La foule récite en retour: « Cinq » Mngxitama répète, « Pour chacun d’entre eux? » et la foule répond: « Cinq ».

Ce va-et-vient est répété plusieurs fois jusqu’à ce que Mngxitama continue sa diatribe et appelle jusqu’à la mise à mort des chiens et des chats appartenant aux Blancs.

Il dit:

« Nous allons tuer leurs enfants, nous allons tuer leurs femmes, nous allons tuer leurs chiens, nous allons tuer leurs chats, nous allons tuer n’importe quoi. »

Mngxitama a depuis affirmé que ces propos avaient été sortis de leur contexte

(…)

DailyMail via fdesouche