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mercredi, 05 décembre 2018

657e anniversaire de la naissance du franc

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Auteur : admin4
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N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique.

L’espoir de la retrouver prochainement grandit régulièrement.

Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).

Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.

Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec le terme « Francorum Rex » (Roi des Francs).

Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de cette inscription.

Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :

« Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…


Source :  contre-info

L'argent des Français aux Français ! »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Ce gouvernement cherche à faire des économies dans les dépenses publiques? Qu'il commence par réduire à zéro le coût social de l'immigration et mette en oeuvre le patriotisme social. L'argent des français aux français!

Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Auteur : Michel Janva

Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…

“Racket”, “atteinte au droit de manifestation”, “extorsion en bande organisée”… Des Gilets jaunes ont déposé des plaintes aux motifs variés contre Emmanuel Macron, aux quatre coins de la France. Et elles sont enregistrées.

La valse des plaintes a débuté lundi, avec une plainte contre Emmanuel Macron pour sept motifs:

racket, dilapidation de l’argent public, préjudice moral et mise en danger de la vie d’autrui, violences volontaires avec arme, usage abusif de la force publique sur personne vulnérable, et atteinte au droit de manifestation”.

Après quelques recherches dans le code pour évaluer la conformité de la demande, les agents ont finalement enregistré la plainte.

Quelques heures plus tard, un gilet jaune a entrepris la même démarche en Charente. La personne attaque le président de la République pour

“usurpation de fonction et détournement de fonds publics”.

Mardi, en région parisienne, les policiers ont reçu la visite d’un gilet jaune pour une plainte contre le chef de l’Etat pour “atteinte à la liberté de manifester” et “violences volontaires avec armes”.

Le lendemain, un habitant de Belfort a déposé plainte contre le président et son gouvernement pour “extorsion de fonds en bande organisée”.

 “Depuis l’élection de M. Macron, je me sens racketté”. “J’ai le sentiment d’une dilapidation de l’argent public. C’est pour cela que je demande la démission du président voire sa destitution”.

L’homme aurait été imité par cinq autres manifestants dans la région.

De nombreux internautes appellent à multiplier ce type d’initiative pour faire entendre leur voix. 

 

Source : lesalonbeige

mardi, 04 décembre 2018

les médias « de grand chemin »

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2018

 

On reproche légitimement à de ne pas avoir compris la révolte du peuple français. On oublie d’ajouter que les médias « de grand chemin » en ont fait de même. Les grands médias audiovisuels sont aussi déconnectés et méprisants que les élites qui nous gouvernent.

Les Gilets Jaunes doivent-ils craindre les snipers de la police samedi prochain ?

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2018

A priori saugrenue, cette question l’est visiblement moins qu’on ne pourrait le penser. Ainsi, des images filmées par l’agence Reuters montrent que des snipers étaient bien en place sur un toit des Champs-Elysées le 1er décembre.

Plusieurs médias, citant une source policière, signalent que depuis 2014 il existe des « binômes tireur-observateur » parmi les CRS, qui sont présents « sur les grosses manifestations ». L’homme armé est accompagné d’une deuxième personne, muni d’un objectif. Leur rôle est « d’assurer d’abord la sécurité des manifestants contre des attaques armées et potentiellement la sécurité des forces de l’ordre contre des manifestants armés », écrivent identiquement plusieurs médias. Mais on imagine mal qui aurait attaqué les Gilets Jaunes, hormis les policiers. Qui peut croire un seul instant que des terroristes islamiques auraient pu tenter de commettre un attentat au milieu de la manifestation des Gilets Jaunes du 1er décembre ?

Autre élément significatif, le fait qu’aucune autorité n’assume avoir demandé la présence de ces snipers des CRS. Selon les sources policières de plusieurs médias, la préfecture aurait affirmé ne « pas (avoir) mobilisé de tireur de haute précision dans le dispositif » de sécurité du 1er décembre. Or, contacté par franceinfo, le ministère de l’Intérieur renvoyait vers la préfecture. Cette présence de tireurs d’élite remarquée embarrasse donc les autorités.

Mais qu’en sera-t-il samedi prochain, 8 décembre ? On peut douter que ces tireurs mobilisés le 1er décembre ne soient pas à nouveau de service. Avec toute l’inquiétude que cela peut entraîner, compte-tenu des déclarations du syndicaliste policier Yves Lefebvre évoquant la possibilité qu’il y ait cette fois des morts. Et alors qu’Emmanuel Todd considère qu’il y a “stratégie de provocation gouvernementale” et que ce qui s’est passé à l’Arc de Triomphe pourrait avoir été organisé par des “agents provocateurs”, c’est-à-dire des barbouzes aux ordres de l’Etat.

 

Source : medias-presse.info