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mercredi, 13 juin 2018

L’enfant et la justice

Publié par Guy Jovelin le 123 juin 2018

 

POSTÉ LE 12 JUIN , 2018, 2:07

enfant,justice,victimeBien que notre société soit réputée celle de l’enfant-roi, la justice considère souvent les enfants comme des êtres sans importance. Dans bien des procédures, ils sont considérés comme des objets, propriété de leurs parents qui se les arrachent dans un divorce ou les maltraitent impunément. Conçu mais non encore né (et bien que le droit précise que l’enfant conçu doit être considéré comme né chaque fois qu’il y va de son intérêt), la justice considère qu’il n’existe pas, qu’il n’est qu’un « tissu du corps d’une femme » qui en est l’entière propriétaire.

L’enfant-victime, lui non plus, n’existe pas pour la justice. Et c’est pourquoi, une fois de plus, un pédomane, libéré après une peine dérisoire, a récidivé et détruit l’innocence d’une petite fille. L’année 2018 n’en est pas à la moitié, et déjà une petite Angélique a été terrorisée et souillée, une petite Maëlys a été assassinée. Le violeur d’Angélique a bénéficié, de la part de la justice, de beaucoup plus d’attention que sa première victime. On a pris grand soin d’écarter de son dossier tout ce qui aurait dû le mener devant une cour d’assises. Que les chances de la petite victime de retrouver son innocence, son insouciance d’enfant sage, son sentiment de sécurité soient quasi nulles, n’a pas été pris en compte. Pour certains magistrats, la victime est toujours responsable de son malheur. C’est ainsi que par deux fois des tribunaux français ont jugé qu’une pénétration activement refusée par la jeune victime, âgée de 11 ans, ne pouvait être qualifiée de viol parce que l’enfant pouvait être présumée avoir été « consentante », voire avoir provoqué l’acte sexuel. Curieusement, l’opinion publique française semble indifférente à cette situation. Le fait que le violeur d’Angélique n’ait exécuté que la moitié de la peine prononcée pour son premier viol et soit sorti libre et sans aucun contrôle après moins de cinq ans d’incarcération, ne semble indigner personne. À moins que ceux qui tiennent à protéger l’innocence des enfants soient plus nombreux qu’on ne croit, mais n’aient guère accès aux médias.

 

Source : les4verites

Vers la légalisation de la drogue

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Auteur Rouxel Jean

drogue,esther benbassa,légalisationComme chacun sait, la situation de la France est tellement mirobolante que nous pouvons sans difficulté majeure l’aggraver encore un peu.

Eh bien, rassurez-vous, bonnes gens, nos excellents parlementaires y pensent pour nous !

Figurez-vous qu’une dénommée Esther Benbassa, sénatrice écologiste et d’ultra-gauche de son état, organisait lundi un colloque au sénat pour réclamer la dépénalisation du cannabis.

Le titre de ce colloque était faussement interrogatif : « Légalisation du cannabis : l’Europe est-elle condamnée à l’impasse ? » Comme si le sujet du cannabis avait quoi que ce soit à voir avec l’Europe. Comme si empêcher des jeunes de se détruire était une « impasse » !

Comme toujours avec le rouleau compresseur gauchiste, la revendication politique était appuyée par un sondage.

De façon tout à fait symptomatique, si vous alliez lundi sur le site d’Ipsos pour télécharger l’étude sur le cannabis, vous ne tombiez pas sur ce sondage, mais sur ce titre : « Les conducteurs européens conscients que l’inattention tue, mais incapables de renoncer aux distracteurs au volant. »

Le gouvernement va nous enquiquiner bientôt avec la limitation de la vitesse à 80 km/h, sans aucun profit pour la sécurité routière. Mais il pourrait légaliser le cannabis !

Cependant, l’étude elle-même vaut son pesant de cacahouètes. Alors que tous les médias ne bruissaient que de l’écrasante majorité des Français favorables à la légalisation du cannabis, le chiffre donné par Ipsos est de 50 % !

Mais le plus amusant, si j’ose dire, ce sont les motivations. Selon ce sondage (qui, d’ailleurs, mélangeait tout, en évoquant aussi le cannabis thérapeutique, déjà partiellement autorisé), 52 % des Français estiment que la vente de cannabis sous contrôle de l’État serait efficace pour lutter contre les trafics.

La meilleure preuve que cet argument ne tient pas la route est le cas des Pays-Bas, où les drogues prétendument douces sont tolérées (mais d’ailleurs non légalisées).

Eh bien, une bonne part de l’héroïne consommée en Europe est produite aux Pays-Bas. Tout simplement, parce que les drogues « douces » peuvent être un pas vers les « dures ».

Bien loin de l’image « récréative » du cannabis complaisamment colportée par les médias, Mme Benbassa se fait donc la complice des mafias. Elle se fait la complice des destructeurs de notre jeunesse. Elle se fait aussi la complice des nouvelles atteintes aux libertés publiques que la consommation du cannabis entraînera. Les libertaires sont décidément les pires ennemis des vraies libertés.

 

Source : les4verites

La Rupture ?

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 20189

 

On sait pas si le monde passe par une phase de turbulences très passagère ou s’il est en train de connaître une véritable rupture. On ne sait pas davantage où conduira cette seconde hypothèse, si elle se vérifie. Ce dont on est sûr c’est que l’endormissement de l’Occident dans le consensus mou de ses dirigeants, approuvés par la foule des commentateurs adeptes du politiquement correct, est en train de s’achever. Aux Etats-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question. L’isolationnisme volontiers provocateur de Donald Trump a brisé l’idée que l’option unique du mondialisme économique et climatique était incontournable. Macron et Trudeau, les représentants de cette désespérante politique de la passivité devant les risques les plus grands, ceux que court notre civilisation, bien plus en danger que la terre, seront sortis décrédibilisés du fiasco du G7 canadien. Le second n’a pas surpris tant le ridicule lui colle à la peau, surtout depuis son grotesque déplacement en Inde. Il personnifie « l’autrisme » béat. Le premier se trouve à la tête du pays le plus menacé d’Europe par le remplacement de population et aussi celui qui connait le déclin économique le plus manifeste. Les Français, de plus en plus nombreux à percevoir le danger ont cependant élu l’homme qui correspondait le moins au besoin du pays. Ces deux dirigeants sont de pâles copies d’Obama, le champion des médias occidentaux qui adulaient son style et son apparence sans mesurer les conséquences de son absence de politique forte et courageuse , notamment à l’égard du monde musulman. Dans l’ensemble, les européens suivaient et quelquefois précédaient une stratégie tournée contre la Russie et incapable de désigner l’ennemi islamiste par son nom. Leur mauvaise conscience leur interdisait de défendre leur identité, leur souveraineté, et à terme de préserver leur existence. C’est fini… L’Italie, après la Hongrie, la Pologne et l’Autriche ont allumé la flamme de la résistance.

Quels que soient les doutes sur la personnalité du Président américain, on doit le remercier de casser les codes de bonne conduite qui faisaient de la politique internationale un ballet de déplacements et de rencontres entre amis pétris de bons sentiments, mais dénués de volonté, et incapables de changer les choses. Lorsque le vilain petit canard est un mastodonte, on évite de lui faire la leçon… « Six contre un » avait dit Macron, toujours furieux que ses cajoleries n’aient eu aucun effet sur « le Donald ». En un tweet, ce dernier a anéanti l’objet même du G7. Non seulement, il maintient sa politique protectionniste de « l’Amérique d’abord », mais il a divisé les six notamment en proposant contre toute attente le retour de la Russie que souhaite le nouveau gouvernement italien. Le Japon est trop imbriqué dans la politique américaine en extrême-orient pour déplaire à Washington au moment où la situation en Corée peut changer considérablement. Quant à l’Allemagne, il est probable que son pragmatisme habituel la conduira à traiter directement avec les Etats-Unis. C’est en cela que le changement est le plus manifeste. Désormais, la politique internationale des « Occidentaux » n’est plus guidée par une unanimité creuse pour satisfaire les groupes de pressions en faveur des minorités dans un monde sans frontières. Lorsque Donald Trump agit, c’est toujours avec l’intention de répondre aux exigences de ceux qui l’ont élu. Et les autre dirigeants vont devoir l’imiter.

Il y a chez le Président américain un art consommé de surprendre, et de jouer finement, tout en se faisant passer pour un fou. Cela lui permet d’être imprévisible tout en manifestant dans le fond la plus grande cohérence. En rencontrant Kim-Jong-Un, qu’il avait insulté sans retenue, Donald Trump fait preuve de souplesse et de pragmatisme. Il n’y a plus l’axe du mal et ses Etats-voyous, il y a des Etats avec lesquels on peut toujours discuter sans perdre de vue l’essentiel rapport de forces. La Corée du Nord, qui a un besoin vital d’échapper aux sanctions accepte la dénucléarisation, mais sans la qualifier de vérifiable ni d’irréversible. Les USA acceptent d’offrir des garanties de sécurité à Pyong-Yang, mais sans lever les sanctions, ni retirer les troupes. C’est donc le commencement d’un processus dont l’homme de la Maison Blanche tire le plus grand profit dans l’immédiat, sans hypothéquer l’avenir.

Trump veut bâtir un mur pour bloquer l’immigration en provenance du sud. L’Italie vient d’interdire ses ports aux migrants du sud de la Méditerranée. C’est la volonté du nouveau gouvernement italien. Ce dernier fait face aux critiques de la gauche, désormais le parti de l’étranger plus que la voix des couches populaires. L’Espagne, à nouveau socialiste, pour son malheur, veut accueillir les migrants. Les « nationalistes » corses se proposent aussi. Il faut les remercier d’avouer ainsi quel est leur camp. Enfin, SOS Méditerranée qui affrète l’Aquarius avec ses 600 migrants illégaux proteste. Il faut féliciter le gouvernement italien qui souligne ainsi l’hypocrisie de la « vague migratoire » et met en lumière ses complices. Les « ONG » immigrationnistes veulent le remplacement des populations et l’effondrement de l’Europe. Ce sont des « sauveteurs » parfaitement intégrés dans une chaîne migratoire dont le « sauvetage » est un maillon normal, avec les passeurs et leurs bateaux pourris en amont.. Les demandeurs d’asile qui veulent avant tout du travail et des aides sociales dans nos pays de Cocagne ne fuient pas la persécution politique, mais la pauvreté ou les combats. Ils pourraient parfaitement tenter de réduire la première ou de mettre fin aux seconds, en restant chez eux. On peut accueillir un opposant politique menacé de mort, non une foule d’individus qui cherchent seulement à vivre mieux chez les autres sans faire le moindre effort pour que ce soit chez eux.

L’Europe se réveille enfin !

 

Source : ndf

Danièle Obono : une bourgeoise chez Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 12 juin 2018.

Danièle Obono, une députée sans le sou

Interviewée par Jean-Jacques Bourdin hier matin, la députée mélenchoniste Danièle Obono a réussi son exercice médiatique. En effet, son interview qui a enchaîné les clichés et les bêtises est finalement sortie de la triste norme politicienne habituelle. Obono a tiré la sonnette d’alarme en raison d’indemnités de député trop faibles ! On savait que les Français étaient dans la mouise, mais de là à ce que nos chers élus soient sans le sou !

En Marche – Les Insoumis : même combat ? Alors que la presse tente de faire croire que Mélenchon est le premier des opposants à la politique macronienne, ses ouailles semblent avoir été rapidement contaminées par l’idéologie dominante sur les bancs de l’Assemblée. Le toujours plus de fric prévaut et fonctionne avec d’autant plus de facilités qu’il vient directement des impôts des Français. Ainsi l’ancienne bibliothécaire trotskiste, Danièle Obono, s’est émue de la situation intenable de ses collègues députés qui doivent se payer un toit à Paris pour pouvoir être présents sur les bancs de l’Assemblée la semaine.

Députés – SDF : une même vie de misère

« Vous voulez qu’on les loge où, les députés ? Ils pourraient avoir les moyens de se loger s’ils avaient une indemnité suffisante pour le faire ». La bombe est lancée par Danièle Obono. Les députés ne sont pas loin d’aller crécher dans des centres d’urgence faute de pouvoir se payer un logement dans une ville aussi chère que Paris. Que fait la mairie socialiste d’Anne Hidalgo ? Que fait l’Etat face à cette situation indécente qui plonge dans la misère l’élite de la France ? L’Etat ne donne que 7 209,74 euros bruts mensuels (au minimum) à chacun des députés. Une misère selon Obono qui est peut-être plus habituée à des sommes ronflantes avec son salaire de petite fonctionnaire et une thèse universitaire commencée en 2003 et qui attend toujours une conclusion…

Rendez-vous compte ! L’indemnité de base n’est que de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 167,99 euros est versée et une indemnité de fonction de seulement 1 441,95 euros est accordée. Comment vivre avec si peu ? Il est temps que les Français payent plus d’impôts pour que les députés puissent vivre décemment. Ce ne sont pas les 1 200 euros supplémentaires mensuels – justement pour louer un logement – que peuvent demander les députés non Franciliens qui vont changer la donne. Il leur faut un salaire décent et vite !

Obono a vite compris le fonctionnement de la machine politique. Il faut se servir avant de songer à servir les autres. Cela concerne apparemment même les députés soit disant les plus proches du peuple… Le Front de Gauche est une véritable cour des miracles. Après le couple léniniste, voici la députée prolo-bourgeoise trotskiste. Le prochain numéro risque de détonner !

L’Assemblée nationale ferait bien de ne pas revenir sur sa politique accommodante avec les députés sans toit. Car ce que ne dit pas non plus Obono, c’est que l’argent des Français sert aussi à rembourser les frais d’hôtel des députés lorsqu’ils sont à Paris à raison de 200 euros par nuitée maximum. Un pécule minuscule qui serait à l’origine d’une révolution de masse si jamais il venait à être supprimé. Mais que la députée se rassure, les parlementaires votent rarement des lois qui vont contre leurs intérêts… Penser aux autres d’accord, mais penser à soi c’est encore mieux.

Une question se pose désormais à Obono et sa vocation immigrationniste. Comment accueillir des centaines de milliers de « migrants » dans des conditions décentes si la République n’est pas capable de s’occuper de ses propres parlementaires ? Autant dire à nos lecteurs que cette question ne trouvera pas de réponse même avec l’aide de son mentor Jean-Luc Mélenchon.

 

Source : 24heuresactu

Liège (Belgique) : Une handicapée mentale violée et séquestrée par un migrant pour obtenir des papiers. Il voulait lui faire un enfant de force.

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Par  le 12/06/2018

Il empêchait la jeune fille de prendre son contraceptif et lui a fait passer un test de grossesse.

Karim, 30 ans, a écopé de quatre ans de prison ferme par défaut pour avoir violé une handicapée mentale pendant trois jours. Il avait déjà été expulsé du territoire et était interdit de séjour pendant six ans. Cela ne l’a pas empêché de se retrouver à Liège et de croiser la route d’une jeune handicapée de 19 ans, mais dont l’âge mental est estimé par les experts à 7 ou 8 ans.

En novembre 2014, la jeune fille a disparu pendant trois jours. Elle était avec une connaissance lorsqu’elle a rencontré Karim. Ce dernier l’a emmenée dans un squat. Selon la mère de la jeune fille, l’homme a violé celle-ci dans le but de la faire tomber enceinte pour régulariser son séjour. Karim a empêché la victime de prendre sa pilule et s’est rendu avec elle dans un planning familial pour lui faire passer un test de grossesse !

La jeune fille a expliqué qu’il l’avait violentée et forcée à entretenir des relations sexuelles. Il lui avait fait mal au point de la faire saigner. Il lui a également administré des somnifères.

Le suspect a admis qu’il s’était directement rendu compte que la jeune fille présentait un retard. Il a accusé leur connaissance commune d’être l’auteur des viols. Il a prétendu qu’on l’avait accusé car « on voulait à tout prix le mettre en prison ».

Quant à la victime, son audition ne laisse planer aucun doute. « Je n’avais pas le choix parce qu’il allait me taper. Il m’a tirée par les cheveux. » Cette jeune fille avait déjà été violée par un autre individu.